Un principe directeur semblait se dégager de ce brevet, celui de proposer un mode de paiement pour du matériel et du logiciel à utiliser en fonction de ses besoins ponctuels sur une machine standard évolutive. Ce brevet n'a pas tardé à susciter quelques interrogations et parfois inquiétudes quant aux mécanismes de contrôle pour ne pas dire surveillance potentiellement mis en jeu pour cette informatique locative.
La facturation à grande échelle de l'informatique personnelle basée sur le domaine et le temps d'utilisation reste toutefois pour le moment très conceptuelle, d'autant que le brevet en question a été rejeté par l'United States Patent and Trademark Office (USPTO) nous informe David Meyer de ZDNet UK. Selon Meyer, une lettre motivant ce rejet a ainsi été envoyée par l'USPTO à la firme de Redmond quelques jours avant la publication du brevet.
Copie à revoir pour Microsoft
Trop flou dans sa description et parfois relatif à des technologies déjà brevetées, le brevet Metered Pay-As-You-Go Computing Experience n'a pas convaincu. Cela ne signifie pas pour autant que l'idée de Microsoft est remise aux calendes grecques, puisque le géant du logiciel a la possibilité de faire appel ou de réajuster son brevet pour satisfaire aux conditions exigées par l'USPTO.
Rappelons par ailleurs que Microsoft expérimente déjà des cartes prépayées pour PC dans les pays à l'économie émergente.
Publié le
par Bruno C.


Créateur et rédacteur en chef du site GNT
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