Et les systèmes du type "tous producteurs" (c'est à ça que je pensais)
rencontrent exactement le même problème : le public n'est prêt à financer
que ce qu'il connait déjà, beaucoup plus que du nouveau ou de
l'expérimental.
Et les systèmes du type "tous producteurs" (c'est à ça que je pensais)
rencontrent exactement le même problème : le public n'est prêt à financer
que ce qu'il connait déjà, beaucoup plus que du nouveau ou de
l'expérimental.
Et les systèmes du type "tous producteurs" (c'est à ça que je pensais)
rencontrent exactement le même problème : le public n'est prêt à financer
que ce qu'il connait déjà, beaucoup plus que du nouveau ou de
l'expérimental.
Par conséquent, la meilleure façon de défendre la création, c'est de la
libérer de tout risque financier [...]
donc mauvais pour la création. Difficile à croire, et pourtant on nous
refait le coup [...]
Par conséquent, la meilleure façon de défendre la création, c'est de la
libérer de tout risque financier [...]
donc mauvais pour la création. Difficile à croire, et pourtant on nous
refait le coup [...]
Par conséquent, la meilleure façon de défendre la création, c'est de la
libérer de tout risque financier [...]
donc mauvais pour la création. Difficile à croire, et pourtant on nous
refait le coup [...]
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es en
train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste sont
des putes ?
??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es en
train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste sont
des putes ?
??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es en
train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste sont
des putes ?
il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux, confinent à
la prostitution...
P.SOUDAN wrote:??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es
en train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste
sont des putes ?
J'ai dit "confinent"... :-)
Typiquement une scène au secrétariat de l'Ensemble Intercontemporain
(et c'est loin d'être le pire !), le concertiste venant chercher son
planning :
- Bonjour, on joue où cette semaine ? Bien, et c'est payé comment ? Le
voyage ? L'hébergement ? Les repas ? ...
- (réponses)
- Merci (il part pour s'en aller, puis se ravise et se retourne) Ah, à
propos... qu'est-ce qu'on joue ?
Et encore dans ce cas-là (subventionné) ne sont-ils pas directement
obligés de rechercher la rentabilité et jouent-ils souvent des auteurs
prestigieux ! Ce n'est d'ailleurs pas à eux que je pensais, mais à la
grande majorité des musiciens professionnels : accompagnateurs
d'artistes, musiciens de bal ou de piano-bar, compositeurs à façon et
j'en oublie...
S'être cassé le tronc et en avoir bavé des années dans des domaines
sophistiqués pour finir accompagner Gérard Lenorman ou Chantal Goya...
Le public paie pour entendre ce qu'il a envie d'entendre
et de nos
jours le divorce est de plus en plus consommé entre ce qui "s'entend"
sur les médias et un travail d'instrumentiste voire la notion même de
musique.
Parfois mieux vaudrait travailler en usine et conserver à la pratique
de son instrument les qualités d'un loisir (et la liberté qui va
avec).
P.SOUDAN <soudanpierre@yahoo.f> wrote:
??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es
en train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste
sont des putes ?
J'ai dit "confinent"... :-)
Typiquement une scène au secrétariat de l'Ensemble Intercontemporain
(et c'est loin d'être le pire !), le concertiste venant chercher son
planning :
- Bonjour, on joue où cette semaine ? Bien, et c'est payé comment ? Le
voyage ? L'hébergement ? Les repas ? ...
- (réponses)
- Merci (il part pour s'en aller, puis se ravise et se retourne) Ah, à
propos... qu'est-ce qu'on joue ?
Et encore dans ce cas-là (subventionné) ne sont-ils pas directement
obligés de rechercher la rentabilité et jouent-ils souvent des auteurs
prestigieux ! Ce n'est d'ailleurs pas à eux que je pensais, mais à la
grande majorité des musiciens professionnels : accompagnateurs
d'artistes, musiciens de bal ou de piano-bar, compositeurs à façon et
j'en oublie...
S'être cassé le tronc et en avoir bavé des années dans des domaines
sophistiqués pour finir accompagner Gérard Lenorman ou Chantal Goya...
Le public paie pour entendre ce qu'il a envie d'entendre
et de nos
jours le divorce est de plus en plus consommé entre ce qui "s'entend"
sur les médias et un travail d'instrumentiste voire la notion même de
musique.
Parfois mieux vaudrait travailler en usine et conserver à la pratique
de son instrument les qualités d'un loisir (et la liberté qui va
avec).
P.SOUDAN wrote:??? j'ai pas tout compris ou il manque un bout de ta phrase ? tu es
en train de dire qu'un violoniste soliste ou un pianiste concertiste
sont des putes ?
J'ai dit "confinent"... :-)
Typiquement une scène au secrétariat de l'Ensemble Intercontemporain
(et c'est loin d'être le pire !), le concertiste venant chercher son
planning :
- Bonjour, on joue où cette semaine ? Bien, et c'est payé comment ? Le
voyage ? L'hébergement ? Les repas ? ...
- (réponses)
- Merci (il part pour s'en aller, puis se ravise et se retourne) Ah, à
propos... qu'est-ce qu'on joue ?
Et encore dans ce cas-là (subventionné) ne sont-ils pas directement
obligés de rechercher la rentabilité et jouent-ils souvent des auteurs
prestigieux ! Ce n'est d'ailleurs pas à eux que je pensais, mais à la
grande majorité des musiciens professionnels : accompagnateurs
d'artistes, musiciens de bal ou de piano-bar, compositeurs à façon et
j'en oublie...
S'être cassé le tronc et en avoir bavé des années dans des domaines
sophistiqués pour finir accompagner Gérard Lenorman ou Chantal Goya...
Le public paie pour entendre ce qu'il a envie d'entendre
et de nos
jours le divorce est de plus en plus consommé entre ce qui "s'entend"
sur les médias et un travail d'instrumentiste voire la notion même de
musique.
Parfois mieux vaudrait travailler en usine et conserver à la pratique
de son instrument les qualités d'un loisir (et la liberté qui va
avec).
On pourrait même en faire un axiome : du moment que la démarche
initiale est économique, la valeur artistique ou scientifique ne peut
être que nulle.
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
On pourrait même en faire un axiome : du moment que la démarche
initiale est économique, la valeur artistique ou scientifique ne peut
être que nulle.
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
On pourrait même en faire un axiome : du moment que la démarche
initiale est économique, la valeur artistique ou scientifique ne peut
être que nulle.
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
Comme Mozart ?
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
Comme Mozart ?
Et ça se démontre : il suffit de vouloir faire de la musique son
*métier* pour se retrouver à jouer des choses qui, au mieux,
confinent à la prostitution...
Comme Mozart ?