Comment ajouter des application sur slackware and family
66 réponses
jp willm
Le 12/11/2014 07:16, Doug713705 a écrit :
>> Ce sera aussi facile, plus édifiant et plus gratifiant de tester une
>> *buntu
>
> Là par contre, je suis d'accord
>
Tiens, j'en profite :
J'ai booté sur vectro-linux et Salix en live
Rien à redire tout fonctionnait et au niveau "déco/ergonomie", les deux
sont bien fichues.
Mais sur la vector, j'ai essayé de voir comment je pourrais installer
dolphin en plus de thunar le jour où je l'installe pour de vrai.
Alors j'ai essayé les différents "dépôt" slackware, mais n'ai rien trouvé.
J'ai essayé de voir si je peux trouver un tar.gz, mais en vain.
J'ai bien trouvé un script, mais n'ai plus eu le temps de lire le détail
pour aller plus loin.
Je ne demande pas forcément qu'on me prémâche le travail, mais une
petite indication sur la façon d'installer des applications ou une
adresse pour trouver les sources aurait été bienvenue.
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
Pour finir, ce n'est pas forcément une mauvaise chose qu'il y ait beaucoup de mises à jour, il vaut mieux ça plutôt que se retrouver avec une passoire.
Quand les mises à jour sont des mises à jour de patches made in debian et/ou que ces mêmes mises à jour provoquent une deuxième mise à jour 2 jours plus tard pour cause de regression, ça m'ennerve un peu.
Les deux cas cités ci-dessus ne sot pas si rares. Loin s'en faut.
-- Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe Et moi je suis timide comme un enfant mort-né. -- H.F. Thiéfaine, La vierge au Dodge 51
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<87oasaevcu.fsf@izac.org>) :
Pour finir, ce n'est pas forcément une mauvaise chose qu'il y ait
beaucoup de mises à jour, il vaut mieux ça plutôt que se retrouver avec
une passoire.
Quand les mises à jour sont des mises à jour de patches made in debian
et/ou que ces mêmes mises à jour provoquent une deuxième mise à jour 2
jours plus tard pour cause de regression, ça m'ennerve un peu.
Les deux cas cités ci-dessus ne sot pas si rares. Loin s'en faut.
--
Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe
Et moi je suis timide comme un enfant mort-né.
-- H.F. Thiéfaine, La vierge au Dodge 51
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
Pour finir, ce n'est pas forcément une mauvaise chose qu'il y ait beaucoup de mises à jour, il vaut mieux ça plutôt que se retrouver avec une passoire.
Quand les mises à jour sont des mises à jour de patches made in debian et/ou que ces mêmes mises à jour provoquent une deuxième mise à jour 2 jours plus tard pour cause de regression, ça m'ennerve un peu.
Les deux cas cités ci-dessus ne sot pas si rares. Loin s'en faut.
-- Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe Et moi je suis timide comme un enfant mort-né. -- H.F. Thiéfaine, La vierge au Dodge 51
Doug713705
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
D'une manière générale un slackeux préfèrera compiler toute application qui n'est pas un paquet officiel.
En d'autres termes, le temps d'un slackeux ne vaut pas grand chose.
Le slackeux anticipe. Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de compilation de l'ordre de la minute.
En temps qu'utilisateur Gentoo pendant plusieurs années, je peux t'affirmer que certaine fois tu trouves le temps long...
De plus, en installant "à la main", tu n'as plus de mises à jour et, d'une certaine façon, tu deviens le mainteneur pour ta distribution.
Après il faut toujours un compromis entre le temps que tu mets à installer/mettre à jour et la qualité (relative) de ce que tu as derrière.
Pour Gentoo je suis d'accord, c'est la raison pour laquelle j'ai arrété cette distrib et suis revenu à mon choix initial qu'est Slackware.
Pour une Slackware (stable ou non) c'est un peu différent car tu as quand même une grosse base de paquets en binaires. Ceux là ne sont pas à recompiler.
Les seuls paquets à recompiler sont les paquets tiers quand ils font l'objet d'une mise à jour ou quand l'une de leurs dépendances nécessite une mise à jour (cas le plus chiant à détecté).
Perso j'en ai un sacré paquet mais c'est loin d'être le cas de tout le monde, madame Michu n'a pas besoin du 50ème des 401 SBo que j'ai installés ;-)
Le gros paquet chiant est ffmpeg car il a une gigachiée de dépendances en cascade mais même sous Debian je le recompile pour avoir le support de toutes les libs possibles et immaginables, donc bon.
-- Tu glisses ta carte perforée Sans ce flipper où tu t'enfuis Et tu fais semblant de rocker Pour faire croire que tu es en vie ! -- H.F. Thiéfaine, Narcisse 81
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<87oasaevcu.fsf@izac.org>) :
D'une manière générale un slackeux préfèrera compiler toute
application qui n'est pas un paquet officiel.
En d'autres termes, le temps d'un slackeux ne vaut pas grand chose.
Le slackeux anticipe.
Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation
dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de
compilation de l'ordre de la minute.
En temps qu'utilisateur Gentoo pendant plusieurs années, je peux
t'affirmer que certaine fois tu trouves le temps long...
De plus, en installant "à la main", tu n'as plus de mises à jour et,
d'une certaine façon, tu deviens le mainteneur pour ta distribution.
Après il faut toujours un compromis entre le temps que tu mets
à installer/mettre à jour et la qualité (relative) de ce que tu as
derrière.
Pour Gentoo je suis d'accord, c'est la raison pour laquelle j'ai arrété
cette distrib et suis revenu à mon choix initial qu'est Slackware.
Pour une Slackware (stable ou non) c'est un peu différent car tu as
quand même une grosse base de paquets en binaires. Ceux là ne sont pas à
recompiler.
Les seuls paquets à recompiler sont les paquets tiers quand ils font
l'objet d'une mise à jour ou quand l'une de leurs dépendances nécessite
une mise à jour (cas le plus chiant à détecté).
Perso j'en ai un sacré paquet mais c'est loin d'être le cas de tout le
monde, madame Michu n'a pas besoin du 50ème des 401 SBo que j'ai
installés ;-)
Le gros paquet chiant est ffmpeg car il a une gigachiée de
dépendances en cascade mais même sous Debian je le recompile
pour avoir le support de toutes les libs possibles et immaginables,
donc bon.
--
Tu glisses ta carte perforée
Sans ce flipper où tu t'enfuis
Et tu fais semblant de rocker
Pour faire croire que tu es en vie !
-- H.F. Thiéfaine, Narcisse 81
Le 13-11-2014, Benoit Izac nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
D'une manière générale un slackeux préfèrera compiler toute application qui n'est pas un paquet officiel.
En d'autres termes, le temps d'un slackeux ne vaut pas grand chose.
Le slackeux anticipe. Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de compilation de l'ordre de la minute.
En temps qu'utilisateur Gentoo pendant plusieurs années, je peux t'affirmer que certaine fois tu trouves le temps long...
De plus, en installant "à la main", tu n'as plus de mises à jour et, d'une certaine façon, tu deviens le mainteneur pour ta distribution.
Après il faut toujours un compromis entre le temps que tu mets à installer/mettre à jour et la qualité (relative) de ce que tu as derrière.
Pour Gentoo je suis d'accord, c'est la raison pour laquelle j'ai arrété cette distrib et suis revenu à mon choix initial qu'est Slackware.
Pour une Slackware (stable ou non) c'est un peu différent car tu as quand même une grosse base de paquets en binaires. Ceux là ne sont pas à recompiler.
Les seuls paquets à recompiler sont les paquets tiers quand ils font l'objet d'une mise à jour ou quand l'une de leurs dépendances nécessite une mise à jour (cas le plus chiant à détecté).
Perso j'en ai un sacré paquet mais c'est loin d'être le cas de tout le monde, madame Michu n'a pas besoin du 50ème des 401 SBo que j'ai installés ;-)
Le gros paquet chiant est ffmpeg car il a une gigachiée de dépendances en cascade mais même sous Debian je le recompile pour avoir le support de toutes les libs possibles et immaginables, donc bon.
-- Tu glisses ta carte perforée Sans ce flipper où tu t'enfuis Et tu fais semblant de rocker Pour faire croire que tu es en vie ! -- H.F. Thiéfaine, Narcisse 81
Doug713705
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54651119$0$2302$) :
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de compilation de l'ordre de la minute.
Un quart d'heure ou une minute, c'est bien du temps perdu de toutes façons.
Si je compare avec le temps que je passe à mettre maintenir ma Debian Wheezy à jour, il n'y a pas photo (entre un et trois correctifs par semaine en moyenne).
Euh, les correctifs, tu ne les appliques pas sur ta slackware ?
Si mais "bizzarement" il y en a moins.
Ah mais oui, suis-je bête, ma Slackware stable n'utilise pas de libs avec 42 versions de retard et ne patche rien. Ceci doit expliquer cela.
;-)
-- Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard Avec des générateurs diesel à la place du c½ur Et des pompes refoulantes au niveau des idées... -- H.F. Thiéfaine, Autorisation de délirer
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<54651119$0$2302$426a74cc@news.free.fr>) :
Doug713705 , dans le message <08cfjbxgm3.ln2@actarus.redatomik.org>, a
écrit :
Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation
dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de
compilation de l'ordre de la minute.
Un quart d'heure ou une minute, c'est bien du temps perdu de toutes façons.
Si je compare avec le temps que je passe à mettre maintenir ma Debian
Wheezy à jour, il n'y a pas photo (entre un et trois correctifs par
semaine en moyenne).
Euh, les correctifs, tu ne les appliques pas sur ta slackware ?
Si mais "bizzarement" il y en a moins.
Ah mais oui, suis-je bête, ma Slackware stable n'utilise pas de libs
avec 42 versions de retard et ne patche rien. Ceci doit expliquer cela.
;-)
--
Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard
Avec des générateurs diesel à la place du c½ur
Et des pompes refoulantes au niveau des idées...
-- H.F. Thiéfaine, Autorisation de délirer
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54651119$0$2302$) :
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Et honnêtement il n'y a pas beaucoup de projet dont la compilation dépasse le quart d'heure. La majorité des projets ont des temps de compilation de l'ordre de la minute.
Un quart d'heure ou une minute, c'est bien du temps perdu de toutes façons.
Si je compare avec le temps que je passe à mettre maintenir ma Debian Wheezy à jour, il n'y a pas photo (entre un et trois correctifs par semaine en moyenne).
Euh, les correctifs, tu ne les appliques pas sur ta slackware ?
Si mais "bizzarement" il y en a moins.
Ah mais oui, suis-je bête, ma Slackware stable n'utilise pas de libs avec 42 versions de retard et ne patche rien. Ceci doit expliquer cela.
;-)
-- Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard Avec des générateurs diesel à la place du c½ur Et des pompes refoulantes au niveau des idées... -- H.F. Thiéfaine, Autorisation de délirer
Doug713705
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54653155$0$2896$) :
Benoit Izac , dans le message , a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
-- Devant une camomille-tilleul Je te laisse te finir toute seule -- H.F. Thiéfaine, Precox ejaculator
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<54653155$0$2896$426a74cc@news.free.fr>) :
Benoit Izac , dans le message <87a93ueqos.fsf@izac.org>, a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les
premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais,
« can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien
utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir
mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va
du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la
chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle
fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
--
Devant une camomille-tilleul
Je te laisse te finir toute seule
-- H.F. Thiéfaine, Precox ejaculator
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54653155$0$2896$) :
Benoit Izac , dans le message , a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
-- Devant une camomille-tilleul Je te laisse te finir toute seule -- H.F. Thiéfaine, Precox ejaculator
FGK
On 2014-11-13, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Tonton Th , dans le message , a écrit :
Que veux tu dire par là ?
Que manifestement, perdre leur temps à attendre la fin de la compilation d'un programme n'est pas trop grave pour eux.
Non, ça n'est pas ça. Simplement les "slackeux" (par les dieux que je n'aime pas ce terme) ont un cerveau multitâche et sont capables de lancer une compilation puis de passer à une autre activité. Ils ne restent pas benoîtement devant leur terminal en regardant les logs défiler. On vous l'a déjà dit, slackware c'est une autre philosophie. Mais je suis sûr que sur les autres distributions il existe des utilisateurs capables d'en faire autant ;)
F-
-- -:%*- FGK -*%:- http://f6k.github.io -:%*-
On 2014-11-13, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Tonton Th , dans le message
<slrnm6aa77.df6.tTh@hangartistique.cispeo.fr>, a écrit :
Que veux tu dire par là ?
Que manifestement, perdre leur temps à attendre la fin de la compilation
d'un programme n'est pas trop grave pour eux.
Non, ça n'est pas ça. Simplement les "slackeux" (par les dieux que je n'aime
pas ce terme) ont un cerveau multitâche et sont capables de lancer une
compilation puis de passer à une autre activité. Ils ne restent pas benoîtement
devant leur terminal en regardant les logs défiler. On vous l'a déjà dit,
slackware c'est une autre philosophie. Mais je suis sûr que sur les autres
distributions il existe des utilisateurs capables d'en faire autant ;)
Que manifestement, perdre leur temps à attendre la fin de la compilation d'un programme n'est pas trop grave pour eux.
Non, ça n'est pas ça. Simplement les "slackeux" (par les dieux que je n'aime pas ce terme) ont un cerveau multitâche et sont capables de lancer une compilation puis de passer à une autre activité. Ils ne restent pas benoîtement devant leur terminal en regardant les logs défiler. On vous l'a déjà dit, slackware c'est une autre philosophie. Mais je suis sûr que sur les autres distributions il existe des utilisateurs capables d'en faire autant ;)
F-
-- -:%*- FGK -*%:- http://f6k.github.io -:%*-
FGK
On 2014-11-14, Doug713705 wrote:
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
On 2014-11-14, Doug713705 <doug.letough@free.fr> wrote:
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien
utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir
mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va
du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la
chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment
la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il
explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et
les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages
d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont
installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments
principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
Le 14-11-2014, FGK nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
On 2014-11-14, Doug713705 wrote:
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire. C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa diversité.
-- Chez les vieilles qui trafiquent le spleen, T'as bouffé tes nerfs et tes nuits Et maintenant tu cherches une combine Pour domestiquer nos envies. -- H.F. Thiéfaine, L'homme politique, le rollmops et la cuve à mazout
Le 14-11-2014, FGK nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<slrnm6asnq.tc4.f6k@shyla.porneia.net>) :
On 2014-11-14, Doug713705 <doug.letough@free.fr> wrote:
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien
utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir
mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va
du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la
chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment
la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il
explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et
les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages
d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont
installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments
principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire.
C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa
diversité.
--
Chez les vieilles qui trafiquent le spleen,
T'as bouffé tes nerfs et tes nuits
Et maintenant tu cherches une combine
Pour domestiquer nos envies.
-- H.F. Thiéfaine, L'homme politique, le rollmops et la cuve à mazout
Le 14-11-2014, FGK nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
On 2014-11-14, Doug713705 wrote:
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Au contraire, il existe un réelle vision globale dont systemd est apparemment la première pierre. Voir pour cela l'article de Lennart Poettering[1] où il explique quels sont (plus ou moins selon lui) les problèmes sous GNU/Linux et les propositions pour y remédier. En gros, un système unifié où desimages d'OS/d'applications/etc dans différentes versions possibles sont installées. Il existe un journal sur linusque-éfère qui reprend les éléments principaux de cet article, mais je n'arrive pa à remettre la main dessus.
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire. C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa diversité.
-- Chez les vieilles qui trafiquent le spleen, T'as bouffé tes nerfs et tes nuits Et maintenant tu cherches une combine Pour domestiquer nos envies. -- H.F. Thiéfaine, L'homme politique, le rollmops et la cuve à mazout
Erwan David
Doug713705 écrivait :
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54653155$0$2896$) :
Benoit Izac , dans le message , a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
-- Les simplifications c'est trop compliqué
Doug713705 <doug.letough@free.fr> écrivait :
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<54653155$0$2896$426a74cc@news.free.fr>) :
Benoit Izac , dans le message <87a93ueqos.fsf@izac.org>, a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les
premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais,
« can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien
utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir
mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va
du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la
chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle
fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se
traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
Le 13-11-2014, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<54653155$0$2896$) :
Benoit Izac , dans le message , a écrit :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
-- Les simplifications c'est trop compliqué
FGK
On 2014-11-14, Doug713705 wrote:
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire. C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa diversité.
J'avoue être aussi sceptique sur l'idée. Mais d'une part je n'ai encore jamais eu à faire à systemd --- que je ne connais donc que par ce que j'ai pu en lire jusqu'ici (à la fois des partisants pour et ceux qui sont contre) --- et d'autre part je n'ai pas le niveau suffisant pour comprendre tout l'article de Poettering. Je ne me prononcerais donc pas plus. Par contre, ce que je comprends, c'est que s'il réalise son projet, nous aurons à terme un autre genre de GNU/Linux (qu'il faudra probablement appelé, disons, SGL pour systemd/GNU/Linux puisque celui-ci (ou son équivalent conceptuel appliqué à l'idée développée) chapotant absolument tout le reste). Il nous sera proposé alors une sorte de méta-distribution ; je ne pense pas que ça tuera la diversité, ça rajoutera simplement une *flavor* de GNU/Linux mais dans un genre tout à fait inédit, Quand ce système existera dans la réalité, nous verrons bien s'il répond à un besoin (et donc sera adopté au nom), ce qui est l'épreuve du feu ultime pour tout projet de ce genre.
F-
-- -:%*- FGK -*%:- http://f6k.github.io -:%*-
On 2014-11-14, Doug713705 <doug.letough@free.fr> wrote:
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire.
C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa
diversité.
J'avoue être aussi sceptique sur l'idée. Mais d'une part je n'ai encore jamais
eu à faire à systemd --- que je ne connais donc que par ce que j'ai pu en lire
jusqu'ici (à la fois des partisants pour et ceux qui sont contre) --- et
d'autre part je n'ai pas le niveau suffisant pour comprendre tout l'article de
Poettering. Je ne me prononcerais donc pas plus. Par contre, ce que je
comprends, c'est que s'il réalise son projet, nous aurons à terme un autre
genre de GNU/Linux (qu'il faudra probablement appelé, disons, SGL pour
systemd/GNU/Linux puisque celui-ci (ou son équivalent conceptuel appliqué à
l'idée développée) chapotant absolument tout le reste). Il nous sera proposé
alors une sorte de méta-distribution ; je ne pense pas que ça tuera la
diversité, ça rajoutera simplement une *flavor* de GNU/Linux mais dans un
genre tout à fait inédit, Quand ce système existera dans la réalité, nous
verrons bien s'il répond à un besoin (et donc sera adopté au nom), ce qui est
l'épreuve du feu ultime pour tout projet de ce genre.
Linux et système unifié dans la même phrase ne veut rien dire. C'est oter ce qui faisait une grande partie de la beauté de Linux: Sa diversité.
J'avoue être aussi sceptique sur l'idée. Mais d'une part je n'ai encore jamais eu à faire à systemd --- que je ne connais donc que par ce que j'ai pu en lire jusqu'ici (à la fois des partisants pour et ceux qui sont contre) --- et d'autre part je n'ai pas le niveau suffisant pour comprendre tout l'article de Poettering. Je ne me prononcerais donc pas plus. Par contre, ce que je comprends, c'est que s'il réalise son projet, nous aurons à terme un autre genre de GNU/Linux (qu'il faudra probablement appelé, disons, SGL pour systemd/GNU/Linux puisque celui-ci (ou son équivalent conceptuel appliqué à l'idée développée) chapotant absolument tout le reste). Il nous sera proposé alors une sorte de méta-distribution ; je ne pense pas que ça tuera la diversité, ça rajoutera simplement une *flavor* de GNU/Linux mais dans un genre tout à fait inédit, Quand ce système existera dans la réalité, nous verrons bien s'il répond à un besoin (et donc sera adopté au nom), ce qui est l'épreuve du feu ultime pour tout projet de ce genre.
F-
-- -:%*- FGK -*%:- http://f6k.github.io -:%*-
Doug713705
Le 14-11-2014, Erwan David nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
Ça e rappelle un autre OS...
J'ai toujours pensé que Lennart Poettering était un sous-marin de MS.
Je parie volontiers qu'il finira faché avec la communauté Linux et qu'il partira à Redmond voir si les écrans sont plus bleus.
On parie ?
-- Et je carburais du siphon A détraquer tous les gavos Qui v'naient s'faire graisser leur oignon Avant d'replonger au boulot. -- H.F. Thiéfaine, La môme kaléïdoscope
Le 14-11-2014, Erwan David nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<87wq6ys2nf.fsf@tee.rail.eu.org>) :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les
premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais,
« can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien
utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir
mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va
du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la
chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle
fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se
traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
Ça e rappelle un autre OS...
J'ai toujours pensé que Lennart Poettering était un sous-marin de MS.
Je parie volontiers qu'il finira faché avec la communauté Linux et qu'il
partira à Redmond voir si les écrans sont plus bleus.
On parie ?
--
Et je carburais du siphon
A détraquer tous les gavos
Qui v'naient s'faire graisser leur oignon
Avant d'replonger au boulot.
-- H.F. Thiéfaine, La môme kaléïdoscope
Le 14-11-2014, Erwan David nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration () :
Bonne lecture !
Tu aurais mieux fait de le lire toi-même, tu aurais peut-être remarqué les premiers motds : « can be used ». Au cas où tu aurais du mal en anglais, « can », c'est pouvoir, pas devoir. Rien ne t'oblige à l'utiliser.
Le truc c'est que finalement dans systemd, on aimerait bien ne rien utiliser. Autant ne pas s'emmerder et le virer.
Néanmoins je suis d'accord pour dire que le système d'init est à revoir mais on pourrait envisager une alternative sérieuse pas un bloat qui va du serveur DNS au serveur HTTP en passant par une gestion des logs.
Cet amoncellement ne veut *rien* dire et avance au petit bonheur la chance sans réèllle vision globale.
Chaque semaine ils se retrouvent obligé d'ajouter une nouvelle fonctionalité parce que tel ou tel cas en aurait finalement besoin.
Comportement typique du bloat, quoi.
Et surtout un truc totalement instable en changement permanent et qui se traine des trouys de sécurité vieux de 20 ans...
Ça e rappelle un autre OS...
J'ai toujours pensé que Lennart Poettering était un sous-marin de MS.
Je parie volontiers qu'il finira faché avec la communauté Linux et qu'il partira à Redmond voir si les écrans sont plus bleus.
On parie ?
-- Et je carburais du siphon A détraquer tous les gavos Qui v'naient s'faire graisser leur oignon Avant d'replonger au boulot. -- H.F. Thiéfaine, La môme kaléïdoscope