Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont "égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-25 23:05:07 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-19 20:57:27 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos
collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers
titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au
lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier
sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont
"égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont "égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Patrick
sympas les belges, tiens je viens de me souvenir que ma femme est belge et vive leurs bières...
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan. Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur". C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place - au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration. Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
sympas les belges, tiens je viens de me souvenir que ma femme est belge et
vive leurs bières...
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.com> a écrit dans le message de
news:35qer9F4qrnb2U1@individual.net...
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de
discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à
personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan.
Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds
de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le
même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un
point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on
leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au
traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une
contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus
jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le
reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui
avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir
incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui
fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant
d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non
seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes
requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un
fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les
cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue
date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut
être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut
importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous
sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une
multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout
au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de
l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur
retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change
souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs
pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance
dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur".
C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon
exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très
réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est
aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place -
au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on
en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute
façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était
pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des
examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient
tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration.
Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une
administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du
coin, sera toujours le reflet de son chef.
sympas les belges, tiens je viens de me souvenir que ma femme est belge et vive leurs bières...
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
Et hop, un fonctionnaire heureux et un artisan guérit...
Les habitués savent que je n'aime pas trop me mêler à ce genre de discussion bateau qui généralement n'abouti sur rien et ne profite à personne, mais bon, allez, je pousse la chansonnette...
Mon propos ne sera pas d'opposer privé/public, fonctionnaire/artisan. Car même s'il subsiste des différences, l'époque de "Messieurs les ronds de cuir" est dépassée et aujourd'hui nous sommes tous embarqués sur le même radeau à la flottaison précaire. Je voudrais juste souligner un point qui pose problème, aussi bien dans le public que dans le privé.
On peut remarquer un changement dans le discours des très jeunes, si on leur demande ce qu'il veulent faire plus tard, on a plus guère droit au traditionnel médecin, vétérinaire, éboueur ou comédien, mais à une contraction de tout cela : "Je veux être une Star !" Est-ce les plus jeunes qui ont inventé cela ? Bien sûr que non, ils ne sont que le reflet d'une tendance de la société.
Qui était le patron d'une grande entreprise jadis ? Ce boulanger qui avait le sens des affaires et qui a grossit jusqu'à devenir incontournable pour tout un pays ou ce jeune mécanicien japonais qui fabriquant des vélomoteurs à partir de moteur de tondeuse à gazon avant d'appeler sa petite entreprise : "Honda". Ces patrons avaient non seulement le sens du commerce mais possédaient réellement les aptitudes requise par leur production. Quand le patron disparaissait c'était un fils, une fille ou un employé qui reprenait le flambeau, dans tous les cas on avait à la tête une personne qui côtoyait l'entreprise de longue date et qui en connaissait tous les rouages.
Aujourd'hui ce n'est plus forcément ça. De la même façon que l'on veut être Star, on fait des études pour être Patron. Patron de quoi ? Peut importe : "Patron". Que ce soit dans le secteur public ou le privé nous sommes tous confronté à ce phénomène. Je travaille pour une multinationale qui oeuvre dans la photo, les créateurs ont commencé tout au bas de l'échelle et connaissaient parfaitement le fonctionnement de l'entreprise et les particularités du milieu de la photo. Après leur retrait, la société appartient à des groupes financiers et elle change souvent de main. A chaque fois les nouveaux actionnaires placent leurs pions à la direction et ce sont des "Directeur", aucune connaissance dans le domaine, aucune expérience, mais un diplôme de "Directeur". C'est à chaque fois la cata au moins pour un temps.
Typique du privé ? Ah que nenni, c'est pareil pour le public. Un bon exemple est la télévision de service publique belge, la RTBF. Très réputée jadis pour la qualité de ses programmes et créations, elle est aujourd'hui dans les 36 ème dessous. Politisée à outrance, on y place - au gré des majorités - un administrateur général du parti au pouvoir, on en choisi bien sûr un qui ne connait rien au domaine car, de toute façon, il n'est pas là pour longtemps.
Jadis il y a eu dans ma famille de hauts fonctionnaires, il ne l'était pas devenu spontanément mais petit à petit, au fil des années et des examens. Au bout du compte, ils étaient tout en haut mais connaissaient tous les échelons et faisaient partie intégrante de leur administration. Toute une culture qui tend à se perdre...
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
filh
The Rev Gaston wrote:
On 2005-01-26 19:45:54 +0100, (FiLH) said:
Eric Rossé wrote:
Le 26 Jan 2005 09:04:06 +0100, FiLH écrivait:
C'est sûr que la poste n'a pas égaré le colis durant quelque temps...
Non.
Mais oui. La Poste n'a pas réussi a retrouvé le colis et tout à coup il s'eszt retrouvé chez l'expéditeur pour délai d'instance dépassé.
Il exite plusieurs hypothèses, je ne vois aucune raison à en privilégié une. Ce que vous faites est du délit de facies ni plus ni moins.
Non. Je me borne à constater que alors que des paquets sont en instance, il n'y a pas eu l'avis correspondant déposé dans la boite aux lettres
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance. Nuance. Cela ne veut pas forcément dire qu'il n'a pas été déposé.
Si ça se trouve vous l'avez perdu et vous ne vous en souvenez même plus. Si ça se trouve il s'est glissé entre deux pubs que vous avez jeté.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Bref plein d'hyposthèses que vous n'envisagez pas
Oui - c'etait mange par un chien, ou vole par Saddam Hussein, ou transformer en lapin par Harry Potter - voila, plein d'hypotheses a eliminer avant d'arriver a la conclusion que c'est le facteur qui a oublie laisser un avis.
Il est amusant de constater que vous avez besoin de telles exagération pour tenter de noyer le poisson.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-26 19:45:54 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
Eric Rossé <eric.rosse@wanadoo.fr> wrote:
Le 26 Jan 2005 09:04:06 +0100, FiLH écrivait:
C'est sûr que la poste n'a pas égaré le colis durant quelque temps...
Non.
Mais oui. La Poste n'a pas réussi a retrouvé le colis et tout
à coup il s'eszt retrouvé chez l'expéditeur pour délai d'instance
dépassé.
Il exite plusieurs hypothèses, je ne vois aucune raison à en
privilégié une. Ce que vous faites est du délit de facies ni plus ni
moins.
Non. Je me borne à constater que alors que des paquets sont
en instance, il n'y a pas eu l'avis correspondant déposé dans la boite
aux lettres
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance.
Nuance. Cela ne veut pas forcément dire qu'il n'a pas été déposé.
Si ça se trouve vous l'avez perdu et vous ne vous en souvenez même plus.
Si ça se trouve il s'est glissé entre deux pubs que vous avez jeté.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Bref plein d'hyposthèses que vous n'envisagez pas
Oui - c'etait mange par un chien, ou vole par Saddam Hussein, ou
transformer en lapin par Harry Potter - voila, plein d'hypotheses a
eliminer avant d'arriver a la conclusion que c'est le facteur qui a
oublie laisser un avis.
Il est amusant de constater que vous avez besoin de telles exagération
pour tenter de noyer le poisson.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est sûr que la poste n'a pas égaré le colis durant quelque temps...
Non.
Mais oui. La Poste n'a pas réussi a retrouvé le colis et tout à coup il s'eszt retrouvé chez l'expéditeur pour délai d'instance dépassé.
Il exite plusieurs hypothèses, je ne vois aucune raison à en privilégié une. Ce que vous faites est du délit de facies ni plus ni moins.
Non. Je me borne à constater que alors que des paquets sont en instance, il n'y a pas eu l'avis correspondant déposé dans la boite aux lettres
Non. Vous n'avez pas trouvé l'avis d'instance. Nuance. Cela ne veut pas forcément dire qu'il n'a pas été déposé.
Si ça se trouve vous l'avez perdu et vous ne vous en souvenez même plus. Si ça se trouve il s'est glissé entre deux pubs que vous avez jeté.
Si ça se trouve quelqu'un l'a piqué.
Bref plein d'hyposthèses que vous n'envisagez pas
Oui - c'etait mange par un chien, ou vole par Saddam Hussein, ou transformer en lapin par Harry Potter - voila, plein d'hypotheses a eliminer avant d'arriver a la conclusion que c'est le facteur qui a oublie laisser un avis.
Il est amusant de constater que vous avez besoin de telles exagération pour tenter de noyer le poisson.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
The Rev Gaston wrote:
On 2005-01-26 23:09:10 +0100, (FiLH) said:
The Rev Gaston wrote:
On 2005-01-25 23:05:07 +0100, (FiLH) said:
The Rev Gaston wrote:
On 2005-01-19 20:57:27 +0100, (FiLH) said:
The Rev Gaston wrote:
Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont "égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
Et c'etait pas egare?
C'est vrai que vous n'aviez pas mis de guillemets. (et que l'usage de guillemets ici n'a pas pour fonction de modifier le sens de égarer)..
Ah, c'est amusant de vous voir reprocher aux autres la malhonneteté et la mauvaise foi que vous pratiquez avec un art consommé.
Remarquez ceci explique cela : étant foncièremet malhonnète vous pensez que le monde vous ressemble. Quel manque d'imagination...
FiLH MDR
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-26 23:09:10 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-25 23:05:07 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
On 2005-01-19 20:57:27 +0100, filh@filh.orgie (FiLH) said:
The Rev Gaston <me@privacy.net> wrote:
Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos
collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers
titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au
lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier
sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont
"égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
Et c'etait pas egare?
C'est vrai que vous n'aviez pas mis de guillemets. (et que l'usage de
guillemets ici n'a pas pour fonction de modifier le sens de égarer)..
Ah, c'est amusant de vous voir reprocher aux autres la malhonneteté et
la mauvaise foi que vous pratiquez avec un art consommé.
Remarquez ceci explique cela : étant foncièremet malhonnète vous pensez
que le monde vous ressemble. Quel manque d'imagination...
FiLH MDR
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Bien - allez-y - me rendez un service en retrouvant le colis que vos collegues ont "egare".
Je veux bien mais avant vous allez me prouver que ce sont des postiers titulaires qui ont égaré le colis plutôt que des contractuels payés au lance pierre parce que des gens dans votre genre n'arrêtant pas de chier sur les autres font tout pour que la précarité s'installe
Bien - c'est trouve.
Donc vous voyez que vous accusez à tord...
Pas du tout - c'est plutot toi qui accuses a tord.
C'est vrai que tu n'as pas écrit : « le colis que vos coll!gues ont "égare" ».
J'avais oublié. Mince alors !
FiLH
Et c'etait pas egare?
C'est vrai que vous n'aviez pas mis de guillemets. (et que l'usage de guillemets ici n'a pas pour fonction de modifier le sens de égarer)..
Ah, c'est amusant de vous voir reprocher aux autres la malhonneteté et la mauvaise foi que vous pratiquez avec un art consommé.
Remarquez ceci explique cela : étant foncièremet malhonnète vous pensez que le monde vous ressemble. Quel manque d'imagination...
FiLH MDR
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
christian Henriet
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1gr0qro.ccouldo0xvbqN%
Tiens l'aristan hystérique !
L'artisan Hysterique constate que quoi qu'il en soit ta position est "j'y suis, j'y reste". Tu "n'ecoutes" pas les gens, tu te bornes a nier les faits qui sont exposes, La Poste ne peut en aucuns cas etre en cause. Tu vas certainement ramene la situation a un cas isole en pretextant que c'est un facteur isole ou interimaire et qu'ils ne sont pas tous comme ca, mais imagine un peu que je viennes installer ,par exemple, un agencement chez toi et que je me plantes, -de travers-mal fait, portes qui ne ferment pas,.....- qu'est-ce que ca te fera qu'on te dise/ "non c'est pas vrai, et si cela etait, ce serait exceptionnel!!! J'imagine que ta premiere reaction va etre de detourner la question pour repondre a ton avantage.
Retourne vite au travail bougre de chenapan ! Meme si je te reponds, je travaille.
La chance de l'artisan hysterique est d'avoir plusieurs PC.
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1gr0qro.ccouldo0xvbqN%filh@filh.orgie...
Tiens l'aristan hystérique !
L'artisan Hysterique constate que quoi qu'il en soit ta position est "j'y
suis, j'y reste".
Tu "n'ecoutes" pas les gens, tu te bornes a nier les faits qui sont exposes,
La Poste ne peut en aucuns cas etre en cause.
Tu vas certainement ramene la situation a un cas isole en pretextant que
c'est un facteur isole ou interimaire et qu'ils ne sont pas tous comme ca,
mais imagine un peu que je viennes installer ,par exemple, un agencement
chez toi et que je me plantes, -de travers-mal fait, portes qui ne ferment
pas,.....- qu'est-ce que ca te fera qu'on te dise/
"non c'est pas vrai, et si cela etait, ce serait exceptionnel!!!
J'imagine que ta premiere reaction va etre de detourner la question pour
repondre a ton avantage.
Retourne vite au travail bougre de chenapan !
Meme si je te reponds, je travaille.
La chance de l'artisan hysterique est d'avoir plusieurs PC.
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1gr0qro.ccouldo0xvbqN%
Tiens l'aristan hystérique !
L'artisan Hysterique constate que quoi qu'il en soit ta position est "j'y suis, j'y reste". Tu "n'ecoutes" pas les gens, tu te bornes a nier les faits qui sont exposes, La Poste ne peut en aucuns cas etre en cause. Tu vas certainement ramene la situation a un cas isole en pretextant que c'est un facteur isole ou interimaire et qu'ils ne sont pas tous comme ca, mais imagine un peu que je viennes installer ,par exemple, un agencement chez toi et que je me plantes, -de travers-mal fait, portes qui ne ferment pas,.....- qu'est-ce que ca te fera qu'on te dise/ "non c'est pas vrai, et si cela etait, ce serait exceptionnel!!! J'imagine que ta premiere reaction va etre de detourner la question pour repondre a ton avantage.
Retourne vite au travail bougre de chenapan ! Meme si je te reponds, je travaille.
La chance de l'artisan hysterique est d'avoir plusieurs PC.
jpw
"Jean-Claude Ghislain" a écrit
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
ben jcg je te voyais pas comme ça.....
jpw
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.com> a écrit
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une
administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du
coin, sera toujours le reflet de son chef.
Ne pas oublier que c'est la "tête" qui commande, une entreprise, une administration, une équipe de foot, une école, le gang des voyous du coin, sera toujours le reflet de son chef.
je n'imaginais point qu'il puisse y avoir des spéciales sur le chemin de st jacques de compostelle...
jpw
colette
"Jean-Claude Ghislain" a >
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Oui, là je me demande aussi...
Parce qu'il m'arrive d'être dehors au moment du passage du facteur. Et que s'il a un recommandé pour un de mes enfants pas présent, dans ce cas-là, il faut bien qu'il me laisse l'avis de passage. Ils ne pourraient pas aller le chercher à la poste sans. Et je sais donc pertinemment que rien n'est prévu pour qu'on connaisse l'origine du paquet ou de la lettre. Faut même parfois insister auprès du facteur pour qu'il veuille bien le dire. Comme si l'expéditeur était un secret!!!!!! Je sais ce que ça peut donner comme ennuis, ces recommandés dont on n'est pas avisés et qui repartent donc...... Colette
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.com> a >
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de
passage? Mince.
Oui, là je me demande aussi...
Parce qu'il m'arrive d'être dehors au moment du passage du facteur. Et que
s'il a un recommandé pour un de mes enfants pas présent, dans ce cas-là, il
faut bien qu'il me laisse l'avis de passage. Ils ne pourraient pas aller le
chercher à la poste sans.
Et je sais donc pertinemment que rien n'est prévu pour qu'on connaisse
l'origine du paquet ou de la lettre. Faut même parfois insister auprès du
facteur pour qu'il veuille bien le dire. Comme si l'expéditeur était un
secret!!!!!!
Je sais ce que ça peut donner comme ennuis, ces recommandés dont on n'est
pas avisés et qui repartent donc......
Colette
Mais comment le savez vous vu que vous ne recevez pas d'avis de passage? Mince.
Oui, là je me demande aussi...
Parce qu'il m'arrive d'être dehors au moment du passage du facteur. Et que s'il a un recommandé pour un de mes enfants pas présent, dans ce cas-là, il faut bien qu'il me laisse l'avis de passage. Ils ne pourraient pas aller le chercher à la poste sans. Et je sais donc pertinemment que rien n'est prévu pour qu'on connaisse l'origine du paquet ou de la lettre. Faut même parfois insister auprès du facteur pour qu'il veuille bien le dire. Comme si l'expéditeur était un secret!!!!!! Je sais ce que ça peut donner comme ennuis, ces recommandés dont on n'est pas avisés et qui repartent donc...... Colette
Jean-Claude Ghislain
je n'imaginais point qu'il puisse y avoir des spéciales sur le chemin de st jacques de compostelle...
;-))
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
je n'imaginais point qu'il puisse y avoir des spéciales sur
le chemin de st jacques de compostelle...
