Quel risque éventuel à utiliser un flash Starblitz 3800 DEF (servi pour un
Canon AE1-P) sur le Pentax K10D?
Le flash a un sabot standard avec plot central. Les appareils en plus du
plot central disposent, pour le Canon de deux petits plots supplémentaires
et trois pour le Pentax mais visiblement sans contact avec le flash.
Je ne vois qu'un éventuel problème de tension, je n'ai pas d'infos mais j'ai
très envie d'essayer.
John
Un multimètre sans inertie garantie à vie: tes doigts!!! Si tu ne sens rien tu les mouilles.
Malheureux ! Ne fait pas ça avec mes flashs de studio !!! Déjà qu'avec des doigts secs, les 300 volts qui passent par le câble de déclenchement ça secoue pas mal le maladroit, si en plus tu les mouilles...
Tu veux refaire ta coiffure ?
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Un multimètre sans inertie garantie à vie: tes doigts!!! Si tu ne sens
rien tu les mouilles.
Malheureux ! Ne fait pas ça avec mes flashs de studio !!! Déjà qu'avec
des doigts secs, les 300 volts qui passent par le câble de déclenchement
ça secoue pas mal le maladroit, si en plus tu les mouilles...
Un multimètre sans inertie garantie à vie: tes doigts!!! Si tu ne sens rien tu les mouilles.
Malheureux ! Ne fait pas ça avec mes flashs de studio !!! Déjà qu'avec des doigts secs, les 300 volts qui passent par le câble de déclenchement ça secoue pas mal le maladroit, si en plus tu les mouilles...
Tu veux refaire ta coiffure ?
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Pierre Roche
Tu veux refaire ta coiffure ?
scud aka Bernadette ! ;-)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Tu veux refaire ta coiffure ?
scud aka Bernadette !
;-)
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Tiens au fait au début de ces posts j'avias soulevé le rpoblèe du Metz 45 CT1 qui avait marché environ 200 fois un soir en reportage sur une teuf sans dégâts, mais depuis les losts je cherche désespérément où trouver une méthode pour mesurer une éventuelle puissance de pointe de fort voltage, genre 250 volts sachant que je ne dépasse pas au vo:tmètre 8 volts au déclenchement. Par ailleurs mpas clair : Metz sur son site donne des nos de série au-dessus desquels le déclenchement par thyristor est de faible intensité ce qui est mon cas... "Tallguy" a écrit dans le message de news:
Jean-Pierre Roche wrote:
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y a aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie un impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou pas. Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et j'aimerai avoir des certitudes. John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un. Lire le message de JP Roche sur le sujet. Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était le "charbonnage" du contact et son usure. Maintenant c'est un contact électronique (un transistor), si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le transistor qui va morfler, et le reste en chaîne... Il est vrai que le flash envoie aussi des informations au boîtier par l'intermédiaire des autres plots, mais pas le plot central. J'ai par bêtise branché un metz 45CT sur un boîtier Pentax *istD... Ca n'a pas marché mais je n'ai rien mis en panne, donc pas de mal mais je ne renouvellerai pas l'expérience (je suis pourtant casse-cou en ce domaine) En revanche un petit flash bas de gamme Pentax (qu'on doit trouver d'occase à quelques euros) fonctionne sur un K10D (j'ai essayé avant-hier un "AF220T" avec un petit déflecteur de ma fabrication qui colle pile poil à mes besoins...) Par curiosité tu peux le voir là : http://cjoint.com/data/mEobSJRZ17.htm Cordialement
-- tallguy www.cordelier.eu
Tiens au fait au début de ces posts j'avias soulevé le rpoblèe du Metz 45
CT1 qui avait marché environ 200 fois un soir en reportage sur une teuf sans
dégâts, mais depuis les losts je cherche désespérément où trouver une
méthode pour mesurer une éventuelle puissance de pointe de fort voltage,
genre 250 volts sachant que je ne dépasse pas au vo:tmètre 8 volts au
déclenchement.
Par ailleurs mpas clair : Metz sur son site donne des nos de série au-dessus
desquels le déclenchement par thyristor est de faible intensité ce qui est
mon cas...
"Tallguy" <tallguy@tiscali.fr> a écrit dans le message de news:
459663FB.1050808@tiscali.fr...
Jean-Pierre Roche wrote:
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y
a
aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie
un
impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou
pas.
Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et
j'aimerai avoir des certitudes.
John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de
compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un.
Lire le message de JP Roche sur le sujet.
Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans
le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était
le "charbonnage" du contact et son usure.
Maintenant c'est un contact électronique (un transistor),
si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le
transistor qui va morfler, et le reste en chaîne...
Il est vrai que le flash envoie aussi des informations au
boîtier par l'intermédiaire des autres plots, mais pas le
plot central.
J'ai par bêtise branché un metz 45CT sur un boîtier Pentax
*istD... Ca n'a pas marché mais je n'ai rien mis en panne,
donc pas de mal mais je ne renouvellerai pas l'expérience
(je suis pourtant casse-cou en ce domaine)
En revanche un petit flash bas de gamme Pentax (qu'on doit
trouver d'occase à quelques euros) fonctionne sur un K10D
(j'ai essayé avant-hier un "AF220T" avec un petit déflecteur
de ma fabrication qui colle pile poil à mes besoins...)
Par curiosité tu peux le voir là :
http://cjoint.com/data/mEobSJRZ17.htm
Cordialement
Tiens au fait au début de ces posts j'avias soulevé le rpoblèe du Metz 45 CT1 qui avait marché environ 200 fois un soir en reportage sur une teuf sans dégâts, mais depuis les losts je cherche désespérément où trouver une méthode pour mesurer une éventuelle puissance de pointe de fort voltage, genre 250 volts sachant que je ne dépasse pas au vo:tmètre 8 volts au déclenchement. Par ailleurs mpas clair : Metz sur son site donne des nos de série au-dessus desquels le déclenchement par thyristor est de faible intensité ce qui est mon cas... "Tallguy" a écrit dans le message de news:
Jean-Pierre Roche wrote:
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y a aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie un impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou pas. Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et j'aimerai avoir des certitudes. John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un. Lire le message de JP Roche sur le sujet. Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était le "charbonnage" du contact et son usure. Maintenant c'est un contact électronique (un transistor), si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le transistor qui va morfler, et le reste en chaîne... Il est vrai que le flash envoie aussi des informations au boîtier par l'intermédiaire des autres plots, mais pas le plot central. J'ai par bêtise branché un metz 45CT sur un boîtier Pentax *istD... Ca n'a pas marché mais je n'ai rien mis en panne, donc pas de mal mais je ne renouvellerai pas l'expérience (je suis pourtant casse-cou en ce domaine) En revanche un petit flash bas de gamme Pentax (qu'on doit trouver d'occase à quelques euros) fonctionne sur un K10D (j'ai essayé avant-hier un "AF220T" avec un petit déflecteur de ma fabrication qui colle pile poil à mes besoins...) Par curiosité tu peux le voir là : http://cjoint.com/data/mEobSJRZ17.htm Cordialement
-- tallguy www.cordelier.eu
Freddy Govaerts
Salut,
"> "Tallguy" a écrit dans le message de news:
Jean-Pierre Roche wrote:
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y a aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie un impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou pas. Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et j'aimerai avoir des certitudes. John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un. Lire le message de JP Roche sur le sujet. Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était le "charbonnage" du contact et son usure. Maintenant c'est un contact électronique (un transistor), si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le transistor qui va morfler, et le reste en chaîne...
Dans la notice de mon sigma EF-500 DG super pour Canon , je lis :
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
-- tallguy www.cordelier.eu
Salut,
"> "Tallguy" <tallguy@tiscali.fr> a écrit dans le message de news:
459663FB.1050808@tiscali.fr...
Jean-Pierre Roche wrote:
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y a
aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie un
impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou pas.
Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et
j'aimerai avoir des certitudes.
John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de
compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un.
Lire le message de JP Roche sur le sujet.
Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans
le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était
le "charbonnage" du contact et son usure.
Maintenant c'est un contact électronique (un transistor),
si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le
transistor qui va morfler, et le reste en chaîne...
Dans la notice de mon sigma EF-500 DG super pour Canon , je lis :
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Le fils de mon photographe va plus loin par ailleurs et me dit qu'il n'y a aucun risque à utiliser le flash car, dit-il c'est l'appareil qui envoie un impulsion au flash et non l'inverse. En d'autres termes ou ça marche ou pas. Mais bon face aux versions je ne suis pas vraiment convaincu encore et j'aimerai avoir des certitudes. John
Ce fils de photographe n'a visiblement pas plus de compétence qu'un fils de chirurgien pour opérer quelqu'un. Lire le message de JP Roche sur le sujet. Au départ c'était un simple interrupteur mécanique dans le boîtier qui fermait un contact, le seul risque était le "charbonnage" du contact et son usure. Maintenant c'est un contact électronique (un transistor), si on lui envoie plusieurs centaines de volts c'est le transistor qui va morfler, et le reste en chaîne...
Dans la notice de mon sigma EF-500 DG super pour Canon , je lis :
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
-- tallguy www.cordelier.eu
Jean-Pierre Roche
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Freddy Govaerts
Salut,
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: ep767a$1n2v$
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Salut,
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de news: ep767a$1n2v$1@talisker.lacave.net...
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash
comprend des circuits électroniques à haut voltage.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: ep767a$1n2v$
Ce flash comprend des circuits électroniques à haut voltage ...
Oui car sinon ce serait une loupiote, pas un flash...
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jean-Pierre Roche
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
Ca n'a rien à voir... C'est comme si vous me disiez qu'on ne peut toucher aucun appareil branché sur une prise murale car il comprend des circuits à haut voltage... On sait réduire une tension et aussi réaliser une isolation complète entre des circuits haute tension et des circuits basse tension. Je ne vois pas trop où vous voulez en venir...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash
comprend des circuits électroniques à haut voltage.
Ca n'a rien à voir... C'est comme si vous me disiez qu'on ne
peut toucher aucun appareil branché sur une prise murale car
il comprend des circuits à haut voltage... On sait réduire
une tension et aussi réaliser une isolation complète entre
des circuits haute tension et des circuits basse tension.
Je ne vois pas trop où vous voulez en venir...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
Ca n'a rien à voir... C'est comme si vous me disiez qu'on ne peut toucher aucun appareil branché sur une prise murale car il comprend des circuits à haut voltage... On sait réduire une tension et aussi réaliser une isolation complète entre des circuits haute tension et des circuits basse tension. Je ne vois pas trop où vous voulez en venir...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jean-Claude Ghislain
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé (souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans un tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou 5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse sur les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens, comme sur mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement des coups de jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus conçus pour supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme
quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend
des circuits électroniques à haut voltage.
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé
(souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans un
tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a
également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou
5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut
être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse sur
les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens, comme sur
mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement des coups de
jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus conçus pour
supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir:
http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable
(avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et
prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300
volts dans les pattes, ça secoue...
D'accord, mais ce que je voulais montrer, c'est que l'argument comme quoi le transistor allait morfler est faux puisque le flash comprend des circuits électroniques à haut voltage.
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé (souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans un tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou 5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse sur les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens, comme sur mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement des coups de jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus conçus pour supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
John Kelly
Jean-Claude Ghislain wrote:
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé (souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans un tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou 5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse sur les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens, comme sur mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement des coups de jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus conçus pour supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
As-tu réalisé un tel montage? John
Jean-Claude Ghislain wrote:
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé
(souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans
un tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a
également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou
5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut
être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse
sur les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens,
comme sur mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement
des coups de jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus
conçus pour supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on
peut s'en sortir:
http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable
(avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et
prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300
volts dans les pattes, ça secoue...
Le principe d'un flash, c'est un condensateur, préalablement chargé (souvent aux environs de 300 volts) qui se décharge brutalement dans un tube à éclat. Pour faire démarrer la réaction dans le tube, il y a également un courant d'amorçage, un bref pic qui peut monter à 4000 ou 5000 volts. On peut dire qu'il y a là de la haute tension !
Au niveau de la commande de déclenchement, la tension aux bornes peut être très variable suivant les modèles, elle est généralement basse sur les flashs actuels et haute (+/- 300 volts) sur les anciens, comme sur mes vieux Bowens de Studio qui me foutaient régulièrement des coups de jus ! Les boîtiers modernes ne sont généralement plus conçus pour supporter un tel voltage, mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
As-tu réalisé un tel montage? John
Den
...
mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
As-tu réalisé un tel montage? John
Bonjour,
Pour ma part, j'avais essayé un montage proposé par la revue Elektor, avec un monostable, déclenché par le flash d'un compact, qui déclenchait à son tour un flash récupéré sur un jetable. Ca marchait bien au niveau du proto, mais pour faire un ensemble propre et pas volumineux, c'est beaucoup plus difficile. Pour éviter de prendre une bonne secousse, il suffit de déclencher le flash une fois qu'on a enlevé les piles.
Cordialement, Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
...
mais si on est bricoleur, on
peut s'en sortir:
http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable
(avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et
prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300
volts dans les pattes, ça secoue...
As-tu réalisé un tel montage?
John
Bonjour,
Pour ma part, j'avais essayé un montage proposé par la revue Elektor,
avec un monostable, déclenché par le flash d'un compact, qui déclenchait
à son tour un flash récupéré sur un jetable. Ca marchait bien au niveau
du proto, mais pour faire un ensemble propre et pas volumineux, c'est
beaucoup plus difficile.
Pour éviter de prendre une bonne secousse, il suffit de déclencher le
flash une fois qu'on a enlevé les piles.
Cordialement,
Den
--
Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
mais si on est bricoleur, on peut s'en sortir: http://www.nikonpassion.com/modules/smartsection/item.php?itemid
Pour étudier un flash électronique, rien de tel qu'un appareil jetable (avec flash, oeuf corse), mais faut faire gaffe au condensateur et prendre soin de le décharger avant de le manipuler, parce que les 300 volts dans les pattes, ça secoue...
As-tu réalisé un tel montage? John
Bonjour,
Pour ma part, j'avais essayé un montage proposé par la revue Elektor, avec un monostable, déclenché par le flash d'un compact, qui déclenchait à son tour un flash récupéré sur un jetable. Ca marchait bien au niveau du proto, mais pour faire un ensemble propre et pas volumineux, c'est beaucoup plus difficile. Pour éviter de prendre une bonne secousse, il suffit de déclencher le flash une fois qu'on a enlevé les piles.
Cordialement, Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.