La semaine dernière, Google a rendu le nom réel non obligatoire sur son réseau social, tandis que Microsoft a rendu accessible son formulaire de droit à l’oubli.

Chez nous, les opérateurs télécoms rejoignent la fronde anti-Google, pendant que le blocage des sites est remis sur le tapis et que la programmation informatique s’apprête à arriver à l’école primaire.

Sur ce, bonne lecture et de bon début de semaine sur GNT.


Coder dès la primaire : dès la prochaine rentrée scolaire, l'apprentissage de la programmation informatique sera proposé à l’école primaire. Une initiation qui sera néanmoins facultative et s’effectuera sur le temps périscolaire.


Fin de la politique du nom réel : sur le réseau communautaire Google+, les utilisateurs peuvent désormais opter pour l'identité qu'ils désirent. Le nom réel n'est en effet plus obligatoire.


Le blocage des sites remis sur le tapis : il y a peu, Bernard Cazeneuve présentait son projet de loi antiterroriste dans laquelle figurait un ensemble de mesures faisant appel aux FAI pour le blocage des sites de propagande djihadiste. Plus récemment, le Conseil d'État au numérique a vivement critiqué cet aspect. Il parle d’une solution techniquement inefficace et dangereuse pour les libertés.

Bing prêt à vous oublier : après Google, c'est au tour de Microsoft de mettre en ligne son formulaire permettant aux internautes européens de demander la suppression de certains résultats dans son moteur de recherche Bing.


Ils rejoignent la fronde anti-Google : la Fédération Française des Télécoms rejoint les 400 acteurs du numérique de l'Open Internet Project qui a déposé plainte contre Google pour abus de position dominante. Sont également pointées du doigt les pratiques d'optimisations fiscales qui permettraient à des géants comme Google de prospérer aux dépens d'autres acteurs.