YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :Prince Noir et Roudoudou aux travaux des champs:
http://cjoint.com/data/muo5oDPGPq_Prince_Noir_et_Roudoudou.jpg
Un malveillant a volé les roues du sulky. Aider notre ami Ghost-Rider
à les retrouver.
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Comment ? Au XXIème siècle, on n'avait pas encore inventé la roue ? Et
de plus, ces gens sont stupides à s'empiler ainsi sur un tel véhicule,
pour finalement avancer bien moins vite qu'à pied ! On voit que la
taille apparente de leur cerveau n'est aucunement en relation avec leur
intelligence.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Ghost Rider a écrit :
Prince Noir et Roudoudou aux travaux des champs:
http://cjoint.com/data/muo5oDPGPq_Prince_Noir_et_Roudoudou.jpg
Un malveillant a volé les roues du sulky. Aider notre ami Ghost-Rider
à les retrouver.
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Comment ? Au XXIème siècle, on n'avait pas encore inventé la roue ? Et
de plus, ces gens sont stupides à s'empiler ainsi sur un tel véhicule,
pour finalement avancer bien moins vite qu'à pied ! On voit que la
taille apparente de leur cerveau n'est aucunement en relation avec leur
intelligence.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :Prince Noir et Roudoudou aux travaux des champs:
http://cjoint.com/data/muo5oDPGPq_Prince_Noir_et_Roudoudou.jpg
Un malveillant a volé les roues du sulky. Aider notre ami Ghost-Rider
à les retrouver.
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Comment ? Au XXIème siècle, on n'avait pas encore inventé la roue ? Et
de plus, ces gens sont stupides à s'empiler ainsi sur un tel véhicule,
pour finalement avancer bien moins vite qu'à pied ! On voit que la
taille apparente de leur cerveau n'est aucunement en relation avec leur
intelligence.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la retrouve,
à l'origine d'un renversement total des connaissances ethno-archéologiques
de notre civilisation.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la retrouve,
à l'origine d'un renversement total des connaissances ethno-archéologiques
de notre civilisation.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la retrouve,
à l'origine d'un renversement total des connaissances ethno-archéologiques
de notre civilisation.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate
illustration d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants,
juste bonne à figurer dans les pages intérieures d'un petit journal
de province où chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment
de célébrité prévu par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques
siècles, si on la retrouve, à l'origine d'un renversement total des
connaissances ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
pseudo-ntellectuelscontemporains, incapables de comprendre que "de
plates illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des
projections artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales
reconnues dans l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur
temps. :-)) Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les
incultes
::-((( L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de
la culture par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série, et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet,
de Diaz par exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des
thèmatiques différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme
un art majeur par les contemporains de ces peintres, si tant est
qu'ils en aient eu connaissance, puisque leure rareté en faisait la
propriété des classes sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on
regarde des reproductions comme l' "Angélus" de Millet, les
calendriers, les éditions de gravures populaires, les reproductions
en série au pochoir, elles n'ont été considérées comme artistiques et
non utilitaires que dans les temps récents et depuis moins d'une
centaine d'années avec l'avenement des "musées". Par contre si on
approfondit la notion de "Différence" dans les
concepts culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que
la recherche de distanciation est directement liée au statut social
qu'on s'attribue par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on
désire faire reconnaître par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les
surréalistes, les situationnistes), et qui ont été une des matrice
des mouvements actuels. On peut constater que c'est" l'interprétation" des
oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en
fait dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant
au prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est
signifiant de voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant
des montagnes d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de
chapons gras. Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y
retourner avec
un appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus
belle photo de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible :
interdiction de photographier dans ces magasins", "droit à l'image"
et tutti quanti... Et pourtant le futur de la récession pour les
siècles à venir s'intéresserait peut-être à ce phénomènes de masse,
et se fendrait de thèses savantes sur les comportements du début de
la fin d'une civilisation à partir de photos "palmériennes
ordinaires". Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales
de l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma
différence et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées,
anti-point-fortistes, délavées, saturées, et pleines de bruit de
chrominance...que beaucoup apprécient ... en silence j'en suis
sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$ba4acef3@news.orange.fr...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate
illustration d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants,
juste bonne à figurer dans les pages intérieures d'un petit journal
de province où chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment
de célébrité prévu par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques
siècles, si on la retrouve, à l'origine d'un renversement total des
connaissances ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
pseudo-ntellectuelscontemporains, incapables de comprendre que "de
plates illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des
projections artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales
reconnues dans l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur
temps. :-)) Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les
incultes
::-((( L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de
la culture par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série, et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet,
de Diaz par exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des
thèmatiques différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme
un art majeur par les contemporains de ces peintres, si tant est
qu'ils en aient eu connaissance, puisque leure rareté en faisait la
propriété des classes sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on
regarde des reproductions comme l' "Angélus" de Millet, les
calendriers, les éditions de gravures populaires, les reproductions
en série au pochoir, elles n'ont été considérées comme artistiques et
non utilitaires que dans les temps récents et depuis moins d'une
centaine d'années avec l'avenement des "musées". Par contre si on
approfondit la notion de "Différence" dans les
concepts culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que
la recherche de distanciation est directement liée au statut social
qu'on s'attribue par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on
désire faire reconnaître par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les
surréalistes, les situationnistes), et qui ont été une des matrice
des mouvements actuels. On peut constater que c'est" l'interprétation" des
oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en
fait dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant
au prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est
signifiant de voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant
des montagnes d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de
chapons gras. Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y
retourner avec
un appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus
belle photo de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible :
interdiction de photographier dans ces magasins", "droit à l'image"
et tutti quanti... Et pourtant le futur de la récession pour les
siècles à venir s'intéresserait peut-être à ce phénomènes de masse,
et se fendrait de thèses savantes sur les comportements du début de
la fin d'une civilisation à partir de photos "palmériennes
ordinaires". Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales
de l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma
différence et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées,
anti-point-fortistes, délavées, saturées, et pleines de bruit de
chrominance...que beaucoup apprécient ... en silence j'en suis
sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate
illustration d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants,
juste bonne à figurer dans les pages intérieures d'un petit journal
de province où chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment
de célébrité prévu par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques
siècles, si on la retrouve, à l'origine d'un renversement total des
connaissances ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
pseudo-ntellectuelscontemporains, incapables de comprendre que "de
plates illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des
projections artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales
reconnues dans l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur
temps. :-)) Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les
incultes
::-((( L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de
la culture par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série, et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet,
de Diaz par exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des
thèmatiques différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme
un art majeur par les contemporains de ces peintres, si tant est
qu'ils en aient eu connaissance, puisque leure rareté en faisait la
propriété des classes sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on
regarde des reproductions comme l' "Angélus" de Millet, les
calendriers, les éditions de gravures populaires, les reproductions
en série au pochoir, elles n'ont été considérées comme artistiques et
non utilitaires que dans les temps récents et depuis moins d'une
centaine d'années avec l'avenement des "musées". Par contre si on
approfondit la notion de "Différence" dans les
concepts culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que
la recherche de distanciation est directement liée au statut social
qu'on s'attribue par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on
désire faire reconnaître par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les
surréalistes, les situationnistes), et qui ont été une des matrice
des mouvements actuels. On peut constater que c'est" l'interprétation" des
oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en
fait dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant
au prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est
signifiant de voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant
des montagnes d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de
chapons gras. Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y
retourner avec
un appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus
belle photo de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible :
interdiction de photographier dans ces magasins", "droit à l'image"
et tutti quanti... Et pourtant le futur de la récession pour les
siècles à venir s'intéresserait peut-être à ce phénomènes de masse,
et se fendrait de thèses savantes sur les comportements du début de
la fin d'une civilisation à partir de photos "palmériennes
ordinaires". Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales
de l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma
différence et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées,
anti-point-fortistes, délavées, saturées, et pleines de bruit de
chrominance...que beaucoup apprécient ... en silence j'en suis
sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
pseudo-ntellectuelscontemporains, incapables de comprendre que "de plates
illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des projections
artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans
l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les incultes ::-(((
L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de la culture
par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série,
et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet, de Diaz
par
exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des thèmatiques
différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme un art majeur
par les contemporains de ces peintres, si tant est qu'ils en aient eu
connaissance, puisque leure rareté en faisait la propriété des classes
sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on regarde des reproductions
comme l' "Angélus" de Millet, les calendriers, les éditions de gravures
populaires, les reproductions en série au pochoir, elles n'ont été
considérées comme artistiques et non utilitaires que dans les temps
récents et depuis moins d'une centaine d'années avec l'avenement des
"musées".
Par contre si on approfondit la notion de "Différence" dans les concepts
culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que la recherche
de distanciation est directement liée au statut social qu'on s'attribue
par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on désire faire reconnaître
par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme
des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les surréalistes, les
situationnistes), et qui ont été une des matrice des mouvements actuels.
On peut constater que c'est" l'interprétation" des oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en fait
dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant au
prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est signifiant de
voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant des montagnes
d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de chapons gras.
Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y retourner avec un
appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus belle photo
de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible : interdiction de
photographier dans ces magasins", "droit à l'image" et tutti quanti... Et
pourtant le futur de la récession pour les siècles à venir s'intéresserait
peut-être à ce phénomènes de masse, et se fendrait de thèses savantes sur
les comportements du début de la fin d'une civilisation à partir de
photos "palmériennes ordinaires".
Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois vert !
:-((
papy Mougeot
le shmilblic, 'est une photo !
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$ba4acef3@news.orange.fr...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
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chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
pseudo-ntellectuelscontemporains, incapables de comprendre que "de plates
illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des projections
artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans
l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les incultes ::-(((
L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de la culture
par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série,
et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet, de Diaz
par
exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des thèmatiques
différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme un art majeur
par les contemporains de ces peintres, si tant est qu'ils en aient eu
connaissance, puisque leure rareté en faisait la propriété des classes
sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on regarde des reproductions
comme l' "Angélus" de Millet, les calendriers, les éditions de gravures
populaires, les reproductions en série au pochoir, elles n'ont été
considérées comme artistiques et non utilitaires que dans les temps
récents et depuis moins d'une centaine d'années avec l'avenement des
"musées".
Par contre si on approfondit la notion de "Différence" dans les concepts
culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que la recherche
de distanciation est directement liée au statut social qu'on s'attribue
par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on désire faire reconnaître
par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme
des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les surréalistes, les
situationnistes), et qui ont été une des matrice des mouvements actuels.
On peut constater que c'est" l'interprétation" des oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en fait
dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant au
prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est signifiant de
voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant des montagnes
d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de chapons gras.
Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y retourner avec un
appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus belle photo
de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible : interdiction de
photographier dans ces magasins", "droit à l'image" et tutti quanti... Et
pourtant le futur de la récession pour les siècles à venir s'intéresserait
peut-être à ce phénomènes de masse, et se fendrait de thèses savantes sur
les comportements du début de la fin d'une civilisation à partir de
photos "palmériennes ordinaires".
Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois vert !
:-((
papy Mougeot
le shmilblic, 'est une photo !
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de
news: 494d71e9$0$9378$YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Ghost Rider a écrit :
Merci de ton aide, mais c'est même plus grave que ça, car cette
photographie d'inspiration visiblement palmèrienne (plate illustration
d'un évènement sans intérêt sauf pour les participants, juste bonne à
figurer dans les pages intérieures d'un petit journal de province où
chacun se montrera à ses amis, réalisation du moment de célébrité prévu
par Andy Warhol), sera peut-être dans quelques siècles, si on la
retrouve, à l'origine d'un renversement total des connaissances
ethno-archéologiques de notre civilisation.
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes d'e
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artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans
l'avenir comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Je me dois donc de tenter d'expliquer et tant pis pour les incultes ::-(((
L'illusion de l'insignifiance vient de la popularistation de la culture
par le nombre, et sa marchandisation.
S'il avait existé dans les siècles passés des machines à fabriquer en
série,
et en appuyant sur un bouton, 50 millions de Dufy, de Monet, de Diaz
par
exemple, et ce dans une stylistique constante et sur des thèmatiques
différents, la peinture n'aurait pas été considérée comme un art majeur
par les contemporains de ces peintres, si tant est qu'ils en aient eu
connaissance, puisque leure rareté en faisait la propriété des classes
sociales les plus élitistes. D'ailleurs si on regarde des reproductions
comme l' "Angélus" de Millet, les calendriers, les éditions de gravures
populaires, les reproductions en série au pochoir, elles n'ont été
considérées comme artistiques et non utilitaires que dans les temps
récents et depuis moins d'une centaine d'années avec l'avenement des
"musées".
Par contre si on approfondit la notion de "Différence" dans les concepts
culturels et telle que la traite Bourdieu, on voit bien que la recherche
de distanciation est directement liée au statut social qu'on s'attribue
par le discours ou l'acte culturel, ou que l'on désire faire reconnaître
par les autres..
"Différence de la culture ou culture de la différence" ?
Je reviens donc aux phénomène de ruptures qui ne sont plus considérés
comme
des épiphénomènes de l'histoire de l'Art (dada, les surréalistes, les
situationnistes), et qui ont été une des matrice des mouvements actuels.
On peut constater que c'est" l'interprétation" des oeuvres, leur
vulgarisation et leur reconnaissance par le plus grand nombre, qui en fait
dorénavant des oeuvres d'art.
Reste évidemment la marchandisation qui implique l'apport se réfèrant au
prix affiché ou payé.
Je sors ce matin d'une intéressant pélerinage de dérive urbaine que je
commets chaque année : la visite un dimanche de veille de noël dans
plusieurs hypermarchés.
Oh, pour moi, c'est deux litres d'huile, un kg de gros sel et deux ou
trois babioles pour des arrière-petits-enfants. Mais il est signifiant de
voir l'état d'hypnose que vivent nos concitoyens devant des montagnes
d'étiquettes colorées de 500 sortes de foies gras ou de chapons gras.
Je propose d'ailleurs aujourd'hui ou avant Noël - d'y retourner avec un
appareil discret comme le G9- et lancer le concours de la plus belle photo
de rayonnage.. Vous allez me répondre: "pas possible : interdiction de
photographier dans ces magasins", "droit à l'image" et tutti quanti... Et
pourtant le futur de la récession pour les siècles à venir s'intéresserait
peut-être à ce phénomènes de masse, et se fendrait de thèses savantes sur
les comportements du début de la fin d'une civilisation à partir de
photos "palmériennes ordinaires".
Le témoignage est-il un art ?
Un Goncourt qui raconte sa vie ordinaire avec une stylistique convenue
d'agrégé de Lettres Modernes est-il un artiste?
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma
part, pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
:-)))
J'ai bien le droit, que certains me dénient içi, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Question et réponse :Qu'est-ce-que j'ai gagné ? une volée de bois vert !
:-((
papy Mougeot
le shmilblic, 'est une photo !
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes de
pseudo-intellectuels contemporains, incapables de comprendre que "de plates
illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des projections
artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans l'avenir
comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma part,
pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
J'ai bien le droit, que certains me dénient ici, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes de
pseudo-intellectuels contemporains, incapables de comprendre que "de plates
illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des projections
artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans l'avenir
comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma part,
pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
J'ai bien le droit, que certains me dénient ici, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Merci d'avoir répondu à des provocation évidentes de
pseudo-intellectuels contemporains, incapables de comprendre que "de plates
illustrations d'évenements sans intérêt" sont en réalité des projections
artistiques, exégèses de nouvelles sciences sociales reconnues dans l'avenir
comme des créations d'avant-garde de leur temps. :-))
Tout ça-que vous n'aurez pas lu-reste une provocation délibérée de ma part,
pour conforter l'idée que mes photos resteront dans les annales de
l'Histoire de l'art..
J'ai bien le droit, que certains me dénient ici, de cultiver ma différence
et celle de mes oeuvres ordinaires désordonnées, anti-point-fortistes,
délavées, saturées, et pleines de bruit de chrominance...que beaucoup
apprécient ... en silence j'en suis sûr..:-))
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Ghost-Rider a écrit :
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
Ghost-Rider a écrit :
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
Ghost-Rider a écrit :
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
"Bébert" a écrit dans le message de news:
Ghost-Rider a écrit :Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
Je ne puis que vous remercier de votre clairvoyance et de votre soutien
N'hésitez pas à me démentir si je me trompe..
L'éléphant.
"Bébert" <gilbert.maruflon@Zorange.fr> a écrit dans le message de news:
Ghost-Rider a écrit :
Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
Je ne puis que vous remercier de votre clairvoyance et de votre soutien
N'hésitez pas à me démentir si je me trompe..
L'éléphant.
"Bébert" a écrit dans le message de news:
Ghost-Rider a écrit :Une remarque : les échanges de plus en plus élevés qui se font ici
montrent un net basculement de la réflexion photographique nouvelle,
depuis le forum d'à côté vers celui-ci, et les raisons en sont évidentes.
Et réciproquement !
Je ne puis que vous remercier de votre clairvoyance et de votre soutien
N'hésitez pas à me démentir si je me trompe..
L'éléphant.
palmerclaude a écrit :"Bébert" a écrit dans le message de news:Ghost-Rider a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
palmerclaude a écrit :
"Bébert" <gilbert.maruflon@Zorange.fr> a écrit dans le message de news:
Ghost-Rider a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
palmerclaude a écrit :"Bébert" a écrit dans le message de news:Ghost-Rider a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news:
palmerclaude a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
Démosthène c'était le prof de français qui apprenait le pluriel de certains
mots en X comme caillou, pou, chou, genou?
Non ?
la question c'est parce qu'il n'était pas prof dans ma génération (Lycée
Carnot vers 1950). Il faudrait vérifier avec Trombi...
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de news:
palmerclaude a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
Démosthène c'était le prof de français qui apprenait le pluriel de certains
mots en X comme caillou, pou, chou, genou?
Non ?
la question c'est parce qu'il n'était pas prof dans ma génération (Lycée
Carnot vers 1950). Il faudrait vérifier avec Trombi...
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news:
palmerclaude a écrit :
Les trois expressions snip, snap, snoup permettent aussi au lecteur de se
plonger, par la répétition psalmodiée de ces termes, dans le rythme à
trois temps des valses de Vienne et ce faisant, de travailler leur
élocution comme le fit si bien Démosthène.
Démosthène c'était le prof de français qui apprenait le pluriel de certains
mots en X comme caillou, pou, chou, genou?
Non ?
la question c'est parce qu'il n'était pas prof dans ma génération (Lycée
Carnot vers 1950). Il faudrait vérifier avec Trombi...