À la suite d'une enquête ouverte en octobre 2016, l'autorité italienne de la concurrence annonce une amende de 3 millions d'euros à l'encontre de l'application de messagerie WhatsApp qui est dans le giron de Facebook.
Dans un communiqué, l'autorité transalpine écrit que WhatsApp a bel et bien incité les utilisateurs en ce sens. Les anciens utilisateurs avaient néanmoins l'opportunité de refuser le partage de données.
Rappelons par ailleurs que les CNIL européennes ont mis en doute la légitimité de la mise à jour des conditions d'utilisation de WhatsApp.