ça pourrait être un troll mais je lance quand même...
Lorsqu'un appareil numérique effectue la balance des blancs, sur quoi se
base-t-il? Sur une éventuelle dominante dans les zones claires assimilées à
du blanc? Sur la moyenne des couleurs présentes dans l'image? Dans ce
dernier cas, si l'image présente une forte proportion de tons rouges, par
exemple un coquelicot en gros plan, où l'appareil trouve-t-il des valeurs de
référence, dans l'image, pour ajuster la balance?
--
Cordialement,
Jean-Luc ERNST
www.hopitaldelaphoto.com
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je me demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de gris de référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
Cordialement, Jean-Luc
"franeric" a écrit dans le message de news: ejkc51$r3t$
...snip...
non, je n'ai pas ca sous la main mais il y a une plage speeciale pour " balance blancs pour caméra Raw " celle de gauche en bas
ricco
Bonjour Franeric,
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je me
demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de gris de
référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
Cordialement,
Jean-Luc
"franeric" <d.francoise32@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news:
ejkc51$r3t$1@news.tiscali.fr...
...snip...
non, je n'ai pas ca sous la main mais il y a une plage speeciale pour "
balance blancs pour caméra Raw " celle de gauche en bas
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je me demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de gris de référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
Cordialement, Jean-Luc
"franeric" a écrit dans le message de news: ejkc51$r3t$
...snip...
non, je n'ai pas ca sous la main mais il y a une plage speeciale pour " balance blancs pour caméra Raw " celle de gauche en bas
ricco
franeric
"Jean-Luc ERNST" a écrit dans le message de news: 455df460$0$7306$
Bonjour Franeric,
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je me demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de gris de référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
je vais regarder le chapitre et vous relater ce qu il en dit
ricco
"Jean-Luc ERNST" <jeanlucxernst@versateladslxbe> a écrit dans le message de
news: 455df460$0$7306$bf4948fe@news.tele2.nl...
Bonjour Franeric,
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je
me demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de
gris de référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
je vais regarder le chapitre et vous relater ce qu il en dit
"Jean-Luc ERNST" a écrit dans le message de news: 455df460$0$7306$
Bonjour Franeric,
Oui, j'ai bien vu la référence au Raw sur le carton et c'est pourquoi je me demandais si dans le manuel, il est expliqué pourquoi cette plage de gris de référence est plus claire. C'est le Raw qui veut ça?
je vais regarder le chapitre et vous relater ce qu il en dit
ricco
Charles VASSALLO
Jean-Luc ERNST wrote à Charles
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique et celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que ça change. Dans le premier cas, l'appareil choisit lui-même en fonction de ses algorithmes et de l'analyse qu'il effectue des couleurs présentes. Dans le deuxième cas (manuelle), l'appareil applique un réglage qui lui est "imposé", une espèce de filtre dont on n'a pas les caractéristiques et dont on ne peut savoir là non plus comment il procède. J'ai plusieurs balances de blancs sur mon APN et je ne comprends pas toujours la meilleure manière de les utiliser. Les docs ne sont pas claires à ce sujet. La littérature parle de "température de couleur" mais en général, les appareils pour la mesurer sont des spectrocolorimètres ou des thermocolorimètres. Je doute qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts vu le prix de la dite technologie... Donc, je me suis dit que les appareils procédaient d'une autre manière... Mais laquelle?
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
Charles
Jean-Luc ERNST wrote à Charles
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique et
celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que ça
change. Dans le premier cas, l'appareil choisit lui-même en fonction de ses
algorithmes et de l'analyse qu'il effectue des couleurs présentes. Dans le
deuxième cas (manuelle), l'appareil applique un réglage qui lui est
"imposé", une espèce de filtre dont on n'a pas les caractéristiques et dont
on ne peut savoir là non plus comment il procède. J'ai plusieurs balances
de blancs sur mon APN et je ne comprends pas toujours la meilleure manière
de les utiliser. Les docs ne sont pas claires à ce sujet. La littérature
parle de "température de couleur" mais en général, les appareils pour la
mesurer sont des spectrocolorimètres ou des thermocolorimètres. Je doute
qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts vu le prix de
la dite technologie... Donc, je me suis dit que les appareils procédaient
d'une autre manière... Mais laquelle?
La différence ?
L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va
mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention
du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire
(matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la
température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme
poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés
Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit
à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en
déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela
doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et
que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
Tu sembles faire la différence entre la balance des blancs automatique et celle effectuée manuellement. Mais je ne vois pas très bien ce que ça change. Dans le premier cas, l'appareil choisit lui-même en fonction de ses algorithmes et de l'analyse qu'il effectue des couleurs présentes. Dans le deuxième cas (manuelle), l'appareil applique un réglage qui lui est "imposé", une espèce de filtre dont on n'a pas les caractéristiques et dont on ne peut savoir là non plus comment il procède. J'ai plusieurs balances de blancs sur mon APN et je ne comprends pas toujours la meilleure manière de les utiliser. Les docs ne sont pas claires à ce sujet. La littérature parle de "température de couleur" mais en général, les appareils pour la mesurer sont des spectrocolorimètres ou des thermocolorimètres. Je doute qu'ils aient mis ce type de technologie dans des APN compacts vu le prix de la dite technologie... Donc, je me suis dit que les appareils procédaient d'une autre manière... Mais laquelle?
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
Charles
franeric
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
c'est interessant ce que tu dis et on aime bien savoir, en tout cas moi je trouve que ca marche bien ( sony r1 ) rico
La différence ?
L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre
dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma
dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle)
mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si
l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène,
soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise
une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se
débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de
passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou
prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand
l'image a des couleurs très déséquilibrées
c'est interessant ce que tu dis et on aime bien savoir, en tout cas moi je
trouve que ca marche bien ( sony r1 )
rico
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
c'est interessant ce que tu dis et on aime bien savoir, en tout cas moi je trouve que ca marche bien ( sony r1 ) rico
Jean-Luc ERNST
Bonsoir Charles, Merci pour ton explication.
Je déduis de ton intervention que c'est tout un poème ! %;>)))
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son travail, ce serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo après équilibrage ("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil. Ricco va nous dire ce qu'a écrit Scott Kelby à ce sujet... Parce que, si cela n'a pas trop d'importance en photo familiale (quoique), en photo professionnelle lorsque les couleurs des objets photographiés doivent être respectées, on peut avoir besoin de cette référence gris neutre pour contrôler et éventuellement rectifier la balance des blancs.
Cordialement, Jean-Luc
"Charles VASSALLO" a écrit dans le message de news: 455f2c06$0$27386$ ...snip...
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
Charles
Bonsoir Charles,
Merci pour ton explication.
Je déduis de ton intervention que c'est tout un poème !
%;>)))
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son travail, ce
serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo après équilibrage
("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil. Ricco va nous dire ce qu'a
écrit Scott Kelby à ce sujet... Parce que, si cela n'a pas trop d'importance
en photo familiale (quoique), en photo professionnelle lorsque les couleurs
des objets photographiés doivent être respectées, on peut avoir besoin de
cette référence gris neutre pour contrôler et éventuellement rectifier la
balance des blancs.
Cordialement,
Jean-Luc
"Charles VASSALLO" <charles.rosemarie.vassallo@waoo.fr> a écrit dans le
message de news: 455f2c06$0$27386$ba4acef3@news.orange.fr...
...snip...
La différence ?
L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre
dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma
dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle)
mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si
l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène,
soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise
une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se
débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de
passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou
prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand
l'image a des couleurs très déséquilibrées
Je déduis de ton intervention que c'est tout un poème ! %;>)))
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son travail, ce serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo après équilibrage ("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil. Ricco va nous dire ce qu'a écrit Scott Kelby à ce sujet... Parce que, si cela n'a pas trop d'importance en photo familiale (quoique), en photo professionnelle lorsque les couleurs des objets photographiés doivent être respectées, on peut avoir besoin de cette référence gris neutre pour contrôler et éventuellement rectifier la balance des blancs.
Cordialement, Jean-Luc
"Charles VASSALLO" a écrit dans le message de news: 455f2c06$0$27386$ ...snip...
La différence ? L'appareil transforme des RVB "bruts" en RVB "sortants" qu'il va mettre dans le fichier JPEG sous un profil donné. Avant l'intervention du gamma dans le profil de sortie, la relation est purement linéaire (matricielle) mais avec des 3x3 coefficients dépendants de la température. Si l'utilisateur indique celle-ci, que soit sous forme poétique (tungstène, soleil, nuages...) ou en dur (tant de degrés Kelvin), l'appareil utilise une matrice de passage préétablie. Si on dit à l'appareil de se débrouiller, celui-ci intuite la température et en déduit la matrice de passage correspondante. Je pense toujours que cela doit reposer peu ou prou sur une hypothèse d'histogramme équilibré, et que ça se plante quand l'image a des couleurs très déséquilibrées
Charles
Jean-Claude Ghislain
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son travail, ce serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo après équilibrage ("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil.
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de Photoshop...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son
travail, ce serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo
après équilibrage ("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil.
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à
la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en
gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des
blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de
Photoshop...
La seule façon de savoir si l'appareil a fait correctement son travail, ce serait de mesurer la valeur d'un gris neutre sur la photo après équilibrage ("poétique" ou "dur") des blancs par l'appareil.
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de Photoshop...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique. On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique.
Avant on faisait de la prise de vue et du labo chimique, maintenant on fait de la prise de vue et du labo informatique.
Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est vraiement autre chose.
Pas tant que ça. Dans la chambre noire on recadrait, on masquait, on changeait de grade de papier, on adaptait le révélateur, on virait les tirages avec des produits qui puent...
Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec cellule, télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière de photographier.
J'ai commencé sur cette chose : http://users.skynet.be/grimart/ghislain/index_robot.htm Pas de cellule et pas de télémètre, tout au pif !
Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Amateurisme ou pas les grands principes n'ont pas changé, c'est juste la technique pour y arriver qui est différente.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique.
On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique.
Avant on faisait de la prise de vue et du labo chimique, maintenant on
fait de la prise de vue et du labo informatique.
Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est
vraiement autre chose.
Pas tant que ça. Dans la chambre noire on recadrait, on masquait, on
changeait de grade de papier, on adaptait le révélateur, on virait les
tirages avec des produits qui puent...
Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec
cellule, télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière
de photographier.
J'ai commencé sur cette chose :
http://users.skynet.be/grimart/ghislain/index_robot.htm
Pas de cellule et pas de télémètre, tout au pif !
Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Amateurisme ou pas les grands principes n'ont pas changé, c'est juste
la technique pour y arriver qui est différente.
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique. On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique.
Avant on faisait de la prise de vue et du labo chimique, maintenant on fait de la prise de vue et du labo informatique.
Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est vraiement autre chose.
Pas tant que ça. Dans la chambre noire on recadrait, on masquait, on changeait de grade de papier, on adaptait le révélateur, on virait les tirages avec des produits qui puent...
Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec cellule, télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière de photographier.
J'ai commencé sur cette chose : http://users.skynet.be/grimart/ghislain/index_robot.htm Pas de cellule et pas de télémètre, tout au pif !
Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Amateurisme ou pas les grands principes n'ont pas changé, c'est juste la technique pour y arriver qui est différente.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
Mais avec la photo numérique, telle que je la comprends, nous sommes loin de la prise de vue argentique
Ces dernières années que faisait l'amateur moyen ? Il photographiait en négatif couleur et confiait ses pellicules à un labo. Le labo développait la pelloche, la tireuse avalait le film, faisait ses petites corrections de densité et de couleur, puis sortait des photos correctes. Ce principe peut toujours être appliqué aujourd'hui, on peut donner du fichier numérique à une tireuse et lui laisser faire ses petites corrections comme avant, les photos sortiront comme en argentique.
Mais aujourd'hui le labo s'ouvre au plus grand nombre, on peut tripatouiller ses photos à la maison sans se salir les mains et sans choper d'allergie à la bonne chimie qui pue, on peut, mais ce n'est pas une obligation.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Mais avec la photo numérique, telle que je la comprends, nous sommes
loin de la prise de vue argentique
Ces dernières années que faisait l'amateur moyen ? Il photographiait en
négatif couleur et confiait ses pellicules à un labo. Le labo
développait la pelloche, la tireuse avalait le film, faisait ses petites
corrections de densité et de couleur, puis sortait des photos correctes.
Ce principe peut toujours être appliqué aujourd'hui, on peut donner du
fichier numérique à une tireuse et lui laisser faire ses petites
corrections comme avant, les photos sortiront comme en argentique.
Mais aujourd'hui le labo s'ouvre au plus grand nombre, on peut
tripatouiller ses photos à la maison sans se salir les mains et sans
choper d'allergie à la bonne chimie qui pue, on peut, mais ce n'est pas
une obligation.
Mais avec la photo numérique, telle que je la comprends, nous sommes loin de la prise de vue argentique
Ces dernières années que faisait l'amateur moyen ? Il photographiait en négatif couleur et confiait ses pellicules à un labo. Le labo développait la pelloche, la tireuse avalait le film, faisait ses petites corrections de densité et de couleur, puis sortait des photos correctes. Ce principe peut toujours être appliqué aujourd'hui, on peut donner du fichier numérique à une tireuse et lui laisser faire ses petites corrections comme avant, les photos sortiront comme en argentique.
Mais aujourd'hui le labo s'ouvre au plus grand nombre, on peut tripatouiller ses photos à la maison sans se salir les mains et sans choper d'allergie à la bonne chimie qui pue, on peut, mais ce n'est pas une obligation.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Charles VASSALLO
none wrote:
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de Photoshop...
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique. On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique. Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est vraiement autre chose. Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec cellule, télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière de photographier. Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Bien sûr que si qu'on fait toujours de la photo. Cet échange de messages tournait autour d'un respect sourcilleux des couleurs ; quand on fait de la reproduction, c'est bien le minimum qu'on se soucie un peu de ça, et c'est bien plus facile maintenant. Pour ceux qui regrettent les initiatives prises par les films couleur dans ce domaine, on a maintenant la possibilité de vraiment décider soi-même de l'interprétation qu'on va donner de l'image. On ne recréera pas pour autant la bonne lumière qu'il aurait fallu attendre, rien ne change là-dessus...
Charles
none wrote:
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à
la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en
gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des
blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de
Photoshop...
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique.
On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique.
Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est vraiement
autre chose.
Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec cellule,
télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière de
photographier.
Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Bien sûr que si qu'on fait toujours de la photo. Cet échange de messages
tournait autour d'un respect sourcilleux des couleurs ; quand on fait de
la reproduction, c'est bien le minimum qu'on se soucie un peu de ça, et
c'est bien plus facile maintenant. Pour ceux qui regrettent les
initiatives prises par les films couleur dans ce domaine, on a
maintenant la possibilité de vraiment décider soi-même de
l'interprétation qu'on va donner de l'image. On ne recréera pas pour
autant la bonne lumière qu'il aurait fallu attendre, rien ne change
là-dessus...
C'est ce que je fais en repro de peinture, car Photoshop rend fainéant à la prise de vue. Avant j'avais le thermocolorimètre, les filtres en gélatine et la charte sur l'image. Maintenant, j'ai une balance des blancs pas trop mauvaise, une charte sur l'image et la pipette grise de Photoshop...
C'est bien ce qui me fait reculer l'achat de mon numérique. On ne fait plus de la photo, mais de l'informatique. Les images sont recadrées, éclaircies/foncées,etc, etc, c'est vraiement autre chose. Moi qui ai appris sur l'agfa entierement manuel de mon papa, avec cellule, télémètre,et diapo, je ne me reconnais pas dans cette manière de photographier. Et encore, c'est uniquement pour de l'amateurisme !
Bien sûr que si qu'on fait toujours de la photo. Cet échange de messages tournait autour d'un respect sourcilleux des couleurs ; quand on fait de la reproduction, c'est bien le minimum qu'on se soucie un peu de ça, et c'est bien plus facile maintenant. Pour ceux qui regrettent les initiatives prises par les films couleur dans ce domaine, on a maintenant la possibilité de vraiment décider soi-même de l'interprétation qu'on va donner de l'image. On ne recréera pas pour autant la bonne lumière qu'il aurait fallu attendre, rien ne change là-dessus...
Charles
Jean-Claude Ghislain
Alors pourquoi rajouter l' étape "tripatouillage" ?
Comme exprimé avant, ce n'est pas obligatoire, tu peux laisser travailler les automatismes de l'APN et ceux du labo, le résultat sera standard comme avec de l'argentique tiré dans un labo grand public.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Alors pourquoi rajouter l' étape "tripatouillage" ?
Comme exprimé avant, ce n'est pas obligatoire, tu peux laisser
travailler les automatismes de l'APN et ceux du labo, le résultat sera
standard comme avec de l'argentique tiré dans un labo grand public.
Alors pourquoi rajouter l' étape "tripatouillage" ?
Comme exprimé avant, ce n'est pas obligatoire, tu peux laisser travailler les automatismes de l'APN et ceux du labo, le résultat sera standard comme avec de l'argentique tiré dans un labo grand public.