Bonjour René,
"René" a écrit :
.../...soit la psychanalyse d'individus légèrement distordus
.../...
Retourner la pensée comme un gant est un jeu dangereux ("d'ange
heureux" comme dirait Nietzsche) mais ce n'est qu'un jeu. Pas de
manipulation ni imposition des mains sur des esprits enfantins.
Pourtant, d'un amusement comme l'est celui de se retourner comme des
crèpes en inversant sa pensée on peut s'apercevoir qu'elle est comme
une tartine beurrée qu'il est important de ne pas faire retomber du
mauvais coté.
Il y a certaines pensées pour lesquelles cela revient au même,
étant tartinées des deux cotés. Par exemple, prenons ton dernier
paragraphe, son équivalent antonymique résonnera joliment mais son
sens n'en sera pas pour autant enrichi (:Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande
profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer
partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation
intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un
labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à
défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer
comme vérité.
J'ignore que sur les comptes dans la mécanique on ne s'insurge
jamais sur ce principe que l'on ne veut pas manuel, de bas niveau et
de faible surface physique, et universellement je n'ose pas
désespérer de refuser mon existence, ce principe m'apparaît descendre
d'une évidence triviale où l'on se perd à chercher l'auteur dans une
autoroute de faits vraiment et humblement insignifiants, avec
l'assurance d'être impuissant à faussement démonter l'antithèse que
l'on ne veut pas dispenser comme erreur.
Amitiés,
albert
Bonjour René,
"René" <jeanpassetrop@hotmail.com> a écrit :
.../...
soit la psychanalyse d'individus légèrement distordus
.../...
Retourner la pensée comme un gant est un jeu dangereux ("d'ange
heureux" comme dirait Nietzsche) mais ce n'est qu'un jeu. Pas de
manipulation ni imposition des mains sur des esprits enfantins.
Pourtant, d'un amusement comme l'est celui de se retourner comme des
crèpes en inversant sa pensée on peut s'apercevoir qu'elle est comme
une tartine beurrée qu'il est important de ne pas faire retomber du
mauvais coté.
Il y a certaines pensées pour lesquelles cela revient au même,
étant tartinées des deux cotés. Par exemple, prenons ton dernier
paragraphe, son équivalent antonymique résonnera joliment mais son
sens n'en sera pas pour autant enrichi (:
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande
profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer
partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation
intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un
labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à
défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer
comme vérité.
J'ignore que sur les comptes dans la mécanique on ne s'insurge
jamais sur ce principe que l'on ne veut pas manuel, de bas niveau et
de faible surface physique, et universellement je n'ose pas
désespérer de refuser mon existence, ce principe m'apparaît descendre
d'une évidence triviale où l'on se perd à chercher l'auteur dans une
autoroute de faits vraiment et humblement insignifiants, avec
l'assurance d'être impuissant à faussement démonter l'antithèse que
l'on ne veut pas dispenser comme erreur.
Amitiés,
albert
Bonjour René,
"René" a écrit :
.../...soit la psychanalyse d'individus légèrement distordus
.../...
Retourner la pensée comme un gant est un jeu dangereux ("d'ange
heureux" comme dirait Nietzsche) mais ce n'est qu'un jeu. Pas de
manipulation ni imposition des mains sur des esprits enfantins.
Pourtant, d'un amusement comme l'est celui de se retourner comme des
crèpes en inversant sa pensée on peut s'apercevoir qu'elle est comme
une tartine beurrée qu'il est important de ne pas faire retomber du
mauvais coté.
Il y a certaines pensées pour lesquelles cela revient au même,
étant tartinées des deux cotés. Par exemple, prenons ton dernier
paragraphe, son équivalent antonymique résonnera joliment mais son
sens n'en sera pas pour autant enrichi (:Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande
profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer
partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation
intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un
labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à
défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer
comme vérité.
J'ignore que sur les comptes dans la mécanique on ne s'insurge
jamais sur ce principe que l'on ne veut pas manuel, de bas niveau et
de faible surface physique, et universellement je n'ose pas
désespérer de refuser mon existence, ce principe m'apparaît descendre
d'une évidence triviale où l'on se perd à chercher l'auteur dans une
autoroute de faits vraiment et humblement insignifiants, avec
l'assurance d'être impuissant à faussement démonter l'antithèse que
l'on ne veut pas dispenser comme erreur.
Amitiés,
albert
Assez fervent lecteur des écrits de l'Ecole de Grenoble ou de Habermas (dépassé, je
sais), je crois que, comme pour Bourdieu, on refuse toujours d'approfondir les sujets
dérangeants, ou de leur appliquer des principes de réalité sur les données qui dépassent
ou des contradictions qui dérangent nos acquits et nos blocages, d'où des crises comme
celle que nous vivons. Refuser les liens qui existent entre le social, le culturel et
l'individuel, ce sont des pirouettes simplificatrices de détournement du sujet qui me
paraissent une évidence de la part de certains d'entre vous.
Assez fervent lecteur des écrits de l'Ecole de Grenoble ou de Habermas (dépassé, je
sais), je crois que, comme pour Bourdieu, on refuse toujours d'approfondir les sujets
dérangeants, ou de leur appliquer des principes de réalité sur les données qui dépassent
ou des contradictions qui dérangent nos acquits et nos blocages, d'où des crises comme
celle que nous vivons. Refuser les liens qui existent entre le social, le culturel et
l'individuel, ce sont des pirouettes simplificatrices de détournement du sujet qui me
paraissent une évidence de la part de certains d'entre vous.
Assez fervent lecteur des écrits de l'Ecole de Grenoble ou de Habermas (dépassé, je
sais), je crois que, comme pour Bourdieu, on refuse toujours d'approfondir les sujets
dérangeants, ou de leur appliquer des principes de réalité sur les données qui dépassent
ou des contradictions qui dérangent nos acquits et nos blocages, d'où des crises comme
celle que nous vivons. Refuser les liens qui existent entre le social, le culturel et
l'individuel, ce sont des pirouettes simplificatrices de détournement du sujet qui me
paraissent une évidence de la part de certains d'entre vous.
les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable.
Pitié Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ?
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable.
Pitié Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ?
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable.
Pitié Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ?
(conservateur du Louvre, professeur au Collège de France, académicien, c'est quand même
du lourd)
(conservateur du Louvre, professeur au Collège de France, académicien, c'est quand même
du lourd)
(conservateur du Louvre, professeur au Collège de France, académicien, c'est quand même
du lourd)
"Bour-Brown" a écrit :Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel,
1969 : http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable. Pitié
Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ? Si, à la
fin, sur Salvador Dali, c'est assez juste. Mais si Dali était
effectivement un très mauvais peintre (c'est moi qui le dit...), par
contre il était prodigieusement intelligent et très drôle, ce qui
compense largement ses déficiences picturales et rend génial son art.
Ah ! Dali invitant les académiciens au diner de Gala, où ça ? Au
musée d'histoire naturelle, les tables dressées au milieu des
squelettes de dinosaures...
Amitiés,
albert
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit :
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel,
1969 : http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable. Pitié
Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ? Si, à la
fin, sur Salvador Dali, c'est assez juste. Mais si Dali était
effectivement un très mauvais peintre (c'est moi qui le dit...), par
contre il était prodigieusement intelligent et très drôle, ce qui
compense largement ses déficiences picturales et rend génial son art.
Ah ! Dali invitant les académiciens au diner de Gala, où ça ? Au
musée d'histoire naturelle, les tables dressées au milieu des
squelettes de dinosaures...
Amitiés,
albert
"Bour-Brown" a écrit :Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel,
1969 : http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Vachement indigeste. C'est aigri et insupportable. Pitié
Bour-Brown ! D'où tu sors ce truc ? De ta bibliothèque ? Si, à la
fin, sur Salvador Dali, c'est assez juste. Mais si Dali était
effectivement un très mauvais peintre (c'est moi qui le dit...), par
contre il était prodigieusement intelligent et très drôle, ce qui
compense largement ses déficiences picturales et rend génial son art.
Ah ! Dali invitant les académiciens au diner de Gala, où ça ? Au
musée d'histoire naturelle, les tables dressées au milieu des
squelettes de dinosaures...
Amitiés,
albert
l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
René a écrit ( )les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
On va dire qu'elles la concerne, mais pas que.Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
C'est vrai.Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
C'est une composante tout à fait théorisée du système.
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Rigolo de voir que cette analyse, qui a presque cinquante ans, reste en
partie d'actualité...
René a écrit ( NO6dnZ9cHPFjREbTnZ2dnUVZ_r-dnZ2d@b2b2c.ca )
les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
On va dire qu'elles la concerne, mais pas que.
Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
C'est vrai.
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
C'est une composante tout à fait théorisée du système.
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Rigolo de voir que cette analyse, qui a presque cinquante ans, reste en
partie d'actualité...
René a écrit ( )les assertions actuelles - ne concernent absolument pas la photographie.
On va dire qu'elles la concerne, mais pas que.Les mêmes affirmations - banales et simplissimes - peuvent être dites du
résultat de toute action humaine.
C'est vrai.Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent dans ce
genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
C'est une composante tout à fait théorisée du système.
Tiens, un extrait de l'Art et le monde moderne, Huyghe et Rudel, 1969 :
http://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Rigolo de voir que cette analyse, qui a presque cinquante ans, reste en
partie d'actualité...
Octave a écrit
( 4edb4110$0$23764$ )l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
C'est une conception - faire différent - qui ne m'intéresse absolument pas.
Octave a écrit
( 4edb4110$0$23764$426a74cc@news.free.fr )
l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
C'est une conception - faire différent - qui ne m'intéresse absolument pas.
Octave a écrit
( 4edb4110$0$23764$ )l'art qui cherche, qui invente, qui prend des risques dans l'inconnu.
C'est une conception - faire différent - qui ne m'intéresse absolument pas.