par quelques empoussierrés ou toildaraignérisés seulement...
C'est pour cela que tu admires tant le numérique ? Par crainte de ne pas
avoir le temps d'être de ton temps ?
par quelques empoussierrés ou toildaraignérisés seulement...
C'est pour cela que tu admires tant le numérique ? Par crainte de ne pas
avoir le temps d'être de ton temps ?
par quelques empoussierrés ou toildaraignérisés seulement...
C'est pour cela que tu admires tant le numérique ? Par crainte de ne pas
avoir le temps d'être de ton temps ?
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
Pour la valeur "permanente" d'une photo (par rapport a la grande
facilité de manipulation de la photo numérique), je pense qu'on
viendra à des appareils numériques qui "signent" les photos,
signature qui se perdrait avec toute retouche (sauf équilibrages
couleurs etc). Ca permettrait de garder le même niveau de "preuve" que
constitue un négatif (sachant que de toutes facons cette preuve ne
peut pas être absolue).
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
Pour la valeur "permanente" d'une photo (par rapport a la grande
facilité de manipulation de la photo numérique), je pense qu'on
viendra à des appareils numériques qui "signent" les photos,
signature qui se perdrait avec toute retouche (sauf équilibrages
couleurs etc). Ca permettrait de garder le même niveau de "preuve" que
constitue un négatif (sachant que de toutes facons cette preuve ne
peut pas être absolue).
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
Pour la valeur "permanente" d'une photo (par rapport a la grande
facilité de manipulation de la photo numérique), je pense qu'on
viendra à des appareils numériques qui "signent" les photos,
signature qui se perdrait avec toute retouche (sauf équilibrages
couleurs etc). Ca permettrait de garder le même niveau de "preuve" que
constitue un négatif (sachant que de toutes facons cette preuve ne
peut pas être absolue).
a exprimé avec précision :La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
ilan.ginzburg@gmail.com a exprimé avec précision :
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
a exprimé avec précision :La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur...
Parce que tous ces changements sont amplement plus importants que les
permanences, on est fondé à parler sans emphase de «révolution
numérique»."
Et je suis pas d'accord avec sa conclusion, que tous ces changements
sont (amplement) plus importants que les permanences. Partant de ce
constat de desaccord, peu importe le reste de son discours qui s'appuye
la dessus (et c'est souvent comme ca: l'articulation d'un discours est
présentée comme évidente alors que c'est justement celle qu'il
faudrait développer et remettre en question).
Reflechissons... Même avant la dominance des boitiers numériques sur
le marché de la photo, on n'avait plus très souvent l'occasion de
voir des photos non numérisées.
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur...
Parce que tous ces changements sont amplement plus importants que les
permanences, on est fondé à parler sans emphase de «révolution
numérique»."
Et je suis pas d'accord avec sa conclusion, que tous ces changements
sont (amplement) plus importants que les permanences. Partant de ce
constat de desaccord, peu importe le reste de son discours qui s'appuye
la dessus (et c'est souvent comme ca: l'articulation d'un discours est
présentée comme évidente alors que c'est justement celle qu'il
faudrait développer et remettre en question).
Reflechissons... Même avant la dominance des boitiers numériques sur
le marché de la photo, on n'avait plus très souvent l'occasion de
voir des photos non numérisées.
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur...
Parce que tous ces changements sont amplement plus importants que les
permanences, on est fondé à parler sans emphase de «révolution
numérique»."
Et je suis pas d'accord avec sa conclusion, que tous ces changements
sont (amplement) plus importants que les permanences. Partant de ce
constat de desaccord, peu importe le reste de son discours qui s'appuye
la dessus (et c'est souvent comme ca: l'articulation d'un discours est
présentée comme évidente alors que c'est justement celle qu'il
faudrait développer et remettre en question).
Reflechissons... Même avant la dominance des boitiers numériques sur
le marché de la photo, on n'avait plus très souvent l'occasion de
voir des photos non numérisées.
Florent wrote:a exprimé avec précision :La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
Florent <florent@zoo-logique.org> wrote:
ilan.ginzburg@gmail.com a exprimé avec précision :
La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
Florent wrote:a exprimé avec précision :La partie centrale, je crois l'articulation du raisonnement de Rouillé
est:
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses modes
d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
non y'a pas d'agressivité... si j'avais voulu être agressif, ça se
verrait autrement
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
non y'a pas d'agressivité... si j'avais voulu être agressif, ça se
verrait autrement
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Maintenant une chose que je ne comprend pas c'est ton agressivité à son
encontre.
non y'a pas d'agressivité... si j'avais voulu être agressif, ça se
verrait autrement
Florent wrote:
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Non... C'est une appelation personnelle d'une vision traditionnellement
partagée de la photo argentique.
C'est aussi pour dire que si nous avons appelé un objet photo pendant
130 ans, l'objet que nous avons devant les yeux n'est plus de la photo
au sens de ces 130 ans d'histoire. Si Rouillé pense avoir un nouvel
objet, autant ne pas le nommer de la même façon.
Florent <florent@zoo-logique.org> wrote:
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Non... C'est une appelation personnelle d'une vision traditionnellement
partagée de la photo argentique.
C'est aussi pour dire que si nous avons appelé un objet photo pendant
130 ans, l'objet que nous avons devant les yeux n'est plus de la photo
au sens de ces 130 ans d'histoire. Si Rouillé pense avoir un nouvel
objet, autant ne pas le nommer de la même façon.
Florent wrote:
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer l'avant
de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques sur la
nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la photo
argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce qui est
inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre en compte
que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
alors c'est une vision personnelle (au sens où la définition de la
photo lui est propre)
Non... C'est une appelation personnelle d'une vision traditionnellement
partagée de la photo argentique.
C'est aussi pour dire que si nous avons appelé un objet photo pendant
130 ans, l'objet que nous avons devant les yeux n'est plus de la photo
au sens de ces 130 ans d'histoire. Si Rouillé pense avoir un nouvel
objet, autant ne pas le nommer de la même façon.
L'édito de Rouillé pour cette semaine avec la suite sur
numérique/argentique.
http://www.paris-art.com/edito_detail-andre-rouille-125.html
L'édito de Rouillé pour cette semaine avec la suite sur
numérique/argentique.
http://www.paris-art.com/edito_detail-andre-rouille-125.html
L'édito de Rouillé pour cette semaine avec la suite sur
numérique/argentique.
http://www.paris-art.com/edito_detail-andre-rouille-125.html
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses
modes d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces
d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer
l'avant de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques
sur la nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la
photo argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce
qui est inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre
en compte que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses
modes d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces
d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer
l'avant de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques
sur la nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la
photo argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce
qui est inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre
en compte que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).
"La photo numérique a les apparences de la photo, mais ce n'est plus
de la photo car elle n'a ni les matériaux de la photo, ni ses
vitesses de circulation, ni ses dispositifs opératoires, ni ses
modes d'alliages avec les autres images, ni ses surfaces
d'inscription,
ni son régime de vérité, ni ses coûts de production, ni son
odeur..."
en fait, pour lui, si j'ai bien compris, la photo ne peut être
qu'argentique... car ce qui définit la Photo, c'est son coté
matériel...
ça me semble une vue bien étriquée... (si j'ai bien compris)
Non ce n'est pas « étriqué », mais c'est une façon de distinguer
l'avant de l'après. En ce sens que toutes les réflexions théoriques
sur la nature de la photo actuellement disponnibles traitent de la
photo argentique. Ce qu'on a nommé jusqu'à présent « la photo », ce
qui est inscrit dans notre culture (là effectivement il faut prendre
en compte que Rouillé a connu plus de photo argentique que numérique).