ça pourrait être un troll mais je lance quand même...
Lorsqu'un appareil numérique effectue la balance des blancs, sur quoi se
base-t-il? Sur une éventuelle dominante dans les zones claires assimilées à
du blanc? Sur la moyenne des couleurs présentes dans l'image? Dans ce
dernier cas, si l'image présente une forte proportion de tons rouges, par
exemple un coquelicot en gros plan, où l'appareil trouve-t-il des valeurs de
référence, dans l'image, pour ajuster la balance?
--
Cordialement,
Jean-Luc ERNST
www.hopitaldelaphoto.com
Ca change la source de la lumière analysée. Est ce que ça change le principe de l'analyse ?
Evidemment puisque le résultat n'est plus dépendant des couleurs de la scène photographiée. De toute manière, en studio, le principe de mesure de la lumière incidente est une règle de base que ce soit pour l'exposition ou la couleur. On utilise souvent des fonds blancs (ou très clairs) ou noirs et les mesures en lumière réfléchie sont généralement tout à fait fausses...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Ca change la source de la lumière analysée. Est ce que ça change le
principe de l'analyse ?
Evidemment puisque le résultat n'est plus dépendant des
couleurs de la scène photographiée. De toute manière, en
studio, le principe de mesure de la lumière incidente est
une règle de base que ce soit pour l'exposition ou la
couleur. On utilise souvent des fonds blancs (ou très
clairs) ou noirs et les mesures en lumière réfléchie sont
généralement tout à fait fausses...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
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Ca change la source de la lumière analysée. Est ce que ça change le principe de l'analyse ?
Evidemment puisque le résultat n'est plus dépendant des couleurs de la scène photographiée. De toute manière, en studio, le principe de mesure de la lumière incidente est une règle de base que ce soit pour l'exposition ou la couleur. On utilise souvent des fonds blancs (ou très clairs) ou noirs et les mesures en lumière réfléchie sont généralement tout à fait fausses...
-- Jean-Pierre Roche
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Jean-Claude Ghislain
De fait, pour la balance des blancs, une charte de gris 18% ne sert à rien. La bdb a pour but d'obtenir une référence de blanc "pur" dans une atmosphère lumineuse précise.
Tu confonds la balance des blancs et la notion de réglage du point blanc, l'une est sans rapport avec l'exposition, l'autre l'est.
La balance des blancs est une mesure de la température de couleur dont le but est d'obtenir un rendu colorimétrique neutre. Pour réaliser une balance des blancs mesurées avec une caméra ou un APN, il faut viser une surface colorimétriquement neutre et un gris Kodak à 18% fait magnifiquement l'affaire. On peut aussi viser un blanc neutre, mais là aussi, si l'on cherche la perfection, il faut un blanc normalisé, car mettons 10 feuilles blanches ordinaires, d'origines différentes, les unes à côté des autres et nous aurons 10 blancs différents. On peut également faire une balance des blancs sur une surface volontairement colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la paume de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
De fait, pour la balance des blancs, une charte de gris 18% ne sert à
rien. La bdb a pour but d'obtenir une référence de blanc "pur" dans
une atmosphère lumineuse précise.
Tu confonds la balance des blancs et la notion de réglage du point
blanc, l'une est sans rapport avec l'exposition, l'autre l'est.
La balance des blancs est une mesure de la température de couleur dont
le but est d'obtenir un rendu colorimétrique neutre. Pour réaliser une
balance des blancs mesurées avec une caméra ou un APN, il faut viser une
surface colorimétriquement neutre et un gris Kodak à 18% fait
magnifiquement l'affaire. On peut aussi viser un blanc neutre, mais là
aussi, si l'on cherche la perfection, il faut un blanc normalisé, car
mettons 10 feuilles blanches ordinaires, d'origines différentes, les
unes à côté des autres et nous aurons 10 blancs différents. On peut
également faire une balance des blancs sur une surface volontairement
colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu
un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la
paume de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
De fait, pour la balance des blancs, une charte de gris 18% ne sert à rien. La bdb a pour but d'obtenir une référence de blanc "pur" dans une atmosphère lumineuse précise.
Tu confonds la balance des blancs et la notion de réglage du point blanc, l'une est sans rapport avec l'exposition, l'autre l'est.
La balance des blancs est une mesure de la température de couleur dont le but est d'obtenir un rendu colorimétrique neutre. Pour réaliser une balance des blancs mesurées avec une caméra ou un APN, il faut viser une surface colorimétriquement neutre et un gris Kodak à 18% fait magnifiquement l'affaire. On peut aussi viser un blanc neutre, mais là aussi, si l'on cherche la perfection, il faut un blanc normalisé, car mettons 10 feuilles blanches ordinaires, d'origines différentes, les unes à côté des autres et nous aurons 10 blancs différents. On peut également faire une balance des blancs sur une surface volontairement colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la paume de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Pierre Roche
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais pas si on les trouve en France... A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité.
-- Jean-Pierre Roche
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http://jpierreroche.free.fr/
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière,
taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais
pas si on les trouve en France...
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent
d'un intérêt limité.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais pas si on les trouve en France... A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jean-Claude Ghislain
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
http://www2.photim.com/Cmd/article.php?R 0-PACHK
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en
matière, taille..)
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité.
Effectivement.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Florent
Le 16/11/2006, Jean-Claude Ghislain a supposé :
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité.
Effectivement.
pourquoi ?
je constate que la Bdb auto de mon 20D est parfois en dehors des clous, dehors. hors, je ne peux pas, parfois, reprendre mes fichiers. je cherche donc a avoir la bdb la plus mieux que je peux... ce sera pas comme un raw bien léché, mais bon... j'essaye de faire mieux
Le 16/11/2006, Jean-Claude Ghislain a supposé :
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt
limité.
Effectivement.
pourquoi ?
je constate que la Bdb auto de mon 20D est parfois en dehors des clous,
dehors. hors, je ne peux pas, parfois, reprendre mes fichiers. je
cherche donc a avoir la bdb la plus mieux que je peux... ce sera pas
comme un raw bien léché, mais bon... j'essaye de faire mieux
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité.
Effectivement.
pourquoi ?
je constate que la Bdb auto de mon 20D est parfois en dehors des clous, dehors. hors, je ne peux pas, parfois, reprendre mes fichiers. je cherche donc a avoir la bdb la plus mieux que je peux... ce sera pas comme un raw bien léché, mais bon... j'essaye de faire mieux
Florent
Jean-Claude Ghislain a exprimé avec précision :
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
http://www2.photim.com/Cmd/article.php?R 0-PACHK
A4 c'est un peu grand... "un peu cher aussi, mais bon... je me doute qu'ils doivent pas les donner..."
Jean-Claude Ghislain a exprimé avec précision :
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière,
taille..)
http://www2.photim.com/Cmd/article.php?R 0-PACHK
A4 c'est un peu grand... "un peu cher aussi, mais bon... je me doute
qu'ils doivent pas les donner..."
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
http://www2.photim.com/Cmd/article.php?R 0-PACHK
A4 c'est un peu grand... "un peu cher aussi, mais bon... je me doute qu'ils doivent pas les donner..."
Jean-Claude Ghislain
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique et celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que ça change.
Rappelons-nous qu'en argentique nous n'avions pas de balance des blancs et le photographe moyen ne se baladait pas avec une panoplie de filtre en gélatine. On mettait un film équilibré lumière du jour et on partait en vacances, certes les couchés de soleil étaient très orangés, mais ça a plus de charme qu'un couché de soleil blanc parce que l'appareil à corrigé. Ne pas oublié qu'on peut utiliser un APN de la même façon et qu'une balance des blancs "bêtement" sur lumière du jour, peut donner de meilleur résultat qu'une balance automatique qui a ses caprices.
Dans le deuxième cas (manuelle), l'appareil applique un réglage qui lui est "imposé", une espèce de filtre dont on n'a pas les caractéristiques et dont on ne peut savoir là non plus comment il procède.
C'est lors du dématriçage que l'on applique un coefficient de correction, c'est pas si mystérieux que ça.
La littérature parle de "température de couleur" mais en général, les appareils pour la mesurer sont des spectrocolorimètres ou des thermocolorimètres.
Certains appareils ont déjà embarqué un véritable petit thermocolorimètre externe, d'autres un capteur spécifique pour la mesure de la température de couleur, mais les compacts et les bridges utilisent le capteur de prise de vue.
Je doute qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts vu le prix de la dite technologie... Donc, je me suis dit que les appareils procédaient d'une autre manière... Mais laquelle?
La même que celle que l'on retrouve sur les tireuses photos, le principe est identique, on a une image et on veut la rendre neutre. Le principe de base est de faire la moyenne de la lumière reçue et de corriger pour qu'elle soit grise, correction pondérée pour ne pas exagérer dans certaines conditions. Après le principe peut se sophistiquer, avec des analyses multizones comme pour l'exposition et tout autre raffinement imaginé par l'un ou l'autre ingénieur.
Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi on fait la "balance des blancs" et pas la balance des gris.
Tu peux appeler ça balance des gris si tu veux, tu peux la faire sur un gris Kodak à 18%, ce n'est pas une mesure de l'intensité de la lumière, mais de sa coloration. Il faut donc viser une surface colorimétriquement neutre, elle peut être blanche ou grise, si la surface est neutre, la lumière renvoyée aura la même coloration que la lumière reçue et l'appareil pourra réaliser son analyse.
Dans du blanc pur (R255 V255 B255)
Mauvais raisonnement, il n'y a pas encore d'image, ni de RVB, nous sommes justes avec un appareil de mesure.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique
et celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que
ça change.
Rappelons-nous qu'en argentique nous n'avions pas de balance des blancs
et le photographe moyen ne se baladait pas avec une panoplie de filtre
en gélatine. On mettait un film équilibré lumière du jour et on partait
en vacances, certes les couchés de soleil étaient très orangés, mais ça
a plus de charme qu'un couché de soleil blanc parce que l'appareil à
corrigé. Ne pas oublié qu'on peut utiliser un APN de la même façon et
qu'une balance des blancs "bêtement" sur lumière du jour, peut donner de
meilleur résultat qu'une balance automatique qui a ses caprices.
Dans le deuxième cas (manuelle), l'appareil
applique un réglage qui lui est "imposé", une espèce de filtre dont on
n'a pas les caractéristiques et dont on ne peut savoir là non plus
comment il procède.
C'est lors du dématriçage que l'on applique un coefficient de
correction, c'est pas si mystérieux que ça.
La littérature parle de "température de couleur" mais en général, les
appareils pour la mesurer sont des spectrocolorimètres ou des
thermocolorimètres.
Certains appareils ont déjà embarqué un véritable petit
thermocolorimètre externe, d'autres un capteur spécifique pour la mesure
de la température de couleur, mais les compacts et les bridges utilisent
le capteur de prise de vue.
Je doute qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts
vu le prix de la dite technologie... Donc, je me suis dit que les
appareils procédaient d'une autre manière... Mais laquelle?
La même que celle que l'on retrouve sur les tireuses photos, le principe
est identique, on a une image et on veut la rendre neutre. Le principe
de base est de faire la moyenne de la lumière reçue et de corriger pour
qu'elle soit grise, correction pondérée pour ne pas exagérer dans
certaines conditions. Après le principe peut se sophistiquer, avec des
analyses multizones comme pour l'exposition et tout autre raffinement
imaginé par l'un ou l'autre ingénieur.
Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi on fait la "balance des
blancs" et pas la balance des gris.
Tu peux appeler ça balance des gris si tu veux, tu peux la faire sur un
gris Kodak à 18%, ce n'est pas une mesure de l'intensité de la lumière,
mais de sa coloration. Il faut donc viser une surface colorimétriquement
neutre, elle peut être blanche ou grise, si la surface est neutre, la
lumière renvoyée aura la même coloration que la lumière reçue et
l'appareil pourra réaliser son analyse.
Dans du blanc pur (R255 V255 B255)
Mauvais raisonnement, il n'y a pas encore d'image, ni de RVB, nous
sommes justes avec un appareil de mesure.
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique et celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que ça change.
Rappelons-nous qu'en argentique nous n'avions pas de balance des blancs et le photographe moyen ne se baladait pas avec une panoplie de filtre en gélatine. On mettait un film équilibré lumière du jour et on partait en vacances, certes les couchés de soleil étaient très orangés, mais ça a plus de charme qu'un couché de soleil blanc parce que l'appareil à corrigé. Ne pas oublié qu'on peut utiliser un APN de la même façon et qu'une balance des blancs "bêtement" sur lumière du jour, peut donner de meilleur résultat qu'une balance automatique qui a ses caprices.
Dans le deuxième cas (manuelle), l'appareil applique un réglage qui lui est "imposé", une espèce de filtre dont on n'a pas les caractéristiques et dont on ne peut savoir là non plus comment il procède.
C'est lors du dématriçage que l'on applique un coefficient de correction, c'est pas si mystérieux que ça.
La littérature parle de "température de couleur" mais en général, les appareils pour la mesurer sont des spectrocolorimètres ou des thermocolorimètres.
Certains appareils ont déjà embarqué un véritable petit thermocolorimètre externe, d'autres un capteur spécifique pour la mesure de la température de couleur, mais les compacts et les bridges utilisent le capteur de prise de vue.
Je doute qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts vu le prix de la dite technologie... Donc, je me suis dit que les appareils procédaient d'une autre manière... Mais laquelle?
La même que celle que l'on retrouve sur les tireuses photos, le principe est identique, on a une image et on veut la rendre neutre. Le principe de base est de faire la moyenne de la lumière reçue et de corriger pour qu'elle soit grise, correction pondérée pour ne pas exagérer dans certaines conditions. Après le principe peut se sophistiquer, avec des analyses multizones comme pour l'exposition et tout autre raffinement imaginé par l'un ou l'autre ingénieur.
Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi on fait la "balance des blancs" et pas la balance des gris.
Tu peux appeler ça balance des gris si tu veux, tu peux la faire sur un gris Kodak à 18%, ce n'est pas une mesure de l'intensité de la lumière, mais de sa coloration. Il faut donc viser une surface colorimétriquement neutre, elle peut être blanche ou grise, si la surface est neutre, la lumière renvoyée aura la même coloration que la lumière reçue et l'appareil pourra réaliser son analyse.
Dans du blanc pur (R255 V255 B255)
Mauvais raisonnement, il n'y a pas encore d'image, ni de RVB, nous sommes justes avec un appareil de mesure.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
franeric
. On peut
également faire une balance des blancs sur une surface volontairement colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la paume de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
c'etait un moyen de contourner " le blanc Sony " puisqu on avait a peu près que ça, et ça flanquait un rendu standard neutre sur tout, alors qu en cinéma tu donnes l'ambiance que tu veux ricco
. On peut
également faire une balance des blancs sur une surface volontairement
colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu
un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la paume
de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
c'etait un moyen de contourner " le blanc Sony " puisqu on avait a peu près
que ça, et ça flanquait un rendu standard neutre sur tout, alors qu en
cinéma tu donnes l'ambiance que tu veux
ricco
également faire une balance des blancs sur une surface volontairement colorée, pour donner une ambiance chaude ou froide à l'image, j'ai connu un caméraman de télévision qui faisait la balance des blancs sur la paume de sa main, cela donnait une autre ambiance à ses images.
c'etait un moyen de contourner " le blanc Sony " puisqu on avait a peu près que ça, et ça flanquait un rendu standard neutre sur tout, alors qu en cinéma tu donnes l'ambiance que tu veux ricco
franeric
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: eji9i2$p0i$
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais pas si on les trouve en France... A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité. je me permets quand même de répondre sous ton texte, quoique tu sois en
général extremement bien documenté , parfaitement froid comme un 7000 Kainsi que distant envers moi, jutilise une charte fournie par Scott kelby dans son dernier bouquin
je serai tenté de m'excuser,
Ricco
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news: eji9i2$p0i$1@talisker.lacave.net...
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière,
taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais pas si on les
trouve en France...
A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt
limité.
je me permets quand même de répondre sous ton texte, quoique tu sois en
général extremement bien documenté , parfaitement froid comme un 7000
Kainsi que distant envers moi, jutilise une charte fournie par Scott kelby
dans son dernier bouquin
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news: eji9i2$p0i$
tu connais une charte "pour le terrain" qui conviendrait ? (en matière, taille..)
Gretag en fait je crois (les mini checker) mais je ne sais pas si on les trouve en France... A part ça, en dehors du studio, les chartes me paraissent d'un intérêt limité. je me permets quand même de répondre sous ton texte, quoique tu sois en
général extremement bien documenté , parfaitement froid comme un 7000 Kainsi que distant envers moi, jutilise une charte fournie par Scott kelby dans son dernier bouquin