Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être
photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types
feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography.
C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion,
car le processus était évidemment prévisible.
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
Yannick Patois
Le 27/09/2011 03:26, KMS a écrit :
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme peut l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque chose sur la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton appareil pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité ayant du pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée. Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
On retrouve à l'extérieur ce qu'on avait constaté en éprouvette...
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography.
C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion,
car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme
peut l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque
chose sur la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton
appareil pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité
ayant du pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée.
Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont,
dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image,
m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce
n'est détruit les enregistrements.
On retrouve à l'extérieur ce qu'on avait constaté en éprouvette...
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme peut l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque chose sur la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton appareil pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité ayant du pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée. Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
On retrouve à l'extérieur ce qu'on avait constaté en éprouvette...
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme peut l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque chose sur la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton appareil pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité ayant du pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée.
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes, juste envie de faire ch.... leur monde. Et la vidéo est prévisible, plate et répétitive.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ? Question d'emphatie...
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait, parce que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller qui devrait se faire aussi discret que possible. Ce que n'ont pas compris ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers blancs, alors que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite déverser leur morne clip sur Youtube.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
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Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Le 27/09/2011 03:26, KMS a écrit :
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography.
C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion,
car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme peut
l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque chose sur
la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton appareil
pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité ayant du
pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée.
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes,
juste envie de faire ch.... leur monde. Et la vidéo est prévisible,
plate et répétitive.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le
comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je
suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ?
Question d'emphatie...
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est
légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent
heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de
dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait,
parce que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller
qui devrait se faire aussi discret que possible. Ce que n'ont pas
compris ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers
blancs, alors que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite
déverser leur morne clip sur Youtube.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos
volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
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Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
C'est une démonstration utile, effectivement un peu artificielle, comme peut l'être une expérience en éprouvette: ça n'en dit pas moins quelque chose sur la réalité.
Dans la pratique, tu n'as qu'à écouter les infos ou promener ton appareil pour constater que bien souvent, dès que ça "gène" une entité ayant du pouvoir, ta liberté d'informer peut être sérieusement entravée.
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes, juste envie de faire ch.... leur monde. Et la vidéo est prévisible, plate et répétitive.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ? Question d'emphatie...
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait, parce que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller qui devrait se faire aussi discret que possible. Ce que n'ont pas compris ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers blancs, alors que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite déverser leur morne clip sur Youtube.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
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vincent
Le 27/09/2011 15:28, KMS a écrit :
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
Ben, l'échange amical, quand on te dit que c'est interdit de faire des photos, ça commence mal ! Surtout quand on voit presque la même chose dans google street view.
-- vincent.
Le 27/09/2011 15:28, KMS a écrit :
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées,
avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
Ben, l'échange amical, quand on te dit que c'est interdit de faire des
photos, ça commence mal !
Surtout quand on voit presque la même chose dans google street view.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
Ben, l'échange amical, quand on te dit que c'est interdit de faire des photos, ça commence mal ! Surtout quand on voit presque la même chose dans google street view.
-- vincent.
KMS
Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les filmer ou les photographier. Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5 qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
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Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Par
expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont, dans
l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image, m'ont plus
d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce n'est détruit les
enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un
téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne
s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a
des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5
qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
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Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les filmer ou les photographier. Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5 qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
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René
"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion : j5r8or$jal$
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander. Étais-ce toi?
René
"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion :
j5r8or$jal$1@speranza.aioe.org...
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié
à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans
ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography.
C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car
le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison
lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander.
Étais-ce toi?
"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion : j5r8or$jal$
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander. Étais-ce toi?
René
KMS
René a écrit le 28/09/2011 :
"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion : j5r8or$jal$
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander. Étais-ce toi?
Certainement pas. A sa place, j'aurais au contraire chaleureusement accueilli chez moi un être aux goûts photographiques aussi raffinés. Histoire de l'inviter ensuite à certains dîners.
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René a écrit le 28/09/2011 :
"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion :
j5r8or$jal$1@speranza.aioe.org...
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à
la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton
cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography.
C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car
le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison
lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander.
Étais-ce toi?
Certainement pas. A sa place, j'aurais au contraire chaleureusement
accueilli chez moi un être aux goûts photographiques aussi raffinés.
Histoire de l'inviter ensuite à certains dîners.
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"KMS" a écrit dans le message de groupe de discussion : j5r8or$jal$
René a écrit le 24/09/2011 :
Je précise: les riches se donnent des droits...
René
Riches ou pas riches, il n'y a pas grand monde qui aime être photographié à la sortie de son immeuble (privé ou public.) Des types feraient ça dans ton cas, serais-tu content ?
Ca n'a rien de la photographie humaniste qu'est la Street photography. C'est de la provoc de petits cons qui se font filmer pour l'occasion, car le processus était évidemment prévisible.
Je photographiais un champignon en bordure du trottoir face à une maison lorsque le grand con - j'aime la symétrie - est sorti pour m'enguirlander. Étais-ce toi?
Certainement pas. A sa place, j'aurais au contraire chaleureusement accueilli chez moi un être aux goûts photographiques aussi raffinés. Histoire de l'inviter ensuite à certains dîners.
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Yannick Patois
Le 27/09/2011 15:28, KMS a écrit :
Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Le 27/09/2011 03:26, KMS a écrit :
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes, juste envie de faire ch.... leur monde.
Ils font une démonstration, que nous commentons, c'est de l'information.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ? Question d'emphatie...
Nous parlons de rues et de bâtiments utilitaires, pas de lieux privés et résidentiel. Compare ce qui l'est.
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait, parce que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller qui devrait se faire aussi discret que possible.
Là dessus, je suis plutôt d'accord.
Ce que n'ont pas compris ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers blancs, alors que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite déverser leur morne clip sur Youtube.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé de publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien, on a envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les cas proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street Photography"; d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues et multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de vision. Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes,
juste envie de faire ch.... leur monde.
Ils font une démonstration, que nous commentons, c'est de l'information.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le
comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je
suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ?
Question d'emphatie...
Nous parlons de rues et de bâtiments utilitaires, pas de lieux privés et
résidentiel. Compare ce qui l'est.
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est
légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent
heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de
dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait, parce
que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller qui
devrait se faire aussi discret que possible.
Là dessus, je suis plutôt d'accord.
Ce que n'ont pas compris
ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers blancs, alors
que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite déverser leur morne
clip sur Youtube.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé
de publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien,
on a envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées,
avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les
cas proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography"; d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis,
ils faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le
trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues et
multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
Oui bon. Il n'y a aucune envie d'informer ici chez ces photographes, juste envie de faire ch.... leur monde.
Ils font une démonstration, que nous commentons, c'est de l'information.
Ce n'est pas que j'apprécie spécialement les "victimes", mais le comportement de ces photographes est déplacé. Tu n'aimerais pas je suppose qu'on vienne camper un équipement photo devant chez toi ? Question d'emphatie...
Nous parlons de rues et de bâtiments utilitaires, pas de lieux privés et résidentiel. Compare ce qui l'est.
Le droit est invoqué sur le mode "j'ai le droât pour moi donc c'est légitime". Ben non, il y a quantité de comportements qui se passent heureusement sans invoquer le droit. Il n'y a aucune loi qui impose de dire Bonjour et Au revoir à sa boulangère, et pourtant on le fait, parce que c'est une question de savoir-vivre. Le droit est un pis-aller qui devrait se faire aussi discret que possible.
Là dessus, je suis plutôt d'accord.
Ce que n'ont pas compris ces types qui jouent je ne sais à quel jeu de chevaliers blancs, alors que ce ne sont que des voyeurs pressés d'ler ensuite déverser leur morne clip sur Youtube.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé de publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien, on a envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées, avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les cas proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street Photography"; d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues et multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de vision. Ta critique est à mon avis à coté du sujet.