Blinkx logo png La plate-forme Blinkx Adhoc laisse en effet les internautes utiliser des clips couplés à de la publicité sur leurs sites Internet et permet ensuite de partager les revenus de la même manière que le fait Google ( voir notre dernière actualité ).

En revanche, Blinkx promet que les administrateurs de sites Web toucheront la moitié des revenus issus de la publicité tandis que du côté de Google, personne n'a souhaité révéler le ratio qui serait appliqué.

Il y a quelques jours, le numéro un de la recherche Web annonçait le lancement de sa plate-forme publicitaire destinée à rentabiliser le rachat de YouTube pour 1,65 milliard de dollars l'année dernière. En sus des vidéos YouTube, Blinkx proposera des contenus également issus d'autres portails vidéo, à l'exemple du français DailyMotion.

Relativement méconnu dans nos contrées, Blinkx détient pourtant plus de 200 partenariats, y compris avec Microsoft, et s'est ouvert lundi à l'Europe de l'ouest en ajoutant des contenus français, allemands et espagnols à son catalogue. Le groupe recense plus de 14 millions d'heures de programmes indexés. Dans un récent entretien relayé par l'AFP, Suranga Chandratillake, co-fondateur de Blinkx et directeur de la technologie de la firme, a déclaré qu'il était confiant dans le fait que YouTube puisse être détrôné, en dépit du fait qu'il soit soutenu par sa maison-mère : Google. L'avenir lui donnera sans doute raison...ou pas.