THE clash de la soirée !! À voir/revoir absolument ! ONPC
63 réponses
LeLapin
Andr=C3=A9 Berkoff contre Christophe Al=C3=A9v=C3=A8que, s'engueulent comme=
des
hyst=C3=A9riques, =C3=A0 la limite d'en venir aux mains ! :D
Un inratable =C3=A0 voir l=C3=A0, car c'est trop long pour passer en entier=
au
zapping.
http://www.fhdr.fr/1772/clash-aleveque-vs-bercoff-pol-ruquier-070412-onpc/
sûrement pas fécondés, alors, sinon c'est le trou d'a côté.
Je me disais bien que tu serais étanche à la moindre licence poétique...
Tout le monde ne peut pas fuir de partout.
lexo
Selon LeLapin :
Le Sun, 08 Apr 2012 12:06:07 +0200 lexo a écrit :
Selon LeLapin :
Le Sun, 08 Apr 2012 11:19:35 +0200 0618952398 a écrit :
LeLapin wrote :
André Berkoff contre Christophe Alévèque, s'engueulent comme des hystériques, à la limite d'en venir aux mains ! :D
Sacré trou du cul, tu piges vraiment rien à rien.
C'est pas une tare (t'en as tellement d'autres) mais visiblement tu connais pas Berkoff. :D
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais tout ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder l'expression hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, on s'invitere réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier, Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie gauche et ses valeurs dans le pays.
-- Mousse et pampre.
Selon LeLapin :
Le Sun, 08 Apr 2012 12:06:07 +0200
lexo <calme.cool@tres.zen.net> a écrit :
Selon LeLapin :
Le Sun, 08 Apr 2012 11:19:35 +0200
0618952398 <g.delamothe@leneuf.fr> a écrit :
LeLapin wrote :
André Berkoff contre Christophe Alévèque, s'engueulent comme des
hystériques, à la limite d'en venir aux mains ! :D
Sacré trou du cul, tu piges vraiment rien à rien.
C'est pas une tare (t'en as tellement d'autres) mais visiblement tu
connais pas Berkoff. :D
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais
tout ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder
l'expression hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très
cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces
deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils
allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière
et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a
un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la
simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner
méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la
vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la
faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en
vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir
s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait
qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une
succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée
de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est
effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par
trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de
causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et
l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le
premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont
potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait
dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y
à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui
devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une
parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que
ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait
beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et
simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va
sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, on s'invitere
réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier,
Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de
bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie
gauche et ses valeurs dans le pays.
Le Sun, 08 Apr 2012 11:19:35 +0200 0618952398 a écrit :
LeLapin wrote :
André Berkoff contre Christophe Alévèque, s'engueulent comme des hystériques, à la limite d'en venir aux mains ! :D
Sacré trou du cul, tu piges vraiment rien à rien.
C'est pas une tare (t'en as tellement d'autres) mais visiblement tu connais pas Berkoff. :D
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais tout ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder l'expression hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, on s'invitere réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier, Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie gauche et ses valeurs dans le pays.
-- Mousse et pampre.
lexo
Selon LeLapin :
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais tout ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder l'expression hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, l'on s'invitera réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier, Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie gauche et ses valeurs dans le pays.
-- Mousse et pampre.
Selon LeLapin :
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais tout
ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder l'expression
hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très
cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces
deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils
allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière
et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a
un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la
simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner
méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la
vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la
faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en
vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir
s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait
qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une
succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée
de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est
effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par
trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de
causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et
l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le
premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont
potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait
dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y
à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui
devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une
parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que
ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait
beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et
simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va
sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, l'on s'invitera
réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier,
Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de
bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie
gauche et ses valeurs dans le pays.
Ecoutez, concernant cette émission de Ruquier, je suis désolé, mais tout ça sent à plein nez le coup monté. Il suffit de regarder l'expression hilare de Ruquier
Ruquier connait bien les deux bestiaux, qui se détestent pas très cordialement. Ruquier se marre parce qu'il SAIT qu'avoir mis ces deux-là côte à côte avec chacun leur "oeuvre" du jour à présenter, ils allaient s'agresser mutuellement, Alévèque dans sa colère outrancière et parfaitement contrôlée, et Berkoff qui est un vieux pro mais qui a un tel égo qu'il pourrait tuer quiconque le lui froisse.
et par contraste en arrière-plan, l'air navré de Pulvar -
Il y a de quoi, c'est affligeant si on ne regarde pas ça comme la simple haine ordinaire entre deux personnes.
pour s'en convaincre. Berkoff, c'est une sorte de Kouchner méridional : il est capable de jouer à volonté le grand numéro de la vertu outragée, sur n'importe quel plateau télé, avec toute la faconde et l'histrionisme nécessaires. C'est son gagne-pain, il en vit, et depuis longtemps : il n'a donc aucun intérêt à voir s'effondrer le système qu'il prétend dénoncer. Tout ça est factice.
Ta définition de Berkoff, bien qu'assez fausse, est vraie sur le fait qu'il saute sur la première "pige" venue et finalement ne vit que d'une succession de petits plans : chroniques, bouquins opportunistes à durée de vie ultra-courte, etc. Dans le premier de ces exercices, il est effectivement capable de défendre (avec un talent qu'on finit par trouver très relatif à force de le fréquenter) une immense éventail de causes dont certaines contradictoires. Là, il sait "jouer" la colère et l'emportement avec talent.
Mais quand on attaque son égo, là c'est de la *vraie* colère. Le premier psychologue venu le voit tout de suite dans cet extrait.
Mais Ruquier en rajoutant, Alévèque aussi (n'oublions pas qu'ils sont potes et qu'il est très possible, voire probable, que Ruquier lui ait dit en préparant l'émission : "si t'as envie de te faire Berkoff, vas-y à fond, tape où ça fait mal et fous-le en rogne"), s'est passé ce qui devait se passer pour peu que les deux protagonistes soient "en forme".
Ok, mais reste le problème de fond : le débat d'idées réduit à une parodie, à un pseudo-pugilat, à un spectacle. Je tiens pour ma part que ces émissions, où l'on mêle le "divertissement" et le débat, ont fait beaucoup de tort à la démocratie. Parisianisme, connivence et simulacres. On fait mine de se malmener devant la caméra, puis on va sympathiser dans une boîte chic du quartier. Au besoin, l'on s'invitera réciproquement dans sa villa du Var pour les vacances... Les Ruquier, Alévêque et compagnie sont responsables de l'émergence d'une gauche de bobos parigos, exécrable, qui a largement contribué à tuer la vraie gauche et ses valeurs dans le pays.