Parmi les faits qui ont marqué l’actualité de la semaine précédente, on rappellera le coup d’envoi pour les publicités vidéo sur Facebook, la grosse amende infligée à Google en Espagne et la condamnation d’un Suédois pour le partage d'un film.

Chez nous, Mistergooddeal pourrait changer de propriétaire pour 1 euro, Martin Bouygues déclare la guerre à Xavier Niel sur l’Internet fixe et notre CSA veut contrôler de sites tels que YouTube et iTunes.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.

Des publicités vidéo sur Facebook : le réseau social Facebook a donné le coup d'envoi des publicités vidéo. Il s'agit pour le moment d'un test auprès d'un petit nombre d'utilisateurs. Ces publicités dans le fil d'actualité sont à lecture automatique.


Le CSA veut le contrôle : dans un rapport remis au gouvernement, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel a détaillé son intention de contrôle de sites de partage vidéo comme YouTube ou Dailymotion, mais aussi de sites de ventes de contenus audiovisuels à l’image d’iTunes.

Mistergooddeal racheté pour 1 euro : le groupe M6 a annoncé des négociations exclusives avec Darty pour l'acquisition par ce dernier de 100 % de son site de commerce en ligne Mistergooddeal.com. On évoque l'euro symbolique.

480 000 euros pour un film : un Suédois de 28 ans a été condamné à verser près de 480 000 euros de dommages-intérêts. Un montant qui porte sur la mise à ligne d'un seul film pour une communauté BitTorrent privée.


Martin Bouygues déclare la guerre à Xavier Niel : Martin Bouygues adopte un ton guerrier pour répondre à Xavier Niel. Une offensive inattendue viendra du côté de l'Internet fixe où Bouygues Telecom entend casser les prix en 2014. Or, c'est justement l'Internet fixe qui permet à Free de dégager des marges et de financer le déploiement de son réseau mobile.

Amende de 900 000 euros pour Google : l’agence espagnole de protection des données a infligé une amende de 900 000 euros à Google pour une violation grave du droit de la protection des données personnelles. Elle a estimé que le géant américain avait recueilli et traité de manière illégale les informations personnelles d'utilisateurs de services Google connectés à un compte ou non, ainsi que celles d'utilisateurs dits passifs qui ont accédé à des pages comprenant des éléments gérés par Google.