"... Du "ce qui est" barthésien" au "ce qui se fait" bergsonien, c'est
toute une conception du temps, en particulier du présent, et, par
conséquent, de la photographie, qui est en jeu. Le "ça a été" fait place
à un "ça s'est fait", ou plutôt à un "ça s'est passé". Cela présente
l'immense intérêt de briser avec la conception platement constative, de
faire passer la photographie de domaine des choses, de la présence et de
l'existence, à celui des événements."
"La photographie" d'André Rouillé,
folio essais, page 290
"L'enjeu n'est rien moins que de soustraire l'image à la dictature de la
référence qui verrouille la pensée sur la photographie - la théorie de
l'indice et la notion de "ça-a-été" n'étant que les derniers avatars de
cette hégémonie. La Chambre Claire (Barthes) n'est-il pas cet ouvrage
paradoxal qui se présente comme une "Note sur la photographie", mais qui
décrète l'invisibilité des images ? Et le "ça-a-été", ne rapporte-t-il
pas la temporalité photographique à celle de la chose ?"
page 291
"L'image photographique ne coïncide pas avec la chose, ni
matériellement, ni spatialement, ni temporellement."
Un art différent m'intéresse souvent beaucoup plus qu'un art "maitrisé"
Moi c'est tout l'inverse.
L'art se défini beaucoup par la singularité, l'unicité de l'oeuvre mais aussi par le prix que l'on consent à payer.
Une fois encore, pas pour moi.
Tu me donnes le choix entre une exposition Memling ou dix musées d'art contemporain, je choisis Memling sans hésiter une seconde.
Bour-Brown
palmerclaude a écrit ( 4edd262b$0$2503$ )
Dali, arrivant à la Sorbonne pour une conférence sur la gare de Perpignan et la similitude avec les cornes de rhinocéros. Il était venu en Rolls-Royce, remplie de choux-fleurs.
Eh oui, les provocateurs à la petite semaine d'aujourd'hui n'ont aucune idée de ce que faisaient déjà leurs aïeux.
détournements commerciaux et nouvelles générations avec des styles graphiques, des mix musicaux, collages, déchirures, mélanges de styles et de technologies diverses, etc..
Tout ceci est parfaitement assimilé maintenant, intégré jusque dans nos modes, d'où notre univers façon patchwork.
Pour la photographie d'ailleurs que reste-t-il des images osées ou détournées par les légendes ou des textes qui atteignent le grand public ?
Oliviro Toscani continue dans le droit fil, sauf que lui ne se confine pas aux expositions confidentielles...
On ne m'enlèvera pas de la tête que, pour l'essentiel, les galleristes exposent des séries d'artistes qui, depuis les salons de la Jeune Peinture au début des années 70 tournent au procédé.
Je pense que la plupart des mouvements artistiques du vingtième ont été perçus comme ça, et cela pratiquement dès leurs origines.
palmerclaude a écrit
( 4edd262b$0$2503$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Dali, arrivant à la Sorbonne pour une conférence sur la gare de Perpignan
et la similitude avec les cornes de rhinocéros. Il était venu en
Rolls-Royce, remplie de choux-fleurs.
Eh oui, les provocateurs à la petite semaine d'aujourd'hui n'ont aucune idée
de ce que faisaient déjà leurs aïeux.
détournements commerciaux et nouvelles générations avec des styles
graphiques, des mix musicaux, collages, déchirures, mélanges de styles et
de technologies diverses, etc..
Tout ceci est parfaitement assimilé maintenant, intégré jusque dans nos
modes, d'où notre univers façon patchwork.
Pour la photographie d'ailleurs que reste-t-il des images osées ou
détournées par les légendes ou des textes qui atteignent le grand public ?
Oliviro Toscani continue dans le droit fil, sauf que lui ne se confine pas
aux expositions confidentielles...
On ne m'enlèvera pas de la tête que, pour l'essentiel, les galleristes
exposent des séries d'artistes qui, depuis les salons de la Jeune Peinture
au début des années 70 tournent au procédé.
Je pense que la plupart des mouvements artistiques du vingtième ont été
perçus comme ça, et cela pratiquement dès leurs origines.
Dali, arrivant à la Sorbonne pour une conférence sur la gare de Perpignan et la similitude avec les cornes de rhinocéros. Il était venu en Rolls-Royce, remplie de choux-fleurs.
Eh oui, les provocateurs à la petite semaine d'aujourd'hui n'ont aucune idée de ce que faisaient déjà leurs aïeux.
détournements commerciaux et nouvelles générations avec des styles graphiques, des mix musicaux, collages, déchirures, mélanges de styles et de technologies diverses, etc..
Tout ceci est parfaitement assimilé maintenant, intégré jusque dans nos modes, d'où notre univers façon patchwork.
Pour la photographie d'ailleurs que reste-t-il des images osées ou détournées par les légendes ou des textes qui atteignent le grand public ?
Oliviro Toscani continue dans le droit fil, sauf que lui ne se confine pas aux expositions confidentielles...
On ne m'enlèvera pas de la tête que, pour l'essentiel, les galleristes exposent des séries d'artistes qui, depuis les salons de la Jeune Peinture au début des années 70 tournent au procédé.
Je pense que la plupart des mouvements artistiques du vingtième ont été perçus comme ça, et cela pratiquement dès leurs origines.
Bour-Brown
René a écrit ( )
Je ne connais pas monsieur Rouillé mais aux extraits que j'ai lu je crains de ne pas trouver beaucoup de plaisir à sa prose.
Perso je le prends pour un aimable plaisantin, qui mélange tout et n'importe quoi avec l'ambition affichée d'être un théoricien.
René a écrit
( FJudnec1fpfSC0DTnZ2dnUVZ_sCdnZ2d@b2b2c.ca )
Je ne connais pas monsieur Rouillé mais aux extraits que j'ai lu je crains
de ne pas trouver beaucoup de plaisir à sa prose.
Perso je le prends pour un aimable plaisantin, qui mélange tout et n'importe
quoi avec l'ambition affichée d'être un théoricien.
Je ne connais pas monsieur Rouillé mais aux extraits que j'ai lu je crains de ne pas trouver beaucoup de plaisir à sa prose.
Perso je le prends pour un aimable plaisantin, qui mélange tout et n'importe quoi avec l'ambition affichée d'être un théoricien.
filh
René wrote:
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent
On se complait parfois mais pas toujours..
dans ce genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à comprendre ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
René <jeanpassetrop@hotmail.com> wrote:
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent
On se complait parfois mais pas toujours..
dans ce genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, ce
genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche à
perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et
prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse
que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le
lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à
comprendre ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je sais que dans les écrits sur l'art on se complait souvent
On se complait parfois mais pas toujours..
dans ce genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à comprendre ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 06/12/11 21:04, FiLH a écrit :
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Attends, c'est Rouillé c'est 600 pages en poche, me semble. Et ça vise le grand public. No rocket science (comment on dit ça en français) il y a des chances. Par contre personne n'a pu répondre à ma question sur ce que peut bien vouloir dire "une photo performée". Je n'ai pas lu Rouillé, désolée. Mais quand je lis j'arrive à faire la différence entre les trucs que je ne comprends pas faute de culture de fond sur le sujet, ceux que je peine à lire parce qu'ils sont mal écrits, d'une façon pénible et sans clarté, et ceux qui me font tout simplement chier parce que c'est du ressassement, ou que finalement le sujet ne n'interesse pas du tout (mais j'ai du mal à ne pas m'interesser à n'importe quoi tant que c'est clair et bien écrit). Et là : je fais crédit à René que lui aussi sait faire la différence.
Noëlle Adam
Le 06/12/11 21:04, FiLH a écrit :
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le
lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Attends, c'est Rouillé c'est 600 pages en poche, me semble.
Et ça vise le grand public. No rocket science (comment on dit ça en
français) il y a des chances.
Par contre personne n'a pu répondre à ma question sur ce que peut bien
vouloir dire "une photo performée".
Je n'ai pas lu Rouillé, désolée.
Mais quand je lis j'arrive à faire la différence entre les trucs que je
ne comprends pas faute de culture de fond sur le sujet, ceux que je
peine à lire parce qu'ils sont mal écrits, d'une façon pénible et sans
clarté, et ceux qui me font tout simplement chier parce que c'est du
ressassement, ou que finalement le sujet ne n'interesse pas du tout
(mais j'ai du mal à ne pas m'interesser à n'importe quoi tant que c'est
clair et bien écrit).
Et là : je fais crédit à René que lui aussi sait faire la différence.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Attends, c'est Rouillé c'est 600 pages en poche, me semble. Et ça vise le grand public. No rocket science (comment on dit ça en français) il y a des chances. Par contre personne n'a pu répondre à ma question sur ce que peut bien vouloir dire "une photo performée". Je n'ai pas lu Rouillé, désolée. Mais quand je lis j'arrive à faire la différence entre les trucs que je ne comprends pas faute de culture de fond sur le sujet, ceux que je peine à lire parce qu'ils sont mal écrits, d'une façon pénible et sans clarté, et ceux qui me font tout simplement chier parce que c'est du ressassement, ou que finalement le sujet ne n'interesse pas du tout (mais j'ai du mal à ne pas m'interesser à n'importe quoi tant que c'est clair et bien écrit). Et là : je fais crédit à René que lui aussi sait faire la différence.
Noëlle Adam
René
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%
dans ce genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique. Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau. Lui oui, nous non. Je m'y attendais ayant pris la peine de spécifier que je pouvais être pris pour l'idiot. Si tu la sort en tant qu'artiste, je n'ai aucune objection. Si c'est en tant que commentateur, analyste ou critique le cas est totalement différent.
Il appartient à celui qui écrit de le faire avec précision et d'être compréhensible. Certains livres sont nébuleux, les textes doivent être souvent repris, analysés et soupesés, régulièrement il vient des objections à l'esprit du lecteur. Or il existe aussi des livres qui sont précis, compréhensibles, qui disent ce que l'auteur désire sans que l'on ai besoin d'en faire une analyse et une critique constante: l'auteur sachant bien de quoi il parle peut le dire de manière exacte et compréhensible. Ce sont ceux que je préfère.
Ces deux extrèmes ne se retrouvent pas que dans les arts et la photos, il en existe dans tous les domaines, en littérature, en science, en philo, etc., même en mathématique.
René
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%filh@filh.orgie...
dans ce genre
que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée,
ce
genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche
à
perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et
prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la
thèse
que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le
lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à
comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique.
Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à
ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau. Lui oui,
nous non. Je m'y attendais ayant pris la peine de spécifier que je pouvais
être pris pour l'idiot. Si tu la sort en tant qu'artiste, je n'ai aucune
objection. Si c'est en tant que commentateur, analyste ou critique le cas
est totalement différent.
Il appartient à celui qui écrit de le faire avec précision et d'être
compréhensible. Certains livres sont nébuleux, les textes doivent être
souvent repris, analysés et soupesés, régulièrement il vient des objections
à l'esprit du lecteur. Or il existe aussi des livres qui sont précis,
compréhensibles, qui disent ce que l'auteur désire sans que l'on ai besoin
d'en faire une analyse et une critique constante: l'auteur sachant bien de
quoi il parle peut le dire de manière exacte et compréhensible. Ce sont ceux
que je préfère.
Ces deux extrèmes ne se retrouvent pas que dans les arts et la photos, il en
existe dans tous les domaines, en littérature, en science, en philo, etc.,
même en mathématique.
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%
dans ce genre que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, ce genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche à perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la thèse que l'on veut imposer comme vérité.
Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique. Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau. Lui oui, nous non. Je m'y attendais ayant pris la peine de spécifier que je pouvais être pris pour l'idiot. Si tu la sort en tant qu'artiste, je n'ai aucune objection. Si c'est en tant que commentateur, analyste ou critique le cas est totalement différent.
Il appartient à celui qui écrit de le faire avec précision et d'être compréhensible. Certains livres sont nébuleux, les textes doivent être souvent repris, analysés et soupesés, régulièrement il vient des objections à l'esprit du lecteur. Or il existe aussi des livres qui sont précis, compréhensibles, qui disent ce que l'auteur désire sans que l'on ai besoin d'en faire une analyse et une critique constante: l'auteur sachant bien de quoi il parle peut le dire de manière exacte et compréhensible. Ce sont ceux que je préfère.
Ces deux extrèmes ne se retrouvent pas que dans les arts et la photos, il en existe dans tous les domaines, en littérature, en science, en philo, etc., même en mathématique.
René
filh
René wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%
>> dans ce genre >> que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur >> métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, >> ce >> genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche >> à >> perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et >> prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la >> thèse >> que l'on veut imposer comme vérité.
>Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le >lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
>Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à >comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique. Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau.
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation.
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation qu'autre chose :)
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous discutons.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
René <jeanpassetrop@hotmail.com> wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%filh@filh.orgie...
>> dans ce genre
>> que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur
>> métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée,
>> ce
>> genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche
>> à
>> perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et
>> prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la
>> thèse
>> que l'on veut imposer comme vérité.
>Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le
>lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
>Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à
>comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique.
Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à
ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau.
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute
réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre
tentative d'élévation.
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur
des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la
forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation
qu'autre chose :)
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous
discutons.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbtijz.e1u3oru5cxjyN%
>> dans ce genre >> que l'on veut intellectuel de haut niveau et de grande profondeur >> métaphysique mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée, >> ce >> genre me parait relever d'une manipulation intellectuelle où l'on cherche >> à >> perdre le lecteur dans un labyrinthe de concepts faussement et >> prétentieusement importants, à défaut de pouvoir vraiment démontrer la >> thèse >> que l'on veut imposer comme vérité.
>Voilà un procès d'intention qui permet avant tout de cacher que le >lecteur n'est pas capable de comprendre ce qu'il lit...
>Ces raisins sont trop verts disait Lafontaine... est-ce assez simple à >comprendre ?
Tu n'as pas du la chercher longtemps celle-là, c'est une réponse classique. Toutes les fois que l'on s'oppose à ce qu'un adepte veuille nous convertir à ses croyances ça se termine ainsi: tu n'as pas atteins ce niveau.
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation.
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation qu'autre chose :)
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous discutons.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
René
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbxe93.14occdrvmxrajN%
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation.
"Branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation". Que dois-je comprendre? Qui cherche à s'élever par ces quelques phrases tirées d'un livre qui n'appartient ni à toi ni à moi?
J'ai pour ma part bien pris le risque de passer pour l'idiot, et je l'ai écrit. Il faut apprendre à bien lire avant d'écrire "dénigrer toute réfléxion", ce qui n'a jamais été ni mon idée, ni mon intention, ni mon action (voir plus bas)
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
J'ai utilisé le mot "genre" dans un sens qui n'inclue pas toutes discussions sur l'art mais dans le sens d'un exemple bien limité à partir du sujet mentionné à savoir : " Une photo n'est pas son sujet ni matériellement, ni spatialement, ni temporellement. C'est difficile à accepter, mais il faudra bien un jour ou l'autre." et les variantes qui ont été apportées.
Pour moi il s'agit d'une discussion futile qui se limite "quasi" à énoncer une lapalissade. D'où mon commentaire sur ce cas et son extension à ce que j'ai constaté souvent dans des textes sur l'art.
J'ai aussi écris "souvent", ce qui ne veut pas dire toujours!
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation qu'autre chose :)
Tu ne peux pas me forcer à penser comme toi. Et mon opinion a tout aussi droit de citer. Il n'y a rien de dommage là. N'ai-je pas bien écrit: "mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée" ce qui veut dire que d'une part je n'implique personne d'autre que moi à la défense de mes idées, et que d'autre part je pense que certains individus pourraient penser comme moi. Je savais bien à l'avance que ce n'est pas ton cas.
Sur un autre plan je suis désolé que mon intervention t'ai amené jusqu'à utiliser le mot "stigmatisation". Son sens dépasse très largement l'importance de mon intervention et ses conséquences normales. Je ne suis pas si méchant, il faut lire ce que j'ai écrit en réponse à Bour-Brown.
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous discutons.
N'est pas ce que je fais, même si mon opinion diffère de la tienne? (sur certaines notions, pas sur tout)
Amicalement ? :-(
René
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1kbxe93.14occdrvmxrajN%filh@filh.orgie...
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute
réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre
tentative d'élévation.
"Branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation". Que dois-je
comprendre? Qui cherche à s'élever par ces quelques phrases tirées d'un
livre qui n'appartient ni à toi ni à moi?
J'ai pour ma part bien pris le risque de passer pour l'idiot, et je l'ai
écrit. Il faut apprendre à bien lire avant d'écrire "dénigrer toute
réfléxion", ce qui n'a jamais été ni mon idée, ni mon intention, ni mon
action (voir plus bas)
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur
des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la
forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
J'ai utilisé le mot "genre" dans un sens qui n'inclue pas toutes discussions
sur l'art mais dans le sens d'un exemple bien limité à partir du sujet
mentionné à savoir : " Une photo n'est pas son sujet ni matériellement, ni
spatialement, ni temporellement. C'est difficile à accepter, mais il faudra
bien un jour ou l'autre." et les variantes qui ont été apportées.
Pour moi il s'agit d'une discussion futile qui se limite "quasi" à énoncer
une lapalissade. D'où mon commentaire sur ce cas et son extension à ce que
j'ai constaté souvent dans des textes sur l'art.
J'ai aussi écris "souvent", ce qui ne veut pas dire toujours!
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation
qu'autre chose :)
Tu ne peux pas me forcer à penser comme toi. Et mon opinion a tout aussi
droit de citer. Il n'y a rien de dommage là. N'ai-je pas bien écrit: "mais
personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée" ce qui veut dire que
d'une part je n'implique personne d'autre que moi à la défense de mes idées,
et que d'autre part je pense que certains individus pourraient penser comme
moi. Je savais bien à l'avance que ce n'est pas ton cas.
Sur un autre plan je suis désolé que mon intervention t'ai amené jusqu'à
utiliser le mot "stigmatisation". Son sens dépasse très largement
l'importance de mon intervention et ses conséquences normales. Je ne suis
pas si méchant, il faut lire ce que j'ai écrit en réponse à Bour-Brown.
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous
discutons.
N'est pas ce que je fais, même si mon opinion diffère de la tienne? (sur
certaines notions, pas sur tout)
"FiLH" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1kbxe93.14occdrvmxrajN%
Ce que tu dis est aussi la réponse classique qui vise à dénigrer toute réflexion; celle qui fait sortir branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation.
"Branlette intellectuelle à la moindre tentative d'élévation". Que dois-je comprendre? Qui cherche à s'élever par ces quelques phrases tirées d'un livre qui n'appartient ni à toi ni à moi?
J'ai pour ma part bien pris le risque de passer pour l'idiot, et je l'ai écrit. Il faut apprendre à bien lire avant d'écrire "dénigrer toute réfléxion", ce qui n'a jamais été ni mon idée, ni mon intention, ni mon action (voir plus bas)
Avoue que quand tu parles « du genre » tu n'attaques pas le texte sur des arguments de fonds, mais bien sur des arguments globalisants sur la forme de « ce genre » de textes, comme s'ils étaient tous égaux..
J'ai utilisé le mot "genre" dans un sens qui n'inclue pas toutes discussions sur l'art mais dans le sens d'un exemple bien limité à partir du sujet mentionné à savoir : " Une photo n'est pas son sujet ni matériellement, ni spatialement, ni temporellement. C'est difficile à accepter, mais il faudra bien un jour ou l'autre." et les variantes qui ont été apportées.
Pour moi il s'agit d'une discussion futile qui se limite "quasi" à énoncer une lapalissade. D'où mon commentaire sur ce cas et son extension à ce que j'ai constaté souvent dans des textes sur l'art.
J'ai aussi écris "souvent", ce qui ne veut pas dire toujours!
C'est dommage de ta part, et ma réponse vise plue cette stigmatisation qu'autre chose :)
Tu ne peux pas me forcer à penser comme toi. Et mon opinion a tout aussi droit de citer. Il n'y a rien de dommage là. N'ai-je pas bien écrit: "mais personnellement, et j'ose espérer partager ma pensée" ce qui veut dire que d'une part je n'implique personne d'autre que moi à la défense de mes idées, et que d'autre part je pense que certains individus pourraient penser comme moi. Je savais bien à l'avance que ce n'est pas ton cas.
Sur un autre plan je suis désolé que mon intervention t'ai amené jusqu'à utiliser le mot "stigmatisation". Son sens dépasse très largement l'importance de mon intervention et ses conséquences normales. Je ne suis pas si méchant, il faut lire ce que j'ai écrit en réponse à Bour-Brown.
Ce serait bien d'en rester au cas particulier du texte dont nous discutons.
N'est pas ce que je fais, même si mon opinion diffère de la tienne? (sur certaines notions, pas sur tout)