Non, pas FG, mais en effet j'ai entendu dire par des gens qui étaient auditeurs depuis longtemps que ça s'était vraiment dégradé là aussi.
-- Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant. -- Jayce - HTML, ça su><e --
analogue s'est exprimé en ces termes:
FG ?
Non, pas FG, mais en effet j'ai entendu dire par des gens qui étaient
auditeurs depuis longtemps que ça s'était vraiment dégradé là aussi.
--
Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en
language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant.
-- Jayce - HTML, ça su><e --
Non, pas FG, mais en effet j'ai entendu dire par des gens qui étaient auditeurs depuis longtemps que ça s'était vraiment dégradé là aussi.
-- Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant. -- Jayce - HTML, ça su><e --
Pascal Wijsbroek
Chalut la foule,
Benjamin FRANCOIS a exposé le 26/04/2005 :
Il y a des radios qui à leurs débuts passaient beaucoup moins de merde que les autres, et qui en prenant la grosse tête ont cherché à ratisser large en se mettant à passer de la merde.
Arg ! Coup bas !
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Seulement voilà : d'audience il n'y avait point. Rien d'assez satisfaisant pour justifier le budget de la radio. D'où l'idée radicale du nouveau PDG : fermer la radio.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes.
Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations.
Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Chalut la foule,
Benjamin FRANCOIS a exposé le 26/04/2005 :
Il y a des radios qui à leurs débuts passaient beaucoup moins de merde
que les autres, et qui en prenant la grosse tête ont cherché à ratisser
large en se mettant à passer de la merde.
Arg ! Coup bas !
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il
s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne
musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le
tout dans un style jeune.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Seulement voilà : d'audience il n'y avait point. Rien d'assez
satisfaisant pour justifier le budget de la radio. D'où l'idée radicale
du nouveau PDG : fermer la radio.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était
patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et
le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il
s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes,
des micros moins longs, des chroniques moins présentes.
Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2
aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel
boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales,
supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de
"tubes", et augmenté les rotations.
Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on
passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus
l'audience augmente.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio
à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand
il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la
rejette en masse.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la
preuve.
Il y a des radios qui à leurs débuts passaient beaucoup moins de merde que les autres, et qui en prenant la grosse tête ont cherché à ratisser large en se mettant à passer de la merde.
Arg ! Coup bas !
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Seulement voilà : d'audience il n'y avait point. Rien d'assez satisfaisant pour justifier le budget de la radio. D'où l'idée radicale du nouveau PDG : fermer la radio.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes.
Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations.
Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Benjamin FRANCOIS
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Arg ! Coup bas !
C'était fait pour.
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la pub.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier" pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes. Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations. Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
--
Pouvez-vous nous montrer un exemple de comment on assigne une fonction à un signal ou à un évènement ?
Pour appeler une fonction, il suffit de tapper son nom. -- Jayce - Y'a pas besoin de tout ça --
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Arg ! Coup bas !
C'était fait pour.
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il
s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne
musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le
tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la
pub.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était
patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et
le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier"
pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il
s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes,
des micros moins longs, des chroniques moins présentes.
Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2
aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel
boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales,
supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de
"tubes", et augmenté les rotations.
Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on
passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus
l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio
à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand
il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la
rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on
le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais
le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini
par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la
preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas
faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne
pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même
chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été
celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il
n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un
exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
--
Pouvez-vous nous montrer un exemple de comment on assigne une fonction
à un signal ou à un évènement ?
Pour appeler une fonction, il suffit de tapper son nom.
-- Jayce - Y'a pas besoin de tout ça --
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la pub.
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier" pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes. Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations. Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
--
Pouvez-vous nous montrer un exemple de comment on assigne une fonction à un signal ou à un évènement ?
Pour appeler une fonction, il suffit de tapper son nom. -- Jayce - Y'a pas besoin de tout ça --
why
Benjamin FRANCOIS wrote:
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la pub.
Le Mouve? Y'a que ca, de la pub!
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier" pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes. Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations. Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
Benjamin FRANCOIS wrote:
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il
s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne
musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le
tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la
pub.
Le Mouve? Y'a que ca, de la pub!
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était
patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et
le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier"
pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il
s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes,
des micros moins longs, des chroniques moins présentes.
Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2
aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel
boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales,
supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de
"tubes", et augmenté les rotations.
Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on
passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus
l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio
à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand
il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la
rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on
le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais
le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini
par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la
preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas
faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne
pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même
chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été
celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il
n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un
exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
Ce qui s'est *vraiment* passé est la chose suivante : Le Mouv' (oui il s'agit du Mouv') passait effectivement à ses débuts beaucoup de bonne musique. Bonne dans le sens variée, pas trop répétitive, curieuse, le tout dans un style jeune.
Exactement.
Une sorte de FIP jeune si vous préférez.
Ou une sorte de Oui FM, mais publique, sans _le_ point noir de Oui: la pub.
Le Mouve? Y'a que ca, de la pub!
Maintenant le bras droit de Cavada -nostalgique de l'époque ou il était patron de Radio 7- a eu une autre idée : virer le patron du Mouv', et le remplacer par l'ancien patron d'Europe 2.
Ce qu'on a pu constater avec l'apparition de jingles... disons "à chier" pour rester sobre. Merci les frêres Costa.
Qui a donc fait ce pour quoi il avait été nommé : du formatage réel. Il s'est donc rapproché d'une "vraie" radio, des rotations plus courtes, des micros moins longs, des chroniques moins présentes. Et pas de surprise : l'audience a décollé !
Incroyable !
Quelque temps plus tard, nouveau-nouveau patron. Ex patron d'Europe 2 aussi, mais lui jamais passé par la case Radio France. C'est l'actuel boss du Mouv'. Qui a donc amené des solutions encore plus radicales, supprimé autant que faire se peut les chroniques, placé plus de "tubes", et augmenté les rotations. Pas de surprise non plus : l'audience continue à monter !
Quelle surprise !
Bref l'expérience est probante : plus on fait de la "soupe", moins on passe de titres originaux, moins on prend de risque... et plus l'audience augmente.
Et TF1 est la première chaîne du PAF.
Moralité : L'auditeur veut toujours écouter la même chose, d'une radio à l'autre. Il a juste besoin de CROIRE qu'il écoute du différent quand il change de radio, mais au final il n'aime pas la nouveauté, la rejette en masse.
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Et Le Mouv est l'exemple parfait de ce qu'il ne fallait absolument pas faire. En tant que service public, Le Mouv avait la _possibilité_ de ne pas se plier au sacro-saint Dieu Audimat et de ne pas passer la même chose qu'ailleurs pour attirer le chaland. Avec la mentalité qui a été celle des patrons de la radio, Arte ferait du TF1. Fort heureusement il n'en est rien.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
why
Pascal Wijsbroek wrote:
Exemple intouchable : France Culture.
FC, Mouve, même daube. Heureusement qu'il y a des radios associatives.
Pascal Wijsbroek wrote:
Exemple intouchable : France Culture.
FC, Mouve, même daube. Heureusement qu'il y a des radios associatives.
FC, Mouve, même daube. Heureusement qu'il y a des radios associatives.
Pascal Wijsbroek
Chalut la foule,
Benjamin FRANCOIS a utilisé son clavier pour écrire :
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
Certes.
Mais tu soulèves le problème insoluble du service public en général, et du Mouv' en particulier : mettre des sous dans un service "public" trop élitiste conduit à entendre "on donne des sous pour personne".
Exemple intouchable : France Culture.
Et si on fait le contraire, donc sacrifier à l'audience on entends "le service public ne sert à rien".
Or l'ère Cavada était pragmatique : fermer ou changer.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à Radio France.
Chalut la foule,
Benjamin FRANCOIS a utilisé son clavier pour écrire :
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on
le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais
le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini
par déserter la radio qui a perdu son âme.
Certes.
Mais tu soulèves le problème insoluble du service public en général, et
du Mouv' en particulier : mettre des sous dans un service "public" trop
élitiste conduit à entendre "on donne des sous pour personne".
Exemple intouchable : France Culture.
Et si on fait le contraire, donc sacrifier à l'audience on entends "le
service public ne sert à rien".
Or l'ère Cavada était pragmatique : fermer ou changer.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un
exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à
Radio France.
Benjamin FRANCOIS a utilisé son clavier pour écrire :
L'auditeur lambda, celui qui a peur du changement, qui n'aime pas qu'on le bouscule un peu dans ses habitudes, est probablement comme ça. Mais le public qui a été le plus fidèle au Mouv, dont je fais partie, a fini par déserter la radio qui a perdu son âme.
Certes.
Mais tu soulèves le problème insoluble du service public en général, et du Mouv' en particulier : mettre des sous dans un service "public" trop élitiste conduit à entendre "on donne des sous pour personne".
Exemple intouchable : France Culture.
Et si on fait le contraire, donc sacrifier à l'audience on entends "le service public ne sert à rien".
Or l'ère Cavada était pragmatique : fermer ou changer.
L'expérience du Mouv est tout simplement consternante. A mes yeux, un exemple de ce que le service public ne devrait _jamais_ faire.
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à Radio France.
Benjamin FRANCOIS
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à Radio France.
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
-- <Raider^> Hey there, i got this new version of mirc, i should be in invisible mode, if anyone can see my sentance please reply.
Pascal Wijsbroek s'est exprimé en ces termes:
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à
Radio France.
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même
chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
--
<Raider^> Hey there, i got this new version of mirc, i should be in invisible
mode, if anyone can see my sentance please reply.
Dans un monde idéal oui. Mais MEME la tutelle demande des comptes à Radio France.
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
-- <Raider^> Hey there, i got this new version of mirc, i should be in invisible mode, if anyone can see my sentance please reply.
Pascal Wijsbroek
Chalut la foule,
Il se trouve que Benjamin FRANCOIS a formulé :
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui pourrait arriver au service public.
Chalut la foule,
Il se trouve que Benjamin FRANCOIS a formulé :
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même
chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le
Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de
DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui
pourrait arriver au service public.
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui pourrait arriver au service public.
why
Pascal Wijsbroek wrote:
Chalut la foule,
Il se trouve que Benjamin FRANCOIS a formulé :
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui pourrait arriver au service public.
Que oui!
Pascal Wijsbroek wrote:
Chalut la foule,
Il se trouve que Benjamin FRANCOIS a formulé :
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même
chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de
DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui
pourrait arriver au service public.
Dans un monde dans lequel la radio publique fait strictement la même chose que le privé, la redevance est un impôt hypocrite.
Relativisons quand même l'importance de la Redevance que touche le Mouv'.
Et cette discussion (hop en charte) prouve le bien fondé des propos de DeGreff : la privatisation de France 2 est la seule chose saine qui pourrait arriver au service public.
Que oui!
Olivier
Au sommet de son art, Pascal Wijsbroek a pondu :
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Une radio que j'ai quittée il y a 1 an et demi, comme mon pote Thomas. Et Matthieu, aussi, qui la captait sur internet (en 128k, dans le sud) à défaut de l'avoir sur son poste. Et mon ex, qui écoute maintenant la même radio que son mec, sûrement. Et mon beau-frère, à qui je l'avais conseillée, et qui est repassé directo à Radio Paradise...
Mais nous ne sommes pas représentatifs. Nous sommes l'élite de la nation, celle qui va voir les films en VO étou étou... pas la plèbe informe qui bouffe du popcorn devant le dernier film catastatrophe (en VF en plus !), qui fait ses courses à Carrefour (la te-hon) et trouve que Kyo est le meilleur groupe de rock français depuis Téléphone.
J'aimais bien tes chroniques et ta newsletter, mon petit Pascal. Tu fais quoi maintenant, sans indiscrétion ?
Au sommet de son art, Pascal Wijsbroek a pondu :
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la
preuve.
Une radio que j'ai quittée il y a 1 an et demi, comme mon pote Thomas. Et
Matthieu, aussi, qui la captait sur internet (en 128k, dans le sud) à défaut
de l'avoir sur son poste. Et mon ex, qui écoute maintenant la même radio que
son mec, sûrement. Et mon beau-frère, à qui je l'avais conseillée, et qui
est repassé directo à Radio Paradise...
Mais nous ne sommes pas représentatifs. Nous sommes l'élite de la nation,
celle qui va voir les films en VO étou étou... pas la plèbe informe qui
bouffe du popcorn devant le dernier film catastatrophe (en VF en plus !),
qui fait ses courses à Carrefour (la te-hon) et trouve que Kyo est le
meilleur groupe de rock français depuis Téléphone.
J'aimais bien tes chroniques et ta newsletter, mon petit Pascal. Tu fais
quoi maintenant, sans indiscrétion ?
C'est un fait avéré. Une expérience dont l'audience du Mouv' est la preuve.
Une radio que j'ai quittée il y a 1 an et demi, comme mon pote Thomas. Et Matthieu, aussi, qui la captait sur internet (en 128k, dans le sud) à défaut de l'avoir sur son poste. Et mon ex, qui écoute maintenant la même radio que son mec, sûrement. Et mon beau-frère, à qui je l'avais conseillée, et qui est repassé directo à Radio Paradise...
Mais nous ne sommes pas représentatifs. Nous sommes l'élite de la nation, celle qui va voir les films en VO étou étou... pas la plèbe informe qui bouffe du popcorn devant le dernier film catastatrophe (en VF en plus !), qui fait ses courses à Carrefour (la te-hon) et trouve que Kyo est le meilleur groupe de rock français depuis Téléphone.
J'aimais bien tes chroniques et ta newsletter, mon petit Pascal. Tu fais quoi maintenant, sans indiscrétion ?
