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La ville de Münich abandonne Linux pour Windows

53 réponses
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P4nd1-P4nd4
Le P4nd4 l'avait prédit depuis longtemps:

-> Cela ne pouvait pas fonctionner !

QU'est-ce equi pouvait bien justifier d'avoir 20 000 postes sous Linux
et 10 000 sous Windows ?

DOubler les équipes et la connaissance, multiplier la complexité, et
tout cela pourquoi ?

Rien...

Linux ne sera jamais sur le desktop, car il n'y aura jamais l'offre
applivative nécessaire.

Il faut le savoir...

C'est d'ailleurs la même chose pour Windows ARM sur les téléphones
mobiles...

Raisons invoquées:

- Gros problèmes de pilotes, notamment d'impression
- Incompatibilité applicative

C'est assez drôle, c'est exactement ce que le Linuxien disait de
Windows !

Et voilà, Linux n'a pas fait mieux, mais tellement moins bien que cela
est complètement partit en cacahuète ;>)

10 réponses

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zeLittle
Le Tue, 28 Nov 2017 19:29:44 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écr it:
zeLittle a pensé très fort :
Le Tue, 28 Nov 2017 09:33:05 +0100, Yves a écr it:
Le troll c'est "5% de desktop", Steam s'utilise pas en ligne de
commande

Je connais une stat. sérieuse qui donne 5%. Mais je te la donner ai pas
car le troll, ce sont ces études menées sur des panels de s ociétés non
divulguées, dont ont ne sait pas de quelle(s) activité(s) e lles sont
représentatives (développement web, développement desk top, CAD, fermes
de stockages, ...), si tant soit qu'elles le soient, et qui pas
conséquent ne peuvent pas donner de marge d'erreurs, car le % de
desktop au niveau mondial est finalement un chiffre pifomètre,
extrapolé par rapport à petit échantillonnage.
Tiens: est-ce que les Linux-desktop qui sont en train de remplacer le s
XP dans l'administration chinoises ont été comptabilisé s?

MS a développé une version de Win10 spécialement pour l e gouvernement
CHinois...Basée sur la LTSB

Ta source s.t.p?
Voici la mienne qui dit qu'un fork Ubuntu a déjà été spécialement
développé pour le même gouvernement chinois:
https://www.developpez.com/actu/53267/Ubuntu-devient-l-OS-officiel-de-la -Chine-les-autorites-et-Canonical-annoncent-Kylin-une-variante-de-la-dis tribution-Linux-prevue-pour-avril/
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cauchemar
Slt,
Le mercredi 29 novembre 2017 11:09:38 UTC+1, zeLittle a écrit :
Le Tue, 28 Nov 2017 19:29:44 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écri t:
zeLittle a pensé très fort :
Le Tue, 28 Nov 2017 09:33:05 +0100, Yves a écri t:
Le troll c'est "5% de desktop", Steam s'utilise pas en ligne de
commande

Je connais une stat. sérieuse qui donne 5%. Mais je te la donnera i pas
car le troll, ce sont ces études menées sur des panels de so ciétés non
divulguées, dont ont ne sait pas de quelle(s) activité(s) el les sont
représentatives (développement web, développement deskt op, CAD, fermes
de stockages, ...), si tant soit qu'elles le soient, et qui pas
conséquent ne peuvent pas donner de marge d'erreurs, car le % de
desktop au niveau mondial est finalement un chiffre pifomètre,
extrapolé par rapport à petit échantillonnage.
Tiens: est-ce que les Linux-desktop qui sont en train de remplacer les
XP dans l'administration chinoises ont été comptabilisé s?

MS a développé une version de Win10 spécialement pour le gouvernement
CHinois...Basée sur la LTSB

Ta source s.t.p?
Voici la mienne qui dit qu'un fork Ubuntu a déjà été spécialement
développé pour le même gouvernement chinois:
https://www.developpez.com/actu/53267/Ubuntu-devient-l-OS-officiel-de-la- Chine-les-autorites-et-Canonical-annoncent-Kylin-une-variante-de-la-distrib ution-Linux-prevue-pour-avril/

Bon, je vais faire la SARL bras cassé ! je fais expert en secu informa tique avec les paquets ICMP dynamique parmi 2 Milliard y en a bien qui va e tre client ?
--
Philippe
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P4nd1-P4nd4
Après mûre réflexion, zeLittle a écrit :
Le Tue, 28 Nov 2017 19:29:44 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écrit:
zeLittle a pensé très fort :
Le Tue, 28 Nov 2017 09:33:05 +0100, Yves a écrit:
Le troll c'est "5% de desktop", Steam s'utilise pas en ligne de commande

Je connais une stat. sérieuse qui donne 5%. Mais je te la donnerai pas car
le troll, ce sont ces études menées sur des panels de sociétés non
divulguées, dont ont ne sait pas de quelle(s) activité(s) elles sont
représentatives (développement web, développement desktop, CAD, fermes de
stockages, ...), si tant soit qu'elles le soient, et qui pas conséquent ne
peuvent pas donner de marge d'erreurs, car le % de desktop au niveau
mondial est finalement un chiffre pifomètre, extrapolé par rapport à petit
échantillonnage.
Tiens: est-ce que les Linux-desktop qui sont en train de remplacer les XP
dans l'administration chinoises ont été comptabilisés?

MS a développé une version de Win10 spécialement pour le gouvernement
CHinois...Basée sur la LTSB

Ta source s.t.p?
Voici la mienne qui dit qu'un fork Ubuntu a déjà été spécialement développé
pour le même gouvernement chinois:
https://www.developpez.com/actu/53267/Ubuntu-devient-l-OS-officiel-de-la-Chine-les-autorites-et-Canonical-annoncent-Kylin-une-variante-de-la-distribution-Linux-prevue-pour-avril/

Oui, voilà, ma source...
https://blogs.windows.com/windowsexperience/2017/05/23/announcing-windows-10-china-government-edition-new-surface-pro/
https://betanews.com/2017/05/23/windows-10-china-government-edition/
https://www.thurrott.com/windows/windows-10/116692/microsoft-announces-windows-10-china-government-edition
Les Chinois ont également plein de Linux like maintenaus par eux pour
promouvoir des produits maisons, mais aucun n'y arrive vraiment
https://qz.com/505383/a-first-look-at-the-chinese-operating-system-the-government-wants-to-replace-windows/
Un commentaire très intéressant d'un Chinois en 2016: Windows XP est
toujours très utilisé, et MS fournit encore les patchs...
D'autres parlent même de Windows 98 pour les salaires...
Autrement ils ont aussi Red Flag, d'ailleurs téléchargeables, un Linux
basé sur Red Hat.
Mais la vérité est que personne ne peux se passer de Windows, ni en
Chine, ni en Russie, ni même en Corée du Nord...Et encore moins
d'Office...
Sorry pour les autres. Et ceux qui disent le contraire, ce sont des
mythos.
Aucun système n'a les outils pour gérer un parc de machines comme
Windows. Cela n'existe pas.
https://www.quora.com/What-operating-systems-do-the-Russian-and-Chinese-governments-use-Surely-not-Windows-Do-they-make-their-own-Some-version-of-Linux
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PP
Le 27/11/2017 à 21:08, zeLittle a écrit :
Le Mon, 27 Nov 2017 19:33:52 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écrit:
Le P4nd4 l'avait prédit depuis longtemps:
-> Cela ne pouvait pas fonctionner !
QU'est-ce equi pouvait bien justifier d'avoir 20 000 postes sous Linux
et 10 000 sous Windows ?
DOubler les équipes et la connaissance, multiplier la complexité, et
tout cela pourquoi ?
Rien...
Linux ne sera jamais sur le desktop, car il n'y aura jamais l'offre
applivative nécessaire.
Il faut le savoir...
C'est d'ailleurs la même chose pour Windows ARM sur les téléphones
mobiles...
Raisons invoquées:
- Gros problèmes de pilotes, notamment d'impression
- Incompatibilité applicative
C'est assez drôle, c'est exactement ce que le Linuxien disait de
Windows !
Et voilà, Linux n'a pas fait mieux, mais tellement moins bien que cela
est complètement partit en cacahuète ;>)

Beau troll, cependant...:
- le dessous des cartes, c'est que cette info. est le résultat d'un
lobbyisme de Microsoft: la création d'un centre de recherche à Munich
contre l'abandon par la mairie de l'OS Ubuntu.
- tous les GAFA, autrement dit toutes les sociétés qui réussissent, ont
leur service serveurs et Cloud en full-Linux: coûts fixes diminués
d'autant en licences. C'est imparable sur les grandes échelles.
- en concomitance avec ci-dessus, Microsoft a confirmé utiliser Linux
pour le développement de son Cloud Azure. Et ouais: 'sont pas plus c**s
que les autres. Donc, ne sois pas plus royaliste que le roi.
- Windows 10 a radicalement séparé son IHM de son shell, et fournit un
émulateur Linux (le pendant de Wine), pour l'instant. En fait, Microsoft
préserve encore un avantage dans le monde de l'OS: son IHM qui est
diablement élégante. Mais ils ont commencé sur des bases sérieuses et
rigoureuses de développement multi-fenêtré (là ou Apple a fini par jeter
son code maison à la poubelle contre un FreeBSD composé à la carte
qu'ils revendent dans de belles tours) avant les autres: c'est donc
normal. Ce faisant, on peut imaginer qu'ils ont totalement séparé leur
GDI+ pour pouvoir plus facilement le plugger à terme sur du code
shell-Linux, ce qui leur permettra d'économiser autant en R&D concernant
cette couche logiciel.

En effet, de l’expérience de Limux, nous pouvons tirer quelques
conclusions :
1 - Aujourd’hui les GAFAM prennent le pouvoir, et bien au delà des
particuliers. Munich est une ville une administration qui n’a pas eu la
force de résister à la pression de ces entreprises.
2 - Que s’il avait simplement fallu utiliser certains logiciels libres
afin de couper le cordon ombilical, les GAFAM n’aurait/n’ont rien laché.
Prenons l’exemple de LibreOffice.org . À chaque fois on nous rabache que
MOffice est beaucoup mieux, et pourtant 99.99% des utilisateurs
n’utilisent pas de fonctions qu’on ne trouve pas dans LibreOffice ! Tous
les témoignages d’utilisateurs qui se sentent perdus dans les menus
parce que la police de caractères n’est plus la même. Ils ne sont en
réalité que des employés de ces sociétés.
Un seul logiciel ne peut pas leur échapper. On va manipuler les
syndicats pour que ces GAFAM gardent leur pré-gardé. Ne vous rendez-vous
pas compte que les employés souffrent depuis qu’on a changé de système ?
Et tout le monde tombe dans le panneau.
3 - Pour le matériel c’est la même chose. Tout mon matériel a un pilote
sous Linux et il fonctionne parfaitement. Comment une ville, avec une
commande de matériel importante, ne pourrait pas s’équiper avec du
matériel compatible. C’est pareil, c’est de la désinformation volontaire
pour troubler les consommateurs.
Il est temps de se réveiller et d’ouvrir les yeux.
Avatar
P4nd1-P4nd4
PP a exposé le 30.11.2017 :
Le 27/11/2017 à 21:08, zeLittle a écrit :
Le Mon, 27 Nov 2017 19:33:52 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écrit:
Le P4nd4 l'avait prédit depuis longtemps:
-> Cela ne pouvait pas fonctionner !
QU'est-ce equi pouvait bien justifier d'avoir 20 000 postes sous Linux
et 10 000 sous Windows ?
DOubler les équipes et la connaissance, multiplier la complexité, et
tout cela pourquoi ?
Rien...
Linux ne sera jamais sur le desktop, car il n'y aura jamais l'offre
applivative nécessaire.
Il faut le savoir...
C'est d'ailleurs la même chose pour Windows ARM sur les téléphones
mobiles...
Raisons invoquées:
- Gros problèmes de pilotes, notamment d'impression
- Incompatibilité applicative
C'est assez drôle, c'est exactement ce que le Linuxien disait de
Windows !
Et voilà, Linux n'a pas fait mieux, mais tellement moins bien que cela
est complètement partit en cacahuète ;>)

Beau troll, cependant...:
- le dessous des cartes, c'est que cette info. est le résultat d'un
lobbyisme de Microsoft: la création d'un centre de recherche à Munich
contre l'abandon par la mairie de l'OS Ubuntu.
- tous les GAFA, autrement dit toutes les sociétés qui réussissent, ont
leur service serveurs et Cloud en full-Linux: coûts fixes diminués
d'autant en licences. C'est imparable sur les grandes échelles.
- en concomitance avec ci-dessus, Microsoft a confirmé utiliser Linux
pour le développement de son Cloud Azure. Et ouais: 'sont pas plus c**s
que les autres. Donc, ne sois pas plus royaliste que le roi.
- Windows 10 a radicalement séparé son IHM de son shell, et fournit un
émulateur Linux (le pendant de Wine), pour l'instant. En fait, Microsoft
préserve encore un avantage dans le monde de l'OS: son IHM qui est
diablement élégante. Mais ils ont commencé sur des bases sérieuses et
rigoureuses de développement multi-fenêtré (là ou Apple a fini par jeter
son code maison à la poubelle contre un FreeBSD composé à la carte
qu'ils revendent dans de belles tours) avant les autres: c'est donc
normal. Ce faisant, on peut imaginer qu'ils ont totalement séparé leur
GDI+ pour pouvoir plus facilement le plugger à terme sur du code
shell-Linux, ce qui leur permettra d'économiser autant en R&D concernant
cette couche logiciel.

En effet, de l’expérience de Limux, nous pouvons tirer quelques
conclusions :
1 - Aujourd’hui les GAFAM prennent le pouvoir, et bien au delà des
particuliers. Munich est une ville une administration qui n’a pas eu la
force de résister à la pression de ces entreprises.

Force, je ne sais pas vraiment que dire. Le gros problème est qu'ils
ont toujours dit ce qu'ils avaient gagnés en se passant des licences
Windows et Office, mais ils n'ont jamais dit combien ils avaient
dépensés en consulting externe pour le travail par rapport à la
fabrication de l'environnement Linux.
Je connais très bien ces entreprises publiques. Les forces externes
sont dans des pots qui ne font pas partie du budget de fonctionnement
normal, et il est ensuite difficile de connaitre les montants
réellement dépensés, car tout est transformé en myriades de sous
projets saucissonés, pour éviter entre autre les appels d'offres
publiques.
Et les tâches nécessaires ne manquaient pas...
Des Gestionnaires d'applications qui devaient maitriser l'environnement
Linux, des programmeurs pour les-dites applications, la maintnenance de
Limux (pourquoi diable n'ont ils pas pris une version courante ?) le
staff technique Linux pour 20 000 postes et le staff technique Windows
pour 10 000 postes, ca fait quand même une usine à gaz compliquée....
Mon client principale est un service publique de 14 000 postes de
travail, qui représnte 70 départements différents, pour environ 300
métiers.
(Imagine des choses aussi différentes que le Service Forestier, la
gendarmererie, le service de la pêche, etc...)
Cela fait près de 2000 applications qu'il est possible de trouver sur
un poste de travail !
Donc, tu dois bien comprendre que le véritable noeud gordien est
là...Aucun rapport avec le fait que ce soit Linux, ou encore Open
Office...Il faut mettre en oeuvre un poste de travail qui puisse
correspondre à des besoins aussi large, et maintenanble avec un service
technique performant.
Dans mes 2000 applis, il y'en a certainement une centaine que je
pourrai remplacer par un équivalent sous Linux, mais les autres ?
Ont en fait quoi ?
On les redéveloppes in-house sous Linux ?
Cela prendds combien d'années ?
A quel budget ?
... Pour quel bénéfice ?
Et le point le plus important de tous :
EST-CE LE ROLE D'UNE ADMINISTRATION COMMUNALE D'OFFRIR CE GENRE DE
PRESTATIONS INFORMATIQUES ET DE FAIRE PAYER CE MONTANT à SES
ADMINSITRES ?
Non, clairement pas. Elle est au service des administrés, doit être
performante à des prix contrôlés.
Dans notre cas, ce n'est pas Linux ou Open Office qui ont perdus pour
des problèmes de qualités, c'est simplement la maintenance d'un
écosystème qui doit répondre à des besoins bien plus large que tu
l'imagines si tu ne travaille pas dans ces environnements.
2 - Que s’il avait simplement fallu utiliser certains logiciels libres
afin de couper le cordon ombilical, les GAFAM n’aurait/n’ont rien laché.
Prenons l’exemple de LibreOffice.org . À chaque fois on nous rabache que
MOffice est beaucoup mieux, et pourtant 99.99% des utilisateurs
n’utilisent pas de fonctions qu’on ne trouve pas dans LibreOffice ! Tous
les témoignages d’utilisateurs qui se sentent perdus dans les menus
parce que la police de caractères n’est plus la même. Ils ne sont en
réalité que des employés de ces sociétés.

LibreOffice est un excellent produit, c'est indéniable.
Par contre, il n'a pas la force d'un standard industriel, comme MS
Office.
Même si un utilisateur rencontre 10 X plus de problème avec Office, il
reconnaitra que c'est "Comme d'habitude la bouse à MS buggées la
bombe", mais ca passera comme une lette à la poste.
Chaque fois qu'un utilisateur rencontra le plus petit problème avec
LibreOffice, il voudra savoir qui est le con qui a choisi cette
solution que personne n'utilise, et sa force de levier sera bien plus
grande sur la direction.
En ce sens, clairement, un standard industriel a le dos bien plus
solide.
Un seul logiciel ne peut pas leur échapper. On va manipuler les
syndicats pour que ces GAFAM gardent leur pré-gardé. Ne vous rendez-vous
pas compte que les employés souffrent depuis qu’on a changé de système ?
Et tout le monde tombe dans le panneau.
3 - Pour le matériel c’est la même chose. Tout mon matériel a un pilote
sous Linux et il fonctionne parfaitement. Comment une ville, avec une
commande de matériel importante, ne pourrait pas s’équiper avec du
matériel compatible. C’est pareil, c’est de la désinformation volontaire
pour troubler les consommateurs.
Il est temps de se réveiller et d’ouvrir les yeux.

Concernant le matériel, non, tout le monde travaille par des rollbacks,
impossible de sortir un budget pour remplacer 30 000 machines d'un
coup...
Même si je donne l'impression de rigoler avec cette affaire, ce n'est
pas vraiment le cas. Je suis triste, car l'échec n'est pas du à Linux,
Open Office ou les quelques autres logiciels de qualité qui vivent dans
le monde de l'Open Source, mais simplement à l'impossibilité de remplir
un cahier des charges aussi large que la plateforme Windows.
Même les administrations Chinoises et Russes les utilisent, et pourtant
je ne suis pas certain que c'est leurs tasses de thés.
Après, personne ne niera qu'il y'a eu du lobyissme, mais il y'avait
toutefois d'excellentes raisons de retourner à Windows.
Avatar
Bebert
Malgré cela, je ne passerai pas à W10 de mon propre choix.
Il y a des solutions pour utiliser les quelques logiciels que je manipule
bien sous Windo, en préférant rester sous Mint, pas forcément wine qui ne
permet pas tout.
Mais, la corruption existe chez ces géants et les paradis fiscaux aussi pour
eux.
En plus ils font parti des plus intéressés des accords type CETA.
Je crois bien que c'est foutu, car les "barbus" Linuxiens qui bidouillent
pour rester entre eux sont à l'origine du faible pourcentage de la part
Linux dans le monde.(voir la colère de Linus T.)
La plupart des utilisateurs lambda de PC se contenteraient facilement des
possibilités basiques que leur offre Linux.
Mais une fois l'habitude prise, on n'aime pas changer, même si ce n'est que
pour voir son courrier.
B.
Avatar
P4nd1-P4nd4
zeLittle avait prétendu :
Le Thu, 30 Nov 2017 17:30:09 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écrit:
Force, je ne sais pas vraiment que dire. Le gros problème est qu'ils ont
toujours dit ce qu'ils avaient gagnés en se passant des licences Windows et
Office, mais ils n'ont jamais dit combien ils avaient dépensés en
consulting externe pour le travail par rapport à la fabrication de
l'environnement Linux.

Du point de vue utilisateur, Ubuntu est plus simple d'utilisation que
Windows: ça n'est pas un troll, c'est simplement un constat. L'utilisateur va
dans la logithèque et clique sur installe, ou y retourne et clique sur
désinstalle. Il n'a rien d'autre à comprendre pour être autonome et ne peut
pas casser sa machine ou être appeuré par le choix d'un répertoire
d'installation.
Office a une aide en ligne.

Ouai, juste...
Mais voilà, quand tu as 30 000 utilisateurs, c'est pas comem cela que
sa se passe...
Tu fais une demande de service d'instalaltion logiciel qui est
approuvée par le chef de service, evaluée par le cartographe, gérée par
le service des licences, renseignée par le gestionnaire d'application,
packagée par le service technique, dépoyée par la télédistribution, et
insérée dans la gestion des assets.
Ce processus est identique pour les milliers d'applications de ton
parc...
Certes, il est possible que certaines applications soient en
libre-service, comme Putty, Gimp, Paint, ou je ne sais quoi encore, en
fonction des différents services.
Non, 30 000 utilisateurs ne peuvent pas être autonome sur leur poste de
travail ;>)
Une fois de plus, le problème n'est pas Linux ou Open Office, mais un
environnement géré de 30 000 utilisateurs...
Avatar
Pierre PANTAL=c3
Le 30/11/2017 à 17:30, P4nd1-P4nd4 a écrit :
PP a exposé le 30.11.2017 :
Le 27/11/2017 à 21:08, zeLittle  a écrit :
Le Mon, 27 Nov 2017 19:33:52 +0100, P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4> a écrit:
Le P4nd4 l'avait prédit depuis longtemps:
-> Cela ne pouvait pas fonctionner !
QU'est-ce equi pouvait bien justifier d'avoir 20 000 postes sous Linux
et 10 000 sous Windows ?
DOubler les équipes et la connaissance, multiplier la complexité, et
tout cela pourquoi ?
Rien...
Linux ne sera jamais sur le desktop, car il n'y aura jamais l'offre
applivative nécessaire.
Il faut le savoir...
C'est d'ailleurs la même chose pour Windows ARM sur les téléphones
mobiles...
Raisons invoquées:
- Gros problèmes de pilotes, notamment d'impression
- Incompatibilité applicative
C'est assez drôle, c'est exactement ce que le Linuxien disait de
Windows !
Et voilà, Linux n'a pas fait mieux, mais tellement moins bien que cela
est complètement partit en cacahuète ;>)

Beau troll, cependant...:
- le dessous des cartes, c'est que cette info. est le résultat d'un
lobbyisme de Microsoft: la création d'un centre de recherche à Munich
contre l'abandon par la mairie de l'OS Ubuntu.
- tous les GAFA, autrement dit toutes les sociétés qui réussissent, ont
leur service serveurs et Cloud en full-Linux: coûts fixes diminués
d'autant en licences. C'est imparable sur les grandes échelles.
- en concomitance avec ci-dessus, Microsoft a confirmé utiliser Linux
pour le développement de son Cloud Azure. Et ouais: 'sont pas plus c**s
que les autres. Donc, ne sois pas plus royaliste que le roi.
- Windows 10 a radicalement séparé son IHM de son shell, et fournit un
émulateur Linux (le pendant de Wine), pour l'instant. En fait, Microsoft
préserve encore un avantage dans le monde de l'OS: son IHM qui est
diablement élégante. Mais ils ont commencé sur des bases sérieuses et
rigoureuses de développement multi-fenêtré (là ou Apple a fini par jeter
son code maison à la poubelle contre un FreeBSD composé à la carte
qu'ils revendent dans de belles tours) avant les autres: c'est donc
normal. Ce faisant, on peut imaginer qu'ils ont totalement séparé leur
GDI+ pour pouvoir plus facilement le plugger à terme sur du code
shell-Linux, ce qui leur permettra d'économiser autant en R&D concernant
cette couche logiciel.

En effet, de l’expérience de Limux, nous pouvons tirer quelques
conclusions :
1 - Aujourd’hui les GAFAM prennent le pouvoir, et bien au delà des
particuliers. Munich est une ville une administration qui n’a pas eu la
force de résister à la pression de ces entreprises.

Force, je ne sais pas vraiment que dire. Le gros problème est qu'ils ont
toujours dit ce qu'ils avaient gagnés en se passant des licences Windows
et Office, mais ils n'ont jamais dit combien ils avaient dépensés en
consulting externe pour le travail par rapport à la fabrication de
l'environnement Linux.
Je connais très bien ces entreprises publiques. Les forces externes sont
dans des pots qui ne font pas partie du budget de fonctionnement normal,
et il est ensuite difficile de connaitre les montants réellement
dépensés, car tout est transformé en myriades de sous projets
saucissonés, pour éviter entre autre les appels d'offres publiques.
Et les tâches nécessaires ne manquaient pas...
Des Gestionnaires d'applications qui devaient maitriser l'environnement
Linux, des programmeurs pour les-dites applications, la maintnenance de
Limux (pourquoi diable n'ont ils pas pris une version courante ?) le
staff technique Linux pour 20 000 postes et le staff technique Windows
pour 10 000 postes, ca fait quand même une usine à gaz compliquée....
Mon client principale est un service publique de 14 000 postes de
travail, qui représnte 70 départements différents, pour environ 300
métiers.
(Imagine des choses aussi différentes que le Service Forestier, la
gendarmererie, le service de la pêche, etc...)
Cela fait près de 2000 applications qu'il est possible de trouver sur un
poste de travail !
Donc, tu dois bien comprendre que le véritable noeud gordien est
là...Aucun rapport avec le fait que ce soit Linux, ou encore Open
Office...Il faut mettre en oeuvre un poste de travail qui puisse
correspondre à des besoins aussi large, et maintenanble avec un service
technique performant.
Dans mes 2000 applis, il y'en a certainement une centaine que je pourrai
remplacer par un équivalent sous Linux, mais les autres ?
Ont en fait quoi ?
On les redéveloppes in-house sous Linux ?
Cela prendds combien d'années ?
A quel budget ?
... Pour quel bénéfice ?
Et le point le plus important de tous :
EST-CE LE ROLE D'UNE ADMINISTRATION COMMUNALE D'OFFRIR CE GENRE DE
PRESTATIONS INFORMATIQUES ET DE FAIRE PAYER CE MONTANT à SES ADMINSITRES ?
Non, clairement pas. Elle est au service des administrés, doit être
performante à des prix contrôlés.
Dans notre cas, ce n'est pas Linux ou Open Office qui ont perdus pour
des problèmes de qualités, c'est simplement la maintenance d'un
écosystème qui doit répondre à des besoins bien plus large que tu
l'imagines si tu ne travaille pas dans ces environnements.

Je comprend la problématique de maintenance d'environnement, mais
justement j'ai axé mon propos sur le changement d'un seul logiciel tel
que LibreOffice par exemple.
Rien que ça, ça pose un problème. Et le problème ne vient pas des
utilisateurs ou des administrateurs. Cela vient de pression lobbyistique
très bien mené au point que même les utilisateurs sachant très utiliser
l'outils se sentent frustrer de ne pas pouvoir « tout comme MOffice »
alors qu’ilu n’utiliseront jamais ces fonctions !
Le pouvoir de la manipulation est énorme.
2 - Que s’il avait simplement fallu utiliser certains logiciels libres
afin de couper le cordon ombilical, les GAFAM n’aurait/n’ont rien laché.
Prenons l’exemple de LibreOffice.org . À chaque fois on nous rabache que
MOffice est beaucoup mieux, et pourtant 99.99% des utilisateurs
n’utilisent pas de fonctions qu’on ne trouve pas dans LibreOffice ! Tous
les témoignages d’utilisateurs qui se sentent perdus dans les menus
parce que la police de caractères n’est plus la même. Ils ne sont en
réalité que des employés de ces sociétés.

LibreOffice est un excellent produit, c'est indéniable.
Par contre, il n'a pas la force d'un standard industriel, comme MS Office.
Même si un utilisateur rencontre 10 X plus de problème avec Office, il
reconnaitra que c'est "Comme d'habitude la bouse à MS buggées la bombe",
mais ca passera comme une lette à la poste.
Chaque fois qu'un utilisateur rencontra le plus petit problème avec
LibreOffice, il voudra savoir qui est le con qui a choisi cette solution
que personne n'utilise, et sa force de levier sera bien plus grande sur
la direction.
En ce sens, clairement, un standard industriel a le dos bien plus solide.

C’est une bonne appréciation de la problématique.
Un seul logiciel ne peut pas leur échapper. On va manipuler les
syndicats pour que ces GAFAM gardent leur pré-gardé. Ne vous rendez-vous
pas compte que les employés souffrent depuis qu’on a changé de système ?
Et tout le monde tombe dans le panneau.
3 - Pour le matériel c’est la même chose. Tout mon matériel a un pilote
sous Linux et il fonctionne parfaitement. Comment une ville, avec une
commande de matériel importante, ne pourrait pas s’équiper avec du
matériel compatible. C’est pareil, c’est de la désinformation volontaire
pour troubler les consommateurs.
Il est temps de se réveiller et d’ouvrir les yeux.

Concernant le matériel, non, tout le monde travaille par des rollbacks,
impossible de sortir un budget pour remplacer 30 000 machines d'un coup...
Même si je donne l'impression de rigoler avec cette affaire, ce n'est
pas vraiment le cas. Je suis triste, car l'échec n'est pas du à Linux,
Open Office ou les quelques autres logiciels de qualité qui vivent dans
le monde de l'Open Source, mais simplement à l'impossibilité de remplir
un cahier des charges aussi large que la plateforme Windows.
Même les administrations Chinoises et Russes les utilisent, et pourtant
je ne suis pas certain que c'est leurs tasses de thés.
Après, personne ne niera qu'il y'a eu du lobyissme, mais il y'avait
toutefois d'excellentes raisons de retourner à Windows.

Il est en effet évident que ces administrations sont incapable d’avoir
un cahier des charges précis pour la simple et bonne raison qu’ils ne
savent même pas eux-même ce qu’ils veulent au départ. Et les GAFAM l’ont
très bien compris et en use tout en induisant volontairement en erreur
les décideurs.
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Pierre PANTAL=c3
Le 30/11/2017 à 17:59, Bebert a écrit :
Malgré cela, je ne passerai pas à W10 de mon propre choix.
Il y a des solutions pour utiliser les quelques logiciels que je
manipule bien sous Windo, en préférant rester sous Mint, pas forcément
wine qui ne permet pas tout.
Mais, la corruption existe chez ces géants et les paradis fiscaux aussi
pour eux.
En plus ils font parti des plus intéressés des accords type CETA.
Je crois bien que c'est foutu, car les "barbus" Linuxiens qui
bidouillent pour rester entre eux sont à l'origine du faible pourcentage
de la part Linux dans le monde.(voir la colère de Linus T.)
La plupart des utilisateurs lambda de PC se contenteraient facilement
des possibilités basiques que leur offre Linux.
Mais une fois l'habitude prise, on n'aime pas changer, même si ce n'est
que pour voir son courrier.

Perso pour mes enfants, à la maison sur « leurs ordinateurs », il n’y a
pas le choix. C’est Linux. Et ils le vivent très bien (13ans, 11ans, 8ans)
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Marc SCHAEFER
zeLittle wrote:
Je comprends bien le problème que cela doit poser d'administrer 30 000
utilisateurs: c'est un métier que je ne connais pas, donc que je ne peux
pas juger sur le fond.

En fait, j'ai l'impression que le problème est multiple dans ce
thread, je me permets de plus ou moins résumer ce que j'y ai
trouvé, en fonction de mon expérience (certes un peu vieille
maintenant).
a) logiciel libre ou logiciel propriétaire
Même si LiMux est abandonné (le client à base GNU/Linux), il semblerait
que des logiciels libres vont continuer à être utilisés à Munich, comme par
exemple LibreOffice.org (source:
https://en.wikipedia.org/wiki/LiMux#Current_Status)
Ce qu'on voit clairement ces dernières années est que même des
entreprises ou des administrations publiques qui ont misé à 100%
sur du Microsoft laissent au fur et à mesure le libre être utilisé,
en particulier dans les développements internes, les applications
serveur, etc.
Parfois, la stratégie est un peu étrange: s'il existe un logiciel
propriétaire Microsoft, alors il est utilisé. Si c'est d'un autre
éditeur propriétaire, alors prendre du libre. Peut-être lié
aux licences select ...
A terme, cela signifie que la probabilité de la facilité
de migration à un desktop "all Linux" (ou du moins "all
logiciel libre") augmente.
Si effectivement Munich peut continuer à utiliser LibreOffice,
c'est déjà un sacré progrès par rapport à de nombreuses
administrations.
b) management de machines sous GNU/Linux
Ayant participé à des projets de gestion automatisée de machines
sous environnement GNU/Linux, pour des cas très spécialisés avec
jusqu'à une centaine de clients déployés, il me semble que les
outils disponibles sont excellents. Mon avis est un peu biaisé
car j'ai quitté ce domaine il y a déjà plus de 10 ans (et à l'époque
il n'y avait absolument aucune solution viable sous environnement
propriétaire -- Microsoft a fait beaucoup, beaucoup de progrès
en 10 ans, heureusement pour leurs clients: packaging, signatures,
déploiement, etc).
A l'époque j'utilisais FAI (avec Debian), et l'on pouvait non
seulement installer automatiquement des clients depuis des
packages (j'ai encore 1 salle de 16 postes que j'installe avec
un environnement complet académique en 13 minutes), mais aussi
mettre à jour automatiquement. Avec contrôle de version sur
les logiciels et configurations déployées, possibilité de
revenir à la version fonctionnelle précédente, avoir des
classes de machines, etc.
Il y a aussi d'autres outils plus simples aujourd'hui comme
Ansible qui peuvent maintenir du Linux, du Microsoft et
notamment du Cisco de manière très efficace, mais j'ai
moins d'expérience avec.
En même temps, le desktop Linux s'est un peu complexifié
avec le `registry' GNOME (dconf, etc), et il y a eu
des régressions à certains endroits.
c) desktop Linux
Il est clair pour moi que le problème doit toujours être évalué
à l'envers: ce n'est pas finalement le desktop Linux qui est
le plus important mais les outils que l'on tourne dessus.
L'erreur de LiMux a *peut-être* été de penser qu'un système
mixte était envisageable. En ce qui me concerne je l'ai mis
en pratique il y a environ 15 ans, sous forme de logiciels
propriétaires accédés en terminal-serveur depuis des clients
Linux. La solution a fonctionné très longtemps / fonctionne
peut-être encore à ma connaissance toujours chez
le client (~100 postes), mais c'est un cas très, très spécial
qui n'est pas usuel, avec des besoins très spécifiques que
Microsoft ne pouvait simplement pas il y a 15 ans remplir
(et ne pourrait le remplir qu'avec une solution 100%
terminal serveur aujourd'hui à mon avis).
Mais en général je déconseillerais à quiconque un tel système
mixte. Même un système dépendant trop du cloud me semblerait
très dangereux à terme (style Microsoft Office 365). Il vaut
mieux insister sur utiliser du logiciel libre sous Microsoft,
à mon avis (cf a)).
d) l'importance de l'écosystème
Dans une autre entreprise (10-20 postes), le problème principal
qui a été rencontré était que certains documents *devaient* être
remplis sous Microsoft Office, car l'administration publique
en face l'exigeait. Et comme une partie des budgets de l'entreprise
était lié à ces soumissions, il fallait un poste Microsoft. Donc
problèmes de virus, anti-virus, mises à jour, crashes, réinstallations,
bricolages, etc. C'était assez pénible :)
Il y a clairement des logiciels qui n'existent pas sous Linux.
Suivant le marché, l'écosystème, etc, une solution mixte est
donc obligatoire -> retour au point c).
e) la politique et le commercial
Clairement, l'approche UNIX (ou logiciel libre) c'est de
transférer les compétences, mais aussi les risques, dans
l'entreprise (ou le prestataire). Même si les distributions,
en particulier Debian à mon avis, font un excellent travail,
elles sont génériques.
Cette façon de faire UNIX est frontalement incompatible avec
pas mal de façons de travailler des personnes avec une
formation commerciale et non technique, qui préfèrent
transférer le risque en croyant le confiner.
Un exemple simple qui me vient à l'esprit: une entreprise
qui m'avait dit de transférer des prestations de service
que je facturais sur des marges prises sur le matériel
vendu (frais de fonctionnement vs amortissement de
capital). C'était idiot, mais assez répandu comme
logique biaisée.
Aussi, il ne faut jamais vendre une solution libre avec
le seul argument du prix. J'ai toujours dit au client
que propriétaire ou libre, le prix était le même: ce
qui changeait était là où on investissait et quel
contrôle on avait.
global au mieux en s'aidant d'outils faits pour ça (Samba, Puppet, Chef,
virtualisation de postes, ...). Après, c'est chacun selon ses ressources,
ses contraintes... amha :-|

Oui, Puppet etc sont des solutions plus récentes aux
mêmes problèmes que FAI résolvait déjà en 1999 :)
Il y a définitivement trop de bonnes solutions sous GNU/Linux.
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