If we have a look at time between releases we see:
Hamm
8 months pass
Slink
17 months pass
Potato
23 months pass
Woody
30 months pass
Sarge [if it releases 2004-Dec which it may not]
36 months pass
Sarge+1: 3 years later if current trend continues [2007-Dec].
Il y a eu de nombreuses réponses et un wiki a été ouvert sur le sujet. Je ne
doute pas que la réflexion atteigne le million de pages, ce que PV pouvait
s'éviter.
Malheureusement, Pat ne s'est pas brossé les dents et il paraît qu'il va
mourir. En attendant, il suggère de se fier à un groupe Slackware du Brésil.
Malheureusement, l'authenticité de son message ne peut être vérifiée et tout
le monde s'en fout.
Knopper n'a pas sorti de version depuis trois mois et demi. La version 3.7
jeux, qui est annoncée sur son site, a été produite par un étudiant de
l'université de Kaiserlautern. C'est la première fois que Knopper propose sur
son site un produit qui n'est pas le sien. Les nouvelles versions, pas
nécessairement numérotées, sont déjà sorties aux deux jours...
Par contre, Ubuntu, une version financée par un milliardaire instantanné qui a
fait fortune en vendant sa compagnie de certificats à Verisign, et dont on
n'avait jamais entendu parler il y a quelques mois(1), fait des ravages.
(1) Sixième position chez Distrowatch pour le dernier mois. 16e pour les 12
derniers mois et absente en 2003.
Je vais te dire que j'ai vu des mes yeux aux halles (j'ai travaille trois dans ce quartier) des vols a l'arrache dans le meme cas et de nombreuses fois.
Donc, je dirais plutot que j'ai du mal a te croire.
Bref tu passes en mode autruche pour refuser d'admettre que ta vision de la France puisse etre biaisée. Comme d'hab.
-- Irvin Probst There are 10 types of people in the world... those who understand binary and those who don't.
On 2005-01-11, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org> wrote:
Je vais te dire que j'ai vu des mes yeux aux halles (j'ai travaille
trois dans ce quartier) des vols a l'arrache dans le meme cas et de
nombreuses fois.
Donc, je dirais plutot que j'ai du mal a te croire.
Bref tu passes en mode autruche pour refuser d'admettre que ta vision de
la France puisse etre biaisée.
Comme d'hab.
--
Irvin Probst
There are 10 types of people in the world... those who understand binary
and those who don't.
Je vais te dire que j'ai vu des mes yeux aux halles (j'ai travaille trois dans ce quartier) des vols a l'arrache dans le meme cas et de nombreuses fois.
Donc, je dirais plutot que j'ai du mal a te croire.
Bref tu passes en mode autruche pour refuser d'admettre que ta vision de la France puisse etre biaisée. Comme d'hab.
-- Irvin Probst There are 10 types of people in the world... those who understand binary and those who don't.
Guillaume L.
On Tue, 11 Jan 2005 23:33:55 +0800, Stephane TOUGARD wrote :
Guillaume L. wrote:
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Je repondrai comme aux autres pour avoir venu a Paris quelques annees que j'ai du mal a te croire.
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Que veux-tu que je te réponde ? Si tu refuses de croire les expériences des gens, je ne peux rien faire de plus pour te convaincre. Tu n'as pas l'impres- sion que tu peux avoir une vision un peu faussée des choses ?
Guillaume Leconte.
PS : par contre à Marseille c'est autre chose (les assureurs ont d'ailleurs créé un tarif spécial pour ceux qui y habitent).
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
On Tue, 11 Jan 2005 23:33:55 +0800, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org>
wrote :
Guillaume L. wrote:
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à
Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy,
Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche
arrière, porte-feuille compris.
Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Je repondrai comme aux autres pour avoir venu a Paris quelques annees
que j'ai du mal a te croire.
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a
l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint
d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Que veux-tu que je te réponde ? Si tu refuses de croire les expériences des
gens, je ne peux rien faire de plus pour te convaincre. Tu n'as pas l'impres-
sion que tu peux avoir une vision un peu faussée des choses ?
Guillaume Leconte.
PS : par contre à Marseille c'est autre chose (les assureurs ont d'ailleurs
créé un tarif spécial pour ceux qui y habitent).
On Tue, 11 Jan 2005 23:33:55 +0800, Stephane TOUGARD wrote :
Guillaume L. wrote:
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Je repondrai comme aux autres pour avoir venu a Paris quelques annees que j'ai du mal a te croire.
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Que veux-tu que je te réponde ? Si tu refuses de croire les expériences des gens, je ne peux rien faire de plus pour te convaincre. Tu n'as pas l'impres- sion que tu peux avoir une vision un peu faussée des choses ?
Guillaume Leconte.
PS : par contre à Marseille c'est autre chose (les assureurs ont d'ailleurs créé un tarif spécial pour ceux qui y habitent).
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
Benjamin FRANCOIS
Stephane TOUGARD s'est exprimé en ces termes:
Tu veux dire qu'on peut voir ton portefeuille depuis derriere toi, qu'on peut le prendre d'une main rapidement.
Oui, et oui, puisque c'est ce que je fais tous les jours quand j'en ai besoin. Y'a pas de néon "eh les gars ! mon portefeuille est là, servez vous !" non plus, mais il n'est pas particulièrement planqué au fond de mon caleçon. Et rien.
-- <-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer) <kwyxz> peer is jealous ! <shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
Stephane TOUGARD s'est exprimé en ces termes:
Tu veux dire qu'on peut voir ton portefeuille depuis derriere toi, qu'on
peut le prendre d'une main rapidement.
Oui, et oui, puisque c'est ce que je fais tous les jours quand j'en ai
besoin. Y'a pas de néon "eh les gars ! mon portefeuille est là, servez
vous !" non plus, mais il n'est pas particulièrement planqué au fond de
mon caleçon. Et rien.
--
<-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer)
<kwyxz> peer is jealous !
<shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
Tu veux dire qu'on peut voir ton portefeuille depuis derriere toi, qu'on peut le prendre d'une main rapidement.
Oui, et oui, puisque c'est ce que je fais tous les jours quand j'en ai besoin. Y'a pas de néon "eh les gars ! mon portefeuille est là, servez vous !" non plus, mais il n'est pas particulièrement planqué au fond de mon caleçon. Et rien.
-- <-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer) <kwyxz> peer is jealous ! <shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
Benjamin FRANCOIS
Stephane TOUGARD s'est exprimé en ces termes:
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Je n'ai jamais vu un seul vol à l'arrache à Paris depuis 2 ans que j'y vis. Ce n'est pas pour ça que je vais dire que ça n'arrive jamais. Vois-tu la différence ?
-- <-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer) <kwyxz> peer is jealous ! <shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
Stephane TOUGARD s'est exprimé en ces termes:
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a
l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint
d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Je n'ai jamais vu un seul vol à l'arrache à Paris depuis 2 ans que j'y
vis. Ce n'est pas pour ça que je vais dire que ça n'arrive jamais.
Vois-tu la différence ?
--
<-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer)
<kwyxz> peer is jealous !
<shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
C'est peut etre vrai et inverifiable, mais non, j'ai trop vu de vols a l'arrache a Paris pour te croire et je ne connais personne saint d'esprit qui met son portefeuille dans sa poche revolver a Paris.
Je n'ai jamais vu un seul vol à l'arrache à Paris depuis 2 ans que j'y vis. Ce n'est pas pour ça que je vais dire que ça n'arrive jamais. Vois-tu la différence ?
-- <-- NicoWork has left #linuxfr (Connexion reset by peer) <kwyxz> peer is jealous ! <shaddai> il sait pas qu'en anglais on ecrit connection pas connexion
jmd
Ce n'est peut-être pas un problème moral, mais d'hypocrisie.
De tous temps des gens ont tué pour se sortir d'une situation gênante ou embarrassante. Mais avant la légalisation, seule la femme risquait sa vie à avorter,l'homme lui était peinard. Maintenant et grâce à cette loi, homme et femme sont, question risque, presque égaux dans le crime. On ne condamne plus à mort les assassins mais juste encore les enfants non-désiré.
Bien entendus il a fallu dire que moins de x mois,c'est de la viande et au-delà un être humain. Donc moins de x mois pas un homicide et ce pour au moins deux raisons. D'abords les salauds assument rarement de l'être et puis si un loi avait dit que l'on peut tuer un être humains qui nous pose problème cela ouvre des perspective pleines de créativité en matière par ex. d'héritage concurrence commerciale,autre...;)
Ce n'est peut-être pas un problème moral, mais d'hypocrisie.
De tous temps des gens ont tué pour se sortir d'une situation gênante ou
embarrassante.
Mais avant la légalisation, seule la femme risquait sa vie à
avorter,l'homme lui était peinard.
Maintenant et grâce à cette loi, homme et femme sont, question risque,
presque égaux dans le crime.
On ne condamne plus à mort les assassins mais juste encore les enfants
non-désiré.
Bien entendus il a fallu dire que moins de x mois,c'est de la viande et
au-delà un être humain.
Donc moins de x mois pas un homicide et ce pour au moins deux raisons.
D'abords les salauds assument rarement de l'être et puis si un loi avait
dit que l'on peut tuer un être humains qui nous pose problème cela ouvre
des perspective pleines de créativité en matière par ex. d'héritage
concurrence commerciale,autre...;)
Ce n'est peut-être pas un problème moral, mais d'hypocrisie.
De tous temps des gens ont tué pour se sortir d'une situation gênante ou embarrassante. Mais avant la légalisation, seule la femme risquait sa vie à avorter,l'homme lui était peinard. Maintenant et grâce à cette loi, homme et femme sont, question risque, presque égaux dans le crime. On ne condamne plus à mort les assassins mais juste encore les enfants non-désiré.
Bien entendus il a fallu dire que moins de x mois,c'est de la viande et au-delà un être humain. Donc moins de x mois pas un homicide et ce pour au moins deux raisons. D'abords les salauds assument rarement de l'être et puis si un loi avait dit que l'on peut tuer un être humains qui nous pose problème cela ouvre des perspective pleines de créativité en matière par ex. d'héritage concurrence commerciale,autre...;)
Paul
Guillaume L. wrote:
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
Guillaume L. wrote:
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org>
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un
portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt
plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de
risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à
Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy,
Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche
arrière, porte-feuille compris.
Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait
un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs
policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
Guillaume L.
Guillaume L. wrote:
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
Bon, je pense que tu devrais méditer sur la notion de contre-exemple. Je ne nie pas le fait qu'il y a des agressions, je nie le fait que c'est systématique, comme Stéphane se plait à le faire comprendre. Tu as compris maintenant ?
Guillaume Leconte.
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
Guillaume L. wrote:
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org>
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un
portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt
plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de
risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à
Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy,
Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche
arrière, porte-feuille compris.
Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait
un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs
policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
Bon, je pense que tu devrais méditer sur la notion de contre-exemple.
Je ne nie pas le fait qu'il y a des agressions, je nie le fait que c'est
systématique, comme Stéphane se plait à le faire comprendre. Tu as compris
maintenant ?
On Tue, 11 Jan 2005 21:53:37 +0800, Stephane TOUGARD
Ceci dit, je defie quiconque de se promener dans Paris avec un portefeuille dans la poche revolver sans surveillance particuliere pdt plus d'une heure (mettez 100 Euro dans le portefeuille histoire de risquer quelque chose).
Ben zut alors, je ne comple plus le nombre de fois où je me suis baladé à Paris après minuit, du coté de Gare de l'Est, Pigalle, Place de Clichy, Barbès, etc. Jamais la moindre agression. Tous mes papiers dans la poche arrière, porte-feuille compris. Tu m'as défié. Tu as perdu. Au revoir.
Mince alors...
Alors ce matin, dans le RER A, à Aubert, vers 9h30, la femme qui avait un gros pansement sur le nez et qui semblait choquée, avec plusieurs policiers et pompiers autour, ça se trouve elle a trébuchée ...
Bon, je pense que tu devrais méditer sur la notion de contre-exemple. Je ne nie pas le fait qu'il y a des agressions, je nie le fait que c'est systématique, comme Stéphane se plait à le faire comprendre. Tu as compris maintenant ?
Guillaume Leconte.
-- You're not a beautiful and unique snowflake.
Manuel Leclerc
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
-- Using 'advanced static analysis': "cd drivers; grep copy_from_user -r ./* | grep -v sizeof", I discovered 4 exploitable vulnerabilities in a matter of 15 minutes. --Brad Spengler
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord
de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je
l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade
de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques
bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas
utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter
de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir
témoigner, etc.
--
Using 'advanced static analysis': "cd drivers; grep copy_from_user -r ./* |
grep -v sizeof", I discovered 4 exploitable vulnerabilities in a matter
of 15 minutes.
--Brad Spengler
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
-- Using 'advanced static analysis': "cd drivers; grep copy_from_user -r ./* | grep -v sizeof", I discovered 4 exploitable vulnerabilities in a matter of 15 minutes. --Brad Spengler
Irvin Probst
On 2005-01-11, Manuel Leclerc wrote:
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont sans doute fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher une heure dans Paris sans se faire voler son portefeuille dans sa poche revolver" il y a un monde, non ?
-- Irvin Probst There are 10 types of people in the world... those who understand binary and those who don't.
On 2005-01-11, Manuel Leclerc <manuel.leclerc@alussinan.org> wrote:
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord
de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je
l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade
de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques
bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas
utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter
de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir
témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont sans doute
fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher une heure dans Paris
sans se faire voler son portefeuille dans sa poche revolver" il y a un
monde, non ?
--
Irvin Probst
There are 10 types of people in the world... those who understand binary
and those who don't.
Comme quand je traversais hebdomadairement la banlieue nord de Paris au début 2004 (meme si j'étais moins à l'aise je l'avoue). Rien du tout !
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont sans doute fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher une heure dans Paris sans se faire voler son portefeuille dans sa poche revolver" il y a un monde, non ?
-- Irvin Probst There are 10 types of people in the world... those who understand binary and those who don't.
Manuel Leclerc
Manuel Leclerc wrote:
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont sans doute fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher une heure dans Paris sans se faire voler son portefeuille dans sa poche revolver" il y a un monde, non ?
Certes aussi, mais j'ai entendu il y a quelques temps une émission passionnante sur France Culture à propos de l'insécurité atteignant des niveaux effarants dans certaines villes d'Amérique du Sud gérées par des municipalités de gauche. Il y était question du paradoxe consistant à idolâtrer le Service Public et le Collectif, tout en fermant les yeux sur le summum de privatisation des espaces publiques qu'est l'abandon du contrôle de ce qui se passe dans les rues.
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade
de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant
quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux
rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue,
ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails
pour pouvoir témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont
sans doute fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher
une heure dans Paris sans se faire voler son portefeuille
dans sa poche revolver" il y a un monde, non ?
Certes aussi, mais j'ai entendu il y a quelques temps une
émission passionnante sur France Culture à propos de
l'insécurité atteignant des niveaux effarants dans certaines
villes d'Amérique du Sud gérées par des municipalités de gauche.
Il y était question du paradoxe consistant à idolâtrer le Service
Public et le Collectif, tout en fermant les yeux sur le summum
de privatisation des espaces publiques qu'est l'abandon du
contrôle de ce qui se passe dans les rues.
J'ai été récemment dans une entreprise sise près du Stade de France, et j'y ai vu une petite brochure expliquant quelques bricoles : verrouiller les portières aux feux rouges, ne pas utiliser son téléphone portable dans la rue, ne pas tenter de résister, essayer de mémoriser des détails pour pouvoir témoigner, etc.
Certes, je n'en doute pas. Mais entre ces conseils qui sont sans doute fort avisés et affirmer "on ne peut pas marcher une heure dans Paris sans se faire voler son portefeuille dans sa poche revolver" il y a un monde, non ?
Certes aussi, mais j'ai entendu il y a quelques temps une émission passionnante sur France Culture à propos de l'insécurité atteignant des niveaux effarants dans certaines villes d'Amérique du Sud gérées par des municipalités de gauche. Il y était question du paradoxe consistant à idolâtrer le Service Public et le Collectif, tout en fermant les yeux sur le summum de privatisation des espaces publiques qu'est l'abandon du contrôle de ce qui se passe dans les rues.
