Globalement j'ai toujours vu X banni des environements serveur (en
production).
Tout en console, en soi ça ne me dérange pas, mais je me demande tout de
même s'il est toujours justifié de se priver d'une GUI, qui peut simplifier
certaines choses, sans pour autant oublier la CLI qui reste toujours dispo
en cas de besoin.
Remarque j'ai jamais essayé *vraiment* en cli pure.
Ben voilà. lvcreate, c'est très simple est ça fait exactement le boulot qu'on lui demande.
On est en 2010, y a des outils moins pourris qu'avant :)
Non. Plus jolis, plus pourris.
Antoine EMERIT
On 22.02.2010 12:41, Alban Taraire wrote:
Bonjour,
Globalement j'ai toujours vu X banni des environements serveur (en production).
Tout en console, en soi ça ne me dérange pas, mais je me demande tout de même s'il est toujours justifié de se priver d'une GUI, qui peut simplifier certaines choses, sans pour autant oublier la CLI qui reste toujours dispo en cas de besoin.
En fait, et comme l'a précisé un des participants à cette discussion, c'est l'exécution d'un serveur X sur le serveur qui est banni.
Comme il n'y a personne sur la console physique (l'écran/clavier local) ça ne sert à rien de faire touner un serveur graphique qui va prendre des resources mémoire et CPU pour rien. ça réduit au passage les éventuelles crash du système (sans importance si on n'utilise pas le frame buffer du noyau Linux).
Car la partie serveur X n'est utile que pour le client qui utilise des applications X (n'oubliez pas que dans le monde X-Windows, le serveur X tourne sur le poste client, et l'application client X tourne sur le serveur d'application).
Au passage et selon les distribution, une installation light n'installe même pas la partie serveur X-Windows.
En revanche, on est souvent améné à installer des bibliothèques clientes X qui servent pour les applications clients. C'est parfois nécessaire car certains logiciels s'installe plus facilement en mode graphique (ex: Oracle Database).
Autre détail, qui peut avoir son importance : il est parfois nécessaire d'accéder à la console physique à distance en utilisant une interface matériel prévu à cet effet : fonction ILO chez HP, fonction DRAC chez Dell. Et ces fonction, qui utilise une interface réseau séparée avec un controleur écran/clavier qui transmet la console à travers Internet, ont parfois des license supplémentaire à acheter si on est en mode graphique (cas de HP avec le Advanced ILO dans les 100¤ !). Donc en ne démarrant pas le serveur X on a toujours accès à l'interface texte de la console, largement suffisant pour reconfigurer le réseau s'il est planté ou voir les messages sur la console physique.
Voilà
On 22.02.2010 12:41, Alban Taraire wrote:
Bonjour,
Globalement j'ai toujours vu X banni des environements serveur (en
production).
Tout en console, en soi ça ne me dérange pas, mais je me demande tout de
même s'il est toujours justifié de se priver d'une GUI, qui peut simplifier
certaines choses, sans pour autant oublier la CLI qui reste toujours dispo
en cas de besoin.
En fait, et comme l'a précisé un des participants à cette discussion,
c'est l'exécution d'un serveur X sur le serveur qui est banni.
Comme il n'y a personne sur la console physique (l'écran/clavier local)
ça ne sert à rien de faire touner un serveur graphique qui va prendre
des resources mémoire et CPU pour rien. ça réduit au passage les
éventuelles crash du système (sans importance si on n'utilise pas le
frame buffer du noyau Linux).
Car la partie serveur X n'est utile que pour le client qui utilise des
applications X (n'oubliez pas que dans le monde X-Windows, le serveur X
tourne sur le poste client, et l'application client X tourne sur le
serveur d'application).
Au passage et selon les distribution, une installation light n'installe
même pas la partie serveur X-Windows.
En revanche, on est souvent améné à installer des bibliothèques clientes
X qui servent pour les applications clients. C'est parfois nécessaire
car certains logiciels s'installe plus facilement en mode graphique (ex:
Oracle Database).
Autre détail, qui peut avoir son importance : il est parfois nécessaire
d'accéder à la console physique à distance en utilisant une interface
matériel prévu à cet effet : fonction ILO chez HP, fonction DRAC chez
Dell. Et ces fonction, qui utilise une interface réseau séparée avec un
controleur écran/clavier qui transmet la console à travers Internet, ont
parfois des license supplémentaire à acheter si on est en mode graphique
(cas de HP avec le Advanced ILO dans les 100¤ !). Donc en ne démarrant
pas le serveur X on a toujours accès à l'interface texte de la console,
largement suffisant pour reconfigurer le réseau s'il est planté ou voir
les messages sur la console physique.
Globalement j'ai toujours vu X banni des environements serveur (en production).
Tout en console, en soi ça ne me dérange pas, mais je me demande tout de même s'il est toujours justifié de se priver d'une GUI, qui peut simplifier certaines choses, sans pour autant oublier la CLI qui reste toujours dispo en cas de besoin.
En fait, et comme l'a précisé un des participants à cette discussion, c'est l'exécution d'un serveur X sur le serveur qui est banni.
Comme il n'y a personne sur la console physique (l'écran/clavier local) ça ne sert à rien de faire touner un serveur graphique qui va prendre des resources mémoire et CPU pour rien. ça réduit au passage les éventuelles crash du système (sans importance si on n'utilise pas le frame buffer du noyau Linux).
Car la partie serveur X n'est utile que pour le client qui utilise des applications X (n'oubliez pas que dans le monde X-Windows, le serveur X tourne sur le poste client, et l'application client X tourne sur le serveur d'application).
Au passage et selon les distribution, une installation light n'installe même pas la partie serveur X-Windows.
En revanche, on est souvent améné à installer des bibliothèques clientes X qui servent pour les applications clients. C'est parfois nécessaire car certains logiciels s'installe plus facilement en mode graphique (ex: Oracle Database).
Autre détail, qui peut avoir son importance : il est parfois nécessaire d'accéder à la console physique à distance en utilisant une interface matériel prévu à cet effet : fonction ILO chez HP, fonction DRAC chez Dell. Et ces fonction, qui utilise une interface réseau séparée avec un controleur écran/clavier qui transmet la console à travers Internet, ont parfois des license supplémentaire à acheter si on est en mode graphique (cas de HP avec le Advanced ILO dans les 100¤ !). Donc en ne démarrant pas le serveur X on a toujours accès à l'interface texte de la console, largement suffisant pour reconfigurer le réseau s'il est planté ou voir les messages sur la console physique.