Moi si (en fait, plusieurs Mo/s), mais c'était il y a longtemps, sur un site très proche et peu connu (à l'époque). Et en plus, ce n'était peut-être même pas le jour de la sortie. Sinon, je confirme : pour télécharger une distrib le jour de sa sortie, entre ftp et bittorrent, il n'y a pas photo (surtout avec une connexion à très haut débit).
Bof, avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile (une grosse partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui se retrouvent dans le buffer-cache). Le probleme peut se poser plutot du coté des liens réseaux (interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à passer (et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à "gacher" les ressources réseau). D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP et que la mise en place de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre l'utilisation de serveurs d'appoints.
Moi si (en fait, plusieurs Mo/s), mais c'était il y a longtemps, sur un
site très proche et peu connu (à l'époque). Et en plus, ce n'était
peut-être même pas le jour de la sortie. Sinon, je confirme : pour
télécharger une distrib le jour de sa sortie, entre ftp et bittorrent,
il n'y a pas photo (surtout avec une connexion à très haut débit).
Bof, avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement
(genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile (une grosse
partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui se retrouvent
dans le buffer-cache). Le probleme peut se poser plutot du coté des liens
réseaux (interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à
passer (et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier
l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus
disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à
"gacher" les ressources réseau). D'autre part, je n'ai pas l'impression
qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP et que la mise en place
de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre l'utilisation de
serveurs d'appoints.
Moi si (en fait, plusieurs Mo/s), mais c'était il y a longtemps, sur un site très proche et peu connu (à l'époque). Et en plus, ce n'était peut-être même pas le jour de la sortie. Sinon, je confirme : pour télécharger une distrib le jour de sa sortie, entre ftp et bittorrent, il n'y a pas photo (surtout avec une connexion à très haut débit).
Bof, avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile (une grosse partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui se retrouvent dans le buffer-cache). Le probleme peut se poser plutot du coté des liens réseaux (interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à passer (et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à "gacher" les ressources réseau). D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP et que la mise en place de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre l'utilisation de serveurs d'appoints.
François
Manuel Leclerc
Eh bien je suis dispo la plupart des soirs de mai sauf le 7 en ce qui me concerne.
Pas le 3 pour moi. Reste 4, 5, 6 pour la première semaine. Sam ? Les zautres ?
Le 4, je retourne à Clermont. Je préferais le Jeudi 6.
Bon, qui qui vient ?
-- Apparently some people don't want those Red Hat guys to become billionaires. Shocking. --forbes.com
Eh bien je suis dispo la plupart des soirs de mai sauf
le 7 en ce qui me concerne.
Pas le 3 pour moi. Reste 4, 5, 6 pour la première semaine.
Sam ? Les zautres ?
Le 4, je retourne à Clermont. Je préferais le Jeudi 6.
Bon, qui qui vient ?
--
Apparently some people don't want those Red Hat guys
to become billionaires. Shocking.
--forbes.com
Eh bien je suis dispo la plupart des soirs de mai sauf le 7 en ce qui me concerne.
Pas le 3 pour moi. Reste 4, 5, 6 pour la première semaine. Sam ? Les zautres ?
Le 4, je retourne à Clermont. Je préferais le Jeudi 6.
Bon, qui qui vient ?
-- Apparently some people don't want those Red Hat guys to become billionaires. Shocking. --forbes.com
Jérémy JUST
On Wed, 28 Apr 2004 12:40:40 +0200 Francois Petillon wrote:
avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile
Tu as l'air richissime. Tu devrais proposer tes services (gratuits) à Sourceforge, Mandrakesoft, etc.
(une grosse partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui se retrouvent dans le buffer-cache)
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir. Et effectivement, trois ou quatre CD, ça tient facilement dans la RAM d'un serveur correctement dimensionné.
Le probleme peut se poser plutot du coté des liens réseaux (interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à passer
Voilà. Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
(et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à "gacher" les ressources réseau)
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
la mise en place de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre l'utilisation de serveurs d'appoints.
Le concept de « serveur d'appoint » ne peut pas exister en FTP, puisqu'il faut diffuser à l'avance les adresses. De plus, on attend généralement qu'une adresse reste valide quelques années.
Ces problèmes sont résolus par le P2P, puisque les adresses sont demandées dynamiquement, de façon transparente pour l'utilisateur.
avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement
(genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile
Tu as l'air richissime.
Tu devrais proposer tes services (gratuits) à Sourceforge, Mandrakesoft,
etc.
(une grosse partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui
se retrouvent dans le buffer-cache)
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable,
puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de
disques peut fournir.
Et effectivement, trois ou quatre CD, ça tient facilement dans la RAM
d'un serveur correctement dimensionné.
Le probleme peut se poser plutot du coté des liens réseaux
(interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à passer
Voilà.
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour
répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
(et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier
l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus
disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à
"gacher" les ressources réseau)
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis
est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode
« parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre
de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles.
Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en
vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande
passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs
existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et
quelques rares entreprises généreuses.
la mise en place de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre
l'utilisation de serveurs d'appoints.
Le concept de « serveur d'appoint » ne peut pas exister en FTP,
puisqu'il faut diffuser à l'avance les adresses. De plus, on attend
généralement qu'une adresse reste valide quelques années.
Ces problèmes sont résolus par le P2P, puisque les adresses sont
demandées dynamiquement, de façon transparente pour l'utilisateur.
On Wed, 28 Apr 2004 12:40:40 +0200 Francois Petillon wrote:
avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile
Tu as l'air richissime. Tu devrais proposer tes services (gratuits) à Sourceforge, Mandrakesoft, etc.
(une grosse partie des utilisateurs downloadent les mêmes fichiers qui se retrouvent dans le buffer-cache)
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir. Et effectivement, trois ou quatre CD, ça tient facilement dans la RAM d'un serveur correctement dimensionné.
Le probleme peut se poser plutot du coté des liens réseaux (interne/peering/transit) où le traffic peut avoir du mal à passer
Voilà. Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
(et là, les softs de P2P ne sont pas capables de privilegier l'utilisation du réseau "local" où la BP est généralement plus disponible que sur le peering ou le transit et ont donc tendance à "gacher" les ressources réseau)
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
la mise en place de miroir n'est pas suffisament souple pour permettre l'utilisation de serveurs d'appoints.
Le concept de « serveur d'appoint » ne peut pas exister en FTP, puisqu'il faut diffuser à l'avance les adresses. De plus, on attend généralement qu'une adresse reste valide quelques années.
Ces problèmes sont résolus par le P2P, puisque les adresses sont demandées dynamiquement, de façon transparente pour l'utilisateur.
-- Jérémy JUST
nicolas vigier
In article , Jérémy JUST wrote:
On Wed, 28 Apr 2004 12:40:40 +0200 Francois Petillon wrote:
avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile
Tu as l'air richissime. Tu devrais proposer tes services (gratuits) à Sourceforge, Mandrakesoft, etc.
Il me semble que Francois Petillon s'occupe du serveur ftp de proxad/free, donc pour MandrakeSoft c'est déja fait.
In article <20040501140830.7043e643@norbert.inapg.inra.fr>, Jérémy JUST wrote:
On Wed, 28 Apr 2004 12:40:40 +0200 Francois Petillon wrote:
avoir un serveur ftp qui soit capable de patater sur un evenement (genre sortie mandrake ou redhat) n'est pas très difficile
Tu as l'air richissime. Tu devrais proposer tes services (gratuits) à Sourceforge, Mandrakesoft, etc.
Il me semble que Francois Petillon s'occupe du serveur ftp de proxad/free, donc pour MandrakeSoft c'est déja fait.
Francois Petillon
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 250 Go. Et je ne pense pas que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps (estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher" certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
François
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est
négligeable,
puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de
disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne
ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 250 Go. Et je ne pense pas
que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps
(estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et
que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s
pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher"
certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un
quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le
gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait
la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau
local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand
nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose
d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en
vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande
passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les
miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des
universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme
il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 250 Go. Et je ne pense pas que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps (estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher" certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
François
Francois Petillon
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 200 Go. Et je ne pense pas que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps (estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher" certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
François
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est
négligeable,
puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de
disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne
ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 200 Go. Et je ne pense pas
que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps
(estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et
que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s
pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher"
certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un
quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le
gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait
la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau
local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand
nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose
d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en
vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande
passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les
miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des
universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme
il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
On Sat, 01 May 2004 14:08:30 +0200, Jérémy JUST wrote:
Ah! Tu parles des accès aux disques?... Pour ça, oui, c'est négligeable, puisque même un réseau à 1 Gb/s reste plus lent que ce qu'une baie de disques peut fournir.
Cela dépend pas mal du nombre de disques dans ta baie. En ce qui concerne ftp.free.fr, il y a 16 disques durs IDE de 200 Go. Et je ne pense pas que le systeme disque soit capable de sortir beaucoup plus de 500 Mbps (estimation batarde vu que le probleme ne s'est pas encore présenté et que cette limite dépend surtout de la taille des blocs lus).
Ça servirait à quoi que MandrakeSoft loue des lignes à 128 Gb/s pour répondre à une demande qui n'arrive que quatre jours par an?
D'où l'interet des serveurs miroirs qui permetent de "rapprocher" certains contenus des utilisateurs... Là, sur ftp.free.fr, il n'y a qu'un quart des utilisateurs qui soient vus au travers de liens de transit.
Oui, mais du fait de la répartition géographique des clients, le gâchis est mieux réparti sur l'ensemble du maillage que ne le serait la méthode « parcimonieuse » depuis quelques sites centraux.
Déjà répondu. Je serais curieux de connaitre la répartition réseau local/peering/transit du traffic P2P.
D'autre part, je n'ai pas l'impression qu'il existe un très grand nombre de miroirs FTP
Il n'y a pas beaucoup de candidats éligibles. Être miroir suppose d'avoir une infrastructure que peu de gens ont (en vrac: serveurs fiables, alimentation secourue, espace disque, bande passante et ingénieurs système 24/24). Si tu regardes qui sont les miroirs existants, tu trouveras essentiellement: des FAI, des universités et quelques rares entreprises généreuses.
Bof, il ne faut guère que l'espace disque et la bande passante : comme il ne s'agit que de répplication, un serveur HS n'est pas gravissime.
