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vérifier la dispo d'un nom de domaine expiré

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Olivier Masson
Bonjour,

existe-t-il un outil qui envoie un mail lorsqu'un domaine est disponible
? Histoire de ne pas faire tourner un script qui vérifie toutes les
heures le whois (sachant que les infos du whois ne sont probablement pas
mis à jour instantanément).

Merci.

10 réponses

1 2
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Patrick Mevzek
existe-t-il un outil qui envoie un mail lorsqu'un domaine est disponible


Il y a des services web qui enregistrent le domaine dès qu'il est
disponible pour vous le confier après (contre paiement bien sûr).
Parce qu'envoyer un email, au moment où vous le recevez, le domaine aura
peut-être déjà été déposé en fait.

Chercher du côté de toutes les sociétés qui s'occupent du «second»
marché comme on dit, vous trouverez ce genre de services.

? Histoire de ne pas faire tourner un script qui vérifie toutes les
heures le whois (sachant que les infos du whois ne sont probablement pas
mis à jour instantanément).


Le whois n'est PAS, n'a JAMAIS été, ne sera JAMAIS, un outil de
vérification de disponibilité des noms de domaine.

--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/&gt; <http://www.dotandco.com/&gt;

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Spyou
"Patrick Mevzek" a écrit dans le message de
news:
Le whois n'est PAS, n'a JAMAIS été, ne sera JAMAIS, un outil de
vérification de disponibilité des noms de domaine.


Faut jamais dire jamais :)

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Patrick Mevzek
Le whois n'est PAS, n'a JAMAIS été, ne sera JAMAIS, un outil de
vérification de disponibilité des noms de domaine.


Faut jamais dire jamais :)


Le whois, tel qu'il existe à l'heure actuelle sera remplacé par d'autres
outils en cours de finalisation à l'IETF. Je doute donc que le whois
actuel soit maintenu dans le futur...
Le nom risque de perdurer par contre.

--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/&gt; <http://www.dotandco.com/&gt;


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T0aD

Le whois n'est PAS, n'a JAMAIS été, ne sera JAMAIS, un outil de
vérification de disponibilité des noms de domaine.


Faut jamais dire jamais :)


Le whois, tel qu'il existe à l'heure actuelle sera remplacé par d'aut res
outils en cours de finalisation à l'IETF. Je doute donc que le whois
actuel soit maintenu dans le futur...
Le nom risque de perdurer par contre.



Bonjour,

Je me disais bien qu'il y avait un peu de 'pédance' derrière ce ton
hystérique :)
Cela dit quels sont les moyens pour vérifier la disponibilité d'un
nom de domaine à l'heure actuelle ? Parce que partout on voit whois
mais mis à part ca...

Je relance la question étant moi-même intéressé par des services -
gratuits, on va faire le pingre - de notification par email lorsqu'un
domaine expire. Merci :)

Bonne fin de journée à tous



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Patrick Mevzek
Je me disais bien qu'il y avait un peu de 'pédance' derrière ce ton
hystérique :)


Moi, pédant et hystérique :-) ?

Cela dit quels sont les moyens pour vérifier la disponibilité d'un
nom de domaine à l'heure actuelle ?


Chaque registre met à disposition, aux bureaux, et parfois au public, les
outils faits pour cela.

D'abord, lors de la réservation d'un nom de domainte, tant via RRP que
EPP (les deux protocoles les plus utilisés car standards d'interconnexion
entre bureaux et registres) il y a une commande spécifique (domain:check)
qui permet à un bureau donc de savoir si le domaine existe ou non : c'est
une vérification temps réel dans les bases temps réel en production du
registre, donc à l'instant t de la réponse, la réponse est valide, bref
tout le contraire du whois quand il est utilisé dans cette optique.
Tout bureau d'enregistrement un peu sensé fait cette vérification au
moins une fois lors du processus d'achat.
Donc, un des moyens de vérifier, c'est de tenter un achat... sans aller
jusqu'au bout. Et de préférence chez un bureau dans lequel on a
confiance (s'il en existe), puisque on ne sait jamais dans quelles mains
ces données de profilage peuvent tomber.

Rien n'empêcherait d'ailleurs un bureau de fournir un accès direct à
une interface faisant cela, en dehors du processus d'achat. Je ne connais
pas les 700 bureaux (enfin les 200 ou 250 réellement existants) à ce
niveau, mais je doute que cette interface existe dans la grande majorité
des cas.

Au-delà de cela, certains registres fournissent une *autre* interface,
encore une fois pour les bureaux, pour uniquement vérifier la
disponibilité d'un nom. Cela arrive en particulier avec les registres
n'utilisant pas RRP ou EPP (syndrome NIH le plus souvent), ou ceux qui ont
des chartes de nommage et donc toutes les combinaisons techniquement
autorisées ne sont pas forcément disponibles.
Par exemple, en .FR il y a une interface SOAP (un web service pour les
marketeux) qui permet cela... mais c'est réservé aux bureaux.

Pareil, rien n'empêche un bureau de fournir un accès à cette interface
pour ses clients.

Dans certains cas, l'équivalent est accessible au public. Par exemple, le
.BE et le .EU ont le DAS, Domain Availability Service, que n'importe qui
peut interroger. C'est un whois light si vous voulez, vous lui donnez un
nom il vous dit juste s'il est déposé, réservé, ou disponible. Aucune
information personnelle.

Donc, oui, cela peut être difficile de vérifier la *véritable*
disponibilité d'un nom de domaine, et surtout cela dépend du TLD. Mais
je fais partie des gens qui pensent que ce n'est pas parce que c'est
difficile qu'il faut tout balayer d'un revers de la main et dire aux
clients : utiliser le whois (ce qui est une erreur sémantique - mauvais
outils - et technique - les whois sont surchargés de demandes en boucle
d'où filtrages, captchas, etc... bref on retrouve les mêmes problèmes
que dans le monde des emails avec le spam).

Accessoirement, ce sujet est abordé régulièrement dans ce groupe,
cherchez les archives vous y retrouverez plusieurs fois ma prose pédante
et hystérique sur ce même point.

De plus, pour revenir sur le coeur en s'écartant des aspects techniques,
si vous parlez des gTLDs, il faut savoir qu'il y a des sociétés qui ne
font *que* déposer les domaines après expiration, et ce très rapidement.
Des logiciels spécifiques ont été créés. Pourquoi pensez-vous par
exemple qu'Enom a créé 50 structures (46 qui ont Enom directement dans
le nom à mon dernier comptage, et il faut en ajouter d'autres qui se
cachant sous d'autres noms), toutes accréditées par l'ICANN ? Donc, il
est très difficile pour un particulier, voire impossible, d'espèrer
récupérer un nom de domaine en attendant son expiration. Les solutions
qui marchent et qui s'imposent sont :
- changer de nom de domaine ou de
TLD (plus c'est ésotérique et peu référencé, plus cela a de chances
de n'intéresser personne)
- si on y tient absolument, prendre un service de réservation (ou plus
précisément de tentative de réservation) de noms de domaine à
expiration. Il y en a plusieurs, cf ma piste déjà évoqué des acteurs
du second marché, mais bien sûr cela sera plus cher qu'un dépôt normal.
Et vous financez ainsi ce marché de «rapaces» donc à vous de voir si
vous voulez leur donner de l'argent
- et, accessoirement, ne pas oublier de renouveler ses propres noms.

Parce que partout on voit whois mais mis à part ca...


Ce n'est pas parce qu'un mensonge est repris partout qu'il en devient une
vérité.
Et si les bureaux d'enregistrement les premiers font l'erreur cela ne fait
que montrer le degré de professionnalisme qu'on peut leur accorder.
Certains ne comprennent même pas ce qu'ils font, d'autre ne veulent pas
développer le nécessaire en plus du whois (car l'interface whois chez
les bureaux d'enregistrement est contractuellement obligatoire - une autre
hérésie des contrats, notamment très stupide dans le cas des registres
contenant les données personnelles donc où le whois n'est pas
distribué), par manque de temps ou de compétences, d'autres suivent tout
simplement la marche et font comme tout le monde.

Je relance la question étant moi-même intéressé par des services -
gratuits, on va faire le pingre - de notification par email lorsqu'un
domaine expire. Merci :)


Je ne peux pas citer de noms, d'autant que je suis juge et partie sur les
deux questions de votre message.

--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/&gt; <http://www.dotandco.com/&gt;

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Olivier Masson

Moi, pédant et hystérique :-) ?


Quoiqu'il en soit, merci pour cette réponse détaillée.

Donc, un des moyens de vérifier, c'est de tenter un achat... sans aller
jusqu'au bout. Et de préférence chez un bureau dans lequel on a
confiance (s'il en existe), puisque on ne sait jamais dans quelles mains
ces données de profilage peuvent tomber.


Si j'utilise curl sous php pour envoyer ma requête, par exemple à gandi
ou ovh ; je lis la réponse qu'ils me donnent ; si c'est ok, je peux
considéré (au moins davantage qu'une requête whois) que le domaine est
dispo ?

cachant sous d'autres noms), toutes accréditées par l'ICANN ? Donc, il
est très difficile pour un particulier, voire impossible, d'espèrer
récupérer un nom de domaine en attendant son expiration. Les solutions


Je ne vois pas bien comment ces boites arrivent à gagner du fric en
achetant des artisansdelaloire.com par dizaines de milliers.

J'ai été ébahi de voir que le nom d'un de mes clients, loin d'être
courant, été squatté (seek.com -> buydomains.com) et donc en vente (min
$800, jamais eu le montant finale puisque j'ai donné une adresse jetable).

qui marchent et qui s'imposent sont :
- changer de nom de domaine ou de
TLD (plus c'est ésotérique et peu référencé, plus cela a de chances
de n'intéresser personne)
- si on y tient absolument, prendre un service de réservation (ou plus
précisément de tentative de réservation) de noms de domaine à
expiration. Il y en a plusieurs, cf ma piste déjà évoqué des acteurs
du second marché, mais bien sûr cela sera plus cher qu'un dépôt normal.
Et vous financez ainsi ce marché de «rapaces» donc à vous de voir si
vous voulez leur donner de l'argent


Je suis d'accord. Je n'avais pas compris comment fonctionner les sites
tels que domaintoolbox mais je n'ai aucune envie de passer par là.

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Patrick Mevzek
Donc, un des moyens de vérifier, c'est de tenter un achat... sans aller
jusqu'au bout. Et de préférence chez un bureau dans lequel on a
confiance (s'il en existe), puisque on ne sait jamais dans quelles mains
ces données de profilage peuvent tomber.


Si j'utilise curl sous php pour envoyer ma requête, par exemple à gandi
ou ovh ; je lis la réponse qu'ils me donnent ; si c'est ok, je peux
considéré (au moins davantage qu'une requête whois) que le domaine est
dispo ?


Si votre prestataire fait effectivement une vérification comme expliquée
précédemment au registre, oui. Là, pour le coup, impossible de le
savoir à 100% de l'extérieur, donc il faudra lui demander, espérer
qu'il comprenne votre question, et ne réponde pas à côté de la plaque.

cachant sous d'autres noms), toutes accréditées par l'ICANN ? Donc,
il est très difficile pour un particulier, voire impossible,
d'espèrer récupérer un nom de domaine en attendant son expiration.
Les solutions


Je ne vois pas bien comment ces boites arrivent à gagner du fric en
achetant des artisansdelaloire.com par dizaines de milliers.


En récupérant le trafic précédant et en mettant des portails avec de
la publicité, par exemple.
Et aussi en revendant le domaine au propriétaire «légitime». Vu le
prix d'achat d'un domaine, il suffit d'avoir un bon portefeuille
diversifié et quelques opérations juteuses dans l'année pour
rentabiliser le tout.

--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/&gt; <http://www.dotandco.com/&gt;


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T0aD
Cher patrick,

Vous êtes de loin mon pédant préféré si toutefois pédant vous
êtes :)

Merci pour cette mine d'informations, reste à trouver des sites où
ces outils sont fournis à un plus large public.

Bonne journée à tous




Je me disais bien qu'il y avait un peu de 'pédance' derrière ce ton
hystérique :)


Moi, pédant et hystérique :-) ?

Cela dit quels sont les moyens pour vérifier la disponibilité d'un
nom de domaine à l'heure actuelle ?


Chaque registre met à disposition, aux bureaux, et parfois au public, l es
outils faits pour cela.

D'abord, lors de la réservation d'un nom de domainte, tant via RRP que
EPP (les deux protocoles les plus utilisés car standards d'interconnexi on
entre bureaux et registres) il y a une commande spécifique (domain:chec k)
qui permet à un bureau donc de savoir si le domaine existe ou non : c'e st
une vérification temps réel dans les bases temps réel en production du
registre, donc à l'instant t de la réponse, la réponse est valide, bref
tout le contraire du whois quand il est utilisé dans cette optique.
Tout bureau d'enregistrement un peu sensé fait cette vérification au
moins une fois lors du processus d'achat.
Donc, un des moyens de vérifier, c'est de tenter un achat... sans aller
jusqu'au bout. Et de préférence chez un bureau dans lequel on a
confiance (s'il en existe), puisque on ne sait jamais dans quelles mains
ces données de profilage peuvent tomber.

Rien n'empêcherait d'ailleurs un bureau de fournir un accès direct à
une interface faisant cela, en dehors du processus d'achat. Je ne connais
pas les 700 bureaux (enfin les 200 ou 250 réellement existants) à ce
niveau, mais je doute que cette interface existe dans la grande majorit é
des cas.

Au-delà de cela, certains registres fournissent une *autre* interface,
encore une fois pour les bureaux, pour uniquement vérifier la
disponibilité d'un nom. Cela arrive en particulier avec les registres
n'utilisant pas RRP ou EPP (syndrome NIH le plus souvent), ou ceux qui ont
des chartes de nommage et donc toutes les combinaisons techniquement
autorisées ne sont pas forcément disponibles.
Par exemple, en .FR il y a une interface SOAP (un web service pour les
marketeux) qui permet cela... mais c'est réservé aux bureaux.

Pareil, rien n'empêche un bureau de fournir un accès à cette interf ace
pour ses clients.

Dans certains cas, l'équivalent est accessible au public. Par exemple, le
.BE et le .EU ont le DAS, Domain Availability Service, que n'importe qui
peut interroger. C'est un whois light si vous voulez, vous lui donnez un
nom il vous dit juste s'il est déposé, réservé, ou disponible. Au cune
information personnelle.

Donc, oui, cela peut être difficile de vérifier la *véritable*
disponibilité d'un nom de domaine, et surtout cela dépend du TLD. Mais
je fais partie des gens qui pensent que ce n'est pas parce que c'est
difficile qu'il faut tout balayer d'un revers de la main et dire aux
clients : utiliser le whois (ce qui est une erreur sémantique - mauvais
outils - et technique - les whois sont surchargés de demandes en boucle
d'où filtrages, captchas, etc... bref on retrouve les mêmes problè mes
que dans le monde des emails avec le spam).

Accessoirement, ce sujet est abordé régulièrement dans ce groupe,
cherchez les archives vous y retrouverez plusieurs fois ma prose pédante
et hystérique sur ce même point.

De plus, pour revenir sur le coeur en s'écartant des aspects techniques,
si vous parlez des gTLDs, il faut savoir qu'il y a des sociétés qui ne
font *que* déposer les domaines après expiration, et ce très rapide ment.
Des logiciels spécifiques ont été créés. Pourquoi pensez-vous p ar
exemple qu'Enom a créé 50 structures (46 qui ont Enom directement dans
le nom à mon dernier comptage, et il faut en ajouter d'autres qui se
cachant sous d'autres noms), toutes accréditées par l'ICANN ? Donc, il
est très difficile pour un particulier, voire impossible, d'espèrer
récupérer un nom de domaine en attendant son expiration. Les solutions
qui marchent et qui s'imposent sont :
- changer de nom de domaine ou de
TLD (plus c'est ésotérique et peu référencé, plus cela a de cha nces
de n'intéresser personne)
- si on y tient absolument, prendre un service de réservation (ou plus
précisément de tentative de réservation) de noms de domaine à
expiration. Il y en a plusieurs, cf ma piste déjà évoqué des acte urs
du second marché, mais bien sûr cela sera plus cher qu'un dépôt n ormal.
Et vous financez ainsi ce marché de «rapaces» donc à vous de voir si
vous voulez leur donner de l'argent
- et, accessoirement, ne pas oublier de renouveler ses propres noms.

Parce que partout on voit whois mais mis à part ca...


Ce n'est pas parce qu'un mensonge est repris partout qu'il en devient une
vérité.
Et si les bureaux d'enregistrement les premiers font l'erreur cela ne fait
que montrer le degré de professionnalisme qu'on peut leur accorder.
Certains ne comprennent même pas ce qu'ils font, d'autre ne veulent pas
développer le nécessaire en plus du whois (car l'interface whois chez
les bureaux d'enregistrement est contractuellement obligatoire - une autre
hérésie des contrats, notamment très stupide dans le cas des regist res
contenant les données personnelles donc où le whois n'est pas
distribué), par manque de temps ou de compétences, d'autres suivent t out
simplement la marche et font comme tout le monde.

Je relance la question étant moi-même intéressé par des service s -
gratuits, on va faire le pingre - de notification par email lorsqu'un
domaine expire. Merci :)


Je ne peux pas citer de noms, d'autant que je suis juge et partie sur les
deux questions de votre message.

--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/&gt; <http://www.dotandco.com/&gt;



Avatar
Olivier Masson

Si votre prestataire fait effectivement une vérification comme expliquée
précédemment au registre, oui. Là, pour le coup, impossible de le
savoir à 100% de l'extérieur, donc il faudra lui demander, espérer
qu'il comprenne votre question, et ne réponde pas à côté de la plaque.



Oui donc pas ovh déjà :) dont l'habitude est de me répondre précisément
à côté de la plaque.

En récupérant le trafic précédant et en mettant des portails avec de
la publicité, par exemple.
Et aussi en revendant le domaine au propriétaire «légitime». Vu le
prix d'achat d'un domaine, il suffit d'avoir un bon portefeuille
diversifié et quelques opérations juteuses dans l'année pour
rentabiliser le tout.



Oui, je me doute, mais vu le nombre de domaine qu'ils achètent, je
trouve ça dingue. Il y a donc des gens qui cliquent sur leurs pubs ?
Remarquez, qd on lit les chiffres de la fraude par phishing/pharming, on
se rend bien compte du problème.
Idem avec ses sites internet bourrés de photos libres de droit avec des
gars (1 femme, 1 noir, 1 asiatique, 1 caucasien) qui bossent dur et
juste ce qu'il faut de profondeur de champ... pour un EI ou une SARL de
2 potes en tee-shirt pourris (là, ça doit toucher du monde :))

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Olivier Masson

Stricto sensu, si quelqu'un répond toujours précisément à côté de la
plaque, c'est qu'il comprend vos questions.

Parce que s'il ne les comprenait pas, et qu'il répondrait donc au
hasard, statistiquement il devrait ne pas répondre à côté de la plaque
de temps en temps.

Ça n'aide pas, cependant, nous sommes d'accord là dessus :)


Je sentais que le 'précisément' allait attirer des commentaires ;)

Mais non, parfois ils répondent simplement 'Monsieur, nou avon bien prit
en compte votre remarque. Malheuresement, cette possibilité n'est pas
envisajé. Peu-être biento. Merci'. Ce qui est aussi une façon d'être à
côté de la plaque.

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