Si je connais le bracketing au diaph voire à la vitesse, les
appareils numérique savent-ils le faire à l'ISO ? Je dis ça parce que le
diaph joue sur la profondeur de champ, la vitesse sur le mouvement, mais
l'ISO sur peu de chose eu égard aux performances des boîtiers actuels.
Donc, est-il possible de faire un automatiquement une image à
5,6, 1/250 et 100, 200, 400 puis 800 ISO en appuayant uniquement sur le
bouton clic-clac ? ;)
--
Benoît http://picasaweb.google.com/leraillez/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs,
là, par contre, c'est difficile de continuer.
Ne manque plus que ta définition de la «dynamique» (ne me dis pas que c'est le chiffre que tu lis dans les pages de DXO, car je te demanderais ce que ça veut dire ; je trouve plaisant que DXO accorde la même dynamique au petit capteur du G11 et au fulle frame de l'EOS-5D)
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
Charles VASSALLO avait énoncé :
Ne manque plus que ta définition de la «dynamique» (ne me dis pas que c'est
le chiffre que tu lis dans les pages de DXO, car je te demanderais ce que ça
veut dire ; je trouve plaisant que DXO accorde la même dynamique au petit
capteur du G11 et au fulle frame de l'EOS-5D)
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique
?
Un élément de réponse ici :
http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé :
c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1
et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du
raw
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas
le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le
niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
Ne manque plus que ta définition de la «dynamique» (ne me dis pas que c'est le chiffre que tu lis dans les pages de DXO, car je te demanderais ce que ça veut dire ; je trouve plaisant que DXO accorde la même dynamique au petit capteur du G11 et au fulle frame de l'EOS-5D)
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
Ofnuts
On 09/01/2010 16:21, Jean_ wrote:
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils. Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3 canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
-- Bertrand
On 09/01/2010 16:21, Jean_ wrote:
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de
dynamique ?
Un élément de réponse ici :
http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé :
c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1
et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils.
Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3
canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le
rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le
niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils. Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3 canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
En audiométrie, on fait inrtervenir le bruit de fond en définissant le niveau le plus faible comme étant le niveau du bruit.
-- Bertrand
Charles VASSALLO
Ofnuts wrote:
On 09/01/2010 16:21, Jean_ wrote:
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils. Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3 canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit tout court du capteur.
La capteur (et l'électronique qui suit) est un organe analogique dont la sortie est une fonction **continue** de la lumière détectée. Il ajoute de lui-même du bruit au signal qu'il devrait détecter, et la dynamique de ce capteur est définie comme la plage d'intensité lumineuse dans laquelle (i) le capteur ne sature pas, et (ii) le rapport S/B est supérieur à un sertain seuil (1 pour DXO ou bien 2, 4, ou 8 pour imatest).
Ensuite, le signal est échantillonné sur 12 ou 14 bits selon les APN. Cela introduit une erreur de discrétisation correspondant au bit de poids faible (ou à la moitié) et, en principe, qui est plus petite que le bruit intrinsèque du capteur afin de ne pas dégrader les choses. Cette erreur de discrétisation n'a rien à voir avec le bruit entachant le signal lumineux ; en principe, elle est tout à fait négligeable dans le fonctionnement du système.
Le passage en JPEG implique une transformation non linéaire du signal (le gamma de l'image) et une deuxième quantification sur 8 bits, avec une nouvelle erreur de discrétisation, qui, à nouveau, n'a rien à voir avec le bruit de l'image. En plus, à cause du gamma, les 8 bits du JPEG n'ont rien à voir avec une dynamique de 8EV. L'article de wiki est assez minable sur ce point (est-ce une surprise ?)
Pour comprendre la différence, imaginons un gradient d'intensité lumineuse, très doux, à partir du noir et appliquons une remontée très forte des tons sombres : le bruit se traduira par des variations aléatoires des pixels alors que l'erreur de discrétisation fera apparaître des discontinuités dans le gradient (bandes, postérisation)
charles
Ofnuts wrote:
On 09/01/2010 16:21, Jean_ wrote:
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de
dynamique ?
Un élément de réponse ici :
http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé :
c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1
et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils.
Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3
canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit
tout court du capteur.
La capteur (et l'électronique qui suit) est un organe analogique dont la
sortie est une fonction **continue** de la lumière détectée. Il ajoute
de lui-même du bruit au signal qu'il devrait détecter, et la dynamique
de ce capteur est définie comme la plage d'intensité lumineuse dans
laquelle (i) le capteur ne sature pas, et (ii) le rapport S/B est
supérieur à un sertain seuil (1 pour DXO ou bien 2, 4, ou 8 pour imatest).
Ensuite, le signal est échantillonné sur 12 ou 14 bits selon les APN.
Cela introduit une erreur de discrétisation correspondant au bit de
poids faible (ou à la moitié) et, en principe, qui est plus petite que
le bruit intrinsèque du capteur afin de ne pas dégrader les choses.
Cette erreur de discrétisation n'a rien à voir avec le bruit entachant
le signal lumineux ; en principe, elle est tout à fait négligeable dans
le fonctionnement du système.
Le passage en JPEG implique une transformation non linéaire du signal
(le gamma de l'image) et une deuxième quantification sur 8 bits,
avec une nouvelle erreur de discrétisation, qui, à nouveau, n'a rien à
voir avec le bruit de l'image. En plus, à cause du gamma, les 8 bits du
JPEG n'ont rien à voir avec une dynamique de 8EV. L'article de wiki est
assez minable sur ce point (est-ce une surprise ?)
Pour comprendre la différence, imaginons un gradient d'intensité
lumineuse, très doux, à partir du noir et appliquons une remontée très
forte des tons sombres : le bruit se traduira par des variations
aléatoires des pixels alors que l'erreur de discrétisation fera
apparaître des discontinuités dans le gradient (bandes, postérisation)
Et pourquoi diable le JPEG aurait un «maximum théorique» de 8 EV de dynamique ?
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
En théorie, le raw permettrait jusqu'à 14 bits, selon les appareils. Mais d'après les mesures DXO, c'est plutôt 11 dans la pratique.
Par contre, à la réflexion, on peut se demander si la dynamique de 3 canaux de 8 bits chacun ne pourrait pas être supérieure à 8 bits.
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit tout court du capteur.
La capteur (et l'électronique qui suit) est un organe analogique dont la sortie est une fonction **continue** de la lumière détectée. Il ajoute de lui-même du bruit au signal qu'il devrait détecter, et la dynamique de ce capteur est définie comme la plage d'intensité lumineuse dans laquelle (i) le capteur ne sature pas, et (ii) le rapport S/B est supérieur à un sertain seuil (1 pour DXO ou bien 2, 4, ou 8 pour imatest).
Ensuite, le signal est échantillonné sur 12 ou 14 bits selon les APN. Cela introduit une erreur de discrétisation correspondant au bit de poids faible (ou à la moitié) et, en principe, qui est plus petite que le bruit intrinsèque du capteur afin de ne pas dégrader les choses. Cette erreur de discrétisation n'a rien à voir avec le bruit entachant le signal lumineux ; en principe, elle est tout à fait négligeable dans le fonctionnement du système.
Le passage en JPEG implique une transformation non linéaire du signal (le gamma de l'image) et une deuxième quantification sur 8 bits, avec une nouvelle erreur de discrétisation, qui, à nouveau, n'a rien à voir avec le bruit de l'image. En plus, à cause du gamma, les 8 bits du JPEG n'ont rien à voir avec une dynamique de 8EV. L'article de wiki est assez minable sur ce point (est-ce une surprise ?)
Pour comprendre la différence, imaginons un gradient d'intensité lumineuse, très doux, à partir du noir et appliquons une remontée très forte des tons sombres : le bruit se traduira par des variations aléatoires des pixels alors que l'erreur de discrétisation fera apparaître des discontinuités dans le gradient (bandes, postérisation)
charles
Jean_
Charles VASSALLO a émis l'idée suivante :
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit tout court du capteur.
Au départ, il s'agissait de définir la dynamique d'une image. L'image passe bien par un capteur qui a ses caractéristiques, mais au final, elle aboutit dans un fichier numérique JPG eu RAW qui est visualisé à travers une carte graphique+moniteur ou imprimée sur un support.
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
Charles VASSALLO a émis l'idée suivante :
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit tout
court du capteur.
Au départ, il s'agissait de définir la dynamique d'une image. L'image
passe bien par un capteur qui a ses caractéristiques, mais au final,
elle aboutit dans un fichier numérique JPG eu RAW qui est visualisé à
travers une carte graphique+moniteur ou imprimée sur un support.
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de
l'image restituée ?
Vous confondez (toi et Jean_) l'erreur de discrétisation et le bruit tout court du capteur.
Au départ, il s'agissait de définir la dynamique d'une image. L'image passe bien par un capteur qui a ses caractéristiques, mais au final, elle aboutit dans un fichier numérique JPG eu RAW qui est visualisé à travers une carte graphique+moniteur ou imprimée sur un support.
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
Bour-Brown
Jean_ a écrit ( news:4b49c889$0$30363$ )
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Par exemple pour moi ça va être, à la prise de vue, l'écart en IL entre l'écrêtage des lumières et la perte de détails dans les ombres - sachant qu'on peut bien sûr discuter des heures sur cet écrêtage et ces détails.
En plus on peut facilement augmenter la dynamique en IL par superposition de différentes expositions, et restituer le tout sous forme d'image ayant elle-même une faible plage dynamique, genre impression jet d'encre en mode brouillon sur papier recyclé vu à la lumière d'une bougie.
Ce qui fait qu'avant qu'on se mette d'accord...
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)
Jean_ a écrit
( news:4b49c889$0$30363$426a34cc@news.free.fr )
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image
restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Par exemple pour moi ça va être, à la prise de vue, l'écart en IL entre
l'écrêtage des lumières et la perte de détails dans les ombres - sachant
qu'on peut bien sûr discuter des heures sur cet écrêtage et ces détails.
En plus on peut facilement augmenter la dynamique en IL par superposition de
différentes expositions, et restituer le tout sous forme d'image ayant
elle-même une faible plage dynamique, genre impression jet d'encre en mode
brouillon sur papier recyclé vu à la lumière d'une bougie.
Ce qui fait qu'avant qu'on se mette d'accord...
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Par exemple pour moi ça va être, à la prise de vue, l'écart en IL entre l'écrêtage des lumières et la perte de détails dans les ombres - sachant qu'on peut bien sûr discuter des heures sur cet écrêtage et ces détails.
En plus on peut facilement augmenter la dynamique en IL par superposition de différentes expositions, et restituer le tout sous forme d'image ayant elle-même une faible plage dynamique, genre impression jet d'encre en mode brouillon sur papier recyclé vu à la lumière d'une bougie.
Ce qui fait qu'avant qu'on se mette d'accord...
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)
benoit.sansspam
Jean_ <jeanfra2+ wrote:
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
Tout ce que je sais, c'est que même avec de la RAW en 2^16, si je fais une photo de plage en plein soleil avec du 1600 ISO à 2,8 au 1/2s, je ne vais pas avoir grand chose de récupérable. Je maintiens donc que de bracketer avec de l'iso, de la vitesse ou du diaph permet de récupérer de façon « propre » des détails dans les hautes et les basses lumière.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
Mes cours de maths sont trop anciens mais ce que je sais, c'est que si j'ai quelques bits pour les zones sombres et si je divise la vitesse par quatre je vais avoir beaucoup, beaucoup plus de bits disponibles pour cette même zone, et ce sont les zones claires qui vont voir leur nombre de bits s'effondrer.
-- Benoît http://picasaweb.google.com/leraillez/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs, là, par contre, c'est difficile de continuer.
Jean_ <jeanfra2+news@free.fr> wrote:
Un élément de réponse ici :
http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé :
c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1
et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du
raw
Tout ce que je sais, c'est que même avec de la RAW en 2^16, si
je fais une photo de plage en plein soleil avec du 1600 ISO à 2,8 au
1/2s, je ne vais pas avoir grand chose de récupérable. Je maintiens donc
que de bracketer avec de l'iso, de la vitesse ou du diaph permet de
récupérer de façon « propre » des détails dans les hautes et les basses
lumière.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas
le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
Mes cours de maths sont trop anciens mais ce que je sais, c'est
que si j'ai quelques bits pour les zones sombres et si je divise la
vitesse par quatre je vais avoir beaucoup, beaucoup plus de bits
disponibles pour cette même zone, et ce sont les zones claires qui vont
voir leur nombre de bits s'effondrer.
--
Benoît http://picasaweb.google.com/leraillez/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs,
là, par contre, c'est difficile de continuer.
Un élément de réponse ici : http://www.autopano.net/wiki-fr/Dynamique_d%27une_image
En résumé : c'est le rapport entre la valeur la plus faible 2^^0 = 1 et la valeur la plus élevée 2^^8%6 pour un jpg, 2^^1024 pour du raw
Tout ce que je sais, c'est que même avec de la RAW en 2^16, si je fais une photo de plage en plein soleil avec du 1600 ISO à 2,8 au 1/2s, je ne vais pas avoir grand chose de récupérable. Je maintiens donc que de bracketer avec de l'iso, de la vitesse ou du diaph permet de récupérer de façon « propre » des détails dans les hautes et les basses lumière.
Après, on l'exprime en log, en IL, en ce qu'on veut, ça ne change pas le rapport qui est une caractéristique intrinsèque du support.
Mes cours de maths sont trop anciens mais ce que je sais, c'est que si j'ai quelques bits pour les zones sombres et si je divise la vitesse par quatre je vais avoir beaucoup, beaucoup plus de bits disponibles pour cette même zone, et ce sont les zones claires qui vont voir leur nombre de bits s'effondrer.
-- Benoît http://picasaweb.google.com/leraillez/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs, là, par contre, c'est difficile de continuer.
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Jean_ a écrit ( news:4b49c889$0$30363$ )
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Mais si, on peut, mais ça n'a aucun intérêt. Dans une image 8bit, on peut aller de 255 à zéro (eh oui, il peut y avoir des pixels à zéro); le rapport est infini. En fait, on regarde à travers un moniteur et le pixel à zéro est traduit par le noir du moniteur : c'est la dynamique du moniteur qu'on va voir.
Maintenant, que ce soit un vrai fourre-tout dans ce qu'on lit à droite et à gauche, c'est vrai. Mais ce n'est pas pour autant qu'on ne peut rien dire de sensé sur ce sujet.
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)
Ts ts ts !
Charles
Bour-Brown wrote:
Jean_ a écrit
( news:4b49c889$0$30363$426a34cc@news.free.fr )
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image
restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Mais si, on peut, mais ça n'a aucun intérêt. Dans une image 8bit, on
peut aller de 255 à zéro (eh oui, il peut y avoir des pixels à zéro); le
rapport est infini. En fait, on regarde à travers un moniteur et le
pixel à zéro est traduit par le noir du moniteur : c'est la dynamique du
moniteur qu'on va voir.
Maintenant, que ce soit un vrai fourre-tout dans ce qu'on lit à droite
et à gauche, c'est vrai. Mais ce n'est pas pour autant qu'on ne peut
rien dire de sensé sur ce sujet.
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)
La question reste donc entière : comment définir la dynamique de l'image restituée ?
On ne peut pas, la dynamique c'est un vrai fourre-tout.
Mais si, on peut, mais ça n'a aucun intérêt. Dans une image 8bit, on peut aller de 255 à zéro (eh oui, il peut y avoir des pixels à zéro); le rapport est infini. En fait, on regarde à travers un moniteur et le pixel à zéro est traduit par le noir du moniteur : c'est la dynamique du moniteur qu'on va voir.
Maintenant, que ce soit un vrai fourre-tout dans ce qu'on lit à droite et à gauche, c'est vrai. Mais ce n'est pas pour autant qu'on ne peut rien dire de sensé sur ce sujet.
(quant au bruit, personne ne sait exactement ce que c'est)