Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200
Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$426a74cc@news.free.fr>, a
écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a
contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la
contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de
la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété
intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol".
[...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété
de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu
appelles ça comment ?
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Yliur
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit : > Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit : >> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a >> écrit : >>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres. >> >> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a >> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol. > > Ah bon ! > > Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la > contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de > la contrefaçon de musique, on vole les artistes ! > > J'avoue, je comprends pas. >
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Comme ce ne sont pas les mêmes acteurs, dire "l'industrie du disque nous traite de voleurs alors on traite les éditeurs de logiciels de voleurs", ben... bof quoi. Et ça participerait plutôt à consacrer l'utilisation de mots qui ne sont pas adaptés et qui permettent de faire des amalgames foireux (comme vol = contrefaçon).
Pour lutter contre les arguments moisis et éclairer le monde (c'est toujours utile de partir de bonnes bases pour réfléchir), mieux vaut utiliser les termes appropriés. Et si d'autres ne le font pas (comme c'est souvent le cas pour la musique), le leur reprocher et suivre une bonne ligne, pas faire la même chose qu'eux un peu plus loin.
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200
Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
> Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
>> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$426a74cc@news.free.fr>, a
>> écrit :
>>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
>>
>> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a
>> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
>
> Ah bon !
>
> Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la
> contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de
> la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
>
> J'avoue, je comprends pas.
>
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété
intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol".
[...]
Non.
Comme ce ne sont pas les mêmes acteurs, dire "l'industrie du disque nous
traite de voleurs alors on traite les éditeurs de logiciels de
voleurs", ben... bof quoi. Et ça participerait plutôt à consacrer
l'utilisation de mots qui ne sont pas adaptés et qui permettent de faire
des amalgames foireux (comme vol = contrefaçon).
Pour lutter contre les arguments moisis et éclairer le monde (c'est
toujours utile de partir de bonnes bases pour réfléchir), mieux vaut
utiliser les termes appropriés. Et si d'autres ne le font pas (comme
c'est souvent le cas pour la musique), le leur reprocher et suivre une
bonne ligne, pas faire la même chose qu'eux un peu plus loin.
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit : > Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit : >> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a >> écrit : >>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres. >> >> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a >> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol. > > Ah bon ! > > Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la > contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de > la contrefaçon de musique, on vole les artistes ! > > J'avoue, je comprends pas. >
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Comme ce ne sont pas les mêmes acteurs, dire "l'industrie du disque nous traite de voleurs alors on traite les éditeurs de logiciels de voleurs", ben... bof quoi. Et ça participerait plutôt à consacrer l'utilisation de mots qui ne sont pas adaptés et qui permettent de faire des amalgames foireux (comme vol = contrefaçon).
Pour lutter contre les arguments moisis et éclairer le monde (c'est toujours utile de partir de bonnes bases pour réfléchir), mieux vaut utiliser les termes appropriés. Et si d'autres ne le font pas (comme c'est souvent le cas pour la musique), le leur reprocher et suivre une bonne ligne, pas faire la même chose qu'eux un peu plus loin.
Nicolas George
NiKo , dans le message <4fa1669f$0$13201$, a écrit :
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets,
Quand microsoft exploite les brevets de motorola (qui ne correspondent certainement pas à un travail, à part pour quelques avocats spécialisés à ranger dans la catégorie parasites), c'est de la contrefaçon. Le mot vol n'est pas adapté du tout.
et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
Non plus. Quand on fait de la contrefaçon de musique, on fait de la contrefaçon de musique, point. Ceux qui emploient le mot vol dans ce contexte soit n'ont rien compris soit ont très bien compris les connotations et cherchent à en jouer pour manipuler le public.
Les monopoles d'exploitation définis par les brevets et les droits d'auteur ont très peu à voir avec la propriété d'un objet physique. Assimiler les deux est le principal cheval de bataille de ceux qui ont tout intérêt à maintenir le statu-quo malgré l'évolution technologique.
NiKo , dans le message <4fa1669f$0$13201$426a34cc@news.free.fr>, a
écrit :
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la
contrefaçon de brevets,
Quand microsoft exploite les brevets de motorola (qui ne correspondent
certainement pas à un travail, à part pour quelques avocats spécialisés à
ranger dans la catégorie parasites), c'est de la contrefaçon. Le mot vol
n'est pas adapté du tout.
et nous, pauvres mortels, quand on fait de la
contrefaçon de musique, on vole les artistes !
Non plus. Quand on fait de la contrefaçon de musique, on fait de la
contrefaçon de musique, point. Ceux qui emploient le mot vol dans ce
contexte soit n'ont rien compris soit ont très bien compris les connotations
et cherchent à en jouer pour manipuler le public.
Les monopoles d'exploitation définis par les brevets et les droits d'auteur
ont très peu à voir avec la propriété d'un objet physique. Assimiler les
deux est le principal cheval de bataille de ceux qui ont tout intérêt à
maintenir le statu-quo malgré l'évolution technologique.
NiKo , dans le message <4fa1669f$0$13201$, a écrit :
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets,
Quand microsoft exploite les brevets de motorola (qui ne correspondent certainement pas à un travail, à part pour quelques avocats spécialisés à ranger dans la catégorie parasites), c'est de la contrefaçon. Le mot vol n'est pas adapté du tout.
et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
Non plus. Quand on fait de la contrefaçon de musique, on fait de la contrefaçon de musique, point. Ceux qui emploient le mot vol dans ce contexte soit n'ont rien compris soit ont très bien compris les connotations et cherchent à en jouer pour manipuler le public.
Les monopoles d'exploitation définis par les brevets et les droits d'auteur ont très peu à voir avec la propriété d'un objet physique. Assimiler les deux est le principal cheval de bataille de ceux qui ont tout intérêt à maintenir le statu-quo malgré l'évolution technologique.
Yliur
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit : > Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 > Laurent Georget a écrit : > >> Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit : >>> Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit : >>>> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, >>>> a écrit : >>>>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres. >>>> >>>> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a >>>> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol. >>> >>> Ah bon ! >>> >>> Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la >>> contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de >>> la contrefaçon de musique, on vole les artistes ! >>> >>> J'avoue, je comprends pas. >>> >> >> Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété >> intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". >> [...] > > Non. > Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel". http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de 19h48 pour quelques précisions.
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200
Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit :
> Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200
> Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
>
>> Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
>>> Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
>>>> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$426a74cc@news.free.fr>,
>>>> a écrit :
>>>>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
>>>>
>>>> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a
>>>> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
>>>
>>> Ah bon !
>>>
>>> Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la
>>> contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de
>>> la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
>>>
>>> J'avoue, je comprends pas.
>>>
>>
>> Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété
>> intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol".
>> [...]
>
> Non.
>
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété
de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu
appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il
soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel".
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce
n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de
19h48 pour quelques précisions.
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit : > Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 > Laurent Georget a écrit : > >> Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit : >>> Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit : >>>> NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, >>>> a écrit : >>>>> Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres. >>>> >>>> Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a >>>> contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol. >>> >>> Ah bon ! >>> >>> Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la >>> contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de >>> la contrefaçon de musique, on vole les artistes ! >>> >>> J'avoue, je comprends pas. >>> >> >> Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété >> intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". >> [...] > > Non. > Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel". http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de 19h48 pour quelques précisions.
Emmanuel Florac
Le Wed, 02 May 2012 18:20:14 +0200, Manuel Leclerc a écrit:
T'auras un stand au solution linux de Juin ?
Oui, ça devrait. Hé, viendez tous nous voir les copains :)
-- absence of evidence is evidence of absence.
Le Wed, 02 May 2012 18:20:14 +0200, Manuel Leclerc a écrit:
T'auras un stand au solution linux de Juin ?
Oui, ça devrait. Hé, viendez tous nous voir les copains :)
Le Wed, 02 May 2012 18:20:14 +0200, Manuel Leclerc a écrit:
T'auras un stand au solution linux de Juin ?
Oui, ça devrait. Hé, viendez tous nous voir les copains :)
-- absence of evidence is evidence of absence.
Laurent Georget
Le 02/05/2012 21:42, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel". http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de 19h48 pour quelques précisions.
J'avais celle-là en tête : http://www.le-dictionnaire.com/definition.php?mot¬caparer. "S'emparer de", c'est-à-dire faire d'un produit sa propriété.
Et je maintiens le terme de "vol". Et oui, je fais bien la différence avec celui de "contrefaçon". La contrefaçon est la reproduction illégale d'un produit. Elle peut s'appliquer à une oeuvre artistique. Le vol, c'est l'appropriation illégale d'un bien dont autrui est propriétaire.
Donc dans le cas qui nous intéresse, l'exploitation illégale d'un brevet, il s'agit de contrefaçon car un brevet ne constitue pas un "titre de brevet". En revanche, dans le cas d'une oeuvre musicale, celle-ci constitue la propriété intellectuelle de son auteur. Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Le 02/05/2012 21:42, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200
Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200
Laurent Georget <laurent@lgeorget.eu> a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$426a74cc@news.free.fr>,
a écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a
contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la
contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de
la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété
intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol".
[...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété
de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu
appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il
soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel".
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce
n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de
19h48 pour quelques précisions.
J'avais celle-là en tête :
http://www.le-dictionnaire.com/definition.php?mot¬caparer. "S'emparer
de", c'est-à-dire faire d'un produit sa propriété.
Et je maintiens le terme de "vol". Et oui, je fais bien la différence
avec celui de "contrefaçon". La contrefaçon est la reproduction illégale
d'un produit. Elle peut s'appliquer à une oeuvre artistique. Le vol,
c'est l'appropriation illégale d'un bien dont autrui est propriétaire.
Donc dans le cas qui nous intéresse, l'exploitation illégale d'un
brevet, il s'agit de contrefaçon car un brevet ne constitue pas un
"titre de brevet". En revanche, dans le cas d'une oeuvre musicale,
celle-ci constitue la propriété intellectuelle de son auteur. Utiliser
cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans
la permission de son auteur, c'est du vol.
Le Wed, 02 May 2012 19:36:14 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 19:37, Yliur a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 18:59:49 +0200 Laurent Georget a écrit :
Le 02/05/2012 18:53, NiKo a écrit :
Le 02/05/2012 13:43, Nicolas George a écrit :
NiKo , dans le message <4fa11d17$0$21944$, a écrit :
Bah oui, c'est ça quand on vole le travail des autres.
Évite ce genre de vocabulaire, il est totalement inadapté. Il y a contrefaçon d'un brevet, qui n'est en aucun cas du vol.
Ah bon !
Donc, quand Microsoft vole le travail de Motorola, c'est de la contrefaçon de brevets, et nous, pauvres mortels, quand on fait de la contrefaçon de musique, on vole les artistes !
J'avoue, je comprends pas.
Il n'y a pas de brevet sur la musique, ça relève de la propriété intellectuelle. Le terme de "propriété" justifie celui de "vol". [...]
Non.
Ben, j'ai envie de dire "si". S'accaparer sans permission la propriété de quelqu'un, qu'il s'agisse d'un bien matériel ou immatériel, tu appelles ça comment ?
Je me demande quelle définition d'"accaparer" tu retiens pour qu'il soit même possible de l'appliquer à un "bien immatériel". http://www.cnrtl.fr/lexicographie/accaparer?
Et c'est là que se situe la subtilité : le vol et la contrefaçon, ce n'est pas la même chose. Je te renvoie au message de Nicolas Georges de 19h48 pour quelques précisions.
J'avais celle-là en tête : http://www.le-dictionnaire.com/definition.php?mot¬caparer. "S'emparer de", c'est-à-dire faire d'un produit sa propriété.
Et je maintiens le terme de "vol". Et oui, je fais bien la différence avec celui de "contrefaçon". La contrefaçon est la reproduction illégale d'un produit. Elle peut s'appliquer à une oeuvre artistique. Le vol, c'est l'appropriation illégale d'un bien dont autrui est propriétaire.
Donc dans le cas qui nous intéresse, l'exploitation illégale d'un brevet, il s'agit de contrefaçon car un brevet ne constitue pas un "titre de brevet". En revanche, dans le cas d'une oeuvre musicale, celle-ci constitue la propriété intellectuelle de son auteur. Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Emmanuel Florac
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
-- I have noticed even people who claim everything is predestined, and that we can do nothing to change it, look before they cross the road. Stephen Hawking.
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette
musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la
permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en
public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété
intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah,
dans le genre amateur de fictions.
--
I have noticed even people who claim everything is predestined, and
that we can do nothing to change it, look before they cross the road.
Stephen Hawking.
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
-- I have noticed even people who claim everything is predestined, and that we can do nothing to change it, look before they cross the road. Stephen Hawking.
Laurent Georget
Le 02/05/2012 22:22, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Le 02/05/2012 22:22, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette
musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la
permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en
public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété
intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah,
dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le
cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis
pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait
commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Manuel Leclerc
Le 02/05/2012 22:31, Laurent Georget a écrit :
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
ça te passera avant que ça me reprenne, mais bonne chance quand même. (et tu commences mal avec ton "commerce")
-- But if that doesn't work for you, I would not consider it a great loss for the world if your products were not produced. They contribute something to the world if they are free software, but otherwise not. -- Richard Stallman
Le 02/05/2012 22:31, Laurent Georget a écrit :
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le
cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis
pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait
commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
ça te passera avant que ça me reprenne, mais bonne chance quand même.
(et tu commences mal avec ton "commerce")
--
But if that doesn't work for you, I would not consider it a great loss
for the world if your products were not produced. They contribute
something to the world if they are free software, but otherwise not.
-- Richard Stallman
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
ça te passera avant que ça me reprenne, mais bonne chance quand même. (et tu commences mal avec ton "commerce")
-- But if that doesn't work for you, I would not consider it a great loss for the world if your products were not produced. They contribute something to the world if they are free software, but otherwise not. -- Richard Stallman
Stephane CARPENTIER
Laurent Georget wrote:
Le 02/05/2012 22:22, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Par exemple, si tu chantes une chanson dans la rue, si des gens te donnent un pièce, c'est du vol mais si tout le monde te snobe, c'est toléré ?
Laurent Georget wrote:
Le 02/05/2012 22:22, Emmanuel Florac a écrit :
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette
musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la
permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en
public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété
intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah,
dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le
cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis
pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait
commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Par exemple, si tu chantes une chanson dans la rue, si des gens te donnent
un pièce, c'est du vol mais si tout le monde te snobe, c'est toléré ?
Le Wed, 02 May 2012 21:51:52 +0200, Laurent Georget a écrit:
Utiliser cette musique en-dehors du cadre de la licence applicable dessus, sans la permission de son auteur, c'est du vol.
Par exemple, chanter cette musique dans sa salle de bain. Ou pire, en public, dans la rue. Hu hu hu hu. Les intégristes de la propriété intellectuelle sont presque aussi rigolos que les témoins de Jéhovah, dans le genre amateur de fictions.
Ce genre d'utilisation fait parti des usages tolérés, justement, dans le cadre des licences, il ne faut pas déformer ce que je dis. Et je ne suis pas sûr de bien saisir ce que cette comparaison foireuse vient faire là.
En général, ça devient gênant pour les artistes lorsqu'il est fait commerce de leurs musiques sans qu'ils ne touchent de revenus.
Par exemple, si tu chantes une chanson dans la rue, si des gens te donnent un pièce, c'est du vol mais si tout le monde te snobe, c'est toléré ?