j'etais hier à un salon arts graphisue au palais des congres a Paris, je
discutais avec une personne de chez Kodak, qui me disait "tant que ca ne
leur coutera pas d'argent de faire des films argentiques , Kodak en fera " a
vous de prendre ca dans le sens où vous l'interpretez
eric
j'etais hier à un salon arts graphisue au palais des congres a Paris, je
discutais avec une personne de chez Kodak, qui me disait "tant que ca ne
leur coutera pas d'argent de faire des films argentiques , Kodak en fera " a
vous de prendre ca dans le sens où vous l'interpretez
eric
j'etais hier à un salon arts graphisue au palais des congres a Paris, je
discutais avec une personne de chez Kodak, qui me disait "tant que ca ne
leur coutera pas d'argent de faire des films argentiques , Kodak en fera " a
vous de prendre ca dans le sens où vous l'interpretez
eric
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas de
reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas de
reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas de
reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
Et un crt art graphiques, yenapu, nada.
Par ici yenaencore, mais ça diminue.
On a une tireuse Fuji en test, l'écran est un Eizo Flexscan et je dois
dire que c'est pas mal :
http://www.zdnet.fr/produits/materiels/moniteurs/0,39049768,39145624,00.htm
Et un crt art graphiques, yenapu, nada.
Par ici yenaencore, mais ça diminue.
On a une tireuse Fuji en test, l'écran est un Eizo Flexscan et je dois
dire que c'est pas mal :
http://www.zdnet.fr/produits/materiels/moniteurs/0,39049768,39145624,00.htm
Et un crt art graphiques, yenapu, nada.
Par ici yenaencore, mais ça diminue.
On a une tireuse Fuji en test, l'écran est un Eizo Flexscan et je dois
dire que c'est pas mal :
http://www.zdnet.fr/produits/materiels/moniteurs/0,39049768,39145624,00.htm
dejà, des clients; il n'y en a qu 'une poignée et ca n'a pas epeché Agfa de
prendre le bouillon
Eric
C'est vrai que les grosses structures ne peuvent plus tenir, surtout
dejà, des clients; il n'y en a qu 'une poignée et ca n'a pas epeché Agfa de
prendre le bouillon
Eric
C'est vrai que les grosses structures ne peuvent plus tenir, surtout
dejà, des clients; il n'y en a qu 'une poignée et ca n'a pas epeché Agfa de
prendre le bouillon
Eric
C'est vrai que les grosses structures ne peuvent plus tenir, surtout
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faud ra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison " ne
durera pas longtemps
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faud ra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison " ne
durera pas longtemps
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faud ra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison " ne
durera pas longtemps
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas
de reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
Merci Eric de nous informer de cette nouveauté, de ce progrès demeuré
jusque là inconnu: il n'y a pas d'écart de réciprocité en N&B
Elève Valentin vous me copierez dix fois votre Glafkidès
MDR
François P.WEILL
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas
de reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
Merci Eric de nous informer de cette nouveauté, de ce progrès demeuré
jusque là inconnu: il n'y a pas d'écart de réciprocité en N&B
Elève Valentin vous me copierez dix fois votre Glafkidès
MDR
François P.WEILL
avec un luxmètre , c'est facile de retrouver les mêmes conditions, pas
de reciprocité en n&b, pas cher un luxmet^
Eric
Merci Eric de nous informer de cette nouveauté, de ce progrès demeuré
jusque là inconnu: il n'y a pas d'écart de réciprocité en N&B
Elève Valentin vous me copierez dix fois votre Glafkidès
MDR
François P.WEILL
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faudra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison "
ne
durera pas longtemps
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faudra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison "
ne
durera pas longtemps
admets quand même que ce n'est pas le cas general, le jour où il faudra
emulsionner ses plan films soi meme, je crois que la production "maison "
ne
durera pas longtemps
Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre noire (ça
n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase). Mais dans
l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la chose
(et, dans une moindre mesure de la disparition de certains matériels de
photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par exemple). Même en
écartant du problème une disparition rapide des fournitures (chères depuis
la pseudo crise de l'argent, fabriquée de toute pièce dans les années 80
de toutes façons), le coeur de la question réside dans une augmentation
exponentielle de leur coût dans un avenir proche... Ainsi notre
questionneur peut-il se retrouver dans les 5 ans à venir avec un matériuel
parfaitement opérationnel mais qu'il n'aura plus les moyens financiers
d'alimenter.
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minilab et
avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de la
prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inférieur à celui
d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de qualité
à un prix décent.
Ce qui est extraordinaire c'est de penser que l'actuel vague de
développement exponentiel de la technologie (et hélas du marketing) va se
poursuivre au même rythme dans les années à venir. Pourquoi le numérique
obéirait-il à des progrès rapides sans fin?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint ou
dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous les
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront s'amuser
avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéologie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérêt.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
En matière de prise de vue par exemple, le choix de capteurs de format
réduits par rapport aux 24x36 est un des points les plus gravement
dommageables pour des amateurs qui ont déjà constitué un équipement
optique complet, dans la mesure où il doit être complété dans le domaine
des grands angulaires ce qui n'est pas sans répercussion sur le coût d'un
éventuel passage au numérique.
Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre noire (ça
n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase). Mais dans
l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la chose
(et, dans une moindre mesure de la disparition de certains matériels de
photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par exemple). Même en
écartant du problème une disparition rapide des fournitures (chères depuis
la pseudo crise de l'argent, fabriquée de toute pièce dans les années 80
de toutes façons), le coeur de la question réside dans une augmentation
exponentielle de leur coût dans un avenir proche... Ainsi notre
questionneur peut-il se retrouver dans les 5 ans à venir avec un matériuel
parfaitement opérationnel mais qu'il n'aura plus les moyens financiers
d'alimenter.
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minilab et
avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de la
prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inférieur à celui
d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de qualité
à un prix décent.
Ce qui est extraordinaire c'est de penser que l'actuel vague de
développement exponentiel de la technologie (et hélas du marketing) va se
poursuivre au même rythme dans les années à venir. Pourquoi le numérique
obéirait-il à des progrès rapides sans fin?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint ou
dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous les
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront s'amuser
avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéologie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérêt.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
En matière de prise de vue par exemple, le choix de capteurs de format
réduits par rapport aux 24x36 est un des points les plus gravement
dommageables pour des amateurs qui ont déjà constitué un équipement
optique complet, dans la mesure où il doit être complété dans le domaine
des grands angulaires ce qui n'est pas sans répercussion sur le coût d'un
éventuel passage au numérique.
Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre noire (ça
n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase). Mais dans
l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la chose
(et, dans une moindre mesure de la disparition de certains matériels de
photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par exemple). Même en
écartant du problème une disparition rapide des fournitures (chères depuis
la pseudo crise de l'argent, fabriquée de toute pièce dans les années 80
de toutes façons), le coeur de la question réside dans une augmentation
exponentielle de leur coût dans un avenir proche... Ainsi notre
questionneur peut-il se retrouver dans les 5 ans à venir avec un matériuel
parfaitement opérationnel mais qu'il n'aura plus les moyens financiers
d'alimenter.
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minilab et
avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de la
prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inférieur à celui
d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de qualité
à un prix décent.
Ce qui est extraordinaire c'est de penser que l'actuel vague de
développement exponentiel de la technologie (et hélas du marketing) va se
poursuivre au même rythme dans les années à venir. Pourquoi le numérique
obéirait-il à des progrès rapides sans fin?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint ou
dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous les
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront s'amuser
avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéologie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérêt.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
En matière de prise de vue par exemple, le choix de capteurs de format
réduits par rapport aux 24x36 est un des points les plus gravement
dommageables pour des amateurs qui ont déjà constitué un équipement
optique complet, dans la mesure où il doit être complété dans le domaine
des grands angulaires ce qui n'est pas sans répercussion sur le coût d'un
éventuel passage au numérique.
s'équiper en occasion est très facile aujourd'hui
mais faire réviser un leica ça coûte cher
faire réparer un agrandisseur c'est pas facile ni donné
s'équiper en occasion est très facile aujourd'hui
mais faire réviser un leica ça coûte cher
faire réparer un agrandisseur c'est pas facile ni donné
s'équiper en occasion est très facile aujourd'hui
mais faire réviser un leica ça coûte cher
faire réparer un agrandisseur c'est pas facile ni donné
à ce moment là il faudrait comparer le prix en occasion du L900 à
celui d'une imprimante professionnelle grand format...
Qu'appelles-tu imrprimante professionnelle grand format?
Le plateau du Laborator ne permettait pas plus de 50x75 (tête non
basculable) et le tirage des bahuts n'est pas habituel pour la plupart
d'entre-nous.
Technologiquement parlant, une 2100 (en son temps) et désormais une 2400
en A3+ sont de technologie pro (similaire aux versions A2 et plus dans
la gamme dans leur technologie).
Il me semble que la norme expo argentique dans la plupart des cas ne
dépasse guère le 30 x 40, et un A3+ c'est déjà 32,9 x 48,3...
Dans mon labo argentique (au j'utilisais alors comme pro (j'étais
Photojournaliste) mes cuvettes se limitaient à la possibilité de
révéler, arrêter et fixer des 30 x 40.
Tout tirage plus important (extrêmement rare) était sous-traité.
Ca n'a pas de sens de prendre un matériel destiné soit à une production
quantitativement plus importante (débit) ou permettant des tirages de
très grand format quand ces derniers ne sont que très occasionnel.
Par contre ça a du sens de disposer d'un matériel qui répond à ses
besoins et en l'occurence utilise un technologie pro dont les résultats
- dans le cadre de l'usage - n'est pas différent de ce qu'on obtiendrait
avec un matériel plus puissant.
à ce moment là il faudrait comparer le prix en occasion du L900 à
celui d'une imprimante professionnelle grand format...
Qu'appelles-tu imrprimante professionnelle grand format?
Le plateau du Laborator ne permettait pas plus de 50x75 (tête non
basculable) et le tirage des bahuts n'est pas habituel pour la plupart
d'entre-nous.
Technologiquement parlant, une 2100 (en son temps) et désormais une 2400
en A3+ sont de technologie pro (similaire aux versions A2 et plus dans
la gamme dans leur technologie).
Il me semble que la norme expo argentique dans la plupart des cas ne
dépasse guère le 30 x 40, et un A3+ c'est déjà 32,9 x 48,3...
Dans mon labo argentique (au j'utilisais alors comme pro (j'étais
Photojournaliste) mes cuvettes se limitaient à la possibilité de
révéler, arrêter et fixer des 30 x 40.
Tout tirage plus important (extrêmement rare) était sous-traité.
Ca n'a pas de sens de prendre un matériel destiné soit à une production
quantitativement plus importante (débit) ou permettant des tirages de
très grand format quand ces derniers ne sont que très occasionnel.
Par contre ça a du sens de disposer d'un matériel qui répond à ses
besoins et en l'occurence utilise un technologie pro dont les résultats
- dans le cadre de l'usage - n'est pas différent de ce qu'on obtiendrait
avec un matériel plus puissant.
à ce moment là il faudrait comparer le prix en occasion du L900 à
celui d'une imprimante professionnelle grand format...
Qu'appelles-tu imrprimante professionnelle grand format?
Le plateau du Laborator ne permettait pas plus de 50x75 (tête non
basculable) et le tirage des bahuts n'est pas habituel pour la plupart
d'entre-nous.
Technologiquement parlant, une 2100 (en son temps) et désormais une 2400
en A3+ sont de technologie pro (similaire aux versions A2 et plus dans
la gamme dans leur technologie).
Il me semble que la norme expo argentique dans la plupart des cas ne
dépasse guère le 30 x 40, et un A3+ c'est déjà 32,9 x 48,3...
Dans mon labo argentique (au j'utilisais alors comme pro (j'étais
Photojournaliste) mes cuvettes se limitaient à la possibilité de
révéler, arrêter et fixer des 30 x 40.
Tout tirage plus important (extrêmement rare) était sous-traité.
Ca n'a pas de sens de prendre un matériel destiné soit à une production
quantitativement plus importante (débit) ou permettant des tirages de
très grand format quand ces derniers ne sont que très occasionnel.
Par contre ça a du sens de disposer d'un matériel qui répond à ses
besoins et en l'occurence utilise un technologie pro dont les résultats
- dans le cadre de l'usage - n'est pas différent de ce qu'on obtiendrait
avec un matériel plus puissant.