Sur ce, bon début de semaine sur GNT et bonne lecture !
Changement de nom et de visage pour Scrabulous : suite à la plainte déposée à leur encontre outre-Atlantique et à la disparition de Scrabulous de Facebook pour les membres nord-américains, Rajat et Jayant Agarwalla ont mis en ligne une nouvelle application similaire avec un nouveau nom, de nouveaux graphismes et de nouvelles règles. Reste à voir si cela suffira à leur éviter les ennuis judiciaires.
40 millions de cartes de crédit victimes de fraudeurs : la justice étasunienne vient d'inculper 11 personnes de plusieurs nationalités pour avoir piraté les réseaux sans fil de neuf revendeurs établis outre-Atlantique ( TJX Companies, BJ’s Wholesale Club, OfficeMax, Boston Market, Barnes & Noble, Sports Authority, Forever 21, DSW ). De cette manière, les accusés auraient dérobé les numéros de plus de 40 millions de cartes de crédit. Albert Gonzales, le chef du gang, risque la prison à perpétuité.
Free améliore son assistance technique : Free, troisième et bientôt deuxième fournisseur d'accès à Internet en France lorsqu'il aura mis la main sur Alice, entend bien améliorer son assistance technique de proximité, qui est pour rappel composée de techniciens itinérants intervenant au cas où la panne ne peut être résolue par téléphone. La zone de couverture compte depuis peu 22 villes supplémentaires, soit 70 villes au total.
La société eBay blanchie dans l'affaire qui l'opposait à Quai Ouest Musiques : traîné en justice par la société organisatrice du Festival du Bout du Monde pour la revente de billets sur sa plate-forme d'enchères en ligne, eBay vient d'être relaxé, mais devra tout de même payer les frais de justice du perdant. Le juge a en effet considéré que l'affaire était close puisqu'eBay bloquait les mises en vente de billets et qu'il s'était engagé à le faire jusqu'à la fin du festival.
Bientôt la fin pour Fujitsu-Siemens : fondée il y a neuf ans, Fujitsu-Siemens, une co-entreprise spécialisée dans la fabrication d'ordinateurs détenue à 50 % par le groupe nippon Fujitsu et à 50 % par le groupe allemand Siemens, serait sur le point de voir l'un de ses actionnaires s'en aller. Devant les résultats décevants de la joint-venture, notamment dus à un contexte de forte concurrence, Siemens envisage clairement de lever le camp, et il semble que Fujitsu n'en pense pas moins. On évoque déjà d'une reprise par le chinois Lenovo.
