Je viens d'acquérir une sonde de calibrage Qubyx Kleo.
Avant le calibrage, il faut d'abord régler le contraste au maximum
(comme pour Adobe gamma que j'utilisais avant, d'ailleurs).
Seulement, avec le contraste au maximum et même après avoir réglé
la luminosité, je trouve que ça fait encore trop lumineux et ça
fatigue la vue assez vite. La doc dit que si on modifie les valeurs de
contraste et de luminosité il faut alors refaire le calibrage.
Est-ce que refaire le calibrage avec un réglage du contraste moins
fort au départ est une bonne démarche ou pas ?
Quelqu'un a t'il déjà eu cette situation à gérer ?
D'autre part, l'adobe gamma étant chargé au démarrage de windows,
faut-il laisser comme cela ou le retirer du dossier de démarrage quand
on utilise une sonde de calibrage ?
Mmmm ! On la perd bien avant. La norme ISO-quelque chose pour les arts graphiques dit 32 lux. Pas gras!
C'est exact. À la maison j'ai environ 35 lux qui arrivent sur mon écran de retouche, par contre, au boulot, j'ai dans les 350 lux qui arrivent sur l'écran et c'est trop. Mais les patrons ont tendance à nous mettre de l'éclairage pour qu'on puisse bien voir ce qui se passe sur l'écran ;-))
Pour faire trop rapidemment un peu de prévention. C'est un peu hors sujet mais ...
Quantité de lumière : 200 lux, c'est la lumière idéale pour un poste de travail bureautique. Un complément de lumière peut-être apporté par une lampe d'appoint.
Qualité de la lumière : il ne doit pas y avoir de reflet de source de lumière (naturelle ou artificielle) sur l'écran. Par conséquent les écrans doivent être positionnés, de façon privilégiée, perpendiculairement aux fenêtres. Quand aux sources de lumières, elles ne doivent pas être élouissantes. Ensuite s'il s'agit de vérifier le travail d'impression, il peut être utile d'avoir plus de lumière et surtout de s'intéresser à la température de la lumière ambiante. Je n'ai pas les données, mais je peux me renseigner.
Les erreurs à éviter : - écran contre un mur ==> l'accomodation visuelle n'est faite que sur une distance identique et sollicite de façon identique les petits muscles qui permettent cette accomodation. Donc fatigue visuelle. L'oeil doit pouvoir sereposer en accomodant à différentes distances (évidemment ne pas oublier les pauses ... ne pas attendre d'avoir les yeux qui pleurent ...) - écran face aux fenêtres ==> reflets, gêne ophtalmique voire baisse d'acuité visuelle - écran dos aux fenêtres ==> problèmes de contraste moniteur / lumière extérieur, fatigue visuelle - trop peu d'éclairage dans la pièce ==> problème de contraste moniteur / lumière ambiante, fatigue visuelle - écran trop haut ou trop bas par rapport aux yeux (et de façon générale, poste de travail inadapté) ==> troubles musculo-squelettiques.
Un truc qui est très bien pour garder une certaine luminosité dans une pièce tout en évitant une lumière extérieure trop aveuglante, mieux que les rideaux (car c'est du "tout ou rien"), ce sont les stores à lamelles (de préférence clairs).
Je vous invite à consulter le site web de l'INRS (www.inrs.fr) pour plus d'infos sur ce genre de question.
Sébastien.
Hello,
Mmmm ! On la perd bien avant. La norme ISO-quelque chose pour les arts
graphiques dit 32 lux. Pas gras!
C'est exact. À la maison j'ai environ 35 lux qui arrivent sur mon écran
de retouche, par contre, au boulot, j'ai dans les 350 lux qui arrivent
sur l'écran et c'est trop. Mais les patrons ont tendance à nous mettre
de l'éclairage pour qu'on puisse bien voir ce qui se passe sur l'écran
;-))
Pour faire trop rapidemment un peu de prévention. C'est un peu hors
sujet mais ...
Quantité de lumière : 200 lux, c'est la lumière idéale pour un poste de
travail bureautique. Un complément de lumière peut-être apporté par une
lampe d'appoint.
Qualité de la lumière : il ne doit pas y avoir de reflet de source de
lumière (naturelle ou artificielle) sur l'écran. Par conséquent les
écrans doivent être positionnés, de façon privilégiée,
perpendiculairement aux fenêtres. Quand aux sources de lumières, elles
ne doivent pas être élouissantes. Ensuite s'il s'agit de vérifier le
travail d'impression, il peut être utile d'avoir plus de lumière et
surtout de s'intéresser à la température de la lumière ambiante. Je n'ai
pas les données, mais je peux me renseigner.
Les erreurs à éviter :
- écran contre un mur ==> l'accomodation visuelle n'est faite que sur
une distance identique et sollicite de façon identique les petits
muscles qui permettent cette accomodation. Donc fatigue visuelle. L'oeil
doit pouvoir sereposer en accomodant à différentes distances (évidemment
ne pas oublier les pauses ... ne pas attendre d'avoir les yeux qui
pleurent ...)
- écran face aux fenêtres ==> reflets, gêne ophtalmique voire baisse
d'acuité visuelle
- écran dos aux fenêtres ==> problèmes de contraste moniteur / lumière
extérieur, fatigue visuelle
- trop peu d'éclairage dans la pièce ==> problème de contraste moniteur
/ lumière ambiante, fatigue visuelle
- écran trop haut ou trop bas par rapport aux yeux (et de façon
générale, poste de travail inadapté) ==> troubles musculo-squelettiques.
Un truc qui est très bien pour garder une certaine luminosité dans une
pièce tout en évitant une lumière extérieure trop aveuglante, mieux que
les rideaux (car c'est du "tout ou rien"), ce sont les stores à lamelles
(de préférence clairs).
Je vous invite à consulter le site web de l'INRS (www.inrs.fr) pour plus
d'infos sur ce genre de question.
Mmmm ! On la perd bien avant. La norme ISO-quelque chose pour les arts graphiques dit 32 lux. Pas gras!
C'est exact. À la maison j'ai environ 35 lux qui arrivent sur mon écran de retouche, par contre, au boulot, j'ai dans les 350 lux qui arrivent sur l'écran et c'est trop. Mais les patrons ont tendance à nous mettre de l'éclairage pour qu'on puisse bien voir ce qui se passe sur l'écran ;-))
Pour faire trop rapidemment un peu de prévention. C'est un peu hors sujet mais ...
Quantité de lumière : 200 lux, c'est la lumière idéale pour un poste de travail bureautique. Un complément de lumière peut-être apporté par une lampe d'appoint.
Qualité de la lumière : il ne doit pas y avoir de reflet de source de lumière (naturelle ou artificielle) sur l'écran. Par conséquent les écrans doivent être positionnés, de façon privilégiée, perpendiculairement aux fenêtres. Quand aux sources de lumières, elles ne doivent pas être élouissantes. Ensuite s'il s'agit de vérifier le travail d'impression, il peut être utile d'avoir plus de lumière et surtout de s'intéresser à la température de la lumière ambiante. Je n'ai pas les données, mais je peux me renseigner.
Les erreurs à éviter : - écran contre un mur ==> l'accomodation visuelle n'est faite que sur une distance identique et sollicite de façon identique les petits muscles qui permettent cette accomodation. Donc fatigue visuelle. L'oeil doit pouvoir sereposer en accomodant à différentes distances (évidemment ne pas oublier les pauses ... ne pas attendre d'avoir les yeux qui pleurent ...) - écran face aux fenêtres ==> reflets, gêne ophtalmique voire baisse d'acuité visuelle - écran dos aux fenêtres ==> problèmes de contraste moniteur / lumière extérieur, fatigue visuelle - trop peu d'éclairage dans la pièce ==> problème de contraste moniteur / lumière ambiante, fatigue visuelle - écran trop haut ou trop bas par rapport aux yeux (et de façon générale, poste de travail inadapté) ==> troubles musculo-squelettiques.
Un truc qui est très bien pour garder une certaine luminosité dans une pièce tout en évitant une lumière extérieure trop aveuglante, mieux que les rideaux (car c'est du "tout ou rien"), ce sont les stores à lamelles (de préférence clairs).
Je vous invite à consulter le site web de l'INRS (www.inrs.fr) pour plus d'infos sur ce genre de question.
