Le Wed, 26 Jan 2005 19:45:54 +0100, FiLH écrivait:
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Parce que vous l'avez perdu.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Mais oui, c'est tellement plus facile d'accuser un tiers.
C'est exactement ce que vous faites...
Et vous n'envisagez que les hypothèses qui vous arrangent.
Non, je n'ai fait qu'exposer des faits,
Non, ce que vous pensez qu'il s'est produit. Vous avez en plus accusé la poste de vol avant de vous rendre compte que c'était faux.
Vous n'en n'avez produit aucune.
Je n'ai pas à vous donner de preuves.
Vous confirmez donc ici accuser sans preuve.
Je ne défend pas la poste, mais j'ai horreur des gens qui accusent sans preuve. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
A croire que vous êtes facteur, et avez un sentiment latent de culpabilité.
Tout ça pour justifier que vous accusez à tord et sans preuve.
C'est tellement plus facile de trouver un bouc émissaire.
Bon je vous laisse à vos certitudes.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Eric Rossé <eric.rosse@wanadoo.fr> wrote:
Le Wed, 26 Jan 2005 19:45:54 +0100, FiLH écrivait:
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Parce que vous l'avez perdu.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Mais oui, c'est tellement plus facile d'accuser un tiers.
C'est exactement ce que vous faites...
Et vous n'envisagez que les hypothèses qui vous arrangent.
Non, je n'ai fait qu'exposer des faits,
Non, ce que vous pensez qu'il s'est produit. Vous avez en plus accusé la
poste de vol avant de vous rendre compte que c'était faux.
Vous n'en n'avez produit aucune.
Je n'ai pas à vous donner de preuves.
Vous confirmez donc ici accuser sans preuve.
Je ne défend pas la poste, mais j'ai horreur des gens qui accusent sans
preuve. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
A croire que vous êtes facteur, et avez un sentiment latent
de culpabilité.
Tout ça pour justifier que vous accusez à tord et sans preuve.
C'est tellement plus facile de trouver un bouc émissaire.
Bon je vous laisse à vos certitudes.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Le Wed, 26 Jan 2005 19:45:54 +0100, FiLH écrivait:
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Parce que vous l'avez perdu.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Mais oui, c'est tellement plus facile d'accuser un tiers.
C'est exactement ce que vous faites...
Et vous n'envisagez que les hypothèses qui vous arrangent.
Non, je n'ai fait qu'exposer des faits,
Non, ce que vous pensez qu'il s'est produit. Vous avez en plus accusé la poste de vol avant de vous rendre compte que c'était faux.
Vous n'en n'avez produit aucune.
Je n'ai pas à vous donner de preuves.
Vous confirmez donc ici accuser sans preuve.
Je ne défend pas la poste, mais j'ai horreur des gens qui accusent sans preuve. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
A croire que vous êtes facteur, et avez un sentiment latent de culpabilité.
Tout ça pour justifier que vous accusez à tord et sans preuve.
C'est tellement plus facile de trouver un bouc émissaire.
Bon je vous laisse à vos certitudes.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
colette
"FiLH" a écrit dans le
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui me l'a dit (il en fait partie)
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE PAPIER QU'ILS DEPOSENT? Quand ils le déposent, bien sûr.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas savoir d'où il vient ;-) Colette
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui
me l'a dit (il en fait partie)
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste.
POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE
PAPIER QU'ILS DEPOSENT? Quand ils le déposent, bien sûr.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Colette
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui me l'a dit (il en fait partie)
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE PAPIER QU'ILS DEPOSENT? Quand ils le déposent, bien sûr.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas savoir d'où il vient ;-) Colette
filh
colette wrote:
"FiLH" a écrit dans le
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui me l'a dit (il en fait partie)
Possible. Mais est-ce le cas ?
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
colette <colettemj@neuf.fr> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Il n'y était pas, point.
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui
me l'a dit (il en fait partie)
Possible. Mais est-ce le cas ?
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste.
POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE
PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce
n'est pas le cas.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il y a des facteurs qui ne déposent pas d'avis de passage, c'est le mien qui me l'a dit (il en fait partie)
Possible. Mais est-ce le cas ?
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Eric Rossé wrote:
Le Wed, 26 Jan 2005 20:33:43 +0100, FiLH écrivait:
En quoi c'est con ?
Apportez donc la preuve que le facteur a bien déposé un avis d'instance. Comment ça, vous n'en avez pas la preuve ? Vous accusez donc votre interlocuteur sans preuves...
N'inversez donc pas la charge de la preuve !
Je vous rappele que c'est vous qui avez accusé en premier le facteur de ne pas avoir déposé l"avis. C'est donc à vous d'en apporter la preuve.
Moi je suis l'avocat de la défence, et je n'ai qu'à indiquer que vous n'avez pas la preuve.
D'ailleurs quand la situation s'inverse vous êtes bien prompt à exiger de moi ce que VOUS ne pouvez fournir, et c'était bien là où je voulais vous ammener.
Apprennez mon cher qu'à vouloir juger comme vous le faites, il faut encore respecter quelques règles.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Eric Rossé <eric.rosse@wanadoo.fr> wrote:
Le Wed, 26 Jan 2005 20:33:43 +0100, FiLH écrivait:
En quoi c'est con ?
Apportez donc la preuve que le facteur a bien déposé un avis
d'instance. Comment ça, vous n'en avez pas la preuve ? Vous
accusez donc votre interlocuteur sans preuves...
N'inversez donc pas la charge de la preuve !
Je vous rappele que c'est vous qui avez accusé en premier le facteur de
ne pas avoir déposé l"avis.
C'est donc à vous d'en apporter la preuve.
Moi je suis l'avocat de la défence, et je n'ai qu'à indiquer que vous
n'avez pas la preuve.
D'ailleurs quand la situation s'inverse vous êtes bien prompt à exiger
de moi ce que VOUS ne pouvez fournir, et c'était bien là où je voulais
vous ammener.
Apprennez mon cher qu'à vouloir juger comme vous le faites, il faut
encore respecter quelques règles.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Le Wed, 26 Jan 2005 20:33:43 +0100, FiLH écrivait:
En quoi c'est con ?
Apportez donc la preuve que le facteur a bien déposé un avis d'instance. Comment ça, vous n'en avez pas la preuve ? Vous accusez donc votre interlocuteur sans preuves...
N'inversez donc pas la charge de la preuve !
Je vous rappele que c'est vous qui avez accusé en premier le facteur de ne pas avoir déposé l"avis. C'est donc à vous d'en apporter la preuve.
Moi je suis l'avocat de la défence, et je n'ai qu'à indiquer que vous n'avez pas la preuve.
D'ailleurs quand la situation s'inverse vous êtes bien prompt à exiger de moi ce que VOUS ne pouvez fournir, et c'était bien là où je voulais vous ammener.
Apprennez mon cher qu'à vouloir juger comme vous le faites, il faut encore respecter quelques règles.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan. Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur". C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place - au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration. Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de
discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à
personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan.
Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds
de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le
même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un
point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on
leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au
traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une
contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus
jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le
reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui
avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir
incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui
fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant
d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non
seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes
requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un
fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les
cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue
date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut
être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut
importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous
sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une
multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout
au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de
l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur
retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change
souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs
pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance
dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur".
C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon
exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très
réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est
aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place -
au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on
en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute
façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était
pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des
examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient
tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration.
Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une
administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du
coin, sera toujours le reflet de son chef.
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan. Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur". C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place - au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration. Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
colette
"FiLH" a écrit dans le
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE
PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Si on ne sait pas d'où ils viennent, on n'est pas motivé pour aller les chercher..... Surtout les recommandés!!!!!
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher... Ou on est clair, ou on ne l'est pas. Colette
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste.
POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS
LE
PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Si on ne sait pas d'où ils viennent, on n'est pas motivé pour aller les
chercher..... Surtout les recommandés!!!!!
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce
n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne
pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est
caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher...
Ou on est clair, ou on ne l'est pas.
Colette
Et autre chose, et c'est pas contre les facteurs mais contre la Poste. POURQUOI L'ORIGINE D'UN COLIS OU D'UN RECOMMANDE N'EST PAS PREVUE DANS LE
PAPIER QU'ILS DEPOSENT?
Pour qu'on ne puisse pas refuser les colis ?
Si on ne sait pas d'où ils viennent, on n'est pas motivé pour aller les chercher..... Surtout les recommandés!!!!!
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher... Ou on est clair, ou on ne l'est pas. Colette
filh
colette wrote:
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Allons bon. Et c'est où ici ? Vous voulez dire que quelques milliers de personnes vivent sans jamais aucun avis de passage ?
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher...
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Ou on est clair, ou on ne l'est pas.
Visiblement vous ne l'êtes pas trop.
Colette
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
colette <colettemj@neuf.fr> wrote:
Quand ils le déposent, bien sûr.
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce
n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Allons bon. Et c'est où ici ?
Vous voulez dire que quelques milliers de personnes vivent sans jamais
aucun avis de passage ?
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne
pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est
caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher...
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage?
Mince.
Ou on est clair, ou on ne l'est pas.
Visiblement vous ne l'êtes pas trop.
Colette
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Cette phrase laisserait supposer que c'est un comportement habituel, ce n'est pas le cas.
Ici, si. Les facteurs ne déposent pas d'avis de passage, point.
Allons bon. Et c'est où ici ? Vous voulez dire que quelques milliers de personnes vivent sans jamais aucun avis de passage ?
Le meilleur moyen pour ne pas aller chercher un recommandé, c'est de ne pas
savoir d'où il vient ;-)
Vous avez une drôle de façon de voir le monde.
Non, un principe. Si on ne sait pas d'où ça vient...... Si l'expéditeur est caché, c'est qu'il a quelque chose à cacher...
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Ou on est clair, ou on ne l'est pas.
Visiblement vous ne l'êtes pas trop.
Colette
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Oui, là je me demande aussi...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de
passage? Mince.
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Oui, là je me demande aussi...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
filh
christian Henriet wrote:
Il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Tiens l'aristan hystérique !
Retourne vite au travail bougre de chenapan !
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
christian Henriet <ch.henriet@tiscali.fr> wrote:
Il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Tiens l'aristan hystérique !
Retourne vite au travail bougre de chenapan !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Tiens l'aristan hystérique !
Retourne vite au travail bougre de chenapan !
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
The Rev Gaston wrote:
On 2005-01-26 19:45:54 +0100, (FiLH) said:
. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
Et vous accepteriez quoi comme preuve, d'ailleurs? Bande de videosurveillance de ma boite a lettres?
Avant tout une preuve que vous avez vous même la rigueur que vous demandez aux autres.
Bref qu'en l'absence de preuve vous n'accusiez pas les autres.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-26 19:45:54 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
Et vous accepteriez quoi comme preuve, d'ailleurs? Bande de
videosurveillance de ma boite a lettres?
Avant tout une preuve que vous avez vous même la rigueur que vous
demandez aux autres.
Bref qu'en l'absence de preuve vous n'accusiez pas les autres.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
. (J'attend la preuve que vous n'avez pas perdu le papier)
Et vous accepteriez quoi comme preuve, d'ailleurs? Bande de videosurveillance de ma boite a lettres?
Avant tout une preuve que vous avez vous même la rigueur que vous demandez aux autres.
Bref qu'en l'absence de preuve vous n'accusiez pas les autres.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
