Connaissez-vous quelqu'un qui aurait commencé la traduction de ce livre ?
Non.
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduc tion française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction, pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien entendu.
-- Loïc
Bonjour,
Connaissez-vous quelqu'un qui aurait commencé la traduction de ce livre ?
Non.
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduc tion française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et
c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction,
pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien
entendu.
Connaissez-vous quelqu'un qui aurait commencé la traduction de ce livre ?
Non.
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduc tion française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction, pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien entendu.
-- Loïc
Stephane Wirtel
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduction française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction, pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien entendu.
Je pense qu'il faille d'abord demander la permission aux auteurs et ensuite à la maison d'édition de l'ouvrage original.
Stéphane
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduction française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et
c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction,
pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien
entendu.
Je pense qu'il faille d'abord demander la permission aux auteurs
et ensuite à la maison d'édition de l'ouvrage original.
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduction française de cet ouvrage ?
Intéressé pour la lire, bof, j'ai déjà la version anglaise, et c'est un de mes livre préférés. Intéressé pour la traduction, pourquoi pas, à condition qu'elle se fasse dans un cadre légal, bien entendu.
Je pense qu'il faille d'abord demander la permission aux auteurs et ensuite à la maison d'édition de l'ouvrage original.
Stéphane
Gabriel Dos Reis
Stephane Wirtel writes:
| Bonjour, | | Connaissez-vous quelqu'un qui aurait commencé la traduction de ce livre ?
Oui.
| Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une | traduction française de cet ouvrage ?
| Bonjour, | | Connaissez-vous quelqu'un qui aurait commencé la traduction de ce livre ?
Oui.
| Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une | traduction française de cet ouvrage ?
Es-ce que cela en vaut le coût ?
-- Gaby
kanze
Gabriel Dos Reis wrote:
Stephane Wirtel writes:
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduction française de cet ouvrage ?
Es-ce que cela en vaut le coût ?
Ça dépend de la qualité de la traduction, non ? Et son coût, évidemment.
On est bien d'accord, je crois, que sans pouvoir lire l'anglais couramment, on n'arrivera jamais à suivre l'évolution de la technologie en notre domaine. Mais je conçois que pour beaucoup de monde ici, même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
-- James Kanze GABI Software Conseils en informatique orientée objet/ Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung 9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par
une traduction française de cet ouvrage ?
Es-ce que cela en vaut le coût ?
Ça dépend de la qualité de la traduction, non ? Et son coût,
évidemment.
On est bien d'accord, je crois, que sans pouvoir lire l'anglais
couramment, on n'arrivera jamais à suivre l'évolution de la
technologie en notre domaine. Mais je conçois que pour beaucoup
de monde ici, même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un
peu moins de facilité que de lire le français.
--
James Kanze GABI Software
Conseils en informatique orientée objet/
Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung
9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
Et est-ce que certaines personnes seraient intéressées par une traduction française de cet ouvrage ?
Es-ce que cela en vaut le coût ?
Ça dépend de la qualité de la traduction, non ? Et son coût, évidemment.
On est bien d'accord, je crois, que sans pouvoir lire l'anglais couramment, on n'arrivera jamais à suivre l'évolution de la technologie en notre domaine. Mais je conçois que pour beaucoup de monde ici, même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
-- James Kanze GABI Software Conseils en informatique orientée objet/ Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung 9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
Fabien LE LEZ
On 17 Jan 2006 09:04:37 -0800, "kanze" :
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes techniques sont généralements les mêmes dans tous les ouvrages, tandis qu'en français, les traductions varient suivant les traducteurs.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une traduction d'un livre anglais.
On 17 Jan 2006 09:04:37 -0800, "kanze" <kanze@gabi-soft.fr>:
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un
peu moins de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes techniques
sont généralements les mêmes dans tous les ouvrages, tandis qu'en
français, les traductions varient suivant les traducteurs.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une
traduction d'un livre anglais.
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes techniques sont généralements les mêmes dans tous les ouvrages, tandis qu'en français, les traductions varient suivant les traducteurs.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une traduction d'un livre anglais.
kanze
Fabien LE LEZ wrote:
On 17 Jan 2006 09:04:37 -0800, "kanze" :
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes techniques sont généralements les mêmes dans tous les ouvrages, tandis qu'en français, les traductions varient suivant les traducteurs.
C'est un problème de la qualité de la traduction. Mais ce n'est pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture dans une langue qui n'est pas la tienne.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une traduction d'un livre anglais.
Moi non plus, mais mon cas est peut-être un peu spécial. Dans l'ensemble, une fois que tu as atteint un niveau qui permet de lire l'anglais sans se fatiguer, c'est sûr qu'il vaut mieux l'original, ne serait-ce qu'à cause de la probabilité que la traduction est mauvaise. Et si on veut devenir « expert » en C++, il faut y arriver.
En ce qui concerne la livre en question, j'estime qu'il faut l'avoir lu avant d'écrire la moindre fonction ou classe templatée. Donc, bien avant d'être devenu « expert ». Éventuellement même avant de se sentir parfaitement à l'aise en anglais.
-- James Kanze GABI Software Conseils en informatique orientée objet/ Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung 9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
Fabien LE LEZ wrote:
On 17 Jan 2006 09:04:37 -0800, "kanze" <kanze@gabi-soft.fr>:
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins
de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes
techniques sont généralements les mêmes dans tous les
ouvrages, tandis qu'en français, les traductions varient
suivant les traducteurs.
C'est un problème de la qualité de la traduction. Mais ce n'est
pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture
dans une langue qui n'est pas la tienne.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une
traduction d'un livre anglais.
Moi non plus, mais mon cas est peut-être un peu spécial. Dans
l'ensemble, une fois que tu as atteint un niveau qui permet de
lire l'anglais sans se fatiguer, c'est sûr qu'il vaut mieux
l'original, ne serait-ce qu'à cause de la probabilité que la
traduction est mauvaise. Et si on veut devenir « expert » en
C++, il faut y arriver.
En ce qui concerne la livre en question, j'estime qu'il faut
l'avoir lu avant d'écrire la moindre fonction ou classe
templatée. Donc, bien avant d'être devenu « expert ».
Éventuellement même avant de se sentir parfaitement à l'aise en
anglais.
--
James Kanze GABI Software
Conseils en informatique orientée objet/
Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung
9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
même s'il lise l'anglais couramment, c'est avec un peu moins de facilité que de lire le français.
Je n'en suis franchement pas sûr. En anglais, les termes techniques sont généralements les mêmes dans tous les ouvrages, tandis qu'en français, les traductions varient suivant les traducteurs.
C'est un problème de la qualité de la traduction. Mais ce n'est pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture dans une langue qui n'est pas la tienne.
En tout cas, il ne me viendrait jamais à l'idée d'acheter une traduction d'un livre anglais.
Moi non plus, mais mon cas est peut-être un peu spécial. Dans l'ensemble, une fois que tu as atteint un niveau qui permet de lire l'anglais sans se fatiguer, c'est sûr qu'il vaut mieux l'original, ne serait-ce qu'à cause de la probabilité que la traduction est mauvaise. Et si on veut devenir « expert » en C++, il faut y arriver.
En ce qui concerne la livre en question, j'estime qu'il faut l'avoir lu avant d'écrire la moindre fonction ou classe templatée. Donc, bien avant d'être devenu « expert ». Éventuellement même avant de se sentir parfaitement à l'aise en anglais.
-- James Kanze GABI Software Conseils en informatique orientée objet/ Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung 9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34
Fabien LE LEZ
On 17 Jan 2006 23:41:42 -0800, "kanze" :
C'est un problème de la qualité de la traduction
Jette un oeil sur le thread "Traduction des termes C++ anglais".
Même si des gens compétents y passent du temps, il y a toujours des mots anglais qui ont plusieurs traductions, toutes aussi valables, en français.
Mais ce n'est pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture dans une langue qui n'est pas la tienne.
Non, mais dans une langue qui _est_ la mienne, si.
On 17 Jan 2006 23:41:42 -0800, "kanze" <kanze@gabi-soft.fr>:
C'est un problème de la qualité de la traduction
Jette un oeil sur le thread "Traduction des termes C++ anglais".
Même si des gens compétents y passent du temps, il y a toujours des
mots anglais qui ont plusieurs traductions, toutes aussi valables, en
français.
Mais ce n'est
pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture
dans une langue qui n'est pas la tienne.
Non, mais dans une langue qui _est_ la mienne, si.
| En ce qui concerne la livre en question, j'estime qu'il faut | l'avoir lu avant d'écrire la moindre fonction ou classe | templatée.
Nous sommes en complet désaccord. Mais je ne suis pas surpris ; je ne sais pas pourquoi.
-- Gaby
Gabriel Dos Reis
Fabien LE LEZ writes:
| > Mais ce n'est | >pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture | >dans une langue qui n'est pas la tienne. | | Non, mais dans une langue qui _est_ la mienne, si.
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que l'anglais. Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands, Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre (je signale que l'anglais est sa langue maternelle au sens propre comme figuré.)
-- Gaby
Fabien LE LEZ <gramster@gramster.com> writes:
| > Mais ce n'est
| >pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture
| >dans une langue qui n'est pas la tienne.
|
| Non, mais dans une langue qui _est_ la mienne, si.
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle
j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays
de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a
lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que
l'anglais. Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais
européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands,
Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre (je signale
que l'anglais est sa langue maternelle au sens propre comme figuré.)
| > Mais ce n'est | >pas en général les termes techniques qui ralentissent la lecture | >dans une langue qui n'est pas la tienne. | | Non, mais dans une langue qui _est_ la mienne, si.
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que l'anglais. Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands, Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre (je signale que l'anglais est sa langue maternelle au sens propre comme figuré.)
-- Gaby
Fabien LE LEZ
On 18 Jan 2006 13:14:07 +0100, Gabriel Dos Reis :
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que l'anglais.
Quelle a été la langue choisie, finalement ?
Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands, Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre
AMHA c'est juste une question de prononciation.
Et c'est pas spécifique à l'Europe, d'ailleurs : je comprends plus facilement l'anglais de l'Inde que l'anglais d'Oxford (et je parle même pas du Texas...)
Tant qu'on se cantonne à l'écrit, je ne pense pas qu'il y ait de réels problèmes de compréhension -- même si les gens dont l'anglais n'est pas la langue maternelle ont tendance à employer moins d'expressions idiomatiques, mais à être plus pointilleux sur la grammaire.
On 18 Jan 2006 13:14:07 +0100, Gabriel Dos Reis
<dosreis@cmla.ens-cachan.fr>:
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle
j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays
de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a
lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que
l'anglais.
Quelle a été la langue choisie, finalement ?
Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais
européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands,
Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre
AMHA c'est juste une question de prononciation.
Et c'est pas spécifique à l'Europe, d'ailleurs : je comprends plus
facilement l'anglais de l'Inde que l'anglais d'Oxford (et je parle
même pas du Texas...)
Tant qu'on se cantonne à l'écrit, je ne pense pas qu'il y ait de réels
problèmes de compréhension -- même si les gens dont l'anglais n'est
pas la langue maternelle ont tendance à employer moins d'expressions
idiomatiques, mais à être plus pointilleux sur la grammaire.
cela me fait penser à une réunion d'un projet européen à laquelle j'avais assisté il y a quelques années -- en gros une dizaine de pays de l'EU y étaient représentés. Le représentant britannique a lourdement insisté que la langue de travail soit autre chose que l'anglais.
Quelle a été la langue choisie, finalement ?
Son argument était qu'il semblait y avoir un « anglais européen » compris de tous les autres (Français, Espagnols, Allemands, Italiens, etc.) qu'il était le seul à ne pas comprendre
AMHA c'est juste une question de prononciation.
Et c'est pas spécifique à l'Europe, d'ailleurs : je comprends plus facilement l'anglais de l'Inde que l'anglais d'Oxford (et je parle même pas du Texas...)
Tant qu'on se cantonne à l'écrit, je ne pense pas qu'il y ait de réels problèmes de compréhension -- même si les gens dont l'anglais n'est pas la langue maternelle ont tendance à employer moins d'expressions idiomatiques, mais à être plus pointilleux sur la grammaire.