Hier soir, j'ai regardé sur Arte le film "Tarzan " de 1932, avec Johnny
Weissmüller dans le rôle. Une kirielle de clichés racistes sur
l'Afrique. Si vous ne saviez pas d'où venaient les stéréotypes sur la
colonisation en Afrique, voilà un beau concentré. Les noirs n'y sont
vraiment, vraiment pas à leur avantage. Les rares dialogues qu'on ait
daigné leur affecter tiennent d'ailleurs en 2 mots: "Oui, Bwana".
On voit par exemple la très classique procession en file indienne à
travers la jungle: Jane, son père et un autre rude yankee avancent en
tête, chapeaux et fusils. En 4ème position, un espèce de brave
maquignon noir, celui qui dit précisément tout le temps "Oui, Bwana"
devant lui, et qui pour le reste vocifère derrière lui en "dialect"
auprès des porteurs noirs aussi fainéants que veules, qui n'avancent
jamais assez vite, et qui ne comprennet vraiment qu'à coup de fouets.
De temps à autre, l'un des 2 hommes blancs vient également jouer du
cuir pour faire avancer ces nègres récalcitrants, non mais des fois.
Jane joue à la femme forte, sauf quand elle faiblit, où là elle dit
"non, je continue, j'irai jusqu'au bout", pour s'entendre répondre par
le rude yankee: "vous êtes très courageuse..."
En voulant franchir un précipice, l'un des porteurs tombe dans le vide,
l'imbécile. Dialogue qui s'ensuit entre les 2 hommes blancs:
"qu'est-ce qu'il portait ? - les médicaments. - Ah... Pauvre type,
va..."
Ensuite, tentative de franchir un grand fleuve en radeau. Evidemment,
les crocodiles arrivent. Quelques coups de feu envoyés par les 2 hommes
blancs, tellement virils avec leurs fusils. Mais plusieurs noirs
tombent à l'eau, 2 d'entre aux se font bouffer. Pas un seul coup de feu
pour stopper les crocos. "Il n'y a rien à faire", lance laconiquement
le rude yankee. A part économiser quelques balles, évidemment.
Le convoi diminue ainsi progressivement par l'arrière, cela va sans
dire. Pour se venger du meutre d'un chimpanzé par le rude yankee,
Tarzan tue 2 autres nègres attardés, histoire de montrer son courroux
sans trop faire de peine à Jane.
Le bouquet final consiste en une attaque de la petite expédition par
une tribu d'innombrables petits guerriers aussi noirs qu'agressifs. Ces
sauvages forcent tout le monde à les accompagner jusqu'à leur village.
Là, ils ont préparé un spectacle cruel et jouissif: une fosse où attend
un très méchant gorille. On fait descendre tour à tour les porteurs
nègres, qui se font tuer sans la moindre résistance. Même le maquignon
noir y passe (regard terrorisé vers le père de Jane, son dernier mot
sera: "Oh, Bwana..."). Suivent ensuite les 3 blancs, mais eux
résistent, et évidemment s'en sortent.
Morale de l'histoire: les noirs sont fainéants, veules, lâches, ne
comprennent que le fouet, valent moins que ce qu'ils transportent et
n'ont aucune ardeur, même face au danger ultime. Et tout est bien qui
finit bien.
Evidemment, de tels films aujourd'hui provoqueraient un scandale, même
aux Etats-Unis.
Mais dans les années 30 et 40, il y avait plein d'oeuvres ouvertement
racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la
thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par
Goebbels); et il y avait ces gentillets films Hollywoodiens, racistes
sans même sans rendre compte. A se demander lesquels sont les plus
dangereux.
On Tue, 24 Aug 2004 00:18:21 +0200, "R.V. Gronoff" wrote:
D'Iberville a écrit :
On Mon, 23 Aug 2004 13:59:08 +0200, Ronano wrote:
Morale de l'histoire: les noirs sont fainéants, veules, lâches, ne comprennent que le fouet, valent moins que ce qu'ils transportent et n'ont aucune ardeur, même face au danger ultime. Et tout est bien qui finit bien. Evidemment, de tels films aujourd'hui provoqueraient un scandale, même aux Etats-Unis. Mais dans les années 30 et 40, il y avait plein d'oeuvres ouvertement racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par Goebbels); et il y avait ces gentillets films Hollywoodiens, racistes sans même sans rendre compte.
Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films, documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à la même époque ?
Ou en Belgique dans "Tintin au Congo".
Et "Tintin en Russie" avant, et "Tintin en Amérique" après.
Voilà bien la démonstration qu'il faut au moins tenter de se placer dans l'esprit de l'époque pour (tenter de) juger une oeuvre...
Nore ami Ronano semble avoir des difficultés à prendre cette distance.
Je ne vois pas ce que je dis d'autre en affirmant qu'un film comme "Tarzan" reproduit les clichés racistes de son époque.
Sauf que vous n'avez nullement affirmé que Tarzan se contentait
Non effectivement, je n'ai pas dit "se contentait". Il s'agit de votre interprétation, comme si ce racisme n'était pas bien méchant...
de reproduire les "clichés racistes de son époque" : vous avez tout simplement comparé d'un côté - je vous cite - "les oeuvres ouvertement racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par Goebbels)" et. de l'autre - je vous cite encore - "ces gentillets films Hollywoodiens, racistes sans même sans rendre compte", en vous demandant - je vous cite toujours - "lesquels sont les plus dangereux"
Ce faisant, vous avez sciemment "oublié" qu'à la même époque *tous* les films, documentaires, publicités et écrits occidentaux - et pas seulement les américains - proclamaient la supériorité naturelle du Blanc sur le Noir...
Il faudra prendre quelques cours de logique...Je n'ai effectivement pas parlé de tout le racisme d'avant-guerre en occident et en France, cela ne veut pas dire que je l'ai "sciemment oublié"...
-- Ronano
D'Iberville a utilisé son clavier pour écrire :
On Tue, 24 Aug 2004 00:45:29 +0200, Ronano <xxx@xxx.fr> wrote:
Ermite a couché sur son écran :
On Tue, 24 Aug 2004 00:18:21 +0200, "R.V. Gronoff"
<regis.gronoffle_munster_du_frigo@ifrance.com> wrote:
D'Iberville a écrit :
On Mon, 23 Aug 2004 13:59:08 +0200, Ronano <xxx@xxx.fr> wrote:
Morale de l'histoire: les noirs sont fainéants, veules, lâches, ne
comprennent que le fouet, valent moins que ce qu'ils transportent et
n'ont aucune ardeur, même face au danger ultime. Et tout est bien qui
finit bien.
Evidemment, de tels films aujourd'hui provoqueraient un scandale, même
aux Etats-Unis.
Mais dans les années 30 et 40, il y avait plein d'oeuvres ouvertement
racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la
thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par
Goebbels); et il y avait ces gentillets films Hollywoodiens, racistes
sans même sans rendre compte.
Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films,
documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à
la même époque ?
Ou en Belgique dans "Tintin au Congo".
Et "Tintin en Russie" avant, et "Tintin en Amérique" après.
Voilà bien la démonstration qu'il faut au moins tenter de se placer
dans l'esprit de l'époque pour (tenter de) juger une oeuvre...
Nore ami Ronano semble avoir des difficultés à prendre cette distance.
Je ne vois pas ce que je dis d'autre en affirmant qu'un film comme
"Tarzan" reproduit les clichés racistes de son époque.
Sauf que vous n'avez nullement affirmé que Tarzan se contentait
Non effectivement, je n'ai pas dit "se contentait". Il s'agit de votre
interprétation, comme si ce racisme n'était pas bien méchant...
de
reproduire les "clichés racistes de son époque" : vous avez tout
simplement comparé d'un côté - je vous cite - "les oeuvres ouvertement
racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la
thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par
Goebbels)" et. de l'autre - je vous cite encore - "ces gentillets
films Hollywoodiens, racistes sans même sans rendre compte", en vous
demandant - je vous cite toujours - "lesquels sont les plus
dangereux"
Ce faisant, vous avez sciemment "oublié" qu'à la même époque *tous*
les films, documentaires, publicités et écrits occidentaux - et pas
seulement les américains - proclamaient la supériorité naturelle du
Blanc sur le Noir...
Il faudra prendre quelques cours de logique...Je n'ai effectivement pas
parlé de tout le racisme d'avant-guerre en occident et en France, cela
ne veut pas dire que je l'ai "sciemment oublié"...
On Tue, 24 Aug 2004 00:18:21 +0200, "R.V. Gronoff" wrote:
D'Iberville a écrit :
On Mon, 23 Aug 2004 13:59:08 +0200, Ronano wrote:
Morale de l'histoire: les noirs sont fainéants, veules, lâches, ne comprennent que le fouet, valent moins que ce qu'ils transportent et n'ont aucune ardeur, même face au danger ultime. Et tout est bien qui finit bien. Evidemment, de tels films aujourd'hui provoqueraient un scandale, même aux Etats-Unis. Mais dans les années 30 et 40, il y avait plein d'oeuvres ouvertement racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par Goebbels); et il y avait ces gentillets films Hollywoodiens, racistes sans même sans rendre compte.
Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films, documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à la même époque ?
Ou en Belgique dans "Tintin au Congo".
Et "Tintin en Russie" avant, et "Tintin en Amérique" après.
Voilà bien la démonstration qu'il faut au moins tenter de se placer dans l'esprit de l'époque pour (tenter de) juger une oeuvre...
Nore ami Ronano semble avoir des difficultés à prendre cette distance.
Je ne vois pas ce que je dis d'autre en affirmant qu'un film comme "Tarzan" reproduit les clichés racistes de son époque.
Sauf que vous n'avez nullement affirmé que Tarzan se contentait
Non effectivement, je n'ai pas dit "se contentait". Il s'agit de votre interprétation, comme si ce racisme n'était pas bien méchant...
de reproduire les "clichés racistes de son époque" : vous avez tout simplement comparé d'un côté - je vous cite - "les oeuvres ouvertement racistes, dont la propagande raciste constituait même parfois la thématique principale (par exemple "le juif Süss" cornaqué par Goebbels)" et. de l'autre - je vous cite encore - "ces gentillets films Hollywoodiens, racistes sans même sans rendre compte", en vous demandant - je vous cite toujours - "lesquels sont les plus dangereux"
Ce faisant, vous avez sciemment "oublié" qu'à la même époque *tous* les films, documentaires, publicités et écrits occidentaux - et pas seulement les américains - proclamaient la supériorité naturelle du Blanc sur le Noir...
Il faudra prendre quelques cours de logique...Je n'ai effectivement pas parlé de tout le racisme d'avant-guerre en occident et en France, cela ne veut pas dire que je l'ai "sciemment oublié"...
-- Ronano
chmautin
"Reyda" wrote in message news:<412a919e$0$24534$...
"D'Iberville" a écrit dans le message de news: (...) bon, et bien au moins on est tous d'accord pour dire que c'était pas très fin.
maintenant, reste à faire comprendre à pas mal de gens que les moeurs ont changé. et ça c'est pas gagné ;)
D'autant plus qu'aujourd'hui... on prend des noirs (même des femelles ! ), on les bourre de substances dopantes et on les faits courir sauter ou jouer à la baballe dans des grandes fêtes télévisées où les vilains blancs les regardent concourir du fond de leurs canapés en grignotant des grains de maïs soufflés ....
"Reyda" <true_reyda@hotmail.com> wrote in message news:<412a919e$0$24534$79c14f64@nan-newsreader-04.noos.net>...
"D'Iberville" <DIberville@Candide.com> a écrit dans le message de
news:9a2li01l158o6e2e9jm0cbu7pdvp5llome@4ax.com...
(...)
bon, et bien au moins on est tous d'accord pour dire que c'était pas très
fin.
maintenant, reste à faire comprendre à pas mal de gens que les moeurs ont
changé.
et ça c'est pas gagné ;)
D'autant plus qu'aujourd'hui... on prend des noirs (même des femelles
! ), on les bourre de substances dopantes et on les faits courir
sauter ou jouer à la baballe dans des grandes fêtes télévisées où les
vilains blancs les regardent concourir du fond de leurs canapés en
grignotant des grains de maïs soufflés ....
"Reyda" wrote in message news:<412a919e$0$24534$...
"D'Iberville" a écrit dans le message de news: (...) bon, et bien au moins on est tous d'accord pour dire que c'était pas très fin.
maintenant, reste à faire comprendre à pas mal de gens que les moeurs ont changé. et ça c'est pas gagné ;)
D'autant plus qu'aujourd'hui... on prend des noirs (même des femelles ! ), on les bourre de substances dopantes et on les faits courir sauter ou jouer à la baballe dans des grandes fêtes télévisées où les vilains blancs les regardent concourir du fond de leurs canapés en grignotant des grains de maïs soufflés ....
Mongo Park
"Henri Mouhot"
Mongo Park?
Ce serait pas plutot Mungo Park? L'explorateur britannique mort sur les bords du Niger il y a de cela
presque
deux siecles?
On écrit indifférement Mongo ou Mungo.
-- PGå
Mon dit commence trop diver De povre estoire. Povre sens et povre memoire
"Henri Mouhot"
Mongo Park?
Ce serait pas plutot Mungo Park?
L'explorateur britannique mort sur les bords du Niger il y a de cela
presque
deux siecles?
On écrit indifférement Mongo ou Mungo.
--
PGå
Mon dit commence trop diver
De povre estoire.
Povre sens et povre memoire
Ce serait pas plutot Mungo Park? L'explorateur britannique mort sur les bords du Niger il y a de cela
presque
deux siecles?
On écrit indifférement Mongo ou Mungo.
-- PGå
Mon dit commence trop diver De povre estoire. Povre sens et povre memoire
julien vancraenbroeck
"Jacqueline Devereaux" a écrit dans le message de news:
Du bout des griffes, D'Iberville tapotait sur son clavier:
> Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films, > documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à > la même époque?
Le racisme et la pub, une histoire d'amour...
Alors, on nous ressort les gentils tirailleurs "sénégalais" de Banania en pub TV et on ne compte plus les affiches ou les cartes postales qui reprennent carrément l'original des années 30. Il a l'air tellement gentil ce bon Nègre avec son sourire plein de dents et cet air d'éternel enfant. Sale temps pour le respect de la mémoire des tirailleurs...
_____________________________________________
Par delà son vernis à ongles, Jacqueline Deveraux tapota :
Ainsi de cette commerçante de ma ville (pourtant jeune...) qui vient d'ouvrir une boutique ayant pour thème le chocolat, tapissée d'affiches représentant le trop célèbre tirailleur. L'interrogeant sur le pourquoi et lui indiquant rapidement l'histoire et la connotation raciste de cette image, elle me répond sans sourciller que pour elle cette affiche n'est absolument pas dégradante, mais au contraire extrêmement sympathique du fait de tous les bons souvenirs d'enfance qui lui sont liés... Cette faculté d'ignorer la souffrance d'autrui et de passer outre l'énorme violence symbolique de cette affiche m'a fait froid dans le dos. Car à partir de là, tout est permis.
======================================== Désolé de vous contredire, mais cette brave commerçante a raison : le bon sourire de ce brave sénégalais a fait partie de mes images d'enfance, de même que la silhouette harmonieuse d'une jeune africaine dispensant à ses pieds une manne de fruits exotiques (Loterie Coloniale).A cette époque, je me souviens d'une publicité d'une marque de genièvre : les joues rouges de santé d'un paysan vêtu de son traditionnel tablier bleu, le cou entouré d'un foulard rouge à pois blancs.Fallait-il pour autant y déceler une discrimination sociale vis-à-vis de la paysannerie ? Tout cela est aussi innocent que la boucle de cheveux de Pantène ! Et se situe dans un autre contexte : tout simplement le graphisme.Qu'il soit publicitaire ou non. Il n'est donc pas à propos de réagir à cela avec l'épiderme sensible d'une militante antiraciste !!!
Cordialement. Julien
Alors, on nous ressort le stéréotype de l'autochtone cannibale féroce pour nous refourguer des Apéricubes: os de poulet dans les cheveux, anneaux dans le nez, yeux écarquillés en boules de Loto, la totale, une image classique de la publicité déjà présente dans cette affiche de 1965 pour un extincteur où un méchant sorcier africain cannibale affreusement caricaturé essaie de faire cuire le gentil Blanc (dessiné de manière fort agréable, lui) qui s'en sortira indemne grâce à son extincteur et que l'on retrouve, plus récemment, dans la non moins choquante campagne pour la chaîne de restauration rapide Free Time, en 1986 [1].
Pensez donc ! Ces individus (sont-ils seulement humains?) ne sont que des cannibales avec des os dans le nez! Il est remarquable de constater que les traits mélanésiens et le cadre de vie de ces "cannibales" fassent immédiatement penser aux Kanaks, ces féroces Kanaks, d'autant plus féroces puisqu'ils ont vaillamment combattu la sanglante agression des colonisateurs blancs. Une fois la conquête bien établie, on s'est empressé de les exhiber en cage dans les diverses expositions coloniales comme l'Exposition Universelle de 1931, pour bien montrer qui était le maître maintenant. Et on fait en sorte que la hiérarchie des races ne soit jamais oubliée, comme lors du massacre d'Ouvéa perpétré par les commandos spéciaux, orchestré par le gouvernement de notre Mitterrand en 1988 [2].
Ha, ces sauvages! Indispensables pour guider le valeureux aventurier blanc (il est vrai qu'eux ne découvrent pas l'endroit: ils y habitent, eux), mais si sournois et dangereux, tout en étant pleutres au point de se défiler ou de se mettre à trembler de tous leurs membres au moindre soupçon de danger (cherchez l'erreur!). Si stupides et naïfs... Leur extinction était par conséquent presque inévitable, devant l'avancée des progrès et de la science occidentale...
Autant pour la représentation masculine. Pour les femmes, la situation n'a guère plus évolué depuis l'époque coloniale...
--- [1] Lire l'ouvrage collectif, Négripub, chez Somogy (1987)
[2] infos sur le site Kanaky Online. --- Exception culturelle française - Douceur coloniale - http://iso.metric.free.fr/03/douceurcoloniale.htm -- Jacqueline "Jade" Devereaux - Filipe (sûr de lui): "Cela dit, si je devais vivre dans une dictature, je choisirais sans réfléchir Cuba, en plus ils sont plus fort que les Ricains au Base-Ball et en Boxe, si ca c'est pas une preuve de la supériorité du système économique et politique adopté par ce pays." --
"Jacqueline Devereaux" <jacky.devereaux@tiscali.be> a écrit dans le message
de news:2ouc23Fe2ecpU1@uni-berlin.de...
Du bout des griffes, D'Iberville tapotait sur son clavier:
> Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films,
> documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à
> la même époque?
Le racisme et la pub, une histoire d'amour...
Alors, on nous ressort les gentils tirailleurs "sénégalais" de Banania
en pub TV et on ne compte plus les affiches ou les cartes postales qui
reprennent carrément l'original des années 30. Il a l'air tellement
gentil ce bon Nègre avec son sourire plein de dents et cet air d'éternel
enfant. Sale temps pour le respect de la mémoire des tirailleurs...
_____________________________________________
Par delà son vernis à ongles, Jacqueline Deveraux
tapota :
Ainsi de cette commerçante de ma ville (pourtant jeune...) qui vient
d'ouvrir une boutique ayant pour thème le chocolat, tapissée d'affiches
représentant le trop célèbre tirailleur. L'interrogeant sur le pourquoi
et lui indiquant rapidement l'histoire et la connotation raciste de
cette image, elle me répond sans sourciller que pour elle cette affiche
n'est absolument pas dégradante, mais au contraire extrêmement
sympathique du fait de tous les bons souvenirs d'enfance qui lui sont
liés... Cette faculté d'ignorer la souffrance d'autrui et de passer
outre l'énorme violence symbolique de cette affiche m'a fait froid dans
le dos. Car à partir de là, tout est permis.
========================================
Désolé de vous contredire, mais cette brave commerçante a
raison : le bon sourire de ce brave sénégalais a fait partie de
mes images d'enfance, de même que la silhouette harmonieuse d'une jeune
africaine dispensant à ses pieds une
manne de fruits exotiques (Loterie Coloniale).A cette époque, je me souviens
d'une publicité d'une marque de genièvre : les joues rouges de santé d'un
paysan vêtu de son
traditionnel tablier bleu, le cou entouré d'un foulard rouge à pois
blancs.Fallait-il pour autant y déceler une discrimination sociale vis-à-vis
de la paysannerie ? Tout cela
est aussi innocent que la boucle de cheveux de Pantène !
Et se situe dans un autre contexte : tout simplement le graphisme.Qu'il soit
publicitaire ou non.
Il n'est donc pas à propos de réagir à cela avec l'épiderme
sensible d'une militante antiraciste !!!
Cordialement.
Julien
Alors, on nous ressort le stéréotype de l'autochtone cannibale féroce
pour nous refourguer des Apéricubes: os de poulet dans les cheveux,
anneaux dans le nez, yeux écarquillés en boules de Loto, la totale, une
image classique de la publicité déjà présente dans cette affiche de 1965
pour un extincteur où un méchant sorcier africain cannibale affreusement
caricaturé essaie de faire cuire le gentil Blanc (dessiné de manière
fort agréable, lui) qui s'en sortira indemne grâce à son extincteur et
que l'on retrouve, plus récemment, dans la non moins choquante campagne
pour la chaîne de restauration rapide Free Time, en 1986 [1].
Pensez donc ! Ces individus (sont-ils seulement humains?) ne sont que
des cannibales avec des os dans le nez! Il est remarquable de constater
que les traits mélanésiens et le cadre de vie de ces "cannibales"
fassent immédiatement penser aux Kanaks, ces féroces Kanaks, d'autant
plus féroces puisqu'ils ont vaillamment combattu la sanglante agression
des colonisateurs blancs. Une fois la conquête bien établie, on s'est
empressé de les exhiber en cage dans les diverses expositions coloniales
comme l'Exposition Universelle de 1931, pour bien montrer qui était le
maître maintenant. Et on fait en sorte que la hiérarchie des races ne
soit jamais oubliée, comme lors du massacre d'Ouvéa perpétré par les
commandos spéciaux, orchestré par le gouvernement de notre Mitterrand en
1988 [2].
Ha, ces sauvages! Indispensables pour guider le valeureux aventurier
blanc (il est vrai qu'eux ne découvrent pas l'endroit: ils y habitent,
eux), mais si sournois et dangereux, tout en étant pleutres au point de
se défiler ou de se mettre à trembler de tous leurs membres au moindre
soupçon de danger (cherchez l'erreur!). Si stupides et naïfs... Leur
extinction était par conséquent presque inévitable, devant l'avancée des
progrès et de la science occidentale...
Autant pour la représentation masculine. Pour les femmes, la situation
n'a guère plus évolué depuis l'époque coloniale...
---
[1] Lire l'ouvrage collectif, Négripub, chez Somogy (1987)
[2] infos sur le site Kanaky Online.
---
Exception culturelle française - Douceur coloniale -
http://iso.metric.free.fr/03/douceurcoloniale.htm
--
Jacqueline "Jade" Devereaux - jacky.devereaux@tiscali.be
Filipe (sûr de lui): "Cela dit, si je devais vivre dans une dictature,
je choisirais sans réfléchir Cuba, en plus ils sont plus fort que les
Ricains au Base-Ball et en Boxe, si ca c'est pas une preuve de la
supériorité du système économique et politique adopté par ce pays."
--
"Jacqueline Devereaux" a écrit dans le message de news:
Du bout des griffes, D'Iberville tapotait sur son clavier:
> Vous pouvez me dire quelle était la place du Noir dans les films, > documentaires, publicités Y'a bon Banania et autres romans français à > la même époque?
Le racisme et la pub, une histoire d'amour...
Alors, on nous ressort les gentils tirailleurs "sénégalais" de Banania en pub TV et on ne compte plus les affiches ou les cartes postales qui reprennent carrément l'original des années 30. Il a l'air tellement gentil ce bon Nègre avec son sourire plein de dents et cet air d'éternel enfant. Sale temps pour le respect de la mémoire des tirailleurs...
_____________________________________________
Par delà son vernis à ongles, Jacqueline Deveraux tapota :
Ainsi de cette commerçante de ma ville (pourtant jeune...) qui vient d'ouvrir une boutique ayant pour thème le chocolat, tapissée d'affiches représentant le trop célèbre tirailleur. L'interrogeant sur le pourquoi et lui indiquant rapidement l'histoire et la connotation raciste de cette image, elle me répond sans sourciller que pour elle cette affiche n'est absolument pas dégradante, mais au contraire extrêmement sympathique du fait de tous les bons souvenirs d'enfance qui lui sont liés... Cette faculté d'ignorer la souffrance d'autrui et de passer outre l'énorme violence symbolique de cette affiche m'a fait froid dans le dos. Car à partir de là, tout est permis.
======================================== Désolé de vous contredire, mais cette brave commerçante a raison : le bon sourire de ce brave sénégalais a fait partie de mes images d'enfance, de même que la silhouette harmonieuse d'une jeune africaine dispensant à ses pieds une manne de fruits exotiques (Loterie Coloniale).A cette époque, je me souviens d'une publicité d'une marque de genièvre : les joues rouges de santé d'un paysan vêtu de son traditionnel tablier bleu, le cou entouré d'un foulard rouge à pois blancs.Fallait-il pour autant y déceler une discrimination sociale vis-à-vis de la paysannerie ? Tout cela est aussi innocent que la boucle de cheveux de Pantène ! Et se situe dans un autre contexte : tout simplement le graphisme.Qu'il soit publicitaire ou non. Il n'est donc pas à propos de réagir à cela avec l'épiderme sensible d'une militante antiraciste !!!
Cordialement. Julien
Alors, on nous ressort le stéréotype de l'autochtone cannibale féroce pour nous refourguer des Apéricubes: os de poulet dans les cheveux, anneaux dans le nez, yeux écarquillés en boules de Loto, la totale, une image classique de la publicité déjà présente dans cette affiche de 1965 pour un extincteur où un méchant sorcier africain cannibale affreusement caricaturé essaie de faire cuire le gentil Blanc (dessiné de manière fort agréable, lui) qui s'en sortira indemne grâce à son extincteur et que l'on retrouve, plus récemment, dans la non moins choquante campagne pour la chaîne de restauration rapide Free Time, en 1986 [1].
Pensez donc ! Ces individus (sont-ils seulement humains?) ne sont que des cannibales avec des os dans le nez! Il est remarquable de constater que les traits mélanésiens et le cadre de vie de ces "cannibales" fassent immédiatement penser aux Kanaks, ces féroces Kanaks, d'autant plus féroces puisqu'ils ont vaillamment combattu la sanglante agression des colonisateurs blancs. Une fois la conquête bien établie, on s'est empressé de les exhiber en cage dans les diverses expositions coloniales comme l'Exposition Universelle de 1931, pour bien montrer qui était le maître maintenant. Et on fait en sorte que la hiérarchie des races ne soit jamais oubliée, comme lors du massacre d'Ouvéa perpétré par les commandos spéciaux, orchestré par le gouvernement de notre Mitterrand en 1988 [2].
Ha, ces sauvages! Indispensables pour guider le valeureux aventurier blanc (il est vrai qu'eux ne découvrent pas l'endroit: ils y habitent, eux), mais si sournois et dangereux, tout en étant pleutres au point de se défiler ou de se mettre à trembler de tous leurs membres au moindre soupçon de danger (cherchez l'erreur!). Si stupides et naïfs... Leur extinction était par conséquent presque inévitable, devant l'avancée des progrès et de la science occidentale...
Autant pour la représentation masculine. Pour les femmes, la situation n'a guère plus évolué depuis l'époque coloniale...
--- [1] Lire l'ouvrage collectif, Négripub, chez Somogy (1987)
[2] infos sur le site Kanaky Online. --- Exception culturelle française - Douceur coloniale - http://iso.metric.free.fr/03/douceurcoloniale.htm -- Jacqueline "Jade" Devereaux - Filipe (sûr de lui): "Cela dit, si je devais vivre dans une dictature, je choisirais sans réfléchir Cuba, en plus ils sont plus fort que les Ricains au Base-Ball et en Boxe, si ca c'est pas une preuve de la supériorité du système économique et politique adopté par ce pays." --
waldok
Ronano wrote in message news:... snip d'un paquet d'élucubrations hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, certes, mais sévèrement casse-couilles. Dis, Ronano, ne regarde pas la série "Racines", tu risques de nous chier un message de 20 pages après...
Waldok
Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message news:<mn.bb477d48b4291f40.14860@xxx.fr>...
snip d'un paquet d'élucubrations hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long.
Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur,
certes, mais sévèrement casse-couilles. Dis, Ronano, ne regarde pas la
série "Racines", tu risques de nous chier un message de 20 pages
après...
Ronano wrote in message news:... snip d'un paquet d'élucubrations hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, certes, mais sévèrement casse-couilles. Dis, Ronano, ne regarde pas la série "Racines", tu risques de nous chier un message de 20 pages après...
Waldok
Ronano
Dans son message précédent, Waldok a écrit :
Ronano wrote in message news:... snip d'un paquet d'élucubrations hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
-- Ronano
Dans son message précédent, Waldok a écrit :
Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message
news:<mn.bb477d48b4291f40.14860@xxx.fr>... snip d'un paquet d'élucubrations
hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long.
Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur,
certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Ronano wrote in message news:... snip d'un paquet d'élucubrations hallucinées
Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
-- Ronano
waldok
Ronano wrote in message news:...
Dans son message précédent, Waldok a écrit : > Ronano wrote in message > news:... snip d'un paquet d'élucubrations > hallucinées > > Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. > Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, > certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci. Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à parcourir ta prose juvénile. Je te pardonne. Va en pêts.
Waldok
Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message news:<mn.d4267d48c8073598.14860@xxx.fr>...
Dans son message précédent, Waldok a écrit :
> Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message
> news:<mn.bb477d48b4291f40.14860@xxx.fr>... snip d'un paquet d'élucubrations
> hallucinées
>
> Je n'avais que rarement vu un troll aussi long.
> Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur,
> certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci.
Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle
tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur
que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à
parcourir ta prose juvénile.
Je te pardonne. Va en pêts.
Dans son message précédent, Waldok a écrit : > Ronano wrote in message > news:... snip d'un paquet d'élucubrations > hallucinées > > Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. > Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, > certes, mais sévèrement casse-couilles.
Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci. Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à parcourir ta prose juvénile. Je te pardonne. Va en pêts.
Waldok
julien vancraenbroeck
"Waldok" a écrit dans le message de news:
Ronano wrote in message
news:...
> Dans son message précédent, Waldok a écrit : > > Ronano wrote in message > > news:... snip d'un paquet
d'élucubrations
> > hallucinées > > > > Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. > > Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, > > certes, mais sévèrement casse-couilles. > > Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci. Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à parcourir ta prose juvénile. Je te pardonne. Va en pêts.
Waldok
======================================== Qu'en termes élégants ces choses là sont dites. Nous sommes en pleine brousse de Tarzan 8-o
"Waldok" <waldok@hotmail.com> a écrit dans le message de
news:56d885f5.0408270500.1ac3519e@posting.google.com...
Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message
news:<mn.d4267d48c8073598.14860@xxx.fr>...
> Dans son message précédent, Waldok a écrit :
> > Ronano <xxx@xxx.fr> wrote in message
> > news:<mn.bb477d48b4291f40.14860@xxx.fr>... snip d'un paquet
d'élucubrations
> > hallucinées
> >
> > Je n'avais que rarement vu un troll aussi long.
> > Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur,
> > certes, mais sévèrement casse-couilles.
>
> Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci.
Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle
tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur
que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à
parcourir ta prose juvénile.
Je te pardonne. Va en pêts.
Waldok
========================================
Qu'en termes élégants ces choses là sont dites.
Nous sommes en pleine brousse de Tarzan 8-o
> Dans son message précédent, Waldok a écrit : > > Ronano wrote in message > > news:... snip d'un paquet
d'élucubrations
> > hallucinées > > > > Je n'avais que rarement vu un troll aussi long. > > Si ce n'est pas un troll, c'est une indignation pleine de fraîcheur, > > certes, mais sévèrement casse-couilles. > > Mais sans doute pas encore assez, puisque tu l'as lue, ducon. 8-o
Pour toi, jeune nobliau, c'est "Sire" ducon, merci. Tu ne t'es quand même pas fait chier la bite à écrire une telle tartine pour qu'on ne la lise pas ? Considère donc comme un honneur que le Waldok ait daigné accorder un instant de son temps précieux à parcourir ta prose juvénile. Je te pardonne. Va en pêts.
Waldok
======================================== Qu'en termes élégants ces choses là sont dites. Nous sommes en pleine brousse de Tarzan 8-o
waldok
>"julien vancraenbroeck" wrote in message news:
Vancraenbroeck, c'est un pseudo, hein ? C'est juste fait pour se racler la gorge, ça existe pas "en vrai", hein ?? C'est thérapeutique ?
Qu'en termes élégants ces choses là sont dites.
Oui, un peu de poësie ne fait pas de mal de temps en temps.
Nous sommes en pleine brousse de Tarzan 8-o
Si tu veux, Julien.
Waldok
>"julien vancraenbroeck" <wama3694@tiscali.be> wrote in message news:
Vancraenbroeck, c'est un pseudo, hein ? C'est juste fait pour se
racler la gorge, ça existe pas "en vrai", hein ?? C'est thérapeutique
?
Qu'en termes élégants ces choses là sont dites.
Oui, un peu de poësie ne fait pas de mal de temps en temps.