Je parlais de gens sérieux qui font pas compliqué et mauvais lorsqu'on peut faire simple et bon... Mais tous les goûts sont dans la nature :-) On achète pour plusieurs milliers d'euros de matériel et on ne peut pas s'offrir un logiciel pour traiter le raw ? Rigolo.
C'est juste aussi parce que je trouve Photoshop pas très pratique pour les RAW (je préfère capture one)
-- Stéphane B.
Jean-Pierre Roche a dit le 30/01/2004 10:33 :
Je parlais de gens sérieux qui font pas compliqué et mauvais lorsqu'on
peut faire simple et bon...
Mais tous les goûts sont dans la nature :-)
On achète pour plusieurs milliers d'euros de matériel et on ne peut pas
s'offrir un logiciel pour traiter le raw ? Rigolo.
C'est juste aussi parce que je trouve Photoshop pas très pratique pour
les RAW (je préfère capture one)
Je parlais de gens sérieux qui font pas compliqué et mauvais lorsqu'on peut faire simple et bon... Mais tous les goûts sont dans la nature :-) On achète pour plusieurs milliers d'euros de matériel et on ne peut pas s'offrir un logiciel pour traiter le raw ? Rigolo.
C'est juste aussi parce que je trouve Photoshop pas très pratique pour les RAW (je préfère capture one)
-- Stéphane B.
PE Schmid
Le Chevalier Noir wrote:
4-Le RAW est ce qui provient directement du capteur, parait il. Quelle différence avec le TIFF alors?
Chaque pixel du CCD contient 12 bits (bruts) concernant une seule
couleur, typiquement R, V ou B. Arrangement typiquedes pixels: VRVB (eh! oui, 2 fois vert) Chaque pixel du tif contient 3x8 bits RVB calculés à partir des pixels RAW avoisinants. Ce calcul est différent pour chaque APN (Le fichier RAW est 2 fois plus petit que le TIF.) Pour plus d'explications: <http://www.dpreview.com/learn/Glossary/Camera_System/Colour_Filter_Array_01.htm>
Philippe
Le Chevalier Noir wrote:
4-Le RAW est ce qui provient directement du capteur, parait il. Quelle
différence avec le TIFF alors?
Chaque pixel du CCD contient 12 bits (bruts) concernant une seule
couleur, typiquement R, V ou B.
Arrangement typiquedes pixels: VRVB (eh! oui, 2 fois vert)
Chaque pixel du tif contient 3x8 bits RVB calculés à partir des pixels
RAW avoisinants.
Ce calcul est différent pour chaque APN
(Le fichier RAW est 2 fois plus petit que le TIF.)
Pour plus d'explications:
<http://www.dpreview.com/learn/Glossary/Camera_System/Colour_Filter_Array_01.htm>
4-Le RAW est ce qui provient directement du capteur, parait il. Quelle différence avec le TIFF alors?
Chaque pixel du CCD contient 12 bits (bruts) concernant une seule
couleur, typiquement R, V ou B. Arrangement typiquedes pixels: VRVB (eh! oui, 2 fois vert) Chaque pixel du tif contient 3x8 bits RVB calculés à partir des pixels RAW avoisinants. Ce calcul est différent pour chaque APN (Le fichier RAW est 2 fois plus petit que le TIF.) Pour plus d'explications: <http://www.dpreview.com/learn/Glossary/Camera_System/Colour_Filter_Array_01.htm>
Philippe
Papy Bernard
Slt, De "Le Chevalier Noir"
Cela expliquerait que passer de 100 à 200 asa, puis 400 ou 800 revient à décaler l'ensemble de l'acquisition de 1 bit. Un capteur 12 bits à 100 iso fonctionnera comme un capteur 11 bits à 200, 10
bits à 400, etc... J'ai bon?
Je ne pense pas.
Si l'on prend les choses au début :
Un photosite est une nano-cellule photo-électrique devant laquelle on a placé un filtre (R, V, B).
Normes CIE : R = 0,7000 µm V = 0,5461 µm B = 0,4358 µm
Ces filtres ne sont pas monochromatiques au sens propre du terme, heureusement, mais ont une bande passante de fréquences. Chaque photosite du capteur transmet un courant proportionnel au flux de photons reçus dans la bande de fréquences du filtre.
(Un photon a une énergie E = (nu)* h. (nu)= fréquence h = constante de Planck = 6, 626 10-34 J.s (ou 6, 626 10-27 en erg.s CGS) E est un quantum d'énergie. Les absorptions et les émissions sont faites par valeurs entières de quanta.)
Cette somme d'énergie se traduit par une différence de potentiel (u) entre la surface du photosite et la base du support (capteur, -r-). Loi d'ohm : i = u /r
Un pixel est l'association/conversion de trois informations, une par filtre.
Deux choses :
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Conséquences :
Toute amplification va conduire à des distorsions, (comme en audio).
Plus les photosites seront petits, plus faible sera le signal. Le changement de sensibilité est obtenu par l'amplification du signal.
Je te laisse en tirer les conclusions quant au "bruit".
Mais cela n'a rien à voir avec le codage
Je ne sais si PaintShop est léger mais l'Overview des Files Format donne toutes les informations nécessaires et suffisantes quant aux possibilités d'un bon nombre de formats.
-- A+ Papy Bernard
Slt,
De "Le Chevalier Noir"
Cela expliquerait que passer de 100 à 200 asa, puis 400 ou 800 revient à
décaler l'ensemble de l'acquisition de 1 bit.
Un capteur 12 bits à 100 iso fonctionnera comme un capteur 11 bits à 200,
10
bits à 400, etc...
J'ai bon?
Je ne pense pas.
Si l'on prend les choses au début :
Un photosite est une nano-cellule photo-électrique devant laquelle on a
placé un filtre (R, V, B).
Normes CIE :
R = 0,7000 µm
V = 0,5461 µm
B = 0,4358 µm
Ces filtres ne sont pas monochromatiques au sens propre du terme,
heureusement, mais ont une bande passante de fréquences.
Chaque photosite du capteur transmet un courant proportionnel au flux de
photons reçus dans la bande de fréquences du filtre.
(Un photon a une énergie E = (nu)* h.
(nu)= fréquence
h = constante de Planck = 6, 626 10-34 J.s (ou 6, 626 10-27 en erg.s CGS)
E est un quantum d'énergie. Les absorptions et les émissions sont faites par
valeurs entières de quanta.)
Cette somme d'énergie se traduit par une différence de potentiel (u) entre
la surface du photosite et la base du support (capteur, -r-).
Loi d'ohm : i = u /r
Un pixel est l'association/conversion de trois informations, une par filtre.
Deux choses :
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse
reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en
particulier aux faibles valeurs.
Conséquences :
Toute amplification va conduire à des distorsions, (comme en audio).
Plus les photosites seront petits, plus faible sera le signal.
Le changement de sensibilité est obtenu par l'amplification du signal.
Je te laisse en tirer les conclusions quant au "bruit".
Mais cela n'a rien à voir avec le codage
Je ne sais si PaintShop est léger mais l'Overview des Files Format donne
toutes les informations nécessaires et suffisantes quant aux possibilités
d'un bon nombre de formats.
Cela expliquerait que passer de 100 à 200 asa, puis 400 ou 800 revient à décaler l'ensemble de l'acquisition de 1 bit. Un capteur 12 bits à 100 iso fonctionnera comme un capteur 11 bits à 200, 10
bits à 400, etc... J'ai bon?
Je ne pense pas.
Si l'on prend les choses au début :
Un photosite est une nano-cellule photo-électrique devant laquelle on a placé un filtre (R, V, B).
Normes CIE : R = 0,7000 µm V = 0,5461 µm B = 0,4358 µm
Ces filtres ne sont pas monochromatiques au sens propre du terme, heureusement, mais ont une bande passante de fréquences. Chaque photosite du capteur transmet un courant proportionnel au flux de photons reçus dans la bande de fréquences du filtre.
(Un photon a une énergie E = (nu)* h. (nu)= fréquence h = constante de Planck = 6, 626 10-34 J.s (ou 6, 626 10-27 en erg.s CGS) E est un quantum d'énergie. Les absorptions et les émissions sont faites par valeurs entières de quanta.)
Cette somme d'énergie se traduit par une différence de potentiel (u) entre la surface du photosite et la base du support (capteur, -r-). Loi d'ohm : i = u /r
Un pixel est l'association/conversion de trois informations, une par filtre.
Deux choses :
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Conséquences :
Toute amplification va conduire à des distorsions, (comme en audio).
Plus les photosites seront petits, plus faible sera le signal. Le changement de sensibilité est obtenu par l'amplification du signal.
Je te laisse en tirer les conclusions quant au "bruit".
Mais cela n'a rien à voir avec le codage
Je ne sais si PaintShop est léger mais l'Overview des Files Format donne toutes les informations nécessaires et suffisantes quant aux possibilités d'un bon nombre de formats.
-- A+ Papy Bernard
Philippe LAGARDE
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Cordialement,
-- Philippe LAGARDE
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse
reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en
particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U
du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance
lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Cordialement,
-- Philippe LAGARDE
Kojak
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite. Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Juste une petite remarque :
Dans les capteurs, ce sont des variations de tension qui sont mesurees aux bornes de condos apres le transfert des charges vers ces derniers. De plus la variation de la tension est, en effet, relativement lineaire par rapport a la variation d'exposition, sauf si on travail en saturation, mais bon, le contraire aurait ete etonnant.
Jacques.
-- | nntpspy@ Resistance is futile / ...by the Net | |----------------- |°| °/°/ |°| /------Collective-| |-You will be-----/ |°|_| | / | |_|°| -----------------| | assimilated... / |_____| / |_____| janville.Borg |
Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse
reçue (après filtrage) et de la surface du photosite.
Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en
particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U
du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance
lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Juste une petite remarque :
Dans les capteurs, ce sont des variations de tension qui sont
mesurees aux bornes de condos apres le transfert des charges
vers ces derniers. De plus la variation de la tension est, en
effet, relativement lineaire par rapport a la variation
d'exposition, sauf si on travail en saturation, mais bon, le
contraire aurait ete etonnant.
Jacques.
--
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|----------------- |°| °/°/ |°| /------Collective-|
|-You will be-----/ |°|_| | / | |_|°| -----------------|
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Le courant transmis par le photosite est fonction de l'intensité lumineuse reçue (après filtrage) et de la surface du photosite. Dans un semi-conducteur, la courbe i=f(v) est loin d'être linéaire en particulier aux faibles valeurs.
Oui, mais pour un U donné (U proche de Ucc, ou du du moins entre Ucc et U du Pmax), I est remarquablement linéaire en fonction de la puissance lumineuse reçue. i=f(V) n'a pas de sens ici.
Juste une petite remarque :
Dans les capteurs, ce sont des variations de tension qui sont mesurees aux bornes de condos apres le transfert des charges vers ces derniers. De plus la variation de la tension est, en effet, relativement lineaire par rapport a la variation d'exposition, sauf si on travail en saturation, mais bon, le contraire aurait ete etonnant.
Jacques.
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