Le texan arrogant et meprisant, fossoyeur du tour de France , sera l'invité
de stade 2 ce soir et , on suppose , Dimanche prochain , apres bien sûr
qu'il ait appelé son pote bush
Ce type nous crache à la G...., refuse de faire le moindre effort pour
s'exprimer en Français et nous on continue à lui cirer ses pompes !!
Hallucinant
Qu'il gagne son 7e tour et qu'il rentre chez lui à tout jamais
Bye Bye lance et surtout :
NEVER COME BACK IN FRANCE ANYMORE !!!!!
YOU'LL NEVER BE WELCOME
Latruite
le Tour de France est la plus grande épreuve du monde.
Le tour d'Australie c'est pas plus grand ?
Fredinsamsara
La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances des muscles.
La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits
aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances
des muscles.
La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances des muscles.
Pierre Maurette
Fredinsamsara avait soumis l'idée :
La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances des muscles.
C'est possible, et dans ce cas il n'y a rien à dire, d'autant qu'il qu'il y a certainement des effets inverses dans un tel traitement. On peut également penser qu'il a intégré son entraînement physique dans sa lutte contre la maladie, qu'il en a fait un tout, qu'il est passé à l'écoute exclusive de son corps. Je ne suis pas certain d'être clair, je pense aux nombreux cas dans lesquels l'épreuve, qui plus est injuste, bonifie la victime. Il y a un autre point qui me gêne plus. Le traitement dont la nécessité médicale est indiscutable génère peut-être des marqueurs qui seraient normalement considérés comme indiquant un dopage. Ou autres effets masquants. Je ne vois pas comment faire autre chose que l'autoriser à courir, il est normal de prendre le traitement en compte. Ensuite, s'il en a profité, c'est entre lui et sa conscience. Pour moi, présomption d'innocence.
Parler dopage à propose de Lance Armstrong n'est à mon sens même pas nécessaire. La présence de nombreux étatsuniens dans les tous bons (certains mal classés pour cause de rôle d'équipier) montre plutôt des pratiques d'entraînement, de logistique, de gestion de l'équipe, de la course et de la saison. C'est un peu étonnant dans un pays pour lequel le vélo est loin d'être sport national. Je pense que l'intérêt des USA pour le vélo est passé par le triathlon, Iron Man, le culte californien de la forme physique, etc. Je crains même que le dopage "à l'européenne", celui décrit par Mentéour (j'ai pas lu d'autre bouquin sur le sujet), celui ou amélioration des performances cotoie la défonce ordinaire, n'est pas favorable aux performnces sur la durée.
-- Pour répondre directement: enlever une lettre sur deux wwaannaaddoooo -> wanadoo
Pierre Maurette
Fredinsamsara avait soumis l'idée :
La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits
aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances
des muscles.
C'est possible, et dans ce cas il n'y a rien à dire, d'autant qu'il
qu'il y a certainement des effets inverses dans un tel traitement.
On peut également penser qu'il a intégré son entraînement physique dans
sa lutte contre la maladie, qu'il en a fait un tout, qu'il est passé à
l'écoute exclusive de son corps. Je ne suis pas certain d'être clair,
je pense aux nombreux cas dans lesquels l'épreuve, qui plus est
injuste, bonifie la victime.
Il y a un autre point qui me gêne plus. Le traitement dont la nécessité
médicale est indiscutable génère peut-être des marqueurs qui seraient
normalement considérés comme indiquant un dopage. Ou autres effets
masquants. Je ne vois pas comment faire autre chose que l'autoriser à
courir, il est normal de prendre le traitement en compte. Ensuite, s'il
en a profité, c'est entre lui et sa conscience. Pour moi, présomption
d'innocence.
Parler dopage à propose de Lance Armstrong n'est à mon sens même pas
nécessaire. La présence de nombreux étatsuniens dans les tous bons
(certains mal classés pour cause de rôle d'équipier) montre plutôt des
pratiques d'entraînement, de logistique, de gestion de l'équipe, de la
course et de la saison. C'est un peu étonnant dans un pays pour lequel
le vélo est loin d'être sport national. Je pense que l'intérêt des USA
pour le vélo est passé par le triathlon, Iron Man, le culte californien
de la forme physique, etc.
Je crains même que le dopage "à l'européenne", celui décrit par
Mentéour (j'ai pas lu d'autre bouquin sur le sujet), celui ou
amélioration des performances cotoie la défonce ordinaire, n'est pas
favorable aux performnces sur la durée.
--
Pour répondre directement: enlever une lettre sur deux
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La chimiothérapie d'Amstrong pour soigner son cancer comportait des produits aux effets similaires aux produits dopants qui transforme les performances des muscles.
C'est possible, et dans ce cas il n'y a rien à dire, d'autant qu'il qu'il y a certainement des effets inverses dans un tel traitement. On peut également penser qu'il a intégré son entraînement physique dans sa lutte contre la maladie, qu'il en a fait un tout, qu'il est passé à l'écoute exclusive de son corps. Je ne suis pas certain d'être clair, je pense aux nombreux cas dans lesquels l'épreuve, qui plus est injuste, bonifie la victime. Il y a un autre point qui me gêne plus. Le traitement dont la nécessité médicale est indiscutable génère peut-être des marqueurs qui seraient normalement considérés comme indiquant un dopage. Ou autres effets masquants. Je ne vois pas comment faire autre chose que l'autoriser à courir, il est normal de prendre le traitement en compte. Ensuite, s'il en a profité, c'est entre lui et sa conscience. Pour moi, présomption d'innocence.
Parler dopage à propose de Lance Armstrong n'est à mon sens même pas nécessaire. La présence de nombreux étatsuniens dans les tous bons (certains mal classés pour cause de rôle d'équipier) montre plutôt des pratiques d'entraînement, de logistique, de gestion de l'équipe, de la course et de la saison. C'est un peu étonnant dans un pays pour lequel le vélo est loin d'être sport national. Je pense que l'intérêt des USA pour le vélo est passé par le triathlon, Iron Man, le culte californien de la forme physique, etc. Je crains même que le dopage "à l'européenne", celui décrit par Mentéour (j'ai pas lu d'autre bouquin sur le sujet), celui ou amélioration des performances cotoie la défonce ordinaire, n'est pas favorable aux performnces sur la durée.
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