plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire. -- F.J.
plein d'ombres, plein de surex, dommage.
Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise
au smartphone.
c'est une image facile à améliorer
https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais
foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils
ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à
faire.
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire. -- F.J.
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
efji <efji@efi.efji> wrote:
On 15/11/2018 12:32, Alf92 wrote:
> efji :
>> On 15/11/2018 11:07, Bernard wrote:
>
>>>> https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKop2hwJjLa_img-4427b-small.jpg
>>>
>>> plein d'ombres, plein de surex, dommage.
>>> Et comment éviter ça ?
>>
>> Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise
>> au smartphone.
>
> c'est une image facile à améliorer
> https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
>
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais
foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils
ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à
faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet speculaire sur une surface brillante. c'est comme exposer correctement le soleil...
plein d'ombres, plein de surex, dommage.
Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise
au smartphone.
c'est une image facile à améliorer
https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais
foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils
ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à
faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet
speculaire sur une surface brillante.
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet speculaire sur une surface brillante. c'est comme exposer correctement le soleil...
jdd
Le 15/11/2018 à 15:18, Stephane Legras-Decussy a écrit :
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet speculaire sur une surface brillante.
ben, surex, il est exposé correctement :-)) jdd -- http://dodin.org
Le 15/11/2018 à 15:18, Stephane Legras-Decussy a écrit :
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet
speculaire sur une surface brillante.
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet speculaire sur une surface brillante. c'est comme exposer correctement le soleil...
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la quatinté qui elle est exponentielle (si c'est deux fois plus clair c'est qu'il y a quatre fois plus de lumière). On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ? Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs. Imagine que 50% de ton chiffre d'affaire soit réalisé avec 18% de tes clients (pas loin de la loi des 20/80). Toute petite correction de tes principaux clients aura un effet plus important que la même évolution de te « petits » clients. Donc. Si tu sous-exposes un peu, tu récupères plus d'information (de niveaux de gris) que si tu sur-exposes. Là t'as plus dans le gris foncés mais tu crâmes les gris très clairs. Prenons un autre exemple : Admettons que le goût soit plus marqué sur les sucrés que sur les salés. Si tu double le sel ce n'est pas bon, si tu doubles le sucre ça devient un peu trop sucré. Le pb n'est pas la quantité de sucre, mais la quantié de sel. Idem en photo. Si tu mets trop de sucre (noir) ça va, si tu mets trop de sel (surexpose) c'est foutu. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Le 15/11/2018 14:59, Benoit a écrit :
> efji <efji@efi.efji> wrote:
>
>> On 15/11/2018 12:32, Alf92 wrote:
>>> efji :
>>>> On 15/11/2018 11:07, Bernard wrote:
>>>
>>>>>> https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKop2hwJjLa_img-4427b-small.jpg
>>>>>
>>>>> plein d'ombres, plein de surex, dommage.
>>>>> Et comment éviter ça ?
>>>>
>>>> Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise
>>>> au smartphone.
>>>
>>> c'est une image facile à améliorer
>>> https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
>>>
>>
>> Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais
>> foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils
>> ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à
>> faire.
>
> D'où l'intérêt du RAW ;)
>
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet
speculaire sur une surface brillante.
c'est comme exposer correctement le soleil...
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne
faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est
effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
quatinté qui elle est exponentielle (si c'est deux fois plus clair c'est
qu'il y a quatre fois plus de lumière).
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails,
disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Imagine que 50% de ton chiffre d'affaire soit réalisé avec 18% de tes
clients (pas loin de la loi des 20/80). Toute petite correction de tes
principaux clients aura un effet plus important que la même évolution de
te « petits » clients.
Donc. Si tu sous-exposes un peu, tu récupères plus d'information (de
niveaux de gris) que si tu sur-exposes. Là t'as plus dans le gris foncés
mais tu crâmes les gris très clairs.
Prenons un autre exemple :
Admettons que le goût soit plus marqué sur les sucrés que sur les salés.
Si tu double le sel ce n'est pas bon, si tu doubles le sucre ça devient
un peu trop sucré. Le pb n'est pas la quantité de sucre, mais la quantié
de sel. Idem en photo. Si tu mets trop de sucre (noir) ça va, si tu mets
trop de sel (surexpose) c'est foutu.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
plein d'ombres, plein de surex, dommage. Et comment éviter ça ?
Avec un vrai appareil photo, éventuellement en raw. Celle-ci est prise au smartphone.
c'est une image facile à améliorer https://www.cjoint.com/doc/18_11/HKplEOBCiPz_Rudolf.jpg
Pas d'accord. Tu reviens un peu aux tons de l'original que j'avais foncés volontairement. Le problème amha n'est pas les noirs bouchés (ils ne le sont pas) mais les hautes lumières cramées, et là il n'y a rien à faire.
D'où l'intérêt du RAW ;)
raw ou pas, je vois pas comment tu vas exposer correctement un reflet speculaire sur une surface brillante. c'est comme exposer correctement le soleil...
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la quatinté qui elle est exponentielle (si c'est deux fois plus clair c'est qu'il y a quatre fois plus de lumière). On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ? Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs. Imagine que 50% de ton chiffre d'affaire soit réalisé avec 18% de tes clients (pas loin de la loi des 20/80). Toute petite correction de tes principaux clients aura un effet plus important que la même évolution de te « petits » clients. Donc. Si tu sous-exposes un peu, tu récupères plus d'information (de niveaux de gris) que si tu sur-exposes. Là t'as plus dans le gris foncés mais tu crâmes les gris très clairs. Prenons un autre exemple : Admettons que le goût soit plus marqué sur les sucrés que sur les salés. Si tu double le sel ce n'est pas bon, si tu doubles le sucre ça devient un peu trop sucré. Le pb n'est pas la quantité de sucre, mais la quantié de sel. Idem en photo. Si tu mets trop de sucre (noir) ça va, si tu mets trop de sel (surexpose) c'est foutu. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
efji
On 15/11/2018 19:42, Benoit wrote:
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :) Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié. -- F.J.
On 15/11/2018 19:42, Benoit wrote:
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne
faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est
effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails,
disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :)
Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur
lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la
réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux
carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui
réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la
lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue
par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans
l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait
toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :) Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié. -- F.J.
benoit
efji wrote:
On 15/11/2018 19:42, Benoit wrote:
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :) Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
C'est qu'est-ce-que j'ai mal dit. :) Le carton gris donne 128/128/128 et pas 18% de noir ou ou 118/118/118. Le luminosité n'est pas linéaire mais exponentielle. Si tu divises ton diaph par deux tu divises la quantité de lumière par quatre. Non ? -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
efji <efji@efi.efji> wrote:
On 15/11/2018 19:42, Benoit wrote:
> Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne
> faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est
> effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
>
> On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
> Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails,
> disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :)
Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur
lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la
réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux
carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui
réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la
lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue
par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans
l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait
toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
C'est qu'est-ce-que j'ai mal dit. :)
Le carton gris donne 128/128/128 et pas 18% de noir ou ou 118/118/118.
Le luminosité n'est pas linéaire mais exponentielle. Si tu divises ton
diaph par deux tu divises la quantité de lumière par quatre. Non ?
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Tu sous-ex d'un ou deux diaph et tu récupères dans les « noirs ». Il ne faut pas oublier ce qu'on appelle un gris moyen. Un gris moyen c'est effectivement 128-128-128 en jpeg mais cela n'a rien a voir avec la
non
On dit que le gris « moyen » est à 18 %, qu'est ce que ça veut dire ?
Oui tiens donc, qu'est-ce que ça veut dire ?
Qu'avec 18% de noir il y a autant d'informations, de détails, disponibles que dans les 82% qui restent, les blancs.
Encore raté :) Le "gris moyen" du carton gris de l'ancien temps était un gris sur lequel étaient étalonnés les posemètres et correspondait à la réflectance moyenne de la moyenne des scènes habituelles. Et le fameux carton gris était un objet colorimétriquement neutre (gris) qui réfléchissait 18% de la lumière incidente. En théorie, en mesurant la lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
C'est qu'est-ce-que j'ai mal dit. :) Le carton gris donne 128/128/128 et pas 18% de noir ou ou 118/118/118. Le luminosité n'est pas linéaire mais exponentielle. Si tu divises ton diaph par deux tu divises la quantité de lumière par quatre. Non ? -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
jdd
Le 15/11/2018 à 20:03, efji a écrit :
lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
comme ce que font tous les cinéastes, on expose selon la lumière du lieu, pas selon l'éclairage des objets c'est tellement facile à faire sur un smartphone que je ne comprends pas pourquoi ce n'est pas déjà fait (pas même besoin de le dire) jdd -- http://dodin.org
Le 15/11/2018 à 20:03, efji a écrit :
lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue
par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans
l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait
toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
comme ce que font tous les cinéastes, on expose selon la lumière du
lieu, pas selon l'éclairage des objets
c'est tellement facile à faire sur un smartphone que je ne comprends pas
pourquoi ce n'est pas déjà fait (pas même besoin de le dire)
lumière qu'il réfléchissait on obtenait la même mesure que celle obtenue par une mesure incidente, c'est-à-dire en tournant le posemètre dans l'autre sens et en le munissant d'une calotte diffusante qui récupérait toute la lumière (incidente donc) qui éclairait le sujet photographié.
comme ce que font tous les cinéastes, on expose selon la lumière du lieu, pas selon l'éclairage des objets c'est tellement facile à faire sur un smartphone que je ne comprends pas pourquoi ce n'est pas déjà fait (pas même besoin de le dire) jdd -- http://dodin.org