Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
"Christophe Lephay" writes:Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la
règle, mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises
préféraient souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres
plus robustes, mais aussi plus chères. Le critère de choix, souvent,
c'est exclusivement le coût. Le décideur ne connaissant en général
pas grand chose à l'informatique, il a souvent du mal à comprendre
la justification de dépenses supplémentaires. Assez souvent, les
développeurs sous-estiment la complexité du problème des
utilisateurs, et les utilisateurs, comme un juste retour des choses,
sous-estiment tout autant la complexité de la solution...
Je ne sais pas.
Je ne suis pas convaincu qu'il y a une règle générale à part le
trivial « cela dépend du domaine et des clients ». J'ai l'expérience
du calcul scientifique (et non James, pas seulement dans les labos
universitaires) et aussi de l'industrie.
Par exemple, mes contrats avec Apple ou IBM avaient des clauses
spécificiques et que le tout est planifié comme une solution durable
sur le long terme, avec le budget prévu en conséquence. D'après ce que
j'ai vu dans ces cas, « bon marché » était un critère avec un faible
coefficient.
"Christophe Lephay" <christophe-lephay@wanadoo.fr> writes:
Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la
règle, mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises
préféraient souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres
plus robustes, mais aussi plus chères. Le critère de choix, souvent,
c'est exclusivement le coût. Le décideur ne connaissant en général
pas grand chose à l'informatique, il a souvent du mal à comprendre
la justification de dépenses supplémentaires. Assez souvent, les
développeurs sous-estiment la complexité du problème des
utilisateurs, et les utilisateurs, comme un juste retour des choses,
sous-estiment tout autant la complexité de la solution...
Je ne sais pas.
Je ne suis pas convaincu qu'il y a une règle générale à part le
trivial « cela dépend du domaine et des clients ». J'ai l'expérience
du calcul scientifique (et non James, pas seulement dans les labos
universitaires) et aussi de l'industrie.
Par exemple, mes contrats avec Apple ou IBM avaient des clauses
spécificiques et que le tout est planifié comme une solution durable
sur le long terme, avec le budget prévu en conséquence. D'après ce que
j'ai vu dans ces cas, « bon marché » était un critère avec un faible
coefficient.
"Christophe Lephay" writes:Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la
règle, mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises
préféraient souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres
plus robustes, mais aussi plus chères. Le critère de choix, souvent,
c'est exclusivement le coût. Le décideur ne connaissant en général
pas grand chose à l'informatique, il a souvent du mal à comprendre
la justification de dépenses supplémentaires. Assez souvent, les
développeurs sous-estiment la complexité du problème des
utilisateurs, et les utilisateurs, comme un juste retour des choses,
sous-estiment tout autant la complexité de la solution...
Je ne sais pas.
Je ne suis pas convaincu qu'il y a une règle générale à part le
trivial « cela dépend du domaine et des clients ». J'ai l'expérience
du calcul scientifique (et non James, pas seulement dans les labos
universitaires) et aussi de l'industrie.
Par exemple, mes contrats avec Apple ou IBM avaient des clauses
spécificiques et que le tout est planifié comme une solution durable
sur le long terme, avec le budget prévu en conséquence. D'après ce que
j'ai vu dans ces cas, « bon marché » était un critère avec un faible
coefficient.
Gabriel Dos Reis wrote:Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la règle,
mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises préféraient
souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres plus robustes, mais
aussi plus chères. Le critère de choix, souvent, c'est exclusivement le
coût. Le décideur ne connaissant en général pas grand chose à
l'informatique, il a souvent du mal à comprendre la justification de
dépenses supplémentaires.
Gabriel Dos Reis wrote:
Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la règle,
mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises préféraient
souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres plus robustes, mais
aussi plus chères. Le critère de choix, souvent, c'est exclusivement le
coût. Le décideur ne connaissant en général pas grand chose à
l'informatique, il a souvent du mal à comprendre la justification de
dépenses supplémentaires.
Gabriel Dos Reis wrote:Je crois connaître quelqu'un qui poste régulièrement sur ce groupe qui
dit que les clients ne dépensent de l'argent que pour quelque chose
qui les intéresse. Je présume que la quantité de logiciels de
qualité médiocre n'est pas sans rapport avec le désir/besoin des
clients. <g> Ou c'est peut-être une tournure rhétorique qui ne vaut
que quand ça arrange.
Je pense que le secteur bancaire fait probablement exception à la règle,
mais j'ai pu constater à maintes reprises que les entreprises préféraient
souvent des solutions en bois et bon marché à d'autres plus robustes, mais
aussi plus chères. Le critère de choix, souvent, c'est exclusivement le
coût. Le décideur ne connaissant en général pas grand chose à
l'informatique, il a souvent du mal à comprendre la justification de
dépenses supplémentaires.
T'ss, c'est plus compliqué que ça à mon avis. Avec une collègue, on
nous avait demandé une étude - c'était pour du matériel il est vrai -
et, au lieu de choisir la marque désignée selon les critères convenus
à l'avance, la direction a choisi IBM ; c'est le réflexe "au moins on
ne pourra rien nous reprocher vu la la réputation de la marque" -
justement, le gars qui n'y connaît rien a tendance à prendre ce genre
d'assurance tous risques,
parce qu'il n'a pas les connaissances pour évaluer l'aspect technique
du rapport qualité/prix.
T'ss, c'est plus compliqué que ça à mon avis. Avec une collègue, on
nous avait demandé une étude - c'était pour du matériel il est vrai -
et, au lieu de choisir la marque désignée selon les critères convenus
à l'avance, la direction a choisi IBM ; c'est le réflexe "au moins on
ne pourra rien nous reprocher vu la la réputation de la marque" -
justement, le gars qui n'y connaît rien a tendance à prendre ce genre
d'assurance tous risques,
parce qu'il n'a pas les connaissances pour évaluer l'aspect technique
du rapport qualité/prix.
T'ss, c'est plus compliqué que ça à mon avis. Avec une collègue, on
nous avait demandé une étude - c'était pour du matériel il est vrai -
et, au lieu de choisir la marque désignée selon les critères convenus
à l'avance, la direction a choisi IBM ; c'est le réflexe "au moins on
ne pourra rien nous reprocher vu la la réputation de la marque" -
justement, le gars qui n'y connaît rien a tendance à prendre ce genre
d'assurance tous risques,
parce qu'il n'a pas les connaissances pour évaluer l'aspect technique
du rapport qualité/prix.