histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre
à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle
souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à
l'expression de ma fictionnalisation d'autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris,
histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre
à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle
souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à
l'expression de ma fictionnalisation d'autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris,
histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre
à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle
souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à
l'expression de ma fictionnalisation d'autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris,
histoire de bien démarrer ce vendredi :
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à
nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle
souhaite laisser transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression
de ma fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
histoire de bien démarrer ce vendredi :
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à
nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle
souhaite laisser transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression
de ma fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
histoire de bien démarrer ce vendredi :
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à
nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle
souhaite laisser transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression
de ma fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
histoire de bien démarrer ce vendredi :
histoire de bien démarrer ce vendredi :
histoire de bien démarrer ce vendredi :
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
Autant lire quelques bons polars sur la question des apparences, des
légendes et du réel...
Autant lire quelques bons polars sur la question des apparences, des
légendes et du réel...
Autant lire quelques bons polars sur la question des apparences, des
légendes et du réel...
Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérité, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
Bon là dedans rien de bien nouveau (1), il y a longtemps que l'on sait
qu'en matière « artistique » la fiction est le moyen le plus sûr
d'approcher une quelconque vérité du monde.
Et bon, il ne faut pas avoir peur des textes hein.. essayez de lire du
Montaigne, du Proust, du Descarte vous verrez que ce n'est pas aussi
facile que ça non plus, et pourtant ces messieurs ne font pas partie du
milieu de l'art contemporain.
Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérité, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
Bon là dedans rien de bien nouveau (1), il y a longtemps que l'on sait
qu'en matière « artistique » la fiction est le moyen le plus sûr
d'approcher une quelconque vérité du monde.
Et bon, il ne faut pas avoir peur des textes hein.. essayez de lire du
Montaigne, du Proust, du Descarte vous verrez que ce n'est pas aussi
facile que ça non plus, et pourtant ces messieurs ne font pas partie du
milieu de l'art contemporain.
Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérité, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
Bon là dedans rien de bien nouveau (1), il y a longtemps que l'on sait
qu'en matière « artistique » la fiction est le moyen le plus sûr
d'approcher une quelconque vérité du monde.
Et bon, il ne faut pas avoir peur des textes hein.. essayez de lire du
Montaigne, du Proust, du Descarte vous verrez que ce n'est pas aussi
facile que ça non plus, et pourtant ces messieurs ne font pas partie du
milieu de l'art contemporain.
FiLH a écrit :Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe
s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérità ©, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
D'accord sur le contenu : mais convient que c'est épouvantablement m al
écrit.
Dans ton exemple tu mélanges plusieurs niveaux complétements
différents de difficultés d'approche : celles d'une langue rend ue
difficile par le fait qu'elle n'est plus de nôtre époque, celle d'une
pensée pas forcément évidente sur le plan du contenu mà ªme si la langue
est simple, et celle d'une langue moderne, mais extrême, qui peut être
rebutante.
Et qui est un matériau propre de l'Åuvre, celui du roman.
Or ici il ne s'agit pas de faire une Åuvre propre, qu'elle soit de la
philosophie ou du roman ; la langue est supposée être celle
d'aujourd'hui, éventuellement avec un niveau soutenu.
Et son but est
de donner ( je suppose ) un éclairage, des clés, dont l'Åu vre aura
besoin pour s'ouvrir plus facilement.
Le besoin de clés est constant, et présent avec l'art de toutes les
époques. Il arrive parfois, sans doute trop souvent quand il s'agit de
l'art contemporain, que ces clés fonctionnent en fermeture et non en
ouverture.
Ici comme tu dis rien de bien nouveau ni particulier non plus quand au
contenu du texte ; le contenu lui-même serait facile à comprend re s'il
n'était pas fermé par une langue qui n'est ni celle de Montaign e, ni
celle de Descartes, ni celle de Proust.
Si en plus le contenu était compliqué à comprendre, avec c e genre
d'écriture, on se retrouverais très vite dans le cas de figure n0 1 de
l'art comtemporain face au public : bébé jeté avec l'eau d u bain.
Rendre des idées complexes dans une langue simple, c'est du travail
d'écriture difficile. Rendre des idées compliquées dans un langue
obscure, c'est un peu démissionner du travail d'écriture en com ptant
sur le déchiffrage par le lecteur. C'est plus ou moins admissible
selon le contexte si c'est un livre ou une notice.
Rendre des idées simples dans une langue obscure, c'est bête ou
maladroit quand on s'adresse à un public.
FiLH a écrit :
Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe
s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérità ©, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
D'accord sur le contenu : mais convient que c'est épouvantablement m al
écrit.
Dans ton exemple tu mélanges plusieurs niveaux complétements
différents de difficultés d'approche : celles d'une langue rend ue
difficile par le fait qu'elle n'est plus de nôtre époque, celle d'une
pensée pas forcément évidente sur le plan du contenu mà ªme si la langue
est simple, et celle d'une langue moderne, mais extrême, qui peut être
rebutante.
Et qui est un matériau propre de l'Åuvre, celui du roman.
Or ici il ne s'agit pas de faire une Åuvre propre, qu'elle soit de la
philosophie ou du roman ; la langue est supposée être celle
d'aujourd'hui, éventuellement avec un niveau soutenu.
Et son but est
de donner ( je suppose ) un éclairage, des clés, dont l'Åu vre aura
besoin pour s'ouvrir plus facilement.
Le besoin de clés est constant, et présent avec l'art de toutes les
époques. Il arrive parfois, sans doute trop souvent quand il s'agit de
l'art contemporain, que ces clés fonctionnent en fermeture et non en
ouverture.
Ici comme tu dis rien de bien nouveau ni particulier non plus quand au
contenu du texte ; le contenu lui-même serait facile à comprend re s'il
n'était pas fermé par une langue qui n'est ni celle de Montaign e, ni
celle de Descartes, ni celle de Proust.
Si en plus le contenu était compliqué à comprendre, avec c e genre
d'écriture, on se retrouverais très vite dans le cas de figure n0 1 de
l'art comtemporain face au public : bébé jeté avec l'eau d u bain.
Rendre des idées complexes dans une langue simple, c'est du travail
d'écriture difficile. Rendre des idées compliquées dans un langue
obscure, c'est un peu démissionner du travail d'écriture en com ptant
sur le déchiffrage par le lecteur. C'est plus ou moins admissible
selon le contexte si c'est un livre ou une notice.
Rendre des idées simples dans une langue obscure, c'est bête ou
maladroit quand on s'adresse à un public.
FiLH a écrit :Et aucune de ces histoires n'est une vérité. Ce photographe
s'autorise
donc la fiction comme portrait car il trouve plus normal d'utiliser ce
matériel fictionnel que de jouer à approcher une vérità ©, sachant que ce
jeu n'a pas de sens.
D'accord sur le contenu : mais convient que c'est épouvantablement m al
écrit.
Dans ton exemple tu mélanges plusieurs niveaux complétements
différents de difficultés d'approche : celles d'une langue rend ue
difficile par le fait qu'elle n'est plus de nôtre époque, celle d'une
pensée pas forcément évidente sur le plan du contenu mà ªme si la langue
est simple, et celle d'une langue moderne, mais extrême, qui peut être
rebutante.
Et qui est un matériau propre de l'Åuvre, celui du roman.
Or ici il ne s'agit pas de faire une Åuvre propre, qu'elle soit de la
philosophie ou du roman ; la langue est supposée être celle
d'aujourd'hui, éventuellement avec un niveau soutenu.
Et son but est
de donner ( je suppose ) un éclairage, des clés, dont l'Åu vre aura
besoin pour s'ouvrir plus facilement.
Le besoin de clés est constant, et présent avec l'art de toutes les
époques. Il arrive parfois, sans doute trop souvent quand il s'agit de
l'art contemporain, que ces clés fonctionnent en fermeture et non en
ouverture.
Ici comme tu dis rien de bien nouveau ni particulier non plus quand au
contenu du texte ; le contenu lui-même serait facile à comprend re s'il
n'était pas fermé par une langue qui n'est ni celle de Montaign e, ni
celle de Descartes, ni celle de Proust.
Si en plus le contenu était compliqué à comprendre, avec c e genre
d'écriture, on se retrouverais très vite dans le cas de figure n0 1 de
l'art comtemporain face au public : bébé jeté avec l'eau d u bain.
Rendre des idées complexes dans une langue simple, c'est du travail
d'écriture difficile. Rendre des idées compliquées dans un langue
obscure, c'est un peu démissionner du travail d'écriture en com ptant
sur le déchiffrage par le lecteur. C'est plus ou moins admissible
selon le contexte si c'est un livre ou une notice.
Rendre des idées simples dans une langue obscure, c'est bête ou
maladroit quand on s'adresse à un public.
Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Mais bon je répondais un peu/beaucoup au « moi je n'y comprend rien, donc c'est
du pipeau incompréhensible »
Du coup je suis allé voir les photos... hum... much a do about
nothing...
Pas vraiment en accord avec le texte, pas vraiment homogène...
Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Mais bon je répondais un peu/beaucoup au « moi je n'y comprend rien, donc c'est
du pipeau incompréhensible »
Du coup je suis allé voir les photos... hum... much a do about
nothing...
Pas vraiment en accord avec le texte, pas vraiment homogène...
Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Mais bon je répondais un peu/beaucoup au « moi je n'y comprend rien, donc c'est
du pipeau incompréhensible »
Du coup je suis allé voir les photos... hum... much a do about
nothing...
Pas vraiment en accord avec le texte, pas vraiment homogène...
FiLH a écrit :Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Ce n'est pas évident ( j'aurais pardonné le photographe sans
confession si c'était écrit à la première personne ) que ce soit le
photographe qui écrive. Ça se pose comme si c'était l'analyse du site.
FiLH a écrit :
Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Ce n'est pas évident ( j'aurais pardonné le photographe sans
confession si c'était écrit à la première personne ) que ce soit le
photographe qui écrive. Ça se pose comme si c'était l'analyse du site.
FiLH a écrit :Ben oui mais il s'adresse à un public bien particulier : celui du jury
de photographie.com :)
Ce n'est pas évident ( j'aurais pardonné le photographe sans
confession si c'était écrit à la première personne ) que ce soit le
photographe qui écrive. Ça se pose comme si c'était l'analyse du site.
histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel
et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle souhaite laisser
transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous pas de cette
personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être c’est autoriser
à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la vie nous autorise à
croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A partir de ce postulat,
je m’autorise une vision du portrait assez libre de personnes qui
jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression de ma
fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour moi
ça rejoint ce qui se disait....
histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel
et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle souhaite laisser
transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous pas de cette
personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être c’est autoriser
à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la vie nous autorise à
croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A partir de ce postulat,
je m’autorise une vision du portrait assez libre de personnes qui
jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression de ma
fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour moi
ça rejoint ce qui se disait....
histoire de bien démarrer ce vendredi :
http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel
et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle souhaite laisser
transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous pas de cette
personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être c’est autoriser
à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la vie nous autorise à
croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A partir de ce postulat,
je m’autorise une vision du portrait assez libre de personnes qui
jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression de ma
fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour moi
ça rejoint ce qui se disait....