Comme vous l'avez remarqué, il fait très chaud à peu près partout en France.
Les équipements éléctroniques ne sont pas épargnés par la canicule, et ce
sont les techniciens qui travaillent dans les locaux techniques
non-climatisés qui en font les frais !
Dans le NRA Montpelliérain PAI34, les techniciens France Telecom travaillent
sous des températures avoisinant les 40°C... Le Parisien a publié un article
à ce sujet ce matin.
Dans la seule région du Languedoc-Roussillon, plus de trente agents ont fait
valoir leur droit de retrait pour "danger grave et imminent".
Des centaines de milliers d'euros d'investissements sont nécessaires pour
climatiser les centraux téléphoniques des grandes agglomérations, certains
pouvant s'étendre sur plusieurs milliers de mètres carrés.
Extrait de l'article du Parisien :
""Nous envisageons d'isoler les différentes sources de chaleur, qui sont de
plus en plus nombreuses : les baies ADSL pour nos clients Internet, et aussi
les équipements des opérateurs que nous sommes tenus d'héberger. Et qui sont
autant de sources de réchauffement", explique Jean-Christophe Arguillère,
responsable de la communication. Mais, à l'évidence, ces travaux ne pourront
pas être mis en oeuvre avant l'été 2007."
Par ailleurs, de nombreux freenautes nous signalent que leur Freebox se
comporte anormalement, et que la fiabilité de leur connexion ADSL est à
discuter depuis quelques jours, dans ces mêmes zones concernées par de
fortes chaleurs. Il est pourtant bien recommandé de faire boire deux litres
d'eau par jour à son DSLAM pour passer un été tranquille !
Source: Journal Le Parisien
Note personelle: Et y'a pas que celui là, je rentre moi même très souvent
dans les centraux, et c'est infernal. Même dans les bureaux, la plupart ne
sont pas climatisés, y compris les plateaux 1013/14.
--
Smea
**Smea**@alussinan.org (Otez les étoiles, et privilégiez le texte brut)
"Serge Pajak" a écrit dans le message de news: 1hj929f.8ea0ppy5akr6N%
jerome leroux wrote:
Pas besoin de contacter un député. Tout le monde sera d'accord sur le fait qu'il est nécessaire de fixer des limites de températures pour les personnes qui travaillent dans les mines ( "industries extractives"). Est-ce que vous pourriez préciser ce qui indique que le texte s'applique
aux travailleurs des mines, parce que les termes "industries extractives" que vous citez n'apparaissent pas dans le texte présenté par jpr32 (en tous cas pas tel qu'il a été posté sur Usenet, vous avez les références vers une version longue ?)
Il a juste "oublié" de citer le début de cet arrété qui fait partie du réglement général des industries exatractives.. Je vous laisse aller jeter un coup d'oeil aux textes qui sont cité dans ce préambule.
"Le ministre de l'industrie et de l'aménagement du territoire,
Vu le décret n° 80-331 du 7 mai 1989 modifié instituant le règlement général des industries extractives;
Vu le titre : Chantiers chauds, du règlement général des industries extractives, et notamment son article 11, paragraphe 1, annexé au décret n° 88-1027 du 7 novembre 1988;
Vu l'avis du conseil général des mines en date du 14 juin 1988;
Sur proposition du chef de service d'action régionale pour la sécurité et la compétitivité industrielle,
(on y trouve d'ailleurs le fameux arrété en bas de page)
Au passage, un peu de logique ne fait pas de mal. Si cet arrété s'appliquait à tout le monde, il serait beaucoup plus connu et le pays serait paralysé 3 mois par ans... Il est donc impossible qu'il s'applique à tous les travailleurs et il faut rechercher à qui il s'applique... Et si il s'appliquait aux agents FT, ceux n'auraient pas été idiots au point d'attendre qu'ils fasse 38 degrés pour faire valoir leur droit de retrait !!!
Parce que la signification de ce que dit jpr32 est : "les agents FT sont idiots. Un texte leur interdit de travailler si il fait plus de 35 degrés et ils attendent qu'il fasse 38 degré pour exercer leur droit de retrait". Si j'étais agent FT je me sentirait profondément insulté par jpr32 !
Bonjour, bon d'accord et OK! (:-))
Le contacter votre député est simplement lié au bordel légal sur le sujet.
La suite : incompréhension mutuelle aidée. Je m'explique :
Le code du travail que je possède chez moi n'est pas un Dalloz comme d'habitude, mais un Litec. Bien sur, à Chantier Chaud, le titre est "relatif à la durée maximale du travail journalier dans les chantiers chauds" et renvoie à l'édition précédente du Litec (je n'en garde pas plusieurs versions !).
D'où l'interrogation de Légifrance, où je trouve tout de suite ce que j'ai simplement copié/collé (l'article 1 de l'arrêté). Mais il existe un article 2 lui-même signé, qui précède l'article 1, qu'il faut trouver (:-(( où l'on parle de mines et d'autres choses...
Tu es sur que l'article 2 s'applique avant l'article 1 ? Merci de m'éclairer sur la question...
N'en faisons une affaire... Mais c'est normal ?
Amicalement. Jean Pierre.
"Serge Pajak" <serge@alussinan.org> a écrit dans le message de news:
1hj929f.8ea0ppy5akr6N%serge@alussinan.org...
jerome leroux <jleroux@wandooooo.cou> wrote:
Pas besoin de contacter un député. Tout le monde sera d'accord sur le
fait
qu'il est nécessaire de fixer des limites de températures pour les
personnes
qui travaillent dans les mines ( "industries extractives").
Est-ce que vous pourriez préciser ce qui indique que le texte s'applique
aux travailleurs des mines, parce que les termes "industries
extractives" que vous citez n'apparaissent pas dans le texte présenté
par jpr32 (en tous cas pas tel qu'il a été posté sur Usenet, vous avez
les références vers une version longue ?)
Il a juste "oublié" de citer le début de cet arrété qui fait partie du
réglement général des industries exatractives.. Je vous laisse aller jeter
un coup d'oeil aux textes qui sont cité dans ce préambule.
"Le ministre de l'industrie et de l'aménagement du territoire,
Vu le décret n° 80-331 du 7 mai 1989 modifié instituant le règlement général
des industries extractives;
Vu le titre : Chantiers chauds, du règlement général des industries
extractives, et notamment son article 11, paragraphe 1, annexé au décret n°
88-1027 du 7 novembre 1988;
Vu l'avis du conseil général des mines en date du 14 juin 1988;
Sur proposition du chef de service d'action régionale pour la sécurité et la
compétitivité industrielle,
(on y trouve d'ailleurs le fameux arrété en bas de page)
Au passage, un peu de logique ne fait pas de mal. Si cet arrété s'appliquait
à tout le monde, il serait beaucoup plus connu et le pays serait paralysé 3
mois par ans... Il est donc impossible qu'il s'applique à tous les
travailleurs et il faut rechercher à qui il s'applique...
Et si il s'appliquait aux agents FT, ceux n'auraient pas été idiots au point
d'attendre qu'ils fasse 38 degrés pour faire valoir leur droit de retrait
!!!
Parce que la signification de ce que dit jpr32 est : "les agents FT sont
idiots. Un texte leur interdit de travailler si il fait plus de 35 degrés et
ils attendent qu'il fasse 38 degré pour exercer leur droit de retrait".
Si j'étais agent FT je me sentirait profondément insulté par jpr32 !
Bonjour, bon d'accord et OK! (:-))
Le contacter votre député est simplement lié au bordel légal sur le sujet.
La suite : incompréhension mutuelle aidée. Je m'explique :
Le code du travail que je possède chez moi n'est pas un Dalloz comme
d'habitude, mais un Litec. Bien sur, à Chantier Chaud, le titre est
"relatif à la durée maximale du travail journalier dans les chantiers
chauds" et renvoie à l'édition précédente du Litec (je n'en garde pas
plusieurs versions !).
D'où l'interrogation de Légifrance, où je trouve tout de suite ce que
j'ai simplement copié/collé (l'article 1 de l'arrêté). Mais il existe un
article 2 lui-même signé, qui précède l'article 1, qu'il faut trouver
(:-(( où l'on parle de mines et d'autres choses...
Tu es sur que l'article 2 s'applique avant l'article 1 ? Merci de
m'éclairer sur la question...
"Serge Pajak" a écrit dans le message de news: 1hj929f.8ea0ppy5akr6N%
jerome leroux wrote:
Pas besoin de contacter un député. Tout le monde sera d'accord sur le fait qu'il est nécessaire de fixer des limites de températures pour les personnes qui travaillent dans les mines ( "industries extractives"). Est-ce que vous pourriez préciser ce qui indique que le texte s'applique
aux travailleurs des mines, parce que les termes "industries extractives" que vous citez n'apparaissent pas dans le texte présenté par jpr32 (en tous cas pas tel qu'il a été posté sur Usenet, vous avez les références vers une version longue ?)
Il a juste "oublié" de citer le début de cet arrété qui fait partie du réglement général des industries exatractives.. Je vous laisse aller jeter un coup d'oeil aux textes qui sont cité dans ce préambule.
"Le ministre de l'industrie et de l'aménagement du territoire,
Vu le décret n° 80-331 du 7 mai 1989 modifié instituant le règlement général des industries extractives;
Vu le titre : Chantiers chauds, du règlement général des industries extractives, et notamment son article 11, paragraphe 1, annexé au décret n° 88-1027 du 7 novembre 1988;
Vu l'avis du conseil général des mines en date du 14 juin 1988;
Sur proposition du chef de service d'action régionale pour la sécurité et la compétitivité industrielle,
(on y trouve d'ailleurs le fameux arrété en bas de page)
Au passage, un peu de logique ne fait pas de mal. Si cet arrété s'appliquait à tout le monde, il serait beaucoup plus connu et le pays serait paralysé 3 mois par ans... Il est donc impossible qu'il s'applique à tous les travailleurs et il faut rechercher à qui il s'applique... Et si il s'appliquait aux agents FT, ceux n'auraient pas été idiots au point d'attendre qu'ils fasse 38 degrés pour faire valoir leur droit de retrait !!!
Parce que la signification de ce que dit jpr32 est : "les agents FT sont idiots. Un texte leur interdit de travailler si il fait plus de 35 degrés et ils attendent qu'il fasse 38 degré pour exercer leur droit de retrait". Si j'étais agent FT je me sentirait profondément insulté par jpr32 !
Bonjour, bon d'accord et OK! (:-))
Le contacter votre député est simplement lié au bordel légal sur le sujet.
La suite : incompréhension mutuelle aidée. Je m'explique :
Le code du travail que je possède chez moi n'est pas un Dalloz comme d'habitude, mais un Litec. Bien sur, à Chantier Chaud, le titre est "relatif à la durée maximale du travail journalier dans les chantiers chauds" et renvoie à l'édition précédente du Litec (je n'en garde pas plusieurs versions !).
D'où l'interrogation de Légifrance, où je trouve tout de suite ce que j'ai simplement copié/collé (l'article 1 de l'arrêté). Mais il existe un article 2 lui-même signé, qui précède l'article 1, qu'il faut trouver (:-(( où l'on parle de mines et d'autres choses...
Tu es sur que l'article 2 s'applique avant l'article 1 ? Merci de m'éclairer sur la question...
N'en faisons une affaire... Mais c'est normal ?
Amicalement. Jean Pierre.
jerome leroux
"Cartounet" a écrit dans le message de news: 44cbaf56$0$857$
jerome leroux wrote: /tchac les conneries/
juste pour ma culture perso y vous zon fait quoi FT parce qu un tel concentré de haine ça doit pas etre anodin ?
J'aurais cru que la haine vient de celui qui me traite 10 fois de "CONNARD" alors que je ne fais que donner des arguments juridiques à ses messages délirants.
J'ai du me tromper....
"Cartounet" <pouet@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
44cbaf56$0$857$ba4acef3@news.orange.fr...
jerome leroux wrote:
/tchac les conneries/
juste pour ma culture perso
y vous zon fait quoi FT
parce qu un tel concentré de haine
ça doit pas etre anodin ?
J'aurais cru que la haine vient de celui qui me traite 10 fois de "CONNARD"
alors que je ne fais que donner des arguments juridiques à ses messages
délirants.
"Cartounet" a écrit dans le message de news: 44cbaf56$0$857$
jerome leroux wrote: /tchac les conneries/
juste pour ma culture perso y vous zon fait quoi FT parce qu un tel concentré de haine ça doit pas etre anodin ?
J'aurais cru que la haine vient de celui qui me traite 10 fois de "CONNARD" alors que je ne fais que donner des arguments juridiques à ses messages délirants.
J'ai du me tromper....
david
"jerome leroux" a écrit dans le message de news:
C'est bien.
Aprés quelqu'un qui veux appliquer aux agents FT un texte qui concerne les personens qui travaillent dans les mines.... en voila un autre qui veux leur appliquer un texte qui concerne les personnes qui travaillent dans les établissements scolaires.
Tu devrais cesser les procès d'intention tu te ridiculises tout seul! Ce faisant tu ne montres qu'une haine crasse qui dégouline de tes propos sur Usenet.
Vous vous rendez pas compte qu'en voulant à tout prix appliquer aux agents FT les textes qui s'appliquent à tel ou tel catégories de travailleurs qui ont rien à voir avec les agents FT, vous faites que les ridiculiser encore plus en essayant de les défendre ?
Tu n'es pas un ancien de FT qui a été foutu à la porte avec un coup de pied au cul?
"jerome leroux" <jleroux@wandooooo.cou> a écrit dans le message de news:
4j1cfsF5t3jqU1@individual.net...
C'est bien.
Aprés quelqu'un qui veux appliquer aux agents FT un texte qui concerne les
personens qui travaillent dans les mines.... en voila un autre qui veux
leur appliquer un texte qui concerne les personnes qui travaillent dans
les établissements scolaires.
Tu devrais cesser les procès d'intention tu te ridiculises tout seul! Ce
faisant tu ne montres qu'une haine crasse qui dégouline de tes propos sur
Usenet.
Vous vous rendez pas compte qu'en voulant à tout prix appliquer aux agents
FT les textes qui s'appliquent à tel ou tel catégories de travailleurs qui
ont rien à voir avec les agents FT, vous faites que les ridiculiser encore
plus en essayant de les défendre ?
Tu n'es pas un ancien de FT qui a été foutu à la porte avec un coup de pied
au cul?
Aprés quelqu'un qui veux appliquer aux agents FT un texte qui concerne les personens qui travaillent dans les mines.... en voila un autre qui veux leur appliquer un texte qui concerne les personnes qui travaillent dans les établissements scolaires.
Tu devrais cesser les procès d'intention tu te ridiculises tout seul! Ce faisant tu ne montres qu'une haine crasse qui dégouline de tes propos sur Usenet.
Vous vous rendez pas compte qu'en voulant à tout prix appliquer aux agents FT les textes qui s'appliquent à tel ou tel catégories de travailleurs qui ont rien à voir avec les agents FT, vous faites que les ridiculiser encore plus en essayant de les défendre ?
Tu n'es pas un ancien de FT qui a été foutu à la porte avec un coup de pied au cul?
david
"C Antoine" a écrit dans le message de news:
Le 29/07/2006, david a supposé :
Si le code du travail n'établit pas de seuil de température déclenchant des mesures particulières en cas de fortes chaleurs, le chef d'établissement est cependant tenu de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs compte tenu des conditions de température.
Bien sûr, mais pas plus que tout le reste, et surtout... sans limite (telle que les 35°), comment reprocher quoi que ce soit au chef d'établissement ?
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation aux mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs. Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par exemple est causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra être invoquée si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de travail réduit en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues, etc..
"C Antoine" <chantoine99marreduspam@riendutoo.fr> a écrit dans le message de
news: mn.ec967d67044ad7b2.9614@riendutoo.fr...
Le 29/07/2006, david a supposé :
Si le code du travail n'établit pas de seuil de température déclenchant
des mesures particulières en cas de fortes chaleurs, le chef
d'établissement est cependant tenu de prendre les mesures nécessaires
pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs compte tenu des
conditions de température.
Bien sûr, mais pas plus que tout le reste, et surtout... sans limite
(telle que les 35°), comment reprocher quoi que ce soit au chef
d'établissement ?
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les
établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation aux
mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs.
Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par exemple est
causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra être invoquée
si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de travail réduit
en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues, etc..
Si le code du travail n'établit pas de seuil de température déclenchant des mesures particulières en cas de fortes chaleurs, le chef d'établissement est cependant tenu de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs compte tenu des conditions de température.
Bien sûr, mais pas plus que tout le reste, et surtout... sans limite (telle que les 35°), comment reprocher quoi que ce soit au chef d'établissement ?
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation aux mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs. Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par exemple est causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra être invoquée si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de travail réduit en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues, etc..
david
"david" a écrit dans le message de news: eai1d3$2fmc$
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation aux mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs. Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par exemple est causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra être invoquée si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de travail réduit en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues, etc..
D'ailleurs il semblerait que la réaction des comités d'hygiènes visent des températures qui peuvent monter jusqu'à 44°:
Selon la CGT, la température a atteint lundi matin 39 degrés au central de La Paillade (un quartier de Montpellier) et récemment, 35 degrés à Montpellier-Rabelais et jusqu'à 44 degrés à Aniane.
En clair c'est pas la fourchette 20° jusqu'à 35° qui les inquiète mais celle entre 35° et 44°.
Je me pose tout de même la question du matériel dans les salles où du matériel informatique est entreposé avec de tels chaleurs: les Dslams notamment
"david" <david_PasDESPAMrevel@hotmail.com> a écrit dans le message de news:
eai1d3$2fmc$1@talisker.lacave.net...
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les
établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation
aux mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des
travailleurs. Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par
exemple est causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra
être invoquée si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de
travail réduit en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues,
etc..
D'ailleurs il semblerait que la réaction des comités d'hygiènes visent des
températures qui peuvent monter jusqu'à 44°:
Selon la CGT, la température a atteint lundi matin 39 degrés au central de
La Paillade (un quartier de Montpellier) et récemment, 35 degrés à
Montpellier-Rabelais et jusqu'à 44 degrés à Aniane.
"david" a écrit dans le message de news: eai1d3$2fmc$
Intervient la notion de danger. Ce texte même s'il ne concerne que les établissements scolaires le rappelle, et laisse la marge d'appréciation aux mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs. Point qui est général au demeurant. Aussi si un accident par exemple est causé par la chaleur la responsabilité de l'entreprise pourra être invoquée si des mesures avaient pu être prise pour l'éviter: temps de travail réduit en cas d'exposition à forte chaleur, pauses plus longues, etc..
D'ailleurs il semblerait que la réaction des comités d'hygiènes visent des températures qui peuvent monter jusqu'à 44°:
Selon la CGT, la température a atteint lundi matin 39 degrés au central de La Paillade (un quartier de Montpellier) et récemment, 35 degrés à Montpellier-Rabelais et jusqu'à 44 degrés à Aniane.
