J'écoute à la téloche des gens pleurnicher sur leurs déboires dans
l'église de scientologie. Aucun n'avoue avoir été un crétin crédule et
avoir à faire de grands efforts pour se recâbler rationnellement la
cervelle.
J'écoute à la téloche des gens pleurnicher sur leurs déboires dans
l'église de scientologie. Aucun n'avoue avoir été un crétin crédule et
avoir à faire de grands efforts pour se recâbler rationnellement la
cervelle.
J'écoute à la téloche des gens pleurnicher sur leurs déboires dans
l'église de scientologie. Aucun n'avoue avoir été un crétin crédule et
avoir à faire de grands efforts pour se recâbler rationnellement la
cervelle.
J'ai en effet observer et toucher les suspensions des hauts parleurs; je
n'ai pas constaté d'anomalie.
Le vendeur, à ma demande, m'a fait écouter une enceinte (!) en balançant
du RTL2, héhé, les nuls, le son résultant ne m'a pas semblé convainquant,
en tout cas valoir la somme demandée. Pour quelques poignées d'euros
supplémentaires, je peux acquérir des enceintes Jamo neuves, des S506, à
115 euros, chez Darty. Sont-elles adaptées pour un usage haute fidélité ?
http://www.jamo.com/eu-fr/products/s-506-description/.
L'impédance de cette enceinte est de 6 ohms. 6 ou 8 ohms, quelle est
l'influence de l'impédance ?
J'ai trouvé la formule suivante, une "règle d'or" d'après son rapporteur :
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire". D'où ma question précédente, mon ampli était limité à 80 watts
par voie et les enceintes (Jamo ou 3a) admettant 130 watts en - nominal.
J'ai en effet observer et toucher les suspensions des hauts parleurs; je
n'ai pas constaté d'anomalie.
Le vendeur, à ma demande, m'a fait écouter une enceinte (!) en balançant
du RTL2, héhé, les nuls, le son résultant ne m'a pas semblé convainquant,
en tout cas valoir la somme demandée. Pour quelques poignées d'euros
supplémentaires, je peux acquérir des enceintes Jamo neuves, des S506, à
115 euros, chez Darty. Sont-elles adaptées pour un usage haute fidélité ?
http://www.jamo.com/eu-fr/products/s-506-description/.
L'impédance de cette enceinte est de 6 ohms. 6 ou 8 ohms, quelle est
l'influence de l'impédance ?
J'ai trouvé la formule suivante, une "règle d'or" d'après son rapporteur :
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire". D'où ma question précédente, mon ampli était limité à 80 watts
par voie et les enceintes (Jamo ou 3a) admettant 130 watts en - nominal.
J'ai en effet observer et toucher les suspensions des hauts parleurs; je
n'ai pas constaté d'anomalie.
Le vendeur, à ma demande, m'a fait écouter une enceinte (!) en balançant
du RTL2, héhé, les nuls, le son résultant ne m'a pas semblé convainquant,
en tout cas valoir la somme demandée. Pour quelques poignées d'euros
supplémentaires, je peux acquérir des enceintes Jamo neuves, des S506, à
115 euros, chez Darty. Sont-elles adaptées pour un usage haute fidélité ?
http://www.jamo.com/eu-fr/products/s-506-description/.
L'impédance de cette enceinte est de 6 ohms. 6 ou 8 ohms, quelle est
l'influence de l'impédance ?
J'ai trouvé la formule suivante, une "règle d'or" d'après son rapporteur :
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire". D'où ma question précédente, mon ampli était limité à 80 watts
par voie et les enceintes (Jamo ou 3a) admettant 130 watts en - nominal.
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du mal à
solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus élevées.
Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli plus puissant
que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être poussé trop loin. Je
pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre compte de la limite à ne pas
dépasser. Mais pas toujours : en effet, lors d'une fête par exemple,
l'oreille s'habitue au fort volume sonore et la cervelle se trouve à
demander qu'on l'augmente encore, ce qui se révèle souvent fatal pour les
enceintes, voire pour l'ampli suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du mal à
solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus élevées.
Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli plus puissant
que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être poussé trop loin. Je
pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre compte de la limite à ne pas
dépasser. Mais pas toujours : en effet, lors d'une fête par exemple,
l'oreille s'habitue au fort volume sonore et la cervelle se trouve à
demander qu'on l'augmente encore, ce qui se révèle souvent fatal pour les
enceintes, voire pour l'ampli suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du mal à
solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus élevées.
Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli plus puissant
que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être poussé trop loin. Je
pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre compte de la limite à ne pas
dépasser. Mais pas toujours : en effet, lors d'une fête par exemple,
l'oreille s'habitue au fort volume sonore et la cervelle se trouve à
demander qu'on l'augmente encore, ce qui se révèle souvent fatal pour les
enceintes, voire pour l'ampli suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura
du mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume
sonore et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore,
ce qui se révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli
suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura
du mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume
sonore et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore,
ce qui se révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli
suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura
du mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume
sonore et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore,
ce qui se révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli
suivant la configuration. Qu'en pensez-vous ?
Ce cher mammifère du nom de diegel nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message
<4bffcbd5$0$27596$, les doux mélismes
suivants :"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du
mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume sonore
et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore, ce qui se
révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli suivant la
configuration. Qu'en pensez-vous ?
Il vaut _toujours_ mieux avoir un ampli _plus puissant_ que ce que
peuvent supporter /théoriquement/ les enceintes...
Un ampli moins ou peu puissant, s'il est poussé dans ses derniers
retranchements, peut délivrer de telles distorsions qu'elles peuvent,
tout simplement, griller des HP !...
[Expérience vécue chez un ami, il y a une trentaine d'années...Qui avait
pourtant des enceintes de qualité (Cabasse, pouvant encaisser sans
problème une bonne centaine de watts électriques), associées à un ampli
Technics de 2x40 W...Il était dans sa cuisine, en train d'écouter sa
chaîne dans le salon d'à côté, ampli poussé à fond...Odeur de brûlé...Ce
n'était pas l'entrecôte...Mais une des enceintes qui était...en train de
prendre feu !...Cabasse a bien évidemment refusé de faire jouer sa
garantie !]...
Ce cher mammifère du nom de diegel nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message
<4bffcbd5$0$27596$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du
mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume sonore
et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore, ce qui se
révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli suivant la
configuration. Qu'en pensez-vous ?
Il vaut _toujours_ mieux avoir un ampli _plus puissant_ que ce que
peuvent supporter /théoriquement/ les enceintes...
Un ampli moins ou peu puissant, s'il est poussé dans ses derniers
retranchements, peut délivrer de telles distorsions qu'elles peuvent,
tout simplement, griller des HP !...
[Expérience vécue chez un ami, il y a une trentaine d'années...Qui avait
pourtant des enceintes de qualité (Cabasse, pouvant encaisser sans
problème une bonne centaine de watts électriques), associées à un ampli
Technics de 2x40 W...Il était dans sa cuisine, en train d'écouter sa
chaîne dans le salon d'à côté, ampli poussé à fond...Odeur de brûlé...Ce
n'était pas l'entrecôte...Mais une des enceintes qui était...en train de
prendre feu !...Cabasse a bien évidemment refusé de faire jouer sa
garantie !]...
Ce cher mammifère du nom de diegel nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message
<4bffcbd5$0$27596$, les doux mélismes
suivants :"L'ampli doit avoir plus de puissance que les enceintes, et non le
contraire".
J'ai lu, et recopié, cette formule qui vous étonne, sur un site de
conversation audiophile.
A essayer de la comprendre, j'imagine qu'un ampli peu puissant aura du
mal à solliciter des haut-parleurs conçus pour des puissances plus
élevées. Evidemment, cela veut aussi dire, implicitement, qu'un ampli
plus puissant que ce que peut absorber une enceinte ne doit pas être
poussé trop loin. Je pense qu'à l'oreille on doit pouvoir se rendre
compte de la limite à ne pas dépasser. Mais pas toujours : en effet,
lors d'une fête par exemple, l'oreille s'habitue au fort volume sonore
et la cervelle se trouve à demander qu'on l'augmente encore, ce qui se
révèle souvent fatal pour les enceintes, voire pour l'ampli suivant la
configuration. Qu'en pensez-vous ?
Il vaut _toujours_ mieux avoir un ampli _plus puissant_ que ce que
peuvent supporter /théoriquement/ les enceintes...
Un ampli moins ou peu puissant, s'il est poussé dans ses derniers
retranchements, peut délivrer de telles distorsions qu'elles peuvent,
tout simplement, griller des HP !...
[Expérience vécue chez un ami, il y a une trentaine d'années...Qui avait
pourtant des enceintes de qualité (Cabasse, pouvant encaisser sans
problème une bonne centaine de watts électriques), associées à un ampli
Technics de 2x40 W...Il était dans sa cuisine, en train d'écouter sa
chaîne dans le salon d'à côté, ampli poussé à fond...Odeur de brûlé...Ce
n'était pas l'entrecôte...Mais une des enceintes qui était...en train de
prendre feu !...Cabasse a bien évidemment refusé de faire jouer sa
garantie !]...
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
S'agissant des enceintes 3a HP 130 Digitale, je ne dispose d'aucun
renseignement technique sur elles et la Toile reste muette.
S'agissant de Roudinesco Elisabeth qui rapporte notamment qu'Onfray a écrit
s'être branlé en lisant du Freud, ce qu'il n'a jamais écrit, c'est une
crétine épaisse bien connue de nos services.
La charge furieuse de l'ex-stalinienne, la foldingue Roudinesco contre
Onfray :
http://bibliobs.nouvelobs.com/20100416/18956/roudinesco-deboulonne-onfray.
Le nettoyage serein mais amusé d'Onfray, non exempte d'humour :
http://www.mediapart.fr/club/edition/les-invites-de-mediapart/article/170410/reponse-de-michel-onfray-elisabeth-roudinesco.
Pour autant, je ne considère pas Onfray comme étant un intellectuel
brillant, le concept de nazio-hédonisme socialo-nietzschéen bas-normand
étant le seul concept dont il peut se dire le père, et il n'y a rien de
compliquer à baffer une aussi pitroyable nullasse.
En passant et pour en finir, voici un extrait d'une lettre d'une grande
sottise que Freud adressa Einstein, à propos de la guerre :
"Voilà qui ne va pas sans explication. Et voici ce que j'ajoute depuis des
temps immémoriaux, l'humanité subit le phénomène du développement de la
culture. (D'aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de
civilisation.) C'est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont
nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et
ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns
de ses caractères sont aisément discernables. Peut-être conduit-il à l'extinction
du genre humain, car il nuit par plus d'un côté à la fonction sexuelle, et
actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la
population s'accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories
raffinées. Peut-être aussi ce phénomène est-il à mettre en parallèle avec la
domestication de certaines espèces animales ; il est indéniable qu'il
entraîne des modifications physiques ; on ne s'est pas encore familiarisé
avec l'idée que le développement de la culture puisse être un phénomène
organique de cet ordre. Les transformations psychiques qui accompagnent le
phénomène de la culture, sont évidentes et indubitables. Elles consistent en
une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des
réactions impulsives. Des sensations qui, pour nos ancêtres, étaient
chargées de plaisir nous sont devenues indifférentes et même intolérables ;
il y a des raisons organiques à la transformation qu'ont subie nos
aspirations éthiques et esthétiques. Au nombre des caractères psychologiques
de la culture, il en est deux qui apparaissent comme les plus importants :l'affermissement
de l'intellect, qui tend à maîtriser la vie instinctive, et la réversion
intérieure du penchant agressif, avec toutes ses conséquences favorables et
dangereuses. Or les conceptions psychiques vers lesquelles l'évolution de la
culture nous entraîne se trouvent heurtées de la manière la plus vive par la
guerre, et c'est pour cela que nous devons nous insurger contre elle ; nous
ne pouvons simplement plus du tout la supporter ; ce n'est pas seulement une
répugnance intellectuelle et affective, mais bien, chez nous, pacifistes,
une intolérance constitutionnelle, une idiosyncrasie en quelque sorte
grossie à l'extrême. Et il semble bien que les dégradations esthétiques que
comporte la guerre ne comptent pas pour beaucoup moins, dans notre
indignation, que les atrocités qu'elle suscite."
On se demande pourquoi Einstein a voulu faire causette avec ce forcené
nietzschéen, voire cet apologiste, de l'instinct de mort qu'était ce
misérable Freud ...
N'est-elle pas curieuse cette récente haine contre la rationalité kantienne
qu'on doit aux idolâtres de la pensouillerie nietzschéenne ?
S'agissant des enceintes 3a HP 130 Digitale, je ne dispose d'aucun
renseignement technique sur elles et la Toile reste muette.
S'agissant de Roudinesco Elisabeth qui rapporte notamment qu'Onfray a écrit
s'être branlé en lisant du Freud, ce qu'il n'a jamais écrit, c'est une
crétine épaisse bien connue de nos services.
La charge furieuse de l'ex-stalinienne, la foldingue Roudinesco contre
Onfray :
http://bibliobs.nouvelobs.com/20100416/18956/roudinesco-deboulonne-onfray.
Le nettoyage serein mais amusé d'Onfray, non exempte d'humour :
http://www.mediapart.fr/club/edition/les-invites-de-mediapart/article/170410/reponse-de-michel-onfray-elisabeth-roudinesco.
Pour autant, je ne considère pas Onfray comme étant un intellectuel
brillant, le concept de nazio-hédonisme socialo-nietzschéen bas-normand
étant le seul concept dont il peut se dire le père, et il n'y a rien de
compliquer à baffer une aussi pitroyable nullasse.
En passant et pour en finir, voici un extrait d'une lettre d'une grande
sottise que Freud adressa Einstein, à propos de la guerre :
"Voilà qui ne va pas sans explication. Et voici ce que j'ajoute depuis des
temps immémoriaux, l'humanité subit le phénomène du développement de la
culture. (D'aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de
civilisation.) C'est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont
nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et
ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns
de ses caractères sont aisément discernables. Peut-être conduit-il à l'extinction
du genre humain, car il nuit par plus d'un côté à la fonction sexuelle, et
actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la
population s'accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories
raffinées. Peut-être aussi ce phénomène est-il à mettre en parallèle avec la
domestication de certaines espèces animales ; il est indéniable qu'il
entraîne des modifications physiques ; on ne s'est pas encore familiarisé
avec l'idée que le développement de la culture puisse être un phénomène
organique de cet ordre. Les transformations psychiques qui accompagnent le
phénomène de la culture, sont évidentes et indubitables. Elles consistent en
une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des
réactions impulsives. Des sensations qui, pour nos ancêtres, étaient
chargées de plaisir nous sont devenues indifférentes et même intolérables ;
il y a des raisons organiques à la transformation qu'ont subie nos
aspirations éthiques et esthétiques. Au nombre des caractères psychologiques
de la culture, il en est deux qui apparaissent comme les plus importants :l'affermissement
de l'intellect, qui tend à maîtriser la vie instinctive, et la réversion
intérieure du penchant agressif, avec toutes ses conséquences favorables et
dangereuses. Or les conceptions psychiques vers lesquelles l'évolution de la
culture nous entraîne se trouvent heurtées de la manière la plus vive par la
guerre, et c'est pour cela que nous devons nous insurger contre elle ; nous
ne pouvons simplement plus du tout la supporter ; ce n'est pas seulement une
répugnance intellectuelle et affective, mais bien, chez nous, pacifistes,
une intolérance constitutionnelle, une idiosyncrasie en quelque sorte
grossie à l'extrême. Et il semble bien que les dégradations esthétiques que
comporte la guerre ne comptent pas pour beaucoup moins, dans notre
indignation, que les atrocités qu'elle suscite."
On se demande pourquoi Einstein a voulu faire causette avec ce forcené
nietzschéen, voire cet apologiste, de l'instinct de mort qu'était ce
misérable Freud ...
N'est-elle pas curieuse cette récente haine contre la rationalité kantienne
qu'on doit aux idolâtres de la pensouillerie nietzschéenne ?
S'agissant des enceintes 3a HP 130 Digitale, je ne dispose d'aucun
renseignement technique sur elles et la Toile reste muette.
S'agissant de Roudinesco Elisabeth qui rapporte notamment qu'Onfray a écrit
s'être branlé en lisant du Freud, ce qu'il n'a jamais écrit, c'est une
crétine épaisse bien connue de nos services.
La charge furieuse de l'ex-stalinienne, la foldingue Roudinesco contre
Onfray :
http://bibliobs.nouvelobs.com/20100416/18956/roudinesco-deboulonne-onfray.
Le nettoyage serein mais amusé d'Onfray, non exempte d'humour :
http://www.mediapart.fr/club/edition/les-invites-de-mediapart/article/170410/reponse-de-michel-onfray-elisabeth-roudinesco.
Pour autant, je ne considère pas Onfray comme étant un intellectuel
brillant, le concept de nazio-hédonisme socialo-nietzschéen bas-normand
étant le seul concept dont il peut se dire le père, et il n'y a rien de
compliquer à baffer une aussi pitroyable nullasse.
En passant et pour en finir, voici un extrait d'une lettre d'une grande
sottise que Freud adressa Einstein, à propos de la guerre :
"Voilà qui ne va pas sans explication. Et voici ce que j'ajoute depuis des
temps immémoriaux, l'humanité subit le phénomène du développement de la
culture. (D'aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de
civilisation.) C'est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont
nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et
ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns
de ses caractères sont aisément discernables. Peut-être conduit-il à l'extinction
du genre humain, car il nuit par plus d'un côté à la fonction sexuelle, et
actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la
population s'accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories
raffinées. Peut-être aussi ce phénomène est-il à mettre en parallèle avec la
domestication de certaines espèces animales ; il est indéniable qu'il
entraîne des modifications physiques ; on ne s'est pas encore familiarisé
avec l'idée que le développement de la culture puisse être un phénomène
organique de cet ordre. Les transformations psychiques qui accompagnent le
phénomène de la culture, sont évidentes et indubitables. Elles consistent en
une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des
réactions impulsives. Des sensations qui, pour nos ancêtres, étaient
chargées de plaisir nous sont devenues indifférentes et même intolérables ;
il y a des raisons organiques à la transformation qu'ont subie nos
aspirations éthiques et esthétiques. Au nombre des caractères psychologiques
de la culture, il en est deux qui apparaissent comme les plus importants :l'affermissement
de l'intellect, qui tend à maîtriser la vie instinctive, et la réversion
intérieure du penchant agressif, avec toutes ses conséquences favorables et
dangereuses. Or les conceptions psychiques vers lesquelles l'évolution de la
culture nous entraîne se trouvent heurtées de la manière la plus vive par la
guerre, et c'est pour cela que nous devons nous insurger contre elle ; nous
ne pouvons simplement plus du tout la supporter ; ce n'est pas seulement une
répugnance intellectuelle et affective, mais bien, chez nous, pacifistes,
une intolérance constitutionnelle, une idiosyncrasie en quelque sorte
grossie à l'extrême. Et il semble bien que les dégradations esthétiques que
comporte la guerre ne comptent pas pour beaucoup moins, dans notre
indignation, que les atrocités qu'elle suscite."
On se demande pourquoi Einstein a voulu faire causette avec ce forcené
nietzschéen, voire cet apologiste, de l'instinct de mort qu'était ce
misérable Freud ...
N'est-elle pas curieuse cette récente haine contre la rationalité kantienne
qu'on doit aux idolâtres de la pensouillerie nietzschéenne ?
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
Bébert le chef d'orchestre
Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Ce cher mammifère du nom de olafkewl nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4c00136a$0$10089$,
les doux mélismes suivants :
>> Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
>>
>> Bébert le chef d'orchestre
> Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Depuis combien de temps cet embrené pollue-t-il les forums où il
intervient ?
Ce cher mammifère du nom de olafkewl nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4c00136a$0$10089$426a74cc@news.free.fr>,
les doux mélismes suivants :
>> Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
>>
>> Bébert le chef d'orchestre
> Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Depuis combien de temps cet embrené pollue-t-il les forums où il
intervient ?
Ce cher mammifère du nom de olafkewl nous susurrait, le vendredi
28/05/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4c00136a$0$10089$,
les doux mélismes suivants :
>> Propos ridicules et grotesques. Une fois de plus...
>>
>> Bébert le chef d'orchestre
> Pourquoi ? c'était un croque-monsieur ?
Depuis combien de temps cet embrené pollue-t-il les forums où il
intervient ?