Je suis pas sûr d'être sur le bon forum car (dans la mesure où je n'ai
pas l'intention de devenir fabriquant d'appareils de photos) ma question
n'a pas de visé pratique, toutefois j'ai pensé que c'était le plus proche.
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient
conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse
additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont
destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la
synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la
synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
les yeux sont plus sensibles au vert, donc naturellement on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts que de photosites R et B ...
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
Le 20/05/2013 13:47, lionmarron a écrit :
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient
conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse
additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont
destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la
synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la
synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
les yeux sont plus sensibles au vert, donc naturellement
on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts
que de photosites R et B ...
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle
RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de
toute façon ...
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
les yeux sont plus sensibles au vert, donc naturellement on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts que de photosites R et B ...
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
lionmarron
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
les yeux sont plus sensibles au vert,
Les yeux sont plus sensibles *aux nuances* dans le vert. A moins que vouliez dire que, après le blanc, le vert soit la couleur qui renvoie le plus de lumières visibles.
donc naturellement on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts que de photosites R et B ...
J'étais loin de m'en douter, donc merci pour cette réponse.
-- lionmarron
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
les yeux sont plus sensibles au vert,
Les yeux sont plus sensibles *aux nuances* dans le vert. A moins que
vouliez dire que, après le blanc, le vert soit la couleur qui renvoie le
plus de lumières visibles.
donc naturellement
on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts
que de photosites R et B ...
J'étais loin de m'en douter, donc merci pour cette réponse.
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
les yeux sont plus sensibles au vert,
Les yeux sont plus sensibles *aux nuances* dans le vert. A moins que vouliez dire que, après le blanc, le vert soit la couleur qui renvoie le plus de lumières visibles.
donc naturellement on a fait des capteurs RVB avec plus de photosites verts que de photosites R et B ...
J'étais loin de m'en douter, donc merci pour cette réponse.
-- lionmarron
lionmarron
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses suivantes (et j'ignore laquelle) :
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même gamme de couleurs. Autrement dit : il existe une bijection entre l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature. Et personnellement je vois pas laquelle (mais je débute).
-- lionmarron
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle
RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de
toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un
problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses
suivantes (et j'ignore laquelle) :
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même
gamme de couleurs. Autrement dit : il existe une bijection entre
l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs
restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui
est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé
par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de
correspondance), mais par un procédé d'une autre nature. Et
personnellement je vois pas laquelle (mais je débute).
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses suivantes (et j'ignore laquelle) :
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même gamme de couleurs. Autrement dit : il existe une bijection entre l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature. Et personnellement je vois pas laquelle (mais je débute).
-- lionmarron
Jean-Pierre Roche
Le 20/05/2013 13:47, lionmarron a écrit :
Bonjour,
Je suis pas sûr d'être sur le bon forum car (dans la mesure où je n'ai pas l'intention de devenir fabriquant d'appareils de photos) ma question n'a pas de visé pratique, toutefois j'ai pensé que c'était le plus proche.
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
On peut déjà constater que l’œil *humain* fonctionne (pour la couleur) en RVB...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 20/05/2013 13:47, lionmarron a écrit :
Bonjour,
Je suis pas sûr d'être sur le bon forum car (dans la mesure
où je n'ai pas l'intention de devenir fabriquant d'appareils
de photos) ma question n'a pas de visé pratique, toutefois
j'ai pensé que c'était le plus proche.
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo
électronique étaient conçu pour recevoir les couleurs
primaires du système appelé synthèse additive (donc rouge
vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos
sont destinées à être restitué plutôt sur un écran
(utilisant aussi la synthèse additive) que sur un tirage
papier (utilisant au contraire la synthèse soustractive), ou
bien s'il y a une autre raison à ça.
On peut déjà constater que l’œil *humain* fonctionne (pour
la couleur) en RVB...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Je suis pas sûr d'être sur le bon forum car (dans la mesure où je n'ai pas l'intention de devenir fabriquant d'appareils de photos) ma question n'a pas de visé pratique, toutefois j'ai pensé que c'était le plus proche.
J'ai lu que les capteurs d'un appareils de photo électronique étaient conçu pour recevoir les couleurs primaires du système appelé synthèse additive (donc rouge vert bleu).
Je voudrais savoir si ce choix est dû au fait que les photos sont destinées à être restitué plutôt sur un écran (utilisant aussi la synthèse additive) que sur un tirage papier (utilisant au contraire la synthèse soustractive), ou bien s'il y a une autre raison à ça.
On peut déjà constater que l’œil *humain* fonctionne (pour la couleur) en RVB...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
lionmarron
Le 20/05/2013 15:14, lionmarron a écrit :
restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
Pardon : il faut lire surjection.
-- lionmarron
Le 20/05/2013 15:14, lionmarron a écrit :
restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui
est une injection.
restituables par l'autre. Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
Pardon : il faut lire surjection.
-- lionmarron
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 20/05/13 15:14, lionmarron a écrit :
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses suivantes (et j'ignore laquelle) :
J'avoue ne pas avoir compris non plus ce qu'il voulait dire par là.
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même gamme de couleurs.
Les systèmes réels et concret, genre moniteurs et imprimantes fonctionnant en rvb ou cmyk, non. Les espaces de couleur rvb (il y en a plusieurs) et cmyk ne se superposent pas non plus. L'espace Lab les inclut tous les deux, mais ne correspond à aucun objet physique : il est capable d'encoder toutes les couleurs que voient nos yeux, mais également des couleurs "inexistantes" qui ne servent qu'a remplir la matrice et à permettre des conversions. Il a été conçu pour ça, pas pour être représentable concrétement.
Autrement dit : il existe une bijection entre
l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs restituables par l'autre.
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires, ou chez l'imprineur des couleurs pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Noëlle Adam
Le 20/05/13 15:14, lionmarron a écrit :
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle
RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de
toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un
problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses
suivantes (et j'ignore laquelle) :
J'avoue ne pas avoir compris non plus ce qu'il voulait dire par là.
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même
gamme de couleurs.
Les systèmes réels et concret, genre moniteurs et imprimantes
fonctionnant en rvb ou cmyk, non.
Les espaces de couleur rvb (il y en a plusieurs) et cmyk ne se
superposent pas non plus. L'espace Lab les inclut tous les deux, mais ne
correspond à aucun objet physique : il est capable d'encoder toutes les
couleurs que voient nos yeux, mais également des couleurs "inexistantes"
qui ne servent qu'a remplir la matrice et à permettre des conversions.
Il a été conçu pour ça, pas pour être représentable concrétement.
Autrement dit : il existe une bijection entre
l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs
restituables par l'autre.
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même
si le moniteur wide gamut fait de son mieux.
Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en
impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des
encres de couleur supplémentaires, ou chez l'imprineur des couleurs
pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui
est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé
par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de
correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le
CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion
en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose,
et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents
articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Le 20/05/2013 13:59, Stephane Legras-Decussy a écrit :
je ne vois pas d'autre raison, la conversion logicielle RVB <> cmjk ne posant aucun problème pour l'affichage/tirage de toute façon ...
A moins que la perte d'exactitude ou de précision ne constitue pas un problème, ce que vous écrivez devrait vouloir dire l'une des choses suivantes (et j'ignore laquelle) :
J'avoue ne pas avoir compris non plus ce qu'il voulait dire par là.
-- Les systèmes RGB et cmyk permettent de restituer exactement la même gamme de couleurs.
Les systèmes réels et concret, genre moniteurs et imprimantes fonctionnant en rvb ou cmyk, non. Les espaces de couleur rvb (il y en a plusieurs) et cmyk ne se superposent pas non plus. L'espace Lab les inclut tous les deux, mais ne correspond à aucun objet physique : il est capable d'encoder toutes les couleurs que voient nos yeux, mais également des couleurs "inexistantes" qui ne servent qu'a remplir la matrice et à permettre des conversions. Il a été conçu pour ça, pas pour être représentable concrétement.
Autrement dit : il existe une bijection entre
l'ensemble des couleurs restituable par l'un et l'ensemble des couleurs restituables par l'autre.
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires, ou chez l'imprineur des couleurs pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Noëlle Adam
Charles_V
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
A vrai dire, c'est orienté photographe et on n'y parle pas de CMYK (privilège d'imprimeur. Ou de peintres)
charles
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le
CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion
en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose,
et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents
articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Pour appeler un chat un chat :
http://www.oitregor.com/numeric/gestion/villeneuve.html
(garanti à faible teneur en calculs)
A vrai dire, c'est orienté photographe et on n'y parle pas de CMYK
(privilège d'imprimeur. Ou de peintres)
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
A vrai dire, c'est orienté photographe et on n'y parle pas de CMYK (privilège d'imprimeur. Ou de peintres)
charles
lionmarron
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches supplémentaires concernent une différence de dilution.
ou chez l'imprineur des couleurs pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Pas encore lu mais je vais regarder ça.
-- lionmarron
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même
si le moniteur wide gamut fait de son mieux.
Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en
impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des
encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me
semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches
supplémentaires concernent une différence de dilution.
ou chez l'imprineur des couleurs
pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui
est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé
par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de
correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le
CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion
en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose,
et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents
articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches supplémentaires concernent une différence de dilution.
ou chez l'imprineur des couleurs pantone, des encres spécifiques.
Ou, au moins (si on s'intéresse seulement à la
conversion RGB -> cmyk), il existe une application de RGB vers cmyk qui est une injection.
-- La conversion logicielle d'un système vers l'autre n'est pas réalisé par une formule mathématique, ou algorithmique (fusse une table de correspondance), mais par un procédé d'une autre nature.
La conversion entre le RVB (en tant qu'espace de représentation) et le CMYK (ditto espace de représentation) passe toujours par la conversion en espace Lab. Si tu t'interesses à l'aspect mathématique de la chose, et même sinon, je te conseille le site oitregor avec les excellents articles de Charles Vassalo sur la gestion de la couleur.
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches supplémentaires concernent une différence de dilution.
J'ai eu une fois au téléphone un représentant epson qui essayait de me fourger une imprimante avec 12 couleurs, dont un orange (pour les tons chair ) et un vrai bleu ( pour les ciels, parce que le cyan n'arrive jamais à faire du vrai bleu). Dans l'imprimerie on parle d'hexachromie, et je ne pense pas que ça soit de la dilution.
Noëlle Adam
Le 20/05/13 16:26, lionmarron a écrit :
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même
si le moniteur wide gamut fait de son mieux.
Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en
impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des
encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me
semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches
supplémentaires concernent une différence de dilution.
J'ai eu une fois au téléphone un représentant epson qui essayait de me
fourger une imprimante avec 12 couleurs, dont un orange (pour les tons
chair ) et un vrai bleu ( pour les ciels, parce que le cyan n'arrive
jamais à faire du vrai bleu).
Dans l'imprimerie on parle d'hexachromie, et je ne pense pas que ça soit
de la dilution.
Le 20/05/2013 15:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non point. Certaines couleurs ne sont pas représentables à l'écran, même si le moniteur wide gamut fait de son mieux. Certaines couleurs pures ou saturées ne sont pas représentables en impression cmyk , d'où le fait d'utiliser dans les imprimantes des encres de couleur supplémentaires,
Si c'est la cas j'aimerais savoir sur quelles imprimantes, mais il me semble plutôt que (pour les mêmes couleurs cmyk) les cartouches supplémentaires concernent une différence de dilution.
J'ai eu une fois au téléphone un représentant epson qui essayait de me fourger une imprimante avec 12 couleurs, dont un orange (pour les tons chair ) et un vrai bleu ( pour les ciels, parce que le cyan n'arrive jamais à faire du vrai bleu). Dans l'imprimerie on parle d'hexachromie, et je ne pense pas que ça soit de la dilution.