Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
GhostRaider wrote:
> Benoit est un poète, un grand poète.
>
> Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
>
> Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
> de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
> Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
> 18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
> Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
> des étoiles..." nous éblouit.
>
> Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
> noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
> appliquée à la lumière des scènes photographiées.
>
> C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
>
Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:
> Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Le 17/11/2018 14:50, Benoit a écrit :Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
http://luc-damas.fr/pipotron/
Le 17/11/2018 14:50, Benoit a écrit :
> Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
>
http://luc-damas.fr/pipotron/
Le 17/11/2018 14:50, Benoit a écrit :Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
http://luc-damas.fr/pipotron/
Den wrote:GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
<http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/images/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
18% de luminance = 50% de luminosité
Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
œil humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
dans les zones claires.
On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
définir les zones claires et 46 pour les sombres.
Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
mes hautes lumières sont cramées. >
Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
pour les lumières et mes ombres sont plombées >
De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
mais je vois plus de choses.
3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
capteur 8 bits.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Den <tarata@yahoo.fr> wrote:
GhostRaider wrote:
Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
<http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/images/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
18% de luminance = 50% de luminosité
Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
œil humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
dans les zones claires.
On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
définir les zones claires et 46 pour les sombres.
Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
mes hautes lumières sont cramées. >
Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
pour les lumières et mes ombres sont plombées >
De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
mais je vois plus de choses.
3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
capteur 8 bits.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Den wrote:GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
<http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/images/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
18% de luminance = 50% de luminosité
Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
œil humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
dans les zones claires.
On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
définir les zones claires et 46 pour les sombres.
Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
mes hautes lumières sont cramées. >
Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
pour les lumières et mes ombres sont plombées >
De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
mais je vois plus de choses.
3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
capteur 8 bits.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Le 17/11/2018 à 14:50, Benoit a écrit :Den wrote:GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
<http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/ima
ges/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
18% de luminance = 50% de luminosité
Pas "égale", mais "correspond à".Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
½il humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
dans les zones claires.
Ta courbe est intéressante, elle montre la relation non linéaire entre
la luminosité, phénomène physique, et la luminance, qui est
*l'impression* qu'en ressent l'½il humain moyen. Une impression variable
selon les individus, pas une réalité.
On y voit que si 50 % de luminosité sont ressentis comme 18 % de
luminance dans cet exemple, on y voit aussi que 75% de luminosité sont
ressentis comme 75 % de luminance.
Partant de cette constatation, on peut donc aussi dire avec toi que
l'½il voit exactement les mêmes "détails" dans les "noirs" et dans les
"blancs" à 75 % de luminance et pas 5 fois plus.
Comment expliquer cette apparente contradiction ?
On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
définir les zones claires et 46 pour les sombres.
Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
mes hautes lumières sont cramées. >
Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
pour les lumières et mes ombres sont plombées >
De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
mais je vois plus de choses.
3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
capteur 8 bits.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Le 17/11/2018 à 14:50, Benoit a écrit :
> Den <tarata@yahoo.fr> wrote:
>
>> GhostRaider wrote:
>>> Benoit est un poète, un grand poète.
>>>
>>> Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
>>>
>>> Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
>>> de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
>>> Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
>>> 18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
>>> Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
>>> des étoiles..." nous éblouit.
>>>
>>> Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
>>> noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
>>> appliquée à la lumière des scènes photographiées.
>>>
>>> C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
>>>
>> Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
>> les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
>> Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
>
> Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
> <http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/ima
> ges/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
>
> 18% de luminance = 50% de luminosité
Pas "égale", mais "correspond à".
>
> Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
> ½il humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
> réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
> à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
> dans les zones claires.
Ta courbe est intéressante, elle montre la relation non linéaire entre
la luminosité, phénomène physique, et la luminance, qui est
*l'impression* qu'en ressent l'½il humain moyen. Une impression variable
selon les individus, pas une réalité.
On y voit que si 50 % de luminosité sont ressentis comme 18 % de
luminance dans cet exemple, on y voit aussi que 75% de luminosité sont
ressentis comme 75 % de luminance.
Partant de cette constatation, on peut donc aussi dire avec toi que
l'½il voit exactement les mêmes "détails" dans les "noirs" et dans les
"blancs" à 75 % de luminance et pas 5 fois plus.
Comment expliquer cette apparente contradiction ?
> On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
> y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
> nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
> le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
> certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
>
> Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
> au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
> définir les zones claires et 46 pour les sombres.
>
> Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
> mes hautes lumières sont cramées. >
> Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
> pour les lumières et mes ombres sont plombées >
> De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
>
> 1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
> 2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
> fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
> pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
> mais je vois plus de choses.
> 3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
> d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
> capteur 8 bits.
>
>
> Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
Le 17/11/2018 à 14:50, Benoit a écrit :Den wrote:GhostRaider wrote:Benoit est un poète, un grand poète.Et mathématique. Je ne suis pas sûr que Benoît fasse la différence entre
Chacune de ses interventions nous le montre à l'envie.
Qui aurait eu l'imagination de réinterpréter le carton gris moyen à 18%
de réflexivité, pont aux ânes des photographes, comme une "loi" de
Pareto appliquée à l'éclairage des scènes photographiées selon laquelle
18% de "noirs" contiennent autant d'informations que 82% de "blancs" ?
Comme l'a dit cet autre grand poète : " cette obscure clarté qui tombe
des étoiles..." nous éblouit.
Mais là où ça devient sublime, c'est ce raccourci fulgurant entre les
noirs sucrés et les blancs salés qui eux aussi suivent la loi de Pareto
appliquée à la lumière des scènes photographiées.
C'est à se mettre à genoux devant un tel génie poétique !
les fonctions e^x, x^2 et 2^x.
Mais c'est normal, c'est dans les bouquins !
Parce qu'une courbe luminance/luminosité est droite peut-être ?
<http://dialou.fr/htpc/Utilisation/homecinema/calibration/calibvideo/ima
ges/colorhcfr_graph_luminosite_luminance.jpg>
18% de luminance = 50% de luminosité
Pas "égale", mais "correspond à".Ou, pour parler plus simplement à un béotien, quand je considère (mon
½il humain) que je suis à mi-chemin entre le noir et le blanc, en
réalité je ne « vois » que 18% des noirs pour 82% des blancs émis. J'ai,
à peu près, cinq fois plus d'information, donc de détails disponibles,
dans les zones claires.
Ta courbe est intéressante, elle montre la relation non linéaire entre
la luminosité, phénomène physique, et la luminance, qui est
*l'impression* qu'en ressent l'½il humain moyen. Une impression variable
selon les individus, pas une réalité.
On y voit que si 50 % de luminosité sont ressentis comme 18 % de
luminance dans cet exemple, on y voit aussi que 75% de luminosité sont
ressentis comme 75 % de luminance.
Partant de cette constatation, on peut donc aussi dire avec toi que
l'½il voit exactement les mêmes "détails" dans les "noirs" et dans les
"blancs" à 75 % de luminance et pas 5 fois plus.
Comment expliquer cette apparente contradiction ?
On a une vision adapté au jour et pas à la nuit, on voit mieux quand il
y a beaucoup de lumière. Et on est quasi aveugle la nuit. Les animaux
nocturnes eux voient très bien les détails la nuit et très peu de choses
le jour. Leur gama est inférieur à 1, le notre supérieur à 1. D'un
certain point de vue on inverse la courbe luminance/luminosité.
Si on en revient à nos 256 bits chéris et qu'on regarde la courbe
au-dessus, cela veut dire qu'avec notre gris moyen, on a 210 bits pour
définir les zones claires et 46 pour les sombres.
Si je sur-expose j'ai plus de détails, plus de bits, dans les ombres et
mes hautes lumières sont cramées. >
Si je sous-expose c'est le contraire j'ai plus de détails, plus de bits,
pour les lumières et mes ombres sont plombées >
De là vient l'intérêt du RAW et la raison pour laquelle je sous-expose.
1. Je suis quasi sûr de ne plus avoir de blanc cramé ;
2. J'ai des ombres plus sombres, mais comme je suis en 14 bits j'ai 64
fois plus d'information à disposition et je peux éclaircir mes ombres
pour retrouver un peu de détail. C'est sûr que je perds du contraste,
mais je vois plus de choses.
3. Si j'ai un capteur 16 bits cela veut dire que j'ai autant
d'information entre deux bits d'un 8 bits et toute l'information de ce
capteur 8 bits.
Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ? ;)
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:
> Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
On 17/11/2018 14:50, Benoit wrote:Commentaires les pros qui rigolent au fond de la classe ?;)
Parfois, très rarement mais ça arrive, les plus pédagogues jettent
l'éponge. Dans ce cas, soit ils étranglent sauvagement leur élève, soit
ils vont s'en jeter un pour oublier.
- Que ceux qui me prennent pour un neuneu qui ne connaît rien en math,
physique...
- Que ceux qui me prennent pour un neuneu qui ne connaît rien en math,
physique...
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