Cette semaine, Facebook a admis se servir des utilisateurs comme cobayes, pendant que Microsoft s’acharnait peut-être un peu trop dans sa lutte contre les botnets et qu’Amazon émettait l’idée d’une impression des ouvrages. Google a fait parler de lui au sujet des demandes de droit à l’oubli et d’une plainte liée à YouTube.

Chez nous, Sosh passe à la fibre, pendant que le gouvernement étudie de nouvelles pistes pour lutter contre la cybercriminalité.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Facebook et ses cobayes : le réseau social Facebook a récemment été montré du doigt et vivement critiqué. On a en effet découvert que la plate-forme se présentait comme un véritable laboratoire réalisant des expériences psychologiques sur des utilisateurs sans leur consentement préalable. Mais est-ce surprenant lorsque l’on regarde les conditions d’utilisation ?


Amazon pourrait imprimer vos livres : Amazon continue de secouer le marché du livre et de susciter la polémique. Le géant américain évoque en effet probabilité de pouvoir imprimer des ouvrages lorsque les stocks seront insuffisants.


Sosh a la fibre : la fibre optique signe son arrivée à 200 Mbit/s pour la marque Sosh d'Orange. Une annonce qui intervient peu de temps après l'offensive de Bouygues Telecom dans le FTTH.


YouTube abuse : les plaintes s'enchainent à l'encontre de Google et de ses différents services ces derniers jours. C’est ainsi au tour de sa plate-forme vidéo YouTube d'être la cible d'une plainte pour abus de position dominante.


Plein de propositions contre la cybercriminalité : plusieurs ministres du gouvernement français viennent de recevoir un rapport contre la cybercriminalité intégrant 55 propositions visant à lutter contre un mal en forte progression ces dernières années. Parmi elles, un numéro d’urgence pour signaler une infraction en ligne.


Microsoft coupe les vannes : depuis des années, Microsoft a fait de l'éradication des botnets un véritable devoir. Mais tout ne se passe pas toujours comme prévu. Des millions de sites Internet ont ainsi subi les dommages collatéraux de cette chasse acharnée.


Google bannit le porno : c'est fini pour la promotion des sites pornographiques via la plate-forme publicitaire AdWords de Google. La chose avait été annoncée en mars dernier. Aucune surprise donc.


70 000 demandes d’oubli : les choses s'accélèrent pour Google et son formulaire de demande de droit à l'oubli. Après avoir annoncé la suppression des premières informations renvoyées par son moteur de recherche, le géant de Mountain View indique avoir reçu plus de 70 000 requêtes en l’espace d’un mois.