Bonjour,
Mon fils loge en cité universitaire et s'y est fait volé son ordinateur
portable. Il a porté plainte auprès de la police. Le vol s'est fait sans
effraction. Le système de fermeture des portes est récent; il se fait par
l'utilisation d'une carte et la porte est systématiquement verrouillée dès
qu'elle est fermée (c'est à dire sans utilisation de la carte). Mon fils a
déclaré avoir fermé sa porte et n'avoir prêté sa carte d'ouverture à
personne. Il y a déjà un autre vol dans cette cité dans des circonstances
analogues.Le système de fermeture de ces portes est peut-être violable ou
quelqu'un a ce qu'il faut pour pénétrer dans les chambres sans effraction?
L'assurance ne veut pas rembourser cet ordinateur (acheté il y a 10 jours)
sous prétexte que le vol s'est fait sans effraction. Le remboursement
pourrait être pris en compte dans le cas d'utilisation de fausses clés, mais
l'assurance me demande de fournir la preuve qu'il y a utilisation de fausses
clés; ce que je ne peux pas faire.Que dois-je faire? Je vous remercie de
bien vouloir me conseiller.
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même souvent) des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel à un système centralisé qui journalise tous les accès.
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.
-- Léa Gris - http://www.noiraude.net/ () Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML, / contre les pièces jointes dans un format propriétaire.
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il
n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par
construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement
électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même
souvent)
des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait
adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel
à un système centralisé qui journalise tous les accès.
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre
de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger
des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal
des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la
chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en
déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en
faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de
la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité
de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro
de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.
--
Léa Gris - http://www.noiraude.net/
() Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML,
/ contre les pièces jointes dans un format propriétaire.
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même souvent) des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel à un système centralisé qui journalise tous les accès.
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.
-- Léa Gris - http://www.noiraude.net/ () Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML, / contre les pièces jointes dans un format propriétaire.
Pierre-Paul Hay-Napoleone
Apokrif () a écrit :
J'ai bien fait la manoeuvre que je voulais faire, mais n'ai pas employé la bonne expression ?
Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut pas crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon dernier article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Cela vous empêche de dormir ? Moi non.
Moi non plus, mais la lecture des forums est plus aisée quand ils ne sont pas envahis par les hors-sujets provoqués par cette pratique.
Hôpital, Hôpital, où es-tu ? C'est Charité qui te parle... Heureusement que je vous apprécie, Apokrif.
PPHN (à poursuivre en privé)
Apokrif (apokrif1@yahoo.com) a écrit :
J'ai bien fait la manoeuvre que je voulais faire, mais n'ai pas
employé la bonne expression ?
Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut pas
crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon dernier
article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Cela vous empêche de dormir ? Moi non.
Moi non plus, mais la lecture des forums est plus aisée quand ils ne
sont pas envahis par les hors-sujets provoqués par cette pratique.
Hôpital, Hôpital, où es-tu ? C'est Charité qui te parle... Heureusement
que je vous apprécie, Apokrif.
J'ai bien fait la manoeuvre que je voulais faire, mais n'ai pas employé la bonne expression ?
Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut pas crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon dernier article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Cela vous empêche de dormir ? Moi non.
Moi non plus, mais la lecture des forums est plus aisée quand ils ne sont pas envahis par les hors-sujets provoqués par cette pratique.
Hôpital, Hôpital, où es-tu ? C'est Charité qui te parle... Heureusement que je vous apprécie, Apokrif.
PPHN (à poursuivre en privé)
Apokrif
Pierre-Paul Hay-Napoleone :
> Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut > pas crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon > dernier article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Presque, mais pas toutafé, car j'ai bien redirigé, mais sur deux forums à la fois. Comme toutes les règles, celle qui impose la redirection unique admet des exceptions; dans le cas que je cite, il n'existait pas de forum plus adapté que l'autre pour recevoir le fil, et ma boule de cristal m'affirmant qu'il y aurait peu de réponses, aucun dommage ne serait causé. Flla* est beaucoup moins fréquenté que fmd.
(à poursuivre en privé)
Il convient alors de placer un champ Followup-To: poster
-- Languages of the World: http://www.ethnologue.com/web.asp
Pierre-Paul Hay-Napoleone :
> Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut
> pas crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon
> dernier article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Presque, mais pas toutafé, car j'ai bien redirigé, mais sur deux
forums à la fois. Comme toutes les règles, celle qui impose la
redirection unique admet des exceptions; dans le cas que je cite, il
n'existait pas de forum plus adapté que l'autre pour recevoir le fil,
et ma boule de cristal m'affirmant qu'il y aurait peu de réponses,
aucun dommage ne serait causé. Flla* est beaucoup moins fréquenté que
fmd.
(à poursuivre en privé)
Il convient alors de placer un champ Followup-To: poster
--
Languages of the World: http://www.ethnologue.com/web.asp
> Vous avez crossposté sans placer de redirection. Or, il ne faut > pas crossposter sans rediriger (ne prenez donc pas exemple sur mon > dernier article dans fllf).
Vous me reprochez ce que vous avez fait ? Bravo...
Presque, mais pas toutafé, car j'ai bien redirigé, mais sur deux forums à la fois. Comme toutes les règles, celle qui impose la redirection unique admet des exceptions; dans le cas que je cite, il n'existait pas de forum plus adapté que l'autre pour recevoir le fil, et ma boule de cristal m'affirmant qu'il y aurait peu de réponses, aucun dommage ne serait causé. Flla* est beaucoup moins fréquenté que fmd.
(à poursuivre en privé)
Il convient alors de placer un champ Followup-To: poster
-- Languages of the World: http://www.ethnologue.com/web.asp
JustMe
Lea GRIS wrote:
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même souvent) des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel à un système centralisé qui journalise tous les accès.
non pas forcément.
D'ailleurs la CNIL croulerait sur les déclarations...
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.
Lea GRIS wrote:
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il
n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par
construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement
électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même
souvent)
des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait
adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel
à un système centralisé qui journalise tous les accès.
non pas forcément.
D'ailleurs la CNIL croulerait sur les déclarations...
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre
de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger
des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal
des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la
chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en
déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en
faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de
la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité
de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro
de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.
"Claude BRUN" <http://www.cerbermail.com/?7BECblSspG> a écrit
Mais alors, comment prouver l'usage de fausse clé lorsque, justement, il n'y a pas de clé ? Et comment trouver une telle preuve alors que, par construction, la clé utilisée n'a pas d'action mécanique mais uniquement électronique...?
Une carte magnétique, un badge électronique sont des clés.
Seules, les fausses clés à "l'ancienne" laissaient parfois (et même souvent) des traces de leur passage en raison de leurs formes pas tout à fait adaptées aux serrures attaquées.
Un système d'ouverture par carte magnétique ou badge électronique fait appel à un système centralisé qui journalise tous les accès.
non pas forcément.
D'ailleurs la CNIL croulerait sur les déclarations...
Si sa porte a été ouverte il y a une trace dans les journeaux. Dans le cadre de la plainte qu'il a déposé à la police, il peut être possible d'exiger des gérant de la résidence universitaire de fournir les données du journal des accès à la police sur demande d'un juge.
Si l'horraire de l'accès correspond à une période ou l'occupant de la chambre peut prouver qu'il ne s'y trouvait pas (en cours, en déplacement...) il pourra prouver qu'on a pénétrer par effraction en faisant usage d'un faux.
Les gérants de la résidence auront à définir qui, en dehors du locataire de la chambre peut avoir accès et dans quel mesures il peut prouver l'unicité de la carte d'accès.
Une carte magnétique ou un simple bouton dont la seule donnée est un numéro de compte et non un cryptage sécurisé sont très faciles à dupliquer.