voyage d'affaires ou avec son amant, il n'y a aucune date sur la photo, et , on a tous un sosie :=) Eric
Pierre Pallier
Hello, Daniel Rocha a écrit dans <news:e6j5pa$2bck$
Un jour de pluie...
http://www.monochromatique.com/photosemaine/
Oui ben ça doit faire longtemps, hein. Ici les marchands de parapluies barrent les routes.
Bon, y'a un p'tit côté "posé" qui surprend un peu. Elle t'a vu faire la photo, et ça a nuit à la spontanéité. Faut dire, un Danielou caché derrière son gros zoom... Bon, j'aurais fait sauter le p'tit bout de ciel en haut à gauche, tout de même, juste pour l'hygiène.. -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, Daniel Rocha a écrit dans <news:e6j5pa$2bck$1@talisker.lacave.net>
Un jour de pluie...
http://www.monochromatique.com/photosemaine/
Oui ben ça doit faire longtemps, hein.
Ici les marchands de parapluies barrent les routes.
Bon, y'a un p'tit côté "posé" qui surprend un peu.
Elle t'a vu faire la photo, et ça a nuit à la spontanéité.
Faut dire, un Danielou caché derrière son gros zoom...
Bon, j'aurais fait sauter le p'tit bout de ciel en haut à gauche, tout de
même, juste pour l'hygiène..
--
Pierre.
Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier>
La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com>
Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, Daniel Rocha a écrit dans <news:e6j5pa$2bck$
Un jour de pluie...
http://www.monochromatique.com/photosemaine/
Oui ben ça doit faire longtemps, hein. Ici les marchands de parapluies barrent les routes.
Bon, y'a un p'tit côté "posé" qui surprend un peu. Elle t'a vu faire la photo, et ça a nuit à la spontanéité. Faut dire, un Danielou caché derrière son gros zoom... Bon, j'aurais fait sauter le p'tit bout de ciel en haut à gauche, tout de même, juste pour l'hygiène.. -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
manuel viet
In article <44902b59$0$32263$, Oodini wrote:
Que prendre des photos dans le domicile des gens ou les endroits privatifs soit interdit est une bonne chose, mais interdire la photo des gens dans les lieux publics est absurde. Pourquoi ne pas imposer de fermer les yeux, en plus ?
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Une fois sur le web, ce n'est plus la même chose. Elle ne contrôle plus son image. Il me semble d'ailleurs que c'est interdit de cadrer sur une personne précise et de diffuser sans l'autorisation de la personne...
Tu as tout à fait raison, en l'état du droit actuel (avec la réserve que la personne ne peut protéger son image que si elle est reconnaissable ; on peut donc toujours cadrer le dos. En revanche, peu importe le motif de la prise de vue. Toute personne peut s'opposer à la captation de son image même si cette image n'est pas destinée à être diffusée). Entendons nous bien cependant. Je ne suis pas du tout de ceux qui prônent une transparence totalitaire au motif que « si on ne fait rien de mal, alors on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre en société implique des interactions positives ou négatives, qui résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai 68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain. Mais c'est actuellement la jurisprudence.
-- Manuel Viet * mailto:
Parce qu'un clavier d'ordinateur a au moins cent touches différentes, adhérez à http://sms.informatiquefrance.com/
In article <44902b59$0$32263$626a54ce@news.free.fr>, Oodini wrote:
Que prendre
des photos dans le domicile des gens ou les endroits privatifs soit
interdit est une bonne chose, mais interdire la photo des gens
dans les lieux publics est absurde. Pourquoi ne pas imposer de
fermer les yeux, en plus ?
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est
susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Une fois sur le web, ce n'est plus la même chose. Elle ne contrôle plus
son image. Il me semble d'ailleurs que c'est interdit de cadrer sur une
personne précise et de diffuser sans l'autorisation de la personne...
Tu as tout à fait raison, en l'état du droit actuel (avec la réserve que
la personne ne peut protéger son image que si elle est reconnaissable ;
on peut donc toujours cadrer le dos. En revanche, peu importe le motif
de la prise de vue. Toute personne peut s'opposer à la captation de son
image même si cette image n'est pas destinée à être diffusée). Entendons
nous bien cependant. Je ne suis pas du tout de ceux qui prônent une
transparence totalitaire au motif que « si on ne fait rien de mal, alors
on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à
l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce
à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge
artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre
en société implique des interactions positives ou négatives, qui
résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne
plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en
public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai
68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à
la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser
sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain.
Mais c'est actuellement la jurisprudence.
--
Manuel Viet * mailto:manuel@m-viet.net
Parce qu'un clavier d'ordinateur a au moins cent touches différentes,
adhérez à http://sms.informatiquefrance.com/
Que prendre des photos dans le domicile des gens ou les endroits privatifs soit interdit est une bonne chose, mais interdire la photo des gens dans les lieux publics est absurde. Pourquoi ne pas imposer de fermer les yeux, en plus ?
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Une fois sur le web, ce n'est plus la même chose. Elle ne contrôle plus son image. Il me semble d'ailleurs que c'est interdit de cadrer sur une personne précise et de diffuser sans l'autorisation de la personne...
Tu as tout à fait raison, en l'état du droit actuel (avec la réserve que la personne ne peut protéger son image que si elle est reconnaissable ; on peut donc toujours cadrer le dos. En revanche, peu importe le motif de la prise de vue. Toute personne peut s'opposer à la captation de son image même si cette image n'est pas destinée à être diffusée). Entendons nous bien cependant. Je ne suis pas du tout de ceux qui prônent une transparence totalitaire au motif que « si on ne fait rien de mal, alors on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre en société implique des interactions positives ou négatives, qui résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai 68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain. Mais c'est actuellement la jurisprudence.
-- Manuel Viet * mailto:
Parce qu'un clavier d'ordinateur a au moins cent touches différentes, adhérez à http://sms.informatiquefrance.com/
BoB le foU
en réponse à Daniel Rocha qui a écrit:
http://www.monochromatique.com/photosemaine/
J'aime beaucoup. En revanche, je propose comme commentaire: "La femme adultere" ;-))
-- BoB le foU... BoB isn't crazy, he's just "neuronally challenged"
en réponse à Daniel Rocha qui a écrit:
http://www.monochromatique.com/photosemaine/
J'aime beaucoup.
En revanche, je propose comme commentaire: "La femme adultere" ;-))
--
BoB le foU...
BoB isn't crazy, he's just "neuronally challenged"
J'aime beaucoup. En revanche, je propose comme commentaire: "La femme adultere" ;-))
-- BoB le foU... BoB isn't crazy, he's just "neuronally challenged"
SD
"Daniel Rocha" a écrit dans le message de news: e6ja9s$2rmv$ | Peter Pan wrote: | > Après y a les spots de pub ? | > Bon, je sors... | | Hein ?! :)
Rapport à "l'habillage" de France 2 ??? J'ai pensé à ça aussi. -- S;-D
"Daniel Rocha" <drocha@magic.fr.invalid> a écrit dans le message de news:
e6ja9s$2rmv$2@talisker.lacave.net...
| Peter Pan wrote:
| > Après y a les spots de pub ?
| > Bon, je sors...
|
| Hein ?! :)
Rapport à "l'habillage" de France 2 ???
J'ai pensé à ça aussi.
--
S;-D
"Daniel Rocha" a écrit dans le message de news: e6ja9s$2rmv$ | Peter Pan wrote: | > Après y a les spots de pub ? | > Bon, je sors... | | Hein ?! :)
Rapport à "l'habillage" de France 2 ??? J'ai pensé à ça aussi. -- S;-D
FiLH
manuel viet writes:
on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre en société implique des interactions positives ou négatives, qui résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
J'ai déjà dû parler combien de fois de cette espèce de schyzophrénie sociale, où d'un côté nous n'existons que par notre image, il faut passer à la télé pour exister, et de l'autre on voudrait vivre dans une bulle opaque même lorsqu'on est « en société ».
Chaque époque a ses risques, je préfère risquer de me faire prendre en photo, que de choper le cholera à chaque coin de rue.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
manuel viet <manuel@m-viet.invalid> writes:
on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à
l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce
à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge
artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre
en société implique des interactions positives ou négatives, qui
résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne
plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en
public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
J'ai déjà dû parler combien de fois de cette espèce de schyzophrénie
sociale, où d'un côté nous n'existons que par notre image, il faut
passer à la télé pour exister, et de l'autre on voudrait vivre dans
une bulle opaque même lorsqu'on est « en société ».
Chaque époque a ses risques, je préfère risquer de me faire prendre en
photo, que de choper le cholera à chaque coin de rue.
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
on n'a rien à cacher ». Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public, le droit prolonge artificiellement cette protection qui n'a plus de base réelle. Vivre en société implique des interactions positives ou négatives, qui résultent de notre choix d'être à tel endroit avec telle personne plutôt que telle autre, et à partir du moment ou ce choix s'exerce en public, il faut aussi s'attendre à ce qu'une trace persiste.
J'ai déjà dû parler combien de fois de cette espèce de schyzophrénie sociale, où d'un côté nous n'existons que par notre image, il faut passer à la télé pour exister, et de l'autre on voudrait vivre dans une bulle opaque même lorsqu'on est « en société ».
Chaque époque a ses risques, je préfère risquer de me faire prendre en photo, que de choper le cholera à chaque coin de rue.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Oodini
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Je parlais des personnes qu'elle connaît et dont elle s'est assurée qu'elles ne pourraient être là...
Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public,
Ta vie privée, si tu l'exerces dans un espace public, reste a priori privée, puisque des inconnus n'en ont rien à battre de ta vie. Ta vie privée est protégée par l'anonymat. Tu peux te permettre de danser à poils dans une rave party parce que tu sais que tu n'as aucun risque d'y croiser tante Berthe.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai 68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain. Mais c'est actuellement la jurisprudence.
Et le choix personnel du photographe, tu en fais quoi ?
Dernièrement, sur un des fils, un contributeur mettait un lien vers la photo d'une manifestante à je ne sais quel événement, et qui se trouvait à moitié dénudée, le sein à l'air. Photo cadrée plein pot sur elle avec visage reconnaissable. Je ne suis pas sûr qu'elle ait envie que ses parents en province tombent dessus. Et pour éviter cela, il y a justement la loi. Tu choisis l'espace public dans lequel tu décides d'être visble, et rien que celui-là. En reprenant ta formulation quelque peu transformée, "la photographie prolonge artificiellement cette exposition publique".
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est
susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Je parlais des personnes qu'elle connaît et dont elle s'est assurée
qu'elles ne pourraient être là...
Nous avons tous droit à la vie privée et à
l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce
à cette intimité en entrant dans l'espace public,
Ta vie privée, si tu l'exerces dans un espace public, reste a priori
privée, puisque des inconnus n'en ont rien à battre de ta vie. Ta vie
privée est protégée par l'anonymat. Tu peux te permettre de danser à
poils dans une rave party parce que tu sais que tu n'as aucun risque d'y
croiser tante Berthe.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai
68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à
la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser
sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain.
Mais c'est actuellement la jurisprudence.
Et le choix personnel du photographe, tu en fais quoi ?
Dernièrement, sur un des fils, un contributeur mettait un lien vers la
photo d'une manifestante à je ne sais quel événement, et qui se trouvait
à moitié dénudée, le sein à l'air. Photo cadrée plein pot sur elle avec
visage reconnaissable. Je ne suis pas sûr qu'elle ait envie que ses
parents en province tombent dessus. Et pour éviter cela, il y a
justement la loi.
Tu choisis l'espace public dans lequel tu décides d'être visble, et rien
que celui-là. En reprenant ta formulation quelque peu transformée, "la
photographie prolonge artificiellement cette exposition publique".
Parce que la personne prise en photo peut très bien contrôler qui est susceptible de la voir en un lieu précis à un instant précis.
Bein non, la preuve...
Je parlais des personnes qu'elle connaît et dont elle s'est assurée qu'elles ne pourraient être là...
Nous avons tous droit à la vie privée et à l'intimité. Ce que je conteste, c'est qu'à partir du moment où on renonce à cette intimité en entrant dans l'espace public,
Ta vie privée, si tu l'exerces dans un espace public, reste a priori privée, puisque des inconnus n'en ont rien à battre de ta vie. Ta vie privée est protégée par l'anonymat. Tu peux te permettre de danser à poils dans une rave party parce que tu sais que tu n'as aucun risque d'y croiser tante Berthe.
Quand une personne attaque un journaliste qui l'a photographié en mai 68, vingt ans après au motif que cette photo a conduit sa famille à la déshériter, il y a concrètement un abus de droit car on fait peser sur un tiers les conséquences d'un choix personnel. C'est malsain. Mais c'est actuellement la jurisprudence.
Et le choix personnel du photographe, tu en fais quoi ?
Dernièrement, sur un des fils, un contributeur mettait un lien vers la photo d'une manifestante à je ne sais quel événement, et qui se trouvait à moitié dénudée, le sein à l'air. Photo cadrée plein pot sur elle avec visage reconnaissable. Je ne suis pas sûr qu'elle ait envie que ses parents en province tombent dessus. Et pour éviter cela, il y a justement la loi. Tu choisis l'espace public dans lequel tu décides d'être visble, et rien que celui-là. En reprenant ta formulation quelque peu transformée, "la photographie prolonge artificiellement cette exposition publique".
Oodini
J'ai déjà dû parler combien de fois de cette espèce de schyzophrénie sociale, où d'un côté nous n'existons que par notre image,
Ce n'est pas mon point de vue. Si tu as le sentiment de n'exister que par ton image, c'est bien triste pour toi.
J'ai déjà dû parler combien de fois de cette espèce de schyzophrénie
sociale, où d'un côté nous n'existons que par notre image,
Ce n'est pas mon point de vue.
Si tu as le sentiment de n'exister que par ton image, c'est bien triste
pour toi.