La vague de suicides chez France Télécom - 25 depuis février 2008 - donne
une dimension toute particulière à la démarche de Sylvie T., la veuve d'un
ingénieur informatique de Renault.
Après avoir obtenu de la Caisse primaire d'assurance maladie des
Hauts-de-Seine la reconnaissance de ce suicide comme accident de travail,
Sylvie T. assigne aujourd'hui Renault pour "faute inexcusable" devant le
tribunal des affaires de sécurité sociale de Nanterre.