Parmi les faits qui ont rythmé l'actualité de la semaine précédente, la fermeture de quatre gros sites spécialisés dans le téléchargement de contenus illégaux, le lancement du plan à 2 milliards d'euros pour le développement du très haut débit, la fin des requêtes réservées pour la régie publicitaire Google AdWords, la fin annoncée pour la plate-forme Google Wave et la condamnation du FAI Free pour non-respect de son obligation d'information du consommateur.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Fermeture de quatre gros sites proposant du téléchargement illégal : quatre importants sites de téléchargement ont récemment mis la clé sous la porte suite à une opération menée par la police bulgare. Répondant aux noms de 4storing.com, afasta.com, nanoser.net et rapidadd.com, ceux-ci cumulaient au total 120 To de contenus illégaux parmi lesquels des films, des jeux vidéo, des livres électroniques, des logiciels et des musiques.


Le plan à 2 milliards d'euros pour le très haut débit est lancé : le gouvernement français vient d'engager la phase de lancement de son programme national très haut débit pour le déploiement de la fibre optique dans les zones les moins denses.


La fin des requêtes réservées pour Google AdWords : la régie publicitaire Google AdWords va adopter une nouvelle politique concernant l'affichage des liens sponsorisés en Europe. Les marques déposées ne pourront bientôt plus se réserver certaines requêtes.


Une aventure qui aura tourné court pour Google Wave : deux mois après avoir été rendu disponible au plus grand nombre, la plate-forme de communication et de collaboration Google Wave est déjà sur le point de baisser le rideau, car jugée trop complexe.


Free condamné pour n'avoir pas bien informé une cliente : le fournisseur d'accès à Internet Free a été condamné pour ne pas avoir respecté son obligation d'information du consommateur. Il lui a été demandé de verser 150 euros de dommages-intérêts pour non-respect de l'obligation d'information du consommateur dans le cadre d'une vente à distance, ainsi que 178,17 euros au titre de remboursement des prestations facturées et 150 euros pour couvrir les frais de procédure judiciaire.