Dans certains secteurs, un gestionnaire qui provisionnerait 1:1
passerait pour un con.
Dans certains secteurs, un gestionnaire qui provisionnerait 1:1
passerait pour un con.
Dans certains secteurs, un gestionnaire qui provisionnerait 1:1
passerait pour un con.
Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients qui
soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients qui
soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients qui
soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Spyou wrote:Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients
qui soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Exactement. Il faudrait qu'on renouvelle notre stock de trolls.
Spyou wrote:
Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients
qui soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Exactement. Il faudrait qu'on renouvelle notre stock de trolls.
Spyou wrote:Et comme a dit Octave, tres justement, tant mieux pour nous qu'il y'ai
des clients comme ca et tant mieux pour OVH qu'ils aient des clients
qui soient heureux avec ce qu'ils ont, la vie continue :)
Exactement. Il faudrait qu'on renouvelle notre stock de trolls.
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts
associés) vers vos fournisseurs, rien de plus.
Tout a fait .. mais c'est a celui qui accepte de prendre le risque de le
gerer, ca a toujours été comme ca depuis que le monde est monde .. il
y'en a dont le metier n'est pas de gerer ce risque la, point :)
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts
associés) vers vos fournisseurs, rien de plus.
Tout a fait .. mais c'est a celui qui accepte de prendre le risque de le
gerer, ca a toujours été comme ca depuis que le monde est monde .. il
y'en a dont le metier n'est pas de gerer ce risque la, point :)
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts
associés) vers vos fournisseurs, rien de plus.
Tout a fait .. mais c'est a celui qui accepte de prendre le risque de le
gerer, ca a toujours été comme ca depuis que le monde est monde .. il
y'en a dont le metier n'est pas de gerer ce risque la, point :)
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Parce que même si tout est provisionné à 100% contractuellement, le jour ou
tous les clients voudront utiliser en même temps 100% de ce qu'ils ont payés,
et ben le résultat sera le même : réseau écroulé et serveurs injoignables.
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Parce que même si tout est provisionné à 100% contractuellement, le jour ou
tous les clients voudront utiliser en même temps 100% de ce qu'ils ont payés,
et ben le résultat sera le même : réseau écroulé et serveurs injoignables.
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Parce que même si tout est provisionné à 100% contractuellement, le jour ou
tous les clients voudront utiliser en même temps 100% de ce qu'ils ont payés,
et ben le résultat sera le même : réseau écroulé et serveurs injoignables.
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Mais c'est la gestion du risque qui est différente, pas le risque !
Evidemment je parle d'un nombre de clients raisonnable, c'est pas 2
célérons qui se battent en duel au fond d'un quart de baie qui risquent
de saturer les liens actuels.
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Mais c'est la gestion du risque qui est différente, pas le risque !
Evidemment je parle d'un nombre de clients raisonnable, c'est pas 2
célérons qui se battent en duel au fond d'un quart de baie qui risquent
de saturer les liens actuels.
Donc j'adhère à 100%, le risque existe, et chacun le gère à sa façon (en
désignant un tiers pour le gérer, pourquoi pas).
Mais c'est la gestion du risque qui est différente, pas le risque !
Evidemment je parle d'un nombre de clients raisonnable, c'est pas 2
célérons qui se battent en duel au fond d'un quart de baie qui risquent
de saturer les liens actuels.
Tu serais étonné de voir ce que certains arrivent a faire cracher a deux
celerons qui se battent en duel :)
Tu serais étonné de voir ce que certains arrivent a faire cracher a deux
celerons qui se battent en duel :)
Tu serais étonné de voir ce que certains arrivent a faire cracher a deux
celerons qui se battent en duel :)
FightClub! wrote:En achetant 100Mb/s de bande passante et en revendant 200Mb/s de
transit, ça me parait faisable, non ?
?
Le cas ou tout le monde veut 100% de son transit en même temps est très
peu probable, à partir de certain volume il est même *infiniment* peu
probable. Et heureusement que certains l'ont compris : par exemple en
assurance combien on paierait si l'assureur commençait à prévoir le cas
où toutes les voitures du parc automobile français ont un accident en
même temps ?!
Une assurance fait de la gestion de risque, pas de l'achat/revente de
service.
Entre vous et votre opérateur oui, sur combien de mètres de long c'est
valable ? Et quand bien même ce soit en kilomètres, entre votre
fournisseur et les utilisateurs qui sont à l'autre extrémité ça se passe
comment ?
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts associés)
vers vos fournisseurs, rien de plus.
C'est une différence de taille :
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
2) Contractuellement, ce risque est inexistant vu que nous demandons
contractuellement la garantie du provisionnement sur le réseau dudit
opérateur. C'est à lui, fournisseur de la "matière première" de
dimensionner/redimensionner son réseau en conséquence.
Oui mais la on change de sujet, on parlait de quantité et dans ces deux
exemples il est question de qualité et/ou de service associés, ce qui
n'a rien à voir.
Bien au contraire, car on parle de quantité, mais pas de la même chose. 100
Mb/s de BP n'est pas 100 Mb/s de transit, tout comme une canalisation d'une
capacité de 1000L/minute, n'est pas un volume d'eau de 1000L/minute (qui
peut n'etre que de 10L...
Pour le transit c'est pareil, du moment que le client a le transit dont
il a besoin, il n'y a aucune différence entre acheter ce transit au
volume réel ou bien en acheter au volume hypothétique : les octets de
données qui passent iront à la même vitesse (et bien souvent sur les
mêmes tuyaux !)
Mais justement : le risque qu'il ne puisse pas avoir ce transit augmente de
manière considérable dans l'un des cas. D'ailleurs, il n'y a qu'à voir
lorsqu'un point de peering se casse la gueule, les débits de certains
fournisseurs vers certains réseaux/fai, devient ridicule : il n'y a pas le
transit nécessaire.
question ne sert évidemment de justification qu'à ceux qui vendent du
tuyau, puisque ceux qui vendent du transit réel sont moins cher pour un
service équivalent (il n'ont donc rien à justifier).
C'est tout le contraire : vendre de la BP ne coute rien, puisque
contractuellement, il s'agit le plus souvent de la largeur d'un tuyau chez
l'hébergeur uniquement. Dans l'absolu je veux donc vendre 1 Gb/s de BP pour
25 euro /mois et ne dimmensionner les liens de transit sortant que de 100
Mb/s. Il n'y a pas mensonge, mais c'est bel et bien de la tromperie pour le
client.
Le transit est donc plus cher que de la BP (qui ne coute rien sinon le
dimmensionnement des cables et ports et équipements). Le transit lui, se
provisionne, ou alors, on doit disposer d'un contrat qui garantie dans tous
les termes possibles, que sur mon port Gb/s sur lequel je ne paye qu'au 95
percentile, en cas de dépassement, le fournisseur de "matière première"
s'engage à ce que ce transit soit disponible.
amicalement,
FightClub! wrote:
En achetant 100Mb/s de bande passante et en revendant 200Mb/s de
transit, ça me parait faisable, non ?
?
Le cas ou tout le monde veut 100% de son transit en même temps est très
peu probable, à partir de certain volume il est même *infiniment* peu
probable. Et heureusement que certains l'ont compris : par exemple en
assurance combien on paierait si l'assureur commençait à prévoir le cas
où toutes les voitures du parc automobile français ont un accident en
même temps ?!
Une assurance fait de la gestion de risque, pas de l'achat/revente de
service.
Entre vous et votre opérateur oui, sur combien de mètres de long c'est
valable ? Et quand bien même ce soit en kilomètres, entre votre
fournisseur et les utilisateurs qui sont à l'autre extrémité ça se passe
comment ?
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts associés)
vers vos fournisseurs, rien de plus.
C'est une différence de taille :
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
2) Contractuellement, ce risque est inexistant vu que nous demandons
contractuellement la garantie du provisionnement sur le réseau dudit
opérateur. C'est à lui, fournisseur de la "matière première" de
dimensionner/redimensionner son réseau en conséquence.
Oui mais la on change de sujet, on parlait de quantité et dans ces deux
exemples il est question de qualité et/ou de service associés, ce qui
n'a rien à voir.
Bien au contraire, car on parle de quantité, mais pas de la même chose. 100
Mb/s de BP n'est pas 100 Mb/s de transit, tout comme une canalisation d'une
capacité de 1000L/minute, n'est pas un volume d'eau de 1000L/minute (qui
peut n'etre que de 10L...
Pour le transit c'est pareil, du moment que le client a le transit dont
il a besoin, il n'y a aucune différence entre acheter ce transit au
volume réel ou bien en acheter au volume hypothétique : les octets de
données qui passent iront à la même vitesse (et bien souvent sur les
mêmes tuyaux !)
Mais justement : le risque qu'il ne puisse pas avoir ce transit augmente de
manière considérable dans l'un des cas. D'ailleurs, il n'y a qu'à voir
lorsqu'un point de peering se casse la gueule, les débits de certains
fournisseurs vers certains réseaux/fai, devient ridicule : il n'y a pas le
transit nécessaire.
question ne sert évidemment de justification qu'à ceux qui vendent du
tuyau, puisque ceux qui vendent du transit réel sont moins cher pour un
service équivalent (il n'ont donc rien à justifier).
C'est tout le contraire : vendre de la BP ne coute rien, puisque
contractuellement, il s'agit le plus souvent de la largeur d'un tuyau chez
l'hébergeur uniquement. Dans l'absolu je veux donc vendre 1 Gb/s de BP pour
25 euro /mois et ne dimmensionner les liens de transit sortant que de 100
Mb/s. Il n'y a pas mensonge, mais c'est bel et bien de la tromperie pour le
client.
Le transit est donc plus cher que de la BP (qui ne coute rien sinon le
dimmensionnement des cables et ports et équipements). Le transit lui, se
provisionne, ou alors, on doit disposer d'un contrat qui garantie dans tous
les termes possibles, que sur mon port Gb/s sur lequel je ne paye qu'au 95
percentile, en cas de dépassement, le fournisseur de "matière première"
s'engage à ce que ce transit soit disponible.
amicalement,
FightClub! wrote:En achetant 100Mb/s de bande passante et en revendant 200Mb/s de
transit, ça me parait faisable, non ?
?
Le cas ou tout le monde veut 100% de son transit en même temps est très
peu probable, à partir de certain volume il est même *infiniment* peu
probable. Et heureusement que certains l'ont compris : par exemple en
assurance combien on paierait si l'assureur commençait à prévoir le cas
où toutes les voitures du parc automobile français ont un accident en
même temps ?!
Une assurance fait de la gestion de risque, pas de l'achat/revente de
service.
Entre vous et votre opérateur oui, sur combien de mètres de long c'est
valable ? Et quand bien même ce soit en kilomètres, entre votre
fournisseur et les utilisateurs qui sont à l'autre extrémité ça se passe
comment ?
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Pour moi ça déplace le risque (et les mutualisations de coûts associés)
vers vos fournisseurs, rien de plus.
C'est une différence de taille :
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
2) Contractuellement, ce risque est inexistant vu que nous demandons
contractuellement la garantie du provisionnement sur le réseau dudit
opérateur. C'est à lui, fournisseur de la "matière première" de
dimensionner/redimensionner son réseau en conséquence.
Oui mais la on change de sujet, on parlait de quantité et dans ces deux
exemples il est question de qualité et/ou de service associés, ce qui
n'a rien à voir.
Bien au contraire, car on parle de quantité, mais pas de la même chose. 100
Mb/s de BP n'est pas 100 Mb/s de transit, tout comme une canalisation d'une
capacité de 1000L/minute, n'est pas un volume d'eau de 1000L/minute (qui
peut n'etre que de 10L...
Pour le transit c'est pareil, du moment que le client a le transit dont
il a besoin, il n'y a aucune différence entre acheter ce transit au
volume réel ou bien en acheter au volume hypothétique : les octets de
données qui passent iront à la même vitesse (et bien souvent sur les
mêmes tuyaux !)
Mais justement : le risque qu'il ne puisse pas avoir ce transit augmente de
manière considérable dans l'un des cas. D'ailleurs, il n'y a qu'à voir
lorsqu'un point de peering se casse la gueule, les débits de certains
fournisseurs vers certains réseaux/fai, devient ridicule : il n'y a pas le
transit nécessaire.
question ne sert évidemment de justification qu'à ceux qui vendent du
tuyau, puisque ceux qui vendent du transit réel sont moins cher pour un
service équivalent (il n'ont donc rien à justifier).
C'est tout le contraire : vendre de la BP ne coute rien, puisque
contractuellement, il s'agit le plus souvent de la largeur d'un tuyau chez
l'hébergeur uniquement. Dans l'absolu je veux donc vendre 1 Gb/s de BP pour
25 euro /mois et ne dimmensionner les liens de transit sortant que de 100
Mb/s. Il n'y a pas mensonge, mais c'est bel et bien de la tromperie pour le
client.
Le transit est donc plus cher que de la BP (qui ne coute rien sinon le
dimmensionnement des cables et ports et équipements). Le transit lui, se
provisionne, ou alors, on doit disposer d'un contrat qui garantie dans tous
les termes possibles, que sur mon port Gb/s sur lequel je ne paye qu'au 95
percentile, en cas de dépassement, le fournisseur de "matière première"
s'engage à ce que ce transit soit disponible.
amicalement,
Ooooh oui ;-)
Ooooh oui ;-)
Ooooh oui ;-)
Vous demandez comment, je réponds. Ailleurs ça s'appelle du surbooking,
et quand il y a 200 places en tout ça marche pas toujours. Par contre
sur un total de plusieurs Go/s avec des dizaines de milliers de clients,
ça marche forcément à tous les coups.
Une assurance ne fait que revendre les services des réassureurs, c'est à
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Oui, le risque est dilué. Mais vous raisonnez au niveau de votre AS ou
de votre switch. Au delà ça ne dépend plus de vous.
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
Ca ne change rien au fait qu'il soit bien présent dans tous les cas.
Sauf qu'aucun fournisseur ne peut réellement suivre la demande puisqu'il
ne gère pas plus loin que son propre réseau. Ou alors c'est via une
concentration physique démesurée et on voit les conséquences que ça a
quand par exemple il y a une coupure d'électricité généralisée :)
Oui c'est que je dis, quand la canalisation pète ou sature, c'est pour
tout le monde, parce que dans (quasiment) tous les cas, la canalisation
est trop petite pour que tout le monde s'en serve en même temps.
Vous louez 10L de canalisation même quand vos utilisateurs n'en
utilisent qu'un pour ne pas gérer le risque, c'est votre façon de faire,
mais ça ne change rien au résultat.
Désolé je ne comprends pas pourquoi le risque augmenterait ? Par contre
je comprends bien pourquoi c'est plus cher de payer 10L tout le temps au
lieu de payer 10L seulement quand on s'en sert et 1L le reste du temps.
Donc si je loue 10L en permanence et que j'en utilise en général que 1L,
c'est forcément plus cher que de louer ma consommation réelle, non ?
Et
en dehors du fait que ce soit plus cher, ça sert à quoi ? Ca monopolise
une partie du tuyau total pour rien alors que d'autre pourrait justement
s'en servir sans me gêner, non ? Donc si je loue mes 10L en partageant
avec d'autres au lieu de les louer pour moi tout seul, ça va couter
moins cher, non ?
Comment peut-on dire que la BP ne coute rien ?! Ce qui coute c'est
justement le réseau physique. Quand il y a 1000L maxi, la seule solution
c'est de mettre un second tuyau.
Comme dans les deux cas il y a autant de chance que le fournisseur
tienne son engagement (par exemple parce que ça passe par la même
canalisation de 1000L), le calcul est, me semble-t-il, vite fait.
Vous demandez comment, je réponds. Ailleurs ça s'appelle du surbooking,
et quand il y a 200 places en tout ça marche pas toujours. Par contre
sur un total de plusieurs Go/s avec des dizaines de milliers de clients,
ça marche forcément à tous les coups.
Une assurance ne fait que revendre les services des réassureurs, c'est à
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Oui, le risque est dilué. Mais vous raisonnez au niveau de votre AS ou
de votre switch. Au delà ça ne dépend plus de vous.
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
Ca ne change rien au fait qu'il soit bien présent dans tous les cas.
Sauf qu'aucun fournisseur ne peut réellement suivre la demande puisqu'il
ne gère pas plus loin que son propre réseau. Ou alors c'est via une
concentration physique démesurée et on voit les conséquences que ça a
quand par exemple il y a une coupure d'électricité généralisée :)
Oui c'est que je dis, quand la canalisation pète ou sature, c'est pour
tout le monde, parce que dans (quasiment) tous les cas, la canalisation
est trop petite pour que tout le monde s'en serve en même temps.
Vous louez 10L de canalisation même quand vos utilisateurs n'en
utilisent qu'un pour ne pas gérer le risque, c'est votre façon de faire,
mais ça ne change rien au résultat.
Désolé je ne comprends pas pourquoi le risque augmenterait ? Par contre
je comprends bien pourquoi c'est plus cher de payer 10L tout le temps au
lieu de payer 10L seulement quand on s'en sert et 1L le reste du temps.
Donc si je loue 10L en permanence et que j'en utilise en général que 1L,
c'est forcément plus cher que de louer ma consommation réelle, non ?
Et
en dehors du fait que ce soit plus cher, ça sert à quoi ? Ca monopolise
une partie du tuyau total pour rien alors que d'autre pourrait justement
s'en servir sans me gêner, non ? Donc si je loue mes 10L en partageant
avec d'autres au lieu de les louer pour moi tout seul, ça va couter
moins cher, non ?
Comment peut-on dire que la BP ne coute rien ?! Ce qui coute c'est
justement le réseau physique. Quand il y a 1000L maxi, la seule solution
c'est de mettre un second tuyau.
Comme dans les deux cas il y a autant de chance que le fournisseur
tienne son engagement (par exemple parce que ça passe par la même
canalisation de 1000L), le calcul est, me semble-t-il, vite fait.
Vous demandez comment, je réponds. Ailleurs ça s'appelle du surbooking,
et quand il y a 200 places en tout ça marche pas toujours. Par contre
sur un total de plusieurs Go/s avec des dizaines de milliers de clients,
ça marche forcément à tous les coups.
Une assurance ne fait que revendre les services des réassureurs, c'est à
D'ou l'intérêt également du nombre d'opérateur. L'opérateur vous garanti
lui, le provisionnement de cet achat sur l'intégralité de son réseau, la
notion de risque, sur celui qui vends derriere du transit multi-op est
nulle, le risque est géré par le "propriétaire" du réseau, qui fournit la
matière première : contractuellement, cet achat est provisionné, il n'y a
donc pas de problèmes.
Oui, le risque est dilué. Mais vous raisonnez au niveau de votre AS ou
de votre switch. Au delà ça ne dépend plus de vous.
1) Il n'y a justement pas à gérer ce risque.
Ca ne change rien au fait qu'il soit bien présent dans tous les cas.
Sauf qu'aucun fournisseur ne peut réellement suivre la demande puisqu'il
ne gère pas plus loin que son propre réseau. Ou alors c'est via une
concentration physique démesurée et on voit les conséquences que ça a
quand par exemple il y a une coupure d'électricité généralisée :)
Oui c'est que je dis, quand la canalisation pète ou sature, c'est pour
tout le monde, parce que dans (quasiment) tous les cas, la canalisation
est trop petite pour que tout le monde s'en serve en même temps.
Vous louez 10L de canalisation même quand vos utilisateurs n'en
utilisent qu'un pour ne pas gérer le risque, c'est votre façon de faire,
mais ça ne change rien au résultat.
Désolé je ne comprends pas pourquoi le risque augmenterait ? Par contre
je comprends bien pourquoi c'est plus cher de payer 10L tout le temps au
lieu de payer 10L seulement quand on s'en sert et 1L le reste du temps.
Donc si je loue 10L en permanence et que j'en utilise en général que 1L,
c'est forcément plus cher que de louer ma consommation réelle, non ?
Et
en dehors du fait que ce soit plus cher, ça sert à quoi ? Ca monopolise
une partie du tuyau total pour rien alors que d'autre pourrait justement
s'en servir sans me gêner, non ? Donc si je loue mes 10L en partageant
avec d'autres au lieu de les louer pour moi tout seul, ça va couter
moins cher, non ?
Comment peut-on dire que la BP ne coute rien ?! Ce qui coute c'est
justement le réseau physique. Quand il y a 1000L maxi, la seule solution
c'est de mettre un second tuyau.
Comme dans les deux cas il y a autant de chance que le fournisseur
tienne son engagement (par exemple parce que ça passe par la même
canalisation de 1000L), le calcul est, me semble-t-il, vite fait.