Pour Nvidia, il s’agissait de défendre sa plate-forme Tegra K1, avec laquelle elle comptait revenir sur le devant de la scène, en mettant en avant les capacités graphiques permises par son architecture Kepler Mobile. Et la firme américaine va devoir redoubler d’efforts si elle compte obtenir gain de cause. Il se trouve en effet que la International Trade Commission vient de rendre un verdict qui lui est défavorable. Le juge Thomas Pender estime en effet que ni Samsung ni Qualcomm n’ont violé des brevets détenus par Nvidia. La société au caméléon compte d’ailleurs faire appel de la décision. Le feuilleton judiciaire n’est donc pas terminé.