Je dois, à la fin du mois d'août, véhiculer une mineure (17 ans) en province
pendant 2/3 jours (je ne la connais pas encore).
Donc voiture, chambre d'hôtel, repas.
Comptant rencontrer ses parents d'ici-là pour préparer le voyage, je me
propose de leur faire signer un papelard contenant leur autorisation.
Que dois-je y faire mettre, quels sont les pièges auquels penser ?
Si c'est un samedi soir à 20 h, il suffit d'attendre le lundi matin. [...] même les vautours n'essaieront plus d'approcher.
Peut-être me suis-je mal exprimé ? En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille... Ce n'est plus notre problème. La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2 parents nous est demandée. Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base légale s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple caprice de la direction, quelqu'un sait ?
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences... Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
Si c'est un samedi soir à 20 h, il suffit d'attendre le lundi matin.
[...] même les vautours
n'essaieront plus d'approcher.
Peut-être me suis-je mal exprimé ?
En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une
personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille...
Ce n'est plus notre problème.
La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2 parents
nous est demandée.
Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une
circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient
d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base légale
s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple caprice de la
direction, quelqu'un sait ?
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se
passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec
moi aux urgences...
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
Si c'est un samedi soir à 20 h, il suffit d'attendre le lundi matin. [...] même les vautours n'essaieront plus d'approcher.
Peut-être me suis-je mal exprimé ? En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille... Ce n'est plus notre problème. La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2 parents nous est demandée. Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base légale s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple caprice de la direction, quelqu'un sait ?
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences... Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
... si anesthésie "légère" et de 6 heures si le patient doit être intubé. Si urgence vitale sévère, c'est le préfet qui autorise et on opère de suite.
Quand j'ai participé au Samu, j'ai jamais vu appeler le prefet. (en plus, le portable n'existaient pas... :-))
je comprends pas tout la.
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Harpo
JM.Negri wrote:
Peut-être me suis-je mal exprimé ? En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille... Ce n'est plus notre problème. La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Dans les blocs bien tenus j'espère qu'on met des margouillats pour manger les mouches et les charognards sont assez peureux, un bout de tripaille de temps en temps leur suffit quand on sait les éduquer.
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de manière parallèle et non serielles.
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2 parents nous est demandée. Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
Il n'y a rien d'une urgence (ce qui pourrait être le cas d'un paraphymosis) on n'est en général pas à un jour près. Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17 ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3 jours. Pendant 2 à 3 jours, une intervention non prévue à l'avance ne peut guère s'effectuer que dans l'urgence, ce n'est pas comme s'il devait l'accueillir pendant un an.
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences...
J'y suis déjà allé.
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
J'au vu le début une fois à la TV...
JM.Negri wrote:
Peut-être me suis-je mal exprimé ?
En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une
personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille...
Ce n'est plus notre problème.
La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Dans les blocs bien tenus j'espère qu'on met des margouillats pour
manger les mouches et les charognards sont assez peureux, un bout de
tripaille de temps en temps leur suffit quand on sait les éduquer.
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital
quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son
age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de
manière parallèle et non serielles.
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2
parents nous est demandée.
Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait,
plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les
deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
Il n'y a rien d'une urgence (ce qui pourrait être le cas d'un
paraphymosis) on n'est en général pas à un jour près.
Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17
ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3
jours.
Pendant 2 à 3 jours, une intervention non prévue à l'avance ne peut
guère s'effectuer que dans l'urgence, ce n'est pas comme s'il devait
l'accueillir pendant un an.
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se
passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez
avec moi aux urgences...
Peut-être me suis-je mal exprimé ? En cas d'urgence vitale, PENDANT que l'ARE s'occupe du patient, une personne prévient l'administrateur de garde, qui lui se débrouille... Ce n'est plus notre problème. La suite, c'est direct au BO où il n'y a ni mouche ni vautour...
Dans les blocs bien tenus j'espère qu'on met des margouillats pour manger les mouches et les charognards sont assez peureux, un bout de tripaille de temps en temps leur suffit quand on sait les éduquer.
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de manière parallèle et non serielles.
Pour une intervention programmée, à froid, l'autorisation des 2 parents nous est demandée. Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
Il n'y a rien d'une urgence (ce qui pourrait être le cas d'un paraphymosis) on n'est en général pas à un jour près. Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17 ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3 jours. Pendant 2 à 3 jours, une intervention non prévue à l'avance ne peut guère s'effectuer que dans l'urgence, ce n'est pas comme s'il devait l'accueillir pendant un an.
Je ne suis pas vraiment certain que ce soit comme cela que cela se passe, mais je suis habituellement assez naïf.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences...
J'y suis déjà allé.
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
J'au vu le début une fois à la TV...
JM.Negri
Harpo ha scritto :
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de manière parallèle et non serielles.
Plait-il ?
Bien, bon, effectivement, les formalités administratives se déroulent de manière parallèle, ceci est la réalité pour une urgence qui met en jeu le pronostic VITAL, maintenant, pour une consultation, c'est loin d'être le cas... Et là, les formalités deviennent de plus en plus lourdes.
Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17 ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3 jours.
Bien, vous avez raison d'en revenir au cas de l'OP, en fait, si il arrive un pb à cette jeune fille, soit le cas est urgentissime et on se démerdera ( pardon ), soit cela peut attendre, et en ce cas il faut l'accord des parents ou tuteurs...
Bref, en clair, un petit bout de papier avec une vague autorisation, n'aura pas beaucoup de valeur...
Cela sort de ma petite expérience à moi que j'ai de tous les jours ( nuits )...
Mais, puisque nous sommes dans un NG de droit, si quelqu'un à les "textes".
[ urgences ]
J'y suis déjà allé.
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'au vu le début une fois à la TV...
+1, Mais juste le début... Les traductions sont vraiment cocasses. -- JMN. Découvrez: http://www.usenet-fr.net/ Participez : http://www.alea.net/usenet/fr/etat/
Harpo ha scritto :
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital
quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son
age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de
manière parallèle et non serielles.
Plait-il ?
Bien, bon, effectivement, les formalités administratives se déroulent de
manière parallèle, ceci est la réalité pour une urgence qui met en jeu le
pronostic VITAL, maintenant, pour une consultation, c'est loin d'être le
cas... Et là, les formalités deviennent de plus en plus lourdes.
Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17
ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3
jours.
Bien, vous avez raison d'en revenir au cas de l'OP, en fait, si il arrive
un pb à cette jeune fille, soit le cas est urgentissime et on se démerdera
( pardon ), soit cela peut attendre, et en ce cas il faut l'accord des
parents ou tuteurs...
Bref, en clair, un petit bout de papier avec une vague autorisation, n'aura
pas beaucoup de valeur...
Cela sort de ma petite expérience à moi que j'ai de tous les jours ( nuits
)...
Mais, puisque nous sommes dans un NG de droit, si quelqu'un à les "textes".
[ urgences ]
J'y suis déjà allé.
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'au vu le début une fois à la TV...
+1,
Mais juste le début...
Les traductions sont vraiment cocasses.
--
JMN.
Découvrez: http://www.usenet-fr.net/
Participez : http://www.alea.net/usenet/fr/etat/
Vous êtes donc d'accord pour dire qu'on laisse entrer dans un hopital quelqu'un sans lui demander ses papiers et sans qu'il n'ait à dire son age, en cas d'urgence les formalités administratives de déroulent de manière parallèle et non serielles.
Plait-il ?
Bien, bon, effectivement, les formalités administratives se déroulent de manière parallèle, ceci est la réalité pour une urgence qui met en jeu le pronostic VITAL, maintenant, pour une consultation, c'est loin d'être le cas... Et là, les formalités deviennent de plus en plus lourdes.
Je vous rappelle le cas de l'OP, il doit véhiculer une jeune fille de 17 ans (donc peu susceptible de contracter un phymosis) pendant 2 à 3 jours.
Bien, vous avez raison d'en revenir au cas de l'OP, en fait, si il arrive un pb à cette jeune fille, soit le cas est urgentissime et on se démerdera ( pardon ), soit cela peut attendre, et en ce cas il faut l'accord des parents ou tuteurs...
Bref, en clair, un petit bout de papier avec une vague autorisation, n'aura pas beaucoup de valeur...
Cela sort de ma petite expérience à moi que j'ai de tous les jours ( nuits )...
Mais, puisque nous sommes dans un NG de droit, si quelqu'un à les "textes".
[ urgences ]
J'y suis déjà allé.
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'au vu le début une fois à la TV...
+1, Mais juste le début... Les traductions sont vraiment cocasses. -- JMN. Découvrez: http://www.usenet-fr.net/ Participez : http://www.alea.net/usenet/fr/etat/
JM.Negri
JM.Negri ha scritto :
Mais, puisque nous sommes dans un NG de droit, si quelqu'un à les "textes".
En dehors de l'article 42 de la déontologie, j'ai trouvé cela: http://www.web.ordre.medecin.fr/rapport/soinsauxmineurs.pdf
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'étais dans le coaltar, je me rappelle qu'ils ne voulaient pas me donner à boire, je crois qu'ils avaient peur que ce soit tout éclaté à l'interieur, j'ai été obligé de débrancher la perfusion de mon bras pour la sucer, quand l'infirmière est arrivée elle n'était pas contente et puis j'ai replongé dans le coaltar...
JM.Negri wrote:
[ urgences ]
J'y suis déjà allé.
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'étais dans le coaltar, je me rappelle qu'ils ne voulaient pas me
donner à boire, je crois qu'ils avaient peur que ce soit tout éclaté à
l'interieur, j'ai été obligé de débrancher la perfusion de mon bras
pour la sucer, quand l'infirmière est arrivée elle n'était pas contente
et puis j'ai replongé dans le coaltar...
J'espère que vous n'en gardez pas un mauvais souvenir.
J'étais dans le coaltar, je me rappelle qu'ils ne voulaient pas me donner à boire, je crois qu'ils avaient peur que ce soit tout éclaté à l'interieur, j'ai été obligé de débrancher la perfusion de mon bras pour la sucer, quand l'infirmière est arrivée elle n'était pas contente et puis j'ai replongé dans le coaltar...
Dominique G
JM.Negri a écrit dans news:umcqxq8m4g06$:
Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base légale s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple caprice de la direction, quelqu'un sait ?
Heu, pour l'autorisation des DEUX parents ? C'est juste une application du Code Civil en ce qui concerne l'autorité parentale . Les parents ont l'autorité parentale conjointe depuis que la notion de chef de famille a disparu du Code donc pour les actes importants concernant leur enfant, il faut l'autorisation des deux.
Maintenant, il faut parfois avoir recours au juge pour déterminer ce qu'est un acte important. Par exemple on parle d'"opération bénigne" mais c'est une notion floue. Si on prend ton cas de phymosis (on qualifie souvent comme ça une circoncision, effectivement, ne serais ce que pour être remboursé âr la sécu :-)), si c'est pour une raison religieuse et pas une urgence médicale, l'un des parents peut s'y opposer si c'est contraire à ses croyances.
Idem pour une opération ou un traitement qui comporteraient des risques à mettre en balance avec les avantages attendus.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences...
Je suis allée chercher une copine infirmière une fois au CHU de Clermont-Ferrand, à la fin de son service. Bon, je ne vous donnerais pas le détail mais on leur avait amené un noyé d'une quinzaine de jours parce que pour aller à la morgue, il fallait passer par l'accueil des urgences (je ne sais pas si ça a changé maintenant).
Quand je suis arrivée, tout le monde était en train de vomir et/ou de nettoyer le merdier.
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
Le service des urgences américain n'a de toute façon rien à voir avec un service du même nom en France. Tout comme le système hospitalier dans son ensemble.
(J'aime bien Grey's Anatomy, aussi et Les Experts :-))
-- DG
JM.Negri a écrit dans news:umcqxq8m4g06$.dlg@jmnegri.com:
Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait,
plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les
deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base
légale s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple
caprice de la direction, quelqu'un sait ?
Heu, pour l'autorisation des DEUX parents ?
C'est juste une application du Code Civil en ce qui concerne l'autorité
parentale .
Les parents ont l'autorité parentale conjointe depuis que la notion de
chef de famille a disparu du Code donc pour les actes importants
concernant leur enfant, il faut l'autorisation des deux.
Maintenant, il faut parfois avoir recours au juge pour déterminer ce
qu'est un acte important.
Par exemple on parle d'"opération bénigne" mais c'est une notion floue.
Si on prend ton cas de phymosis (on qualifie souvent comme ça une
circoncision, effectivement, ne serais ce que pour être remboursé âr la
sécu :-)), si c'est pour une raison religieuse et pas une urgence
médicale, l'un des parents peut s'y opposer si c'est contraire à ses
croyances.
Idem pour une opération ou un traitement qui comporteraient des risques
à mettre en balance avec les avantages attendus.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre,
venez avec moi aux urgences...
Je suis allée chercher une copine infirmière une fois au CHU de
Clermont-Ferrand, à la fin de son service.
Bon, je ne vous donnerais pas le détail mais on leur avait amené un noyé
d'une quinzaine de jours parce que pour aller à la morgue, il fallait
passer par l'accueil des urgences (je ne sais pas si ça a changé
maintenant).
Quand je suis arrivée, tout le monde était en train de vomir et/ou de
nettoyer le merdier.
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
Le service des urgences américain n'a de toute façon rien à voir avec un
service du même nom en France.
Tout comme le système hospitalier dans son ensemble.
(J'aime bien Grey's Anatomy, aussi et Les Experts :-))
Le cas est arrivé ces derniers jours pour un phimosis ( en fait, plutôt une circoncision ), et là, effectivement, on attend que les deux parents soient d'accord... Mais toujours pas de vautour ;-)
BTW, je n'ai jamais posé la question pour savoir sur quelle base légale s'appuyait cette demande ou si il s'agissait d'un simple caprice de la direction, quelqu'un sait ?
Heu, pour l'autorisation des DEUX parents ? C'est juste une application du Code Civil en ce qui concerne l'autorité parentale . Les parents ont l'autorité parentale conjointe depuis que la notion de chef de famille a disparu du Code donc pour les actes importants concernant leur enfant, il faut l'autorisation des deux.
Maintenant, il faut parfois avoir recours au juge pour déterminer ce qu'est un acte important. Par exemple on parle d'"opération bénigne" mais c'est une notion floue. Si on prend ton cas de phymosis (on qualifie souvent comme ça une circoncision, effectivement, ne serais ce que pour être remboursé âr la sécu :-)), si c'est pour une raison religieuse et pas une urgence médicale, l'un des parents peut s'y opposer si c'est contraire à ses croyances.
Idem pour une opération ou un traitement qui comporteraient des risques à mettre en balance avec les avantages attendus.
Oui, je le pense aussi, mais si vous avez une nuit à perdre, venez avec moi aux urgences...
Je suis allée chercher une copine infirmière une fois au CHU de Clermont-Ferrand, à la fin de son service. Bon, je ne vous donnerais pas le détail mais on leur avait amené un noyé d'une quinzaine de jours parce que pour aller à la morgue, il fallait passer par l'accueil des urgences (je ne sais pas si ça a changé maintenant).
Quand je suis arrivée, tout le monde était en train de vomir et/ou de nettoyer le merdier.
Ce n'est pas tout à fait comme dans "urgences".
Le service des urgences américain n'a de toute façon rien à voir avec un service du même nom en France. Tout comme le système hospitalier dans son ensemble.
(J'aime bien Grey's Anatomy, aussi et Les Experts :-))
