Le Wed, 23 May 2007 09:18:39 +0200, remy écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:je me demande si tout cela est bien valable sachant que
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cryptologie_sur_les_courbes_elliptiques
L'usage des courbes elliptiques en cryptographie a été suggéré,
de manière indépendante, par Neal Koblitz et Victor Miller en 1985.
ce qui donne 22 ans si je suppose que quelques brevets ont été déposés
avant publication
un peu de domaine public dans le brevet et hop a la poubelle
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
Ici, la "découverte", c'est une méthode pour utiliser ces courbes et
elle peut prendre plusieurs années même si on savait que c'était
possible en 1985. Par exemple, on peut découvrir une méthode en 1990,
une autre en 1995, une 3e en 2000. Si le délai est de 6 mois (par
exemple) après la découverte, le brevet obtenu en 1990 viendrait à
échéance en 2007. Le brevet obtenu en 1995 peut se baser sur celui
de 1990 (une amélioration), auquel cas la protection revendiquée en
1995 sera valable jusqu'en 2012.
Denis
Le Wed, 23 May 2007 09:18:39 +0200, remy <remy@fctpas.fr> écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:
je me demande si tout cela est bien valable sachant que
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cryptologie_sur_les_courbes_elliptiques
L'usage des courbes elliptiques en cryptographie a été suggéré,
de manière indépendante, par Neal Koblitz et Victor Miller en 1985.
ce qui donne 22 ans si je suppose que quelques brevets ont été déposés
avant publication
un peu de domaine public dans le brevet et hop a la poubelle
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
Ici, la "découverte", c'est une méthode pour utiliser ces courbes et
elle peut prendre plusieurs années même si on savait que c'était
possible en 1985. Par exemple, on peut découvrir une méthode en 1990,
une autre en 1995, une 3e en 2000. Si le délai est de 6 mois (par
exemple) après la découverte, le brevet obtenu en 1990 viendrait à
échéance en 2007. Le brevet obtenu en 1995 peut se baser sur celui
de 1990 (une amélioration), auquel cas la protection revendiquée en
1995 sera valable jusqu'en 2012.
Denis
Le Wed, 23 May 2007 09:18:39 +0200, remy écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:je me demande si tout cela est bien valable sachant que
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cryptologie_sur_les_courbes_elliptiques
L'usage des courbes elliptiques en cryptographie a été suggéré,
de manière indépendante, par Neal Koblitz et Victor Miller en 1985.
ce qui donne 22 ans si je suppose que quelques brevets ont été déposés
avant publication
un peu de domaine public dans le brevet et hop a la poubelle
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
Ici, la "découverte", c'est une méthode pour utiliser ces courbes et
elle peut prendre plusieurs années même si on savait que c'était
possible en 1985. Par exemple, on peut découvrir une méthode en 1990,
une autre en 1995, une 3e en 2000. Si le délai est de 6 mois (par
exemple) après la découverte, le brevet obtenu en 1990 viendrait à
échéance en 2007. Le brevet obtenu en 1995 peut se baser sur celui
de 1990 (une amélioration), auquel cas la protection revendiquée en
1995 sera valable jusqu'en 2012.
Denis
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
On Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy wrote:- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
Non, il n'y a que la personne qui a publié qui peut ensuite breveter,
et dès que quelqu'un d'autre publie la même chose c'est raté. C'est
la raison pour laquelle des grosses structures comme IBM publient
régulièrement, et depuis les années 70, d'énormes monographies reprenant
un peu toutes les publications d'un domaine, afin d'empêcher tout
brevet. Attention, ce n'est valable qu'en droit US : en Europe l'auto-
publication invaliderait le brevet.
Sam.
On Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy wrote:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
Non, il n'y a que la personne qui a publié qui peut ensuite breveter,
et dès que quelqu'un d'autre publie la même chose c'est raté. C'est
la raison pour laquelle des grosses structures comme IBM publient
régulièrement, et depuis les années 70, d'énormes monographies reprenant
un peu toutes les publications d'un domaine, afin d'empêcher tout
brevet. Attention, ce n'est valable qu'en droit US : en Europe l'auto-
publication invaliderait le brevet.
Sam.
On Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy wrote:- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
Non, il n'y a que la personne qui a publié qui peut ensuite breveter,
et dès que quelqu'un d'autre publie la même chose c'est raté. C'est
la raison pour laquelle des grosses structures comme IBM publient
régulièrement, et depuis les années 70, d'énormes monographies reprenant
un peu toutes les publications d'un domaine, afin d'empêcher tout
brevet. Attention, ce n'est valable qu'en droit US : en Europe l'auto-
publication invaliderait le brevet.
Sam.
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
Le Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
C'est un peu plus complexe. Tout d'abord, comme le dit Sam, c'est du
droit américain. Le droit canadien est un peu différent (après 25
ans, c'est le genre de détails qu'on oublie). En France, il y a 2
lois qui s'appliquent, celles du brevet français et du brevet
européen et c'est très différent du droit nord-américain (de mémoire,
on brevette en France sans vérifier si c'est brevetable, ou quelque
chose comme ça).
Ensuite, le brevet va à l'inventeur (et pas à celui qui publie). Chez
IBM, c'est souvent une équipe qui fait le développement, il y a donc
plusieurs inventeurs dans de nombreux cas. Évidemment, c'est presque
toujours quelqu'un de cette équipe qui publie...
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence). Ainsi, si Albert
découvre quelque chose en 1910 et dépose une demande de brevet en
1980, en supposant qu'il n'a rien publié entre les deux, mais que
Bernard fait la même découverte en 1978 et demande un brevet en 1979,
il pourrait très bien l'obtenir.
Denis
Le Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy <remy@fctpas.fr> écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:
De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
C'est un peu plus complexe. Tout d'abord, comme le dit Sam, c'est du
droit américain. Le droit canadien est un peu différent (après 25
ans, c'est le genre de détails qu'on oublie). En France, il y a 2
lois qui s'appliquent, celles du brevet français et du brevet
européen et c'est très différent du droit nord-américain (de mémoire,
on brevette en France sans vérifier si c'est brevetable, ou quelque
chose comme ça).
Ensuite, le brevet va à l'inventeur (et pas à celui qui publie). Chez
IBM, c'est souvent une équipe qui fait le développement, il y a donc
plusieurs inventeurs dans de nombreux cas. Évidemment, c'est presque
toujours quelqu'un de cette équipe qui publie...
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence). Ainsi, si Albert
découvre quelque chose en 1910 et dépose une demande de brevet en
1980, en supposant qu'il n'a rien publié entre les deux, mais que
Bernard fait la même découverte en 1978 et demande un brevet en 1979,
il pourrait très bien l'obtenir.
Denis
Le Wed, 23 May 2007 14:12:25 +0200, remy écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:De mémoire (cela fait depuis 1981 que je ne suis plus dans le
domaine), la procédure pour obtenir un brevet américain était
quelque chose comme:
- découverte
- autant de temps que l'on veut
- en parler en public (article dans une revue par exemple), facultatif
- attendre moins d'un an, facultatif (peut suivre la découverte)
- normalement, sans prolonger le délai, on fait une recherche pour
savoir si c'est brevetable
- demander le brevet
- quelques mois (c'était typique en 1980)
- obtenir le brevet
tu es en train de me dire que si je ponds un truc
j'en parle un peu partout etc
l'on peut breveter mon truc même si je ne suis pas d'accord
l'on suppose bien sûr que le truc est disons relativement "nouveau"
C'est un peu plus complexe. Tout d'abord, comme le dit Sam, c'est du
droit américain. Le droit canadien est un peu différent (après 25
ans, c'est le genre de détails qu'on oublie). En France, il y a 2
lois qui s'appliquent, celles du brevet français et du brevet
européen et c'est très différent du droit nord-américain (de mémoire,
on brevette en France sans vérifier si c'est brevetable, ou quelque
chose comme ça).
Ensuite, le brevet va à l'inventeur (et pas à celui qui publie). Chez
IBM, c'est souvent une équipe qui fait le développement, il y a donc
plusieurs inventeurs dans de nombreux cas. Évidemment, c'est presque
toujours quelqu'un de cette équipe qui publie...
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence). Ainsi, si Albert
découvre quelque chose en 1910 et dépose une demande de brevet en
1980, en supposant qu'il n'a rien publié entre les deux, mais que
Bernard fait la même découverte en 1978 et demande un brevet en 1979,
il pourrait très bien l'obtenir.
Denis
autant dire que c'est plié
http://fr.wikipedia.org/wiki/Certicom
L'entreprise possède plus de 130 brevets de cryptographie sur les
courbes elliptiques.
autant dire que c'est plié
http://fr.wikipedia.org/wiki/Certicom
L'entreprise possède plus de 130 brevets de cryptographie sur les
courbes elliptiques.
autant dire que c'est plié
http://fr.wikipedia.org/wiki/Certicom
L'entreprise possède plus de 130 brevets de cryptographie sur les
courbes elliptiques.
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Ça dépend. Il y a le contre-exemple fameux du brevet sur le test
anti-sida, découvert en premier par le laboratoire Pasteur, et dont la
demande a été déposée 6 mois avant celle du labo américain qui l'a
finalement obtenu.
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Ça dépend. Il y a le contre-exemple fameux du brevet sur le test
anti-sida, découvert en premier par le laboratoire Pasteur, et dont la
demande a été déposée 6 mois avant celle du labo américain qui l'a
finalement obtenu.
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Ça dépend. Il y a le contre-exemple fameux du brevet sur le test
anti-sida, découvert en premier par le laboratoire Pasteur, et dont la
demande a été déposée 6 mois avant celle du labo américain qui l'a
finalement obtenu.
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Denis Beauregard , dans le message
, a écrit :S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Non, c'est faux. La loi américaine offre le brevet au premier découvreur, ce
qui pose énormément de problèmes (prouver l'antériorité est très difficile),
alors que toutes les autres lois du mondent l'offrent au premier déposant.
Denis Beauregard , dans le message
<0fd853hpcr40bfh7dn5u7ol52utjjg9u65@4ax.com>, a écrit :
S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Non, c'est faux. La loi américaine offre le brevet au premier découvreur, ce
qui pose énormément de problèmes (prouver l'antériorité est très difficile),
alors que toutes les autres lois du mondent l'offrent au premier déposant.
Denis Beauregard , dans le message
, a écrit :S'il y a 2 inventeurs, la loi américaine donne priorité à celui qui
a déposé la demande le 1er (il a fait diligence).
Non, c'est faux. La loi américaine offre le brevet au premier découvreur, ce
qui pose énormément de problèmes (prouver l'antériorité est très difficile),
alors que toutes les autres lois du mondent l'offrent au premier déposant.