Bonjour,
La question est dans le sujet: connaissez-vous ce programme de scannage?
Pour scanner des dias et négatifs couleur et N/B.
Je compte l'utiliser sous linux mais il existe également pour les autres
plateformes.
Merci pour vos expériences.
JM
On voit bien les limites de la méthode du multi-échantillonage!
Le multiéchantillonnage ne trouve son intérêt que pour les valeurs faibles du signal. Il est clair que pour les valeurs élevées son intérêt est nul. Par ailleurs, si on le pratique, autant prendre un nombre assez élevé d'échantillons. Les scanners Nikon que je connais permettent d'aller jusqu'à 16 échantillons par pixel ce qui procure une amélioration très significative du bruit dans les zones très denses d'une diapo lors de sa numérisation. Evidemment le multiéchantillonnage ne se justifie que si ces zones très denses existent. Dans la plupart des cas, un scan "normal" suffit tout à fait.
-- Jean-Pierre Roche
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http://jpierreroche.free.fr/
On voit bien les limites de la méthode du multi-échantillonage!
Le multiéchantillonnage ne trouve son intérêt que pour les
valeurs faibles du signal.
Il est clair que pour les valeurs élevées son intérêt est nul.
Par ailleurs, si on le pratique, autant prendre un nombre
assez élevé d'échantillons. Les scanners Nikon que je
connais permettent d'aller jusqu'à 16 échantillons par pixel
ce qui procure une amélioration très significative du bruit
dans les zones très denses d'une diapo lors de sa numérisation.
Evidemment le multiéchantillonnage ne se justifie que si ces
zones très denses existent. Dans la plupart des cas, un scan
"normal" suffit tout à fait.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
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On voit bien les limites de la méthode du multi-échantillonage!
Le multiéchantillonnage ne trouve son intérêt que pour les valeurs faibles du signal. Il est clair que pour les valeurs élevées son intérêt est nul. Par ailleurs, si on le pratique, autant prendre un nombre assez élevé d'échantillons. Les scanners Nikon que je connais permettent d'aller jusqu'à 16 échantillons par pixel ce qui procure une amélioration très significative du bruit dans les zones très denses d'une diapo lors de sa numérisation. Evidemment le multiéchantillonnage ne se justifie que si ces zones très denses existent. Dans la plupart des cas, un scan "normal" suffit tout à fait.
-- Jean-Pierre Roche
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Jean-Pierre Roche
Cher Professionnel, désolé que mon retour d'expérience de Vuescan vous ait courroucé, et tout particulièrement d'avoir relevé cette dernière méthode (assez marginale, je le confesse) de diminution (limitée) du bruit par rééchantillonnage, technique dont vous nous apprenez qu'elle est trés éloignée de votre façon de travailler. J'espère en revanche que j'ai pu être utile à quelques simples amateurs qui pourront y trouver parfois le moyen d'améliorer des images réticentes.
Je ne suis pas du tout courroucé, c'est une discussion technique... Et ce n'est pas MA façon de travailler mais celle d'une profession. Et d'ailleurs personnellement je ne pratique plus le scan pour utilisations pros : je travaille directement en numérique. Simplement je ne crois pas qu'il faille promettre des améliorations spectaculaires par l'emploi de processus complexes. Ces améliorations, lorsqu'elles existent, sont marginales. Mieux vaut passer son temps disponible à des choses plus efficaces amha.
Un jour de mansuétude, un matin où vous viendra soudain l'envie de rire un peu en examinant de plus prés les méthodes pratiquées par ces bénets d'amateurs, vous devriez quand même regarder tout cela de plus près, il n'est à mon avis pas impossible que vous y découvriiez ça et la quelques pratiques intéressantes.
Intéressantes en quoi et surtout pour quoi ?
Je comprend tout à fait que le multiscan multipasse vous inquiète par son instabilité mécanique susceptible de mettre en péril la résolution d'une image, inconvénient que, bien sur, je confirme. Mais, si vous avez pratiqué le tirage en chambre (noire) à l'époque bénie ou les APN n'existaient pas, peut-être avez vous employé (ou vu utiliser par un amateur aventureux) toutes sortes d'improvisations mécaniques, comme les masques de tirage... Peut-être même avez vous pu assister à ces étonnantes chorégraphies où le tireur, tel un chaman sibérien, passe sa main gauche sous l'agrandisseur pour masquer au jugé une partie du négatif située sous une zone par trop transparente. Vous pourriez encore aujourd'hui, dans le 6è arrondissement de Paris, voir le tireur de Clergue se livrer à de telles magies (noires) pour sortir les images d'une prochaine exposition américaine. C'est du bricolage mécanique éclairé, un concept paradoxal comme le monarchisme du même nom. Ce n'est peut-être pas du Professionnel mais c'est de l'Art.
Si c'est de l'Art alors... Avec une majuscule en plus... Mais ce n'est pas le sujet dont on cause : le sujet c'est le fonctionnement d'un scanner et la meilleure méthode pour obtenir une numérisation aussi bonne que possible. Sinon je vous rassure, j'ai passé un bon paquet d'heures dans des labos de tirages mais je ne vois pas pour autant le rapport avec le fonctionnement d'un scanner. L'art c'est souvent du bricolage, la conception d'un scanner non.
-- Jean-Pierre Roche
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Cher Professionnel, désolé que mon retour d'expérience de Vuescan
vous ait courroucé, et tout particulièrement d'avoir relevé cette
dernière méthode (assez marginale, je le confesse) de diminution
(limitée) du bruit par rééchantillonnage, technique dont vous nous
apprenez qu'elle est trés éloignée de votre façon de travailler.
J'espère en revanche que j'ai pu être utile à quelques simples
amateurs qui pourront y trouver parfois le moyen d'améliorer des
images réticentes.
Je ne suis pas du tout courroucé, c'est une discussion
technique... Et ce n'est pas MA façon de travailler mais
celle d'une profession. Et d'ailleurs personnellement je ne
pratique plus le scan pour utilisations pros : je travaille
directement en numérique. Simplement je ne crois pas qu'il
faille promettre des améliorations spectaculaires par
l'emploi de processus complexes. Ces améliorations,
lorsqu'elles existent, sont marginales. Mieux vaut passer
son temps disponible à des choses plus efficaces amha.
Un jour de mansuétude, un matin où vous viendra soudain l'envie de
rire un peu en examinant de plus prés les méthodes pratiquées par
ces bénets d'amateurs, vous devriez quand même regarder tout cela de
plus près, il n'est à mon avis pas impossible que vous y découvriiez
ça et la quelques pratiques intéressantes.
Intéressantes en quoi et surtout pour quoi ?
Je comprend tout à fait que le multiscan multipasse vous inquiète par
son instabilité mécanique susceptible de mettre en péril la
résolution d'une image, inconvénient que, bien sur, je confirme.
Mais, si vous avez pratiqué le tirage en chambre (noire) à l'époque
bénie ou les APN n'existaient pas, peut-être avez vous employé (ou
vu utiliser par un amateur aventureux) toutes sortes d'improvisations
mécaniques, comme les masques de tirage... Peut-être même avez vous
pu assister à ces étonnantes chorégraphies où le tireur, tel un
chaman sibérien, passe sa main gauche sous l'agrandisseur pour masquer
au jugé une partie du négatif située sous une zone par trop
transparente. Vous pourriez encore aujourd'hui, dans le 6è
arrondissement de Paris, voir le tireur de Clergue se livrer à de
telles magies (noires) pour sortir les images d'une prochaine
exposition américaine. C'est du bricolage mécanique éclairé, un
concept paradoxal comme le monarchisme du même nom. Ce n'est
peut-être pas du Professionnel mais c'est de l'Art.
Si c'est de l'Art alors... Avec une majuscule en plus...
Mais ce n'est pas le sujet dont on cause : le sujet c'est le
fonctionnement d'un scanner et la meilleure méthode pour
obtenir une numérisation aussi bonne que possible.
Sinon je vous rassure, j'ai passé un bon paquet d'heures
dans des labos de tirages mais je ne vois pas pour autant le
rapport avec le fonctionnement d'un scanner.
L'art c'est souvent du bricolage, la conception d'un scanner
non.
--
Jean-Pierre Roche
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Cher Professionnel, désolé que mon retour d'expérience de Vuescan vous ait courroucé, et tout particulièrement d'avoir relevé cette dernière méthode (assez marginale, je le confesse) de diminution (limitée) du bruit par rééchantillonnage, technique dont vous nous apprenez qu'elle est trés éloignée de votre façon de travailler. J'espère en revanche que j'ai pu être utile à quelques simples amateurs qui pourront y trouver parfois le moyen d'améliorer des images réticentes.
Je ne suis pas du tout courroucé, c'est une discussion technique... Et ce n'est pas MA façon de travailler mais celle d'une profession. Et d'ailleurs personnellement je ne pratique plus le scan pour utilisations pros : je travaille directement en numérique. Simplement je ne crois pas qu'il faille promettre des améliorations spectaculaires par l'emploi de processus complexes. Ces améliorations, lorsqu'elles existent, sont marginales. Mieux vaut passer son temps disponible à des choses plus efficaces amha.
Un jour de mansuétude, un matin où vous viendra soudain l'envie de rire un peu en examinant de plus prés les méthodes pratiquées par ces bénets d'amateurs, vous devriez quand même regarder tout cela de plus près, il n'est à mon avis pas impossible que vous y découvriiez ça et la quelques pratiques intéressantes.
Intéressantes en quoi et surtout pour quoi ?
Je comprend tout à fait que le multiscan multipasse vous inquiète par son instabilité mécanique susceptible de mettre en péril la résolution d'une image, inconvénient que, bien sur, je confirme. Mais, si vous avez pratiqué le tirage en chambre (noire) à l'époque bénie ou les APN n'existaient pas, peut-être avez vous employé (ou vu utiliser par un amateur aventureux) toutes sortes d'improvisations mécaniques, comme les masques de tirage... Peut-être même avez vous pu assister à ces étonnantes chorégraphies où le tireur, tel un chaman sibérien, passe sa main gauche sous l'agrandisseur pour masquer au jugé une partie du négatif située sous une zone par trop transparente. Vous pourriez encore aujourd'hui, dans le 6è arrondissement de Paris, voir le tireur de Clergue se livrer à de telles magies (noires) pour sortir les images d'une prochaine exposition américaine. C'est du bricolage mécanique éclairé, un concept paradoxal comme le monarchisme du même nom. Ce n'est peut-être pas du Professionnel mais c'est de l'Art.
Si c'est de l'Art alors... Avec une majuscule en plus... Mais ce n'est pas le sujet dont on cause : le sujet c'est le fonctionnement d'un scanner et la meilleure méthode pour obtenir une numérisation aussi bonne que possible. Sinon je vous rassure, j'ai passé un bon paquet d'heures dans des labos de tirages mais je ne vois pas pour autant le rapport avec le fonctionnement d'un scanner. L'art c'est souvent du bricolage, la conception d'un scanner non.
-- Jean-Pierre Roche
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http://jpierreroche.free.fr/
JM Remacle
Bonjour,
Merci à tous ceux qui m'ont aimablement répondu.
Je vois qu'en grande majorité les avis sont positifs. Pour ce qui est des discussions hautement techniques abordées dans le fil, j'avoue ne rien y comprendre, n'ayant pas grande expérience en la matière. Je vais donc me lancer dans une longue opération de scannage afin de -sauvegarder de vieux négatifs et dias en format Tiff -pouvoir les visualiser sur une tv (en format jpeg).
Jean-Marie.
Bonjour,
Merci à tous ceux qui m'ont aimablement répondu.
Je vois qu'en grande majorité les avis sont positifs.
Pour ce qui est des discussions hautement techniques abordées dans le
fil, j'avoue ne rien y comprendre, n'ayant pas grande expérience en la
matière.
Je vais donc me lancer dans une longue opération de scannage afin de
-sauvegarder de vieux négatifs et dias en format Tiff
-pouvoir les visualiser sur une tv (en format jpeg).
Je vois qu'en grande majorité les avis sont positifs. Pour ce qui est des discussions hautement techniques abordées dans le fil, j'avoue ne rien y comprendre, n'ayant pas grande expérience en la matière. Je vais donc me lancer dans une longue opération de scannage afin de -sauvegarder de vieux négatifs et dias en format Tiff -pouvoir les visualiser sur une tv (en format jpeg).
